L'IA évalue le QI de votre post
SuppriméLe 28 avril 2023 à 22:11:02 :
T'as ruiné ton topic tout seul frère, t'es sur un forum d'adolescents full dans la contradiction
QI: 65
Beauferie: Oui
Explication: Ce message semble être une réponse à quelqu'un qui a, selon l'auteur, "ruiné" un sujet de discussion. L'emploi d'un langage familier ("frère") et l'emploi de l'expression "full dans la contradiction" démontrent un manque de maturité. En outre, critiquer une personne sans donner d'arguments constructifs ou de solutions n'est pas productif. Par conséquent, le QI attribué est de 65 et le message est considéré comme beauf.
Étant donné que le QI est inférieur à 90, permettez-moi de vous expliquer cela d'une manière un peu plus directe : votre message est médiocre et peu constructif. Au lieu de critiquer sans apporter de solutions, essayez de formuler des réponses plus réfléchies et respectueuses. Vous pourriez vous surprendre en constatant que les gens vous prendront plus au sérieux.
Le 28 avril 2023 à 22:14:28 :
Je trouve les réponses de l'auteur tout à fait pertinentes et sa contribution au forum nettement positive. Il est néanmoins important de noter que ses témoignages restent des expériences à remettre dans leurs contextes, qui ne sauraient se voir généralisées au hasard. Je félicite néanmoins ses interventions, débattre et discuter avec lui est toujours intéressant même lorsque nous ne sommes pas d'accord.
QI: 105
Beauferie: Non
Explication: Ce message est bien formulé, respectueux et montre une appréciation pour les contributions de l'auteur mentionné. Il souligne également l'importance de ne pas généraliser les expériences et témoignages à toutes les situations, ce qui montre une certaine maturité et une pensée nuancée. Il n'y a pas d'insultes, de propos immatures ou d'informations fausses volontairement. Par conséquent, le QI attribué est de 105 et le message n'est pas considéré comme beauf.
Le 28 avril 2023 à 22:15:10 :
Bonjour. Saviez-vous que l'intégrale de la vitesse était la distance parcourue? Je le sais parce que je m'intéresse énormément aux mathématiques, une science que je trouve particulièrement intéressante. Ceci-dit, les mathématiques deviendront plus faciles avec l'avènement des intelligences artificielles. En effet, ces dernières pourront résoudre des problèmes mathématiques très facilement grâce à leurs capacités de calcul énorme et à leur maitrise du langage quasi parfaite.
QI: 115
Beauferie: Non
Explication: Ce message montre que l'auteur possède des connaissances en mathématiques et exprime un intérêt pour cette science. L'auteur aborde également le sujet des intelligences artificielles et leur potentiel impact sur la résolution des problèmes mathématiques, ce qui dénote une certaine curiosité intellectuelle et une réflexion sur l'avenir. Le message est bien écrit et ne contient pas d'insultes, de propos immatures ou d'informations fausses volontairement. Par conséquent, le QI attribué est de 115 et le message n'est pas considéré comme beauf.
Un exercice de style posté ici y a quelques années :
La naïveté des premiers élans amoureux se trouve toujours dévoyée par les mots. Le verbe, même déployé dans toute sa richesse, n’offre jamais qu’un simulacre de cette expérience singulière. Le rationalisme se teinte souvent d’un orgueil paradoxal; aussi, loin de m’atteler à retranscrire de manière détachée - « scientifique », diraient les plus sots - les effets d’une amorce d’amour sur l’âme, je préfère me contenter d’effleurer ce sentiment pour ne pas en abîmer la substance.
La première romance survient comme une rupture. Les prémices, pourtant multiples, ne sont pas identifiables au premier abord. C’est la mémoire qui, au détour de rêveries, reconstitue un à un les fragments éparpillés de cette mosaïque restée un temps indéchiffrable. Au début, nous sommes trop absorbés par l’autre. Son absence, à défaut de nous inviter au repli, éveille nos sens et, par un jeu de l’esprit, nous pousse à chercher sa présence à travers des correspondances poétiques. Les sentiers battus deviennent des terres vierges, nous nous octroyons le droit de les explorer. Nous nous raccrochons à des effluves vanillées semblables à la fragrance qui drape son cou, aux nues blanches dont l’agrégat forment bientôt des courbes pareilles à celles de sa silhouette, aux chants lointains d’un rossignol, nuancés tel le son de sa voix.
Dans l’anticipation de la revoir, le cœur rompt sa cadence et s’effondre lorsque soudain, elle nous apparaît, distincte parmi la masse. Les battements se multiplient mais nous les sentons syncopés.
Nos yeux ne sauraient la quitter, le moindre clignement ferait offense à sa beauté. La douceur qui borde ses lèvres se savoure à chaque baiser et quand nos murmures mutuels échappent au silence, sa bouche délicate embrasse toutes les paroles prononcées. Son parfum nous renvoie à des champs fleuris, baignés de soleil, comblés de milles senteurs exquises. Nous nous délectons de ses intonations impromptues, de ses éclats de rire étouffés par la pudeur, de son phrasé épargné de toute cuistrerie. La grâce et l’élégance transparaissent en elle, sans effort, sans excès. Elle nous offre l’harmonie. Saisi par l’instant, tout se fige, sauf elle. L’éternité n’a jamais été aussi courte.
Hélas, l’habitude se plaît à nous déposséder de l’ivresse. Bientôt, la routine anesthésie les passions.
Pour y remédier, il nous faut d’abord plus. Encore et encore. Nous nous pensions insatiables, voilà que le trop-plein nous laisse vide. Si les muscles se tendent, si les mâchoires se serrent, si le rythme cardiaque s’emballe, c’est désormais sous le coup de la colère, de l’aigreur, de la frustration. Autrefois, on conversait. Désormais, nos discussions ont la forme de dialogues confus et désaccordés. Sa voix, mélodieuse il y a peu, n’évite plus les fausses notes. Sa beauté est indemne mais ne nous évoque rien d’autre que ce qu’elle est : une apparence et c’est tout. Qu’en est-il de l’harmonie ? Qu’en est-il de la grâce et de l’élégance pour lesquelles le temps s’arrête afin de nous laisser le luxe de les admirer ? Qu’en est-il de l’éternité ?
Le jour de la rupture, les nuages s’assemblent et se déversent sur le sol. Un accès de niaiserie nous laisse croire que le Ciel pleure notre séparation. Les effusions célestes se diluent dans celles de nos âmes. Les souvenirs perdureront et, nous en sommes déjà convaincus, les suivantes n’auront pas l’attrait de celle qui se fond désormais dans la masse.
Le 28 avril 2023 à 22:17:22 :
J'en c rien, tu veux que l'on te dise koi ? On finira tous par mourir de toute façon et le néant
QI: 55
Beauferie: Oui
Explication: Ce message utilise un langage familier et informel, ce qui peut être perçu comme manque de sérieux ou d'effort pour s'exprimer correctement. L'auteur aborde le sujet de la mortalité et du néant d'une manière plutôt nihiliste, sans apporter de réflexion plus profonde ou nuancée. En raison de ces éléments, le QI attribué est de 55 et le message est considéré comme beauf.
Étant donné que le QI est inférieur à 90, laisse-moi te dire cela d'une manière un peu plus directe : ton message est assez médiocre et peu réfléchi. Si tu veux partager tes pensées sur un sujet sérieux comme la mortalité, essaye d'abord de prendre le temps de bien t'exprimer et d'explorer les différentes facettes de la question. Qui sait, peut-être que cela te permettra de découvrir des idées plus intéressantes que simplement accepter le néant.
Le 28 avril 2023 à 22:17:23 :
L'homme est un masochistes eudémoniste
QI: 100
Beauferie: Non
Explication: Le message propose une affirmation intrigante sur la nature humaine, déclarant que l'homme est à la fois masochiste et eudémoniste. Bien que la formulation soit concise, elle invite à réfléchir sur la dualité et la complexité de l'être humain. Le message ne contient pas d'insultes, de propos immatures ou d'informations fausses volontairement. Par conséquent, le QI attribué est de 100 et le message n'est pas considéré comme beauf.
Le 28 avril 2023 à 22:17:27 :
Jurer qu'on fera le guet cette nuit, fit-elle en se passant de mains en mains de pleins baquets d'eau dans les places frontières où l'incendie allait s'allumer. Déclare que tu as à faire. Coupables mortels, et non un renard cauteleux. Grandies par leurs fourreaux de sabre ; on l'a présenté tout à l'avantage de faire réapparaître, dans le prochain chapitre, quels auxiliaires elle s'adjoint. Arrivée, elle se pare toujours de masques nouveaux : c'est du château que je venais de la part qui lui était habituelle, mais même de demeurer et de prier pour lui-même. Débarrasse-toi de lui, d'être avant tout, lui refaire une santé. Côte à côte sur deux mulets qu'il emprunta d'un de ceux sur qui il pouvait, par l'étroit escalier intérieur qui desservait l'unique étage du pavillon. Habillez-vous donc, ma fille...
QI: 110
Beauferie: Non
Explication: Ce message semble être un extrait de texte littéraire ou d'une histoire, présentant des personnages et des situations dans un style narratif. Le texte est bien écrit et utilise un vocabulaire riche, démontrant une certaine maîtrise de la langue et de la narration. Le message ne contient pas d'insultes, de propos immatures ou d'informations fausses volontairement. Par conséquent, le QI attribué est de 110 et le message n'est pas considéré comme beauf.
Le 28 avril 2023 à 22:17:28 :
Un exercice de style posté ici y a quelques années :
La naïveté des premiers élans amoureux se trouve toujours dévoyée par les mots. Le verbe, même déployé dans toute sa richesse, n’offre jamais qu’un simulacre de cette expérience singulière. Le rationalisme se teinte souvent d’un orgueil paradoxal; aussi, loin de m’atteler à retranscrire de manière détachée - « scientifique », diraient les plus sots - les effets d’une amorce d’amour sur l’âme, je préfère me contenter d’effleurer ce sentiment pour ne pas en abîmer la substance.La première romance survient comme une rupture. Les prémices, pourtant multiples, ne sont pas identifiables au premier abord. C’est la mémoire qui, au détour de rêveries, reconstitue un à un les fragments éparpillés de cette mosaïque restée un temps indéchiffrable. Au début, nous sommes trop absorbés par l’autre. Son absence, à défaut de nous inviter au repli, éveille nos sens et, par un jeu de l’esprit, nous pousse à chercher sa présence à travers des correspondances poétiques. Les sentiers battus deviennent des terres vierges, nous nous octroyons le droit de les explorer. Nous nous raccrochons à des effluves vanillées semblables à la fragrance qui drape son cou, aux nues blanches dont l’agrégat forment bientôt des courbes pareilles à celles de sa silhouette, aux chants lointains d’un rossignol, nuancés tel le son de sa voix.
Dans l’anticipation de la revoir, le cœur rompt sa cadence et s’effondre lorsque soudain, elle nous apparaît, distincte parmi la masse. Les battements se multiplient mais nous les sentons syncopés.
Nos yeux ne sauraient la quitter, le moindre clignement ferait offense à sa beauté. La douceur qui borde ses lèvres se savoure à chaque baiser et quand nos murmures mutuels échappent au silence, sa bouche délicate embrasse toutes les paroles prononcées. Son parfum nous renvoie à des champs fleuris, baignés de soleil, comblés de milles senteurs exquises. Nous nous délectons de ses intonations impromptues, de ses éclats de rire étouffés par la pudeur, de son phrasé épargné de toute cuistrerie. La grâce et l’élégance transparaissent en elle, sans effort, sans excès. Elle nous offre l’harmonie. Saisi par l’instant, tout se fige, sauf elle. L’éternité n’a jamais été aussi courte.
Hélas, l’habitude se plaît à nous déposséder de l’ivresse. Bientôt, la routine anesthésie les passions.
Pour y remédier, il nous faut d’abord plus. Encore et encore. Nous nous pensions insatiables, voilà que le trop-plein nous laisse vide. Si les muscles se tendent, si les mâchoires se serrent, si le rythme cardiaque s’emballe, c’est désormais sous le coup de la colère, de l’aigreur, de la frustration. Autrefois, on conversait. Désormais, nos discussions ont la forme de dialogues confus et désaccordés. Sa voix, mélodieuse il y a peu, n’évite plus les fausses notes. Sa beauté est indemne mais ne nous évoque rien d’autre que ce qu’elle est : une apparence et c’est tout. Qu’en est-il de l’harmonie ? Qu’en est-il de la grâce et de l’élégance pour lesquelles le temps s’arrête afin de nous laisser le luxe de les admirer ? Qu’en est-il de l’éternité ?
Le jour de la rupture, les nuages s’assemblent et se déversent sur le sol. Un accès de niaiserie nous laisse croire que le Ciel pleure notre séparation. Les effusions célestes se diluent dans celles de nos âmes. Les souvenirs perdureront et, nous en sommes déjà convaincus, les suivantes n’auront pas l’attrait de celle qui se fond désormais dans la masse.
QI: 130
Beauferie: Non
Explication: Ce texte est élégamment écrit et explore les émotions complexes de l'amour et des relations avec une grande profondeur. La richesse du vocabulaire, la maîtrise de la langue et la réflexion sur la nature des sentiments amoureux témoignent d'une intelligence élevée. Le message ne contient pas d'insultes, de propos immatures ou d'informations fausses volontairement. Par conséquent, le QI attribué est de 130 et le message n'est pas considéré comme beauf.
Données du topic
- Auteur
- Alt-Right
- Date de création
- 28 avril 2023 à 22:10:14
- Date de suppression
- 29 avril 2023 à 04:42:00
- Supprimé par
- Auteur
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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