Topic de scuseme :

Le cunnilingus dans un lit = pas ergonomique

Supprimé

Le 04 août 2022 à 23:31:18 :

Émotionnellement un cunni c'est beaucoup plus spécial qu'une pénétration, de même pour la fellation, ce sont des pratiques assez improbables pour une 1ère baise

Assez d'accord quoi que ça dépende toujours de la personne et de la relation.

On en convient, ce que je dis vaut plutôt pour les femmes jeunes, ou qui ont peu d'expériences

Le 04 août 2022 à 23:31:37 :

Le 04 août 2022 à 23:20:02 :

Le 04 août 2022 à 23:12:56 :
Les femmes aiment êtres soumises parce c'est le modèle social qu'on leur a inculqué

Une société patriarcale ça produit pas des féministes. Ça produit des meufs qui veulent se faire plaquer contre le mur

À mes yeux, ce besoin est moins social, et plus primitif. En fait chercher des réponses dans le cadre social revient à intellectualiser et donc s'éloigner de la réalité. Je préfère réfléchir et me rapprocher de la réalité, en cherchant dans la nature plus animal des humains.

Un homme qui baise mollement défendra mollement sa partenaire en cas d'attaque. Et inversement, celui qui est dominant se comportera avec agressivité et jalousie pour défendre sa partenaire.

Ce qui pour les deux est rassurant. Car ils croient se posséder. Pour moi c'est ça le dialogue inconscient qui se déroule dans le sexe.

C'est plus une intuition qu'un raisonnement argumenté, je suis prêt à entendre toute critique.

Tu réfléchis dans le cadre du paradigme patriarcal ou c'est l'homme qui protège la femme

Je ne suis pas sûr que chez les animaux, la femmelle soit attirée par la mâle qui va la protèger

Moi je crois que c'est Surtout une compétition entre mâle pour savoir qui pourra baiser la femmelle

Donc les histoires de meufs qui sont attirées par le mâle protecteur, selon moi ça relève davatange de l'acquis social, que du besoin primitif

Je vois, tu ne crois donc pas que si la femelle va vers le gagnant du combat entre mâle, c'est parce qu'elle le juge le plus apte à la protéger et lui donner une descendance vigoureuse ? Pour moi c'est directement ça

Le 04 août 2022 à 23:41:39 :

Le 04 août 2022 à 23:31:37 :

Le 04 août 2022 à 23:20:02 :

Le 04 août 2022 à 23:12:56 :
Les femmes aiment êtres soumises parce c'est le modèle social qu'on leur a inculqué

Une société patriarcale ça produit pas des féministes. Ça produit des meufs qui veulent se faire plaquer contre le mur

À mes yeux, ce besoin est moins social, et plus primitif. En fait chercher des réponses dans le cadre social revient à intellectualiser et donc s'éloigner de la réalité. Je préfère réfléchir et me rapprocher de la réalité, en cherchant dans la nature plus animal des humains.

Un homme qui baise mollement défendra mollement sa partenaire en cas d'attaque. Et inversement, celui qui est dominant se comportera avec agressivité et jalousie pour défendre sa partenaire.

Ce qui pour les deux est rassurant. Car ils croient se posséder. Pour moi c'est ça le dialogue inconscient qui se déroule dans le sexe.

C'est plus une intuition qu'un raisonnement argumenté, je suis prêt à entendre toute critique.

Tu réfléchis dans le cadre du paradigme patriarcal ou c'est l'homme qui protège la femme

Je ne suis pas sûr que chez les animaux, la femmelle soit attirée par la mâle qui va la protèger

Moi je crois que c'est Surtout une compétition entre mâle pour savoir qui pourra baiser la femmelle

Donc les histoires de meufs qui sont attirées par le mâle protecteur, selon moi ça relève davatange de l'acquis social, que du besoin primitif

Je vois, tu ne crois donc pas que si la femelle va vers le gagnant du combat entre mâle, c'est parce qu'elle le juge le plus apte à la protéger et lui donner une descendance vigoureuse ? Pour moi c'est directement ça

Nan, elle est juste en chaleur

Ça attire les mâles. Les mâles se battent entre eux pour avoir le droit de la baiser. Et le gagnant la fourre

Il me semble que c'est généralement comme ça que ça marche dans la nature

Le 04 août 2022 à 23:43:28 :

Le 04 août 2022 à 23:41:39 :

Le 04 août 2022 à 23:31:37 :

Le 04 août 2022 à 23:20:02 :

Le 04 août 2022 à 23:12:56 :
Les femmes aiment êtres soumises parce c'est le modèle social qu'on leur a inculqué

Une société patriarcale ça produit pas des féministes. Ça produit des meufs qui veulent se faire plaquer contre le mur

À mes yeux, ce besoin est moins social, et plus primitif. En fait chercher des réponses dans le cadre social revient à intellectualiser et donc s'éloigner de la réalité. Je préfère réfléchir et me rapprocher de la réalité, en cherchant dans la nature plus animal des humains.

Un homme qui baise mollement défendra mollement sa partenaire en cas d'attaque. Et inversement, celui qui est dominant se comportera avec agressivité et jalousie pour défendre sa partenaire.

Ce qui pour les deux est rassurant. Car ils croient se posséder. Pour moi c'est ça le dialogue inconscient qui se déroule dans le sexe.

C'est plus une intuition qu'un raisonnement argumenté, je suis prêt à entendre toute critique.

Tu réfléchis dans le cadre du paradigme patriarcal ou c'est l'homme qui protège la femme

Je ne suis pas sûr que chez les animaux, la femmelle soit attirée par la mâle qui va la protèger

Moi je crois que c'est Surtout une compétition entre mâle pour savoir qui pourra baiser la femmelle

Donc les histoires de meufs qui sont attirées par le mâle protecteur, selon moi ça relève davatange de l'acquis social, que du besoin primitif

Je vois, tu ne crois donc pas que si la femelle va vers le gagnant du combat entre mâle, c'est parce qu'elle le juge le plus apte à la protéger et lui donner une descendance vigoureuse ? Pour moi c'est directement ça

Nan, elle est juste en chaleur

Ça attire les mâles. Les mâles se battent entre eux pour avoir le droit de la baiser. Et le gagnant la fourre

Il me semble que c'est généralement comme ça que ça marche dans la nature

Ok khey, merci

Le 04 août 2022 à 23:22:45 :

Le 04 août 2022 à 23:18:30 :

Le 04 août 2022 à 23:10:09 :

Le 04 août 2022 à 23:04:26 :

Le 04 août 2022 à 23:02:54 :

Le 04 août 2022 à 22:48:26 :

Le 04 août 2022 à 22:46:03 :

Le 04 août 2022 à 22:43:00 :

Le 04 août 2022 à 22:39:02 :
Je vous rappelle que le titre du topic est :
"Le cunnilingus dans un lit = pas ergonomique"
C'est un sujet technique, on tente de résoudre une problématique concrète.
Si vous voulez disserter sur la psycho du sexe et des relations faites un autre topic non ?

c'est pas ma faute si je parle à des cotorep tentant de traiter du fantasme sans en avoir les bagages intellectuels nécessaires. Le sujet du topic est déjà clos depuis le premières pages, l'op est un cotorep qui ne sait tout simplement pas communiquer.

Bah si c'est ta faute, tu feed en fait. Je sais plus si c'est toi qui a parlé de l'hystérique en tant qu'esclave dominant un maître en le frustrant mais c'était intéressant comme idée, merci

oui c'est moi. Je sais, mais c'est l'op lui même qui embraye sans arrêt sur d'autres sujets, pour ensuite dire que 3/4 des femmes fantasmes de se faire démonter contre un mur ou ce genre de conneries. Mais je vois qu'il est fermé à la discussion tout comme l'autre qui me traite de cuistre et qui me parle de "vraies sciences"

Je sais pas quel aspect de ton égo tu nourris en continuant d'alimenter la conv alors que tu sembles saoulé, mais je te conseille de trouver une autre manière d'y parvenir, plus plaisante et productive. Bonne soirée à toi

merci, à toi aussi :ok: je vais lire un lire d'une "fausse science" sur le masochisme

C'est quoi le livre ?

non, je plaisante, j'ai fait un peu le tour de la question du masochisme, surtout avec ce topic je vais saturer, même s'il revient parfois dans certains livres avec la réaction thérapeutique négative. En ce moment je me suis penché sur les "cas limites" et ceux à la limite de l'analysable. Je lisais un bouquin de winnicott sur la crainte de l'effrondrement, et là j'ai commencé un bouquin de rené roussillon "paradoxes et situations limites de la psychanalyse".

Il a d'ailleurs participé au manuel de psychologie et de psychopathologie, ouvrage réunissant la plupart des théories, et oui il n'y a jamais de "consensus" parfait malheureusement comme le voudrait thisisunfair.

Top 3 livres sur le masochisme ? Ça m'intéresse. Et alors le livre sur les cas limite, on en comprend quoi sur la nature humaine ?

j'ai pas vraiment un top, après en ce qui concerne les textes fondateurs qui m'ont permis de comprendre un peu mieux les mécanismes du masochisme je dirais "les réflexions sur le masochisme" de ferenczi et tout son journal clinique qui abordait déjà en son temps justement ces cas limite, ces cas dits difficiles, que freud et d'autres d'ailleurs lui refourguaient.

Ce que j'aimais chez lui c'est qu'il avait cette fureur de guérir, il était thérapeute, là où freud était avant tout théoricien, et son manque quant à sa propre analyse a je pense fait qu'il n'aimait pas incarner "la mère" en thérapie, à cause de ce refus du féminin. Il incarnait toujours la figure du père, il défendait son oeuvre, la psychanalyse comme son fils, et il s'est brouillé avec de nombreux autres analystes n'ayant pas les mêmes vues que lui.

Après y'a tout un tas de livre intéressant, les livres de nasio sont intéressants car il arrive à rendre intéressant différents concepts et les rendre intellegible, comme la compulsion de répétition, cet au delà du principe de plaisir, le trauma cherche à remonter au conscient, mais la conscience l'en empêche ce qui cause les symptômes. Le trauma, ce défaut de symbolisation, va chercher à réapparaitre dans le réel, résultat pour lequel certaines personnes reviennent sans cesse vers leur bourreau, en particulier ces femmes battues, c'est leur inconscient qui "'jouit" de la répétition. Cette énigme du masochisme posait beaucoup de problème avec cette dualité du principe plaisir/ déplaisir, c'est qu'il y'avait autre chose pour expliquer le masochisme, c'est cette compulsion à la répétition. Et ferenczi traitait justement de ce sentiment de culpabilité qui nuisait à la thérapie, sentiment de culpabilité provoquant le masochisme moral et qu'il faut dépasser.

La notion de trauma, de répétition, de sentiment de culpabilité, de masochisme, tout s'imbrique et a un lien. Et pour le bouquin que je lis actuellement, ça n'apporte pas de choses quant à la nature humaine, mais sur les orientations quant au transfert avec ces cas dit difficiles, ça parle également du trauma, du clivage du moi, le moi pour éviter l'angoisse causé par le trauma peut se cliver ou créer des symptômes divers, psychosomatiques ou autres. Il reprend certaines idées de winnicott quant à cette crainte de l'effondrement, le patient peut potentiellement craindre quelque chose qui va se passer, alors que ce quelque chose s'est déjà passé, en réalité l'effondrement a déjà eu lieu, et l'individu lutte contre l'angoisse face au trauma, il peut alors au lieu d'user de la symbolisation, user de l'agir, ce qui ne se dit pas se retransmet dans l'action. Les dispositions pour cette structure dont usent certains patients seront du coup différentes, la disposition divan/fauteuil sera proscrite pour éviter l'angoisse et pour aider à ce travail de symbolisation. Comme winnicott disait, le regard de l'analyste fonctionne comme celui de la mère, comme un miroir, et les interprétations "sauvages" doivent être évitées pour ne pas augmenter les résistances. C'est comme si on mettait le miroir tout doucement à chaque séance pour que l'analysant se reconnaisse peu à peu afin de remettre en scène la scène relative au fantasme lié à l'enfance. Enfin bref je m'égare :(

Mais je trouve ça dommage de nier l'apport de certaines théories, qui sont pourtant en réalité en partie utilisée dans les "vraies sciences" selon certains, même en psychiatrie, les notions de projection, d'introjection, de trauma, de transfert, de clivage du moi, des perversions, du sentiment de culpabilité, ou même dans la vie de tous les jours pour les lapsus, c'est rentré dans le domaine courant, on y fait même plus attention. Ce qui choque en psychanalyse c'est avant tout le sexuel, l'oedipe est mal compris, c'est pas "mdr je veux mettre le zizi dans maman", de même que la castration va au delà de la crainte de la perte du pénis.

Ce que faisait déjà en quelque sorte l'hystérique, un désir qui demandait à être révélé et qui était réactualisé par le symptôme hystérique, dans cette théâtralisation

Sinon en gros les bouquins qui m'ont aidé à la compréhension du masochisme, je dirais, le malaise dans la culture et le livre "du masochisme" de freud, les réflexions sur le masochisme de ferenczi, les bouquins relatifs au deuil, deuil et mélancolie de freud ou deuil et dépression de klein. Et quelques bouquins sur la question de la sexualité féminine, qu'elle n'est aucunement lié au masochisme. Ca c'est la représentation qu'a l'enfant de l'acte sexuel, d'un acte sadique de l'homme, envers la femme, elle masochiste.

Ce que font certains hommes, c'est qu'ils transposent leurs affects sur la femme, donc pour eux c'est horrible de "subir" le coït, de subir l'accouplement comme dirait le président schreber pour qui lui par contre c'était le contraire, il trouvait ça fabuleux. C'est en dépassant ce refus du féminin, que l'on cesse de voir la femme comme un être masochiste. Ils ne comprennent pas que la femme puisse prendre plaisir lors du coït, d'ailleurs la petite fille exprime elle aussi un certain sadisme. Tout n'est pas binaire, l'homme et on le voit d'autant plus aujourd'hui, peut être atteint de masochisme moral voire féminin même si le mot est mal approprié. Y'a une certaine bisexualité psychique, et le masochisme n'est pas propre à un sexe, ni la soumission.

En réalité la femme ne subit pas, la femme qui se permet de lâcher prise, c'est celle qui a dépassé ce refus du féminin, et cette peur de la passivation, pas de la passivité, elle n'est pas passive. C'est celle qui accorde sa confiance à l'homme qu'elle désire, mais l'homme également doit par contre lui dépasser cette peur de la castration, lié à l'oedipe, freud en parle dans le rabaissement le plus commun de la vie amoureuse, que là où l'homme aime il ne désire pas, pour dépasser ce clivage entre la mère et la putain, l'homme doit dépasser son oedipe, c'est parce qu'il associe son "objet" d'amour qu'est la femme qu'il aime, qu'à terme il peut ne plus la désirer. Raison pour laquelle on voit particulièrement chez les musulmans ce phénomène, à insulter les femmes, mais à se prosterner devant leur mère, ils rejouent ensuite la scène oedipienne en faisant venir une femme du bled qui après avoir "tringler" des meufs en les traitant de salopes, vont traiter cette femme qui sera voilée comme leur mère, femme qui va potentiellement devenir frigide.

Et chez l'homme également il y'a cette peur de la passivation, chez les deux sexes, ce qui est refoulé, c'est toujours le féminin. La passivation c'est comme l'enfant, l'enfant doit se laisser faire par la mère, par ses soins prodigués, si cette peur n'est pas dépassé elle peut être la cause de la frigidité chez la femme, de l'impuissance chez l'homme.

C'est comme en thérapie pour la sexualité, c'est une question de lâcher prise, pas un lâcher prise du domaine de l'instinct animal qui se montre par la pensée biologisante, la sexualité humaine est déjà dénaturée, par la langue, par la culture, et elle est guidé par un désir, le fantasme étant un accomplissement de désir.

L'homme n'est pas un animal dirigé par un instinct, mais par un désir, mais derrière chaque rapport sexuel, il y'a toujours un désir inconscient d'enfant. La femme dans sa tête, au niveau inconscient le message qui tourne c'est "donne moi un enfant", elle ne veut aucunement se faire défoncer contre un mur. Je parle pour la femme ayant dépassé le fantasme de viol, d'effraction que j'ai expliqué. C'est comme la petite fille dans les contes, comme la belle au boit dormant, ce fantasme de viol, c'est ça, c'est le désir d'être comprise, sans rien faire, de trouver le prince charmant en étant littéralement passive.

Excellent, merci de cette réponse, c'est enregistré, je vais me procurer ces bouquins et méditer cette perspective.

Ce que tu décris sur la passivation est super, perso dans la sexualité j'essaie toujours de faire s'enchaîner les 2 rôles, dominant et dominé, et d'insérer le masochisme modérément comme un plaisir.

Pour être bon il faut que ça saigne, pour elle comme pour moi. Mais surtout pour moi, je me retrouve avec des fresques faites aux ongles sur le dos.

Il faut que j'approfondisse mais tu tiens quelque chose, tu n'as pas écrit tout ça pour rien, merci beaucoup. Du reste, je suis content que tu aies pu canaliser l'envie de partage qui se ressentait dans tout le débat. Bonne soirée à toi

Le 04 août 2022 à 19:55:06 :

Le 04 août 2022 à 19:53:50 :

Le 04 août 2022 à 19:52:10 :
Oreiller sous les fesses de la meuf :ok:

De rien :ok:

Nan mais je sais

La question c'est pourquoi elles, elles ont pas l'air au courant ?

J'ai jamais vu une meuf au moment de la première baise, avoir la présence d'esprit de se mettre elle même un cousin sous le cul pour le cunni

bah c'est quoi la meilleure position du coup ?

Debout en la portant à bout de bras

Le 04 août 2022 à 20:07:34 :

Le 04 août 2022 à 19:58:56 :

Le 04 août 2022 à 19:52:41 :
Allonge toi sur le dos et fait un 69, t'es bête ou ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496583962-risisingecigarette.png

Beaucoup de meufs n'aiment pas le 69

Même quand tu leur dis qu'elles sont pas obligées de te sucer en même temps, elles aiment pas

Moi j'aime bien le 69 sur le côté, mais pareil beaucoup de meufs n'aiment pas

Surtout la première fois avec un nouveau mec

C'est quoi qui les dérange ? Je suis tombé sur une meuf l'autre jour qui voulait pas alors qu'elle était super chaude, j'étais étonné :(

Parce qu'elles complexent... Elles ne savent ce que tu vois et ce que tu vas faire à leur trou de ball ou vagin.
Et puis elles doivent se taper ta bite poilu (/cuisses poilues) et puante en pleine face. C'est pas excitant pour elle.

Données du topic

Auteur
scuseme
Date de création
4 août 2022 à 19:50:41
Date de suppression
9 août 2022 à 10:55:00
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