[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?

Le 18 avril 2023 à 22:31:04 :

Le 18 avril 2023 à 22:27:00 :
Vote E

attention même les choix trolls ont des conséquences

je suis pour les famoso conséquences

F

CASH DANS ANYA TAYLORE JOYYYY

A) Rentrer dans la baraque, Alonzykoi l l l l
B) Revenir plus tard dans la nuit, mieux équipés. l
C) Aller au commissariat le plus proche, après tout vous avez filmé les truands emmener le gamin dans la baraque.l
D) Naaaaan, on oublie tout.
E) Chier dans la cour. llllll

La E gagne ! go écrire la sweet

« La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice. »
Baruch Spinoza

Arc 1 Chapitre 9
Jeudi 18 Juin 2026
E) chier dans la cour.

- Tu sais quoi ? Ils faut qu’ils sachent qu’ils sont suivis. Ils ne doivent plus se sentir en sécurité.

- Meilleur moyen pour les faire déménager.

- Qu’importe. Nous devons envoyer un signal fort !

- Et tu propose quoi ?

- Chions dans la cour.

- …

- Ils sauront ce que ça veut dire.

- Aller.

Vous entrez dans la cour intérieure. Personne. Pas un signe de vie. Vous vous posez l’un en face de l’autre, accroupis, et entamez l’ouvrage.

- Ah merde, on a pas de pécu.

- y’a des journaux qui traînent dans l’entrée.

- Au fait, on fait quoi après ?

- On retourne à la rédaction, et on parle de tout ça au patron.

- Sauf les crottes.

- Oui, évidemment.

Vous contractez les abdominaux, et projetez une chiasse dégoulinante sur le mur derrière vous.

- J’ai du boire trop de lait, ce matin.

- ça c’est du message fort. T’avais filmé l’enlèvement ? Avec ton portable ?

- Ben oui, réflexe.

- Alors on a des preuves pour aller au commissariat. L’affaire est grave.

- On les a filmé aussi ramener le gamin dans la baraque.

- Oui, mais dans ce cas, on pourrait croire à un malaise, ou autre. Là, on a la preuve parfaite.

- Je vais chercher les journaux.

Quelques instants plus tard, vous voilà hors de la cour, dan la rue Henri Brabussse, et retournez à la voiture de Bob. Au moment de partir, alors que vous êtes encore derrière l’angle, vous voyez un homme chauve sortir, énervé. Vous baissez la vitre, pour entendre ce qu’il grogne. Il ne vous a pas vu, et semble converser avec un autre membre derrière les portes.

- El cirujano estará feliz. Pero te juro que nos siguieron.

Il attendi une réponse.

- Y el patinete eléctrico entonces? Quién era? Un admirador? Un amante secreto?

La réponse en parvint pas à vos oreilles.

- Nos siguieron y cagaron en el patio. Ven ver. Estamos jodidos!

L’ibère se retourna et entra dans la maison. À ce moment, vous aperceviez une arme de poing dépasser du pantalon du chauve.

- On vient de se mettre dans une crasse sombre. Mais on a probablement un scoop de malade.

- Je… je viens de me rendre compte que j’ai laissé mes courses à Roosevelt.

- On va les chercher, t’inquiètes.

Comme prévu, et, il fallait s’y attendre, le sac n’était plus à l’endroit ou vous l’aviez laissé.

- C’est Paris.

- On va en refaire, je te paye la moitié.

- C’est gentil.

Après un second passage à la caisse, vous repreniez le métro, direction chez vous, et preniez une nuit de repos bien mérité.

Le lendemain, vous êtes directement appelé dans le bureau du patron. Bob y est déjà. Il lui montre les vidéos d’hier.

- Célestin, vous êtes sur une affaire. Pas forcément le genre dont j’aurais voulu traiter, mais un gros scoop quand même.

- Je vais continuer mes interview sur les politiciens ?

- Oui. Peut-être que cette affaire y est lié, peut-être pas. Si elle l’est, tu resteras dessus, sinon, ça sera quelqu’un d’autre qui prendra la relève. Je veux du scandale, Célestin.

- Compris.

- Ah, et envoie-moi ta vidéo. On va en faire un article pour demain. D’ailleurs, vous comptez y retourner ?

- On n’en a pas encore discuté, mais je pense que pour le journal, on pourrait faire une petite investigations sur les lieux avant l’arrivée de la police.

- Vous y retournerez demain, ou pas. On appelle la police une fois que vous aurez pris votre décision.

- Je … j’y réfléchirais.

Vous retournez dans votre bureau. Louise vous y attends.

- Salut. Vu ce qu’ils s’est passé hier, je me disais que t’avais pas eu le temps de préparer l’interview.

- Je, non, effectivement.

- On va faire ça.