[SONDAGE] Macron : "L'AVORTEMENT est un DROIT FONDAMENTAL" en réponse aux USA
SuppriméLe 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
Le 25 juin 2022 à 02:23:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupese vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Le 25 juin 2022 à 02:34:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:31:21 :
Le 25 juin 2022 à 02:30:35 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Le problème c'est surtout que ces salopards veulent empoisonner leur peuple ou à minima tester sa soumission, en aucun cas ils ne font ça pour faire passer le bien commun avant l'individu.
Oui, d'ailleurs on va tout mourir du vaccin... dans deux semaines
T'as bien pris soin de ne pas parler du à minima. Si tu crois que ces dirigeants là se soucient du bien être de leur population t'es un naïf.
Pour le reste on en reparlera, leur Malthusianisme n'est même pas caché mais revendiqué, nous vivons sans doute le plus grand scandale de santé publique de tous les temps.
Oui oui, heureusement que la Russie et la Chine s'y opposent
Ah non, là-bas ça vaccine encore plus qu'ici
Un jour il faudra que vous vous rendiez compte que l'explication la meilleure à la vaccination Covid est celle donnée par les pouvoirs publics : une crise sanitaire résolvable via immunisation de la population
De quoi je me mêle ?
Le cours suprême rétabli un peu d'autonomie aux états et le monde entier chiale
Le 25 juin 2022 à 02:35:52 :
Le 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupes vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Mr phi est un des pires golems du youtube game avec tronche biaisée.
Le 25 juin 2022 à 02:32:30 :
Le 25 juin 2022 à 02:30:35 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Le problème c'est surtout que ces salopards veulent empoisonner leur peuple ou à minima tester sa soumission, en aucun cas ils ne font ça pour faire passer le bien commun avant l'individu.
Ça ne répond pas vraiment à la question.
Je dis qu'on pourrait discuter d'une vaccination générale qui a vraiment pour but de sauver la communauté en cas de virus vraiment hardcore. On en est loin. Donc faire passer le bien commun avant l'individu comme pour la question de l'avortement et de la dénatalité des pays occidentaux qui sont menacés d'extinction si on continue à privilégier l'individu et le mon corps mon choix
Le 25 juin 2022 à 02:35:52 :
Le 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
Le 25 juin 2022 à 02:23:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupes vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Merci l'ami, je l'ai déjà vu.
Malheureusement Monsieur Phi reprend l'argument du violoniste qui a déjà été mise à mal (pour ne pas dire debunk) plusieurs fois. Par contre l'argument reste pertinent pour le cas d'un viol je le reconnais.
Le 25 juin 2022 à 02:36:56 :
Le 25 juin 2022 à 02:34:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:31:21 :
Le 25 juin 2022 à 02:30:35 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Le problème c'est surtout que ces salopards veulent empoisonner leur peuple ou à minima tester sa soumission, en aucun cas ils ne font ça pour faire passer le bien commun avant l'individu.
Oui, d'ailleurs on va tout mourir du vaccin... dans deux semaines
T'as bien pris soin de ne pas parler du à minima. Si tu crois que ces dirigeants là se soucient du bien être de leur population t'es un naïf.
Pour le reste on en reparlera, leur Malthusianisme n'est même pas caché mais revendiqué, nous vivons sans doute le plus grand scandale de santé publique de tous les temps.Oui oui, heureusement que la Russie et la Chine s'y opposent
Ah non, là-bas ça vaccine encore plus qu'ici
Un jour il faudra que vous vous rendiez compte que l'explication la meilleure à la vaccination Covid est celle donnée par les pouvoirs publics : une crise sanitaire résolvable via immunisation de la population
Bon allez tu racontes absolument n'importe quoi abruti, tout le monde a déjà reconnu que les vaccins occidentaux ne marchent pas.
Le 25 juin 2022 à 02:37:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:35:52 :
Le 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
Le 25 juin 2022 à 02:23:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupes vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Mr phi est un des pires golems du youtube game avec tronche biaisée.
De deux choses l'une :
Ou bien tu postes une photo à minima d'une these en philo que t'as obtenue - ou un capes à la limite, ou bien tu disposes.
Le 25 juin 2022 à 02:37:31 :
Le 25 juin 2022 à 02:32:30 :
Le 25 juin 2022 à 02:30:35 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Le problème c'est surtout que ces salopards veulent empoisonner leur peuple ou à minima tester sa soumission, en aucun cas ils ne font ça pour faire passer le bien commun avant l'individu.
Ça ne répond pas vraiment à la question.
Je dis qu'on pourrait discuter d'une vaccination générale qui a vraiment pour but de sauver la communauté en cas de virus vraiment hardcore. On en est loin. Donc faire passe le bien commun avant l'individu comme pour la question de l'avortement et de la dénatalité des pays occidentaux qui sont menacés d'extinction si on continue à privilégier l'individu et le mon corps mon choix
Bordel, c'est fatiguant de devoir toujours expliquer les choses...
Le Covid = 3/4 semaines de réas, saturation rapide des hopitaux, décalage d'opérations + morts directs => 500k morts en France minimum si rien n'avait été fait.
Post avant "gneugneu mort 'avec' le Covid et pas 'du' Covid"
Le 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
Le 25 juin 2022 à 02:23:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
Je suis d'accord que si on voulait trancher strictement sur la question de présence ou non de vie (symbolique ou biologique selon la décision) ce serait une solution extrême d'un côté ou de l'autre qui devrait être prise.
Globalement ce que je voulais dire avec mon post initial c'est que je suis assez gêné par l'emprise de l'état sur le corps du citoyen, tout comme beaucoup étaient gênés pendant la campagne vaccinale. De ce point de vue là c'est plutôt le droit à l'avortement qui me semble le moins totalitaire.
Mais dès lors il y a aussi des considérations morales qui seront prises implicitement par l'état par rapport au corps du citoyen, mais sans emprise limitative.
Persoent : rien à battre de la vie humaine
-Pro-avortement
-Pro peine de mort
-Pro euthanasie/suicide assisté
-Pro eugénisme.
Je suis pas un religix qui sacralise tout
Le 25 juin 2022 à 02:38:13 :
Le 25 juin 2022 à 02:35:52 :
Le 25 juin 2022 à 02:33:29 :
Le 25 juin 2022 à 02:28:28 :
Le 25 juin 2022 à 02:23:27 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
Le 25 juin 2022 à 02:16:02 :
Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupes vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Merci l'ami, je l'ai déjà vu.
Malheureusement Monsieur Phi reprend l'argument du violoniste qui a déjà été mise à mal (pour ne pas dire debunk) plusieurs fois. Par contre l'argument reste pertinent pour le cas d'un viol je le reconnais.
J'aime cette vidéo pour le débat qui s'est tenu en dessous. T'as une bibliographie sur le sujet qui y est donnée, plutôt sympa.
Et ouais l'argument est éculé, mais j'aime la façon dont le sujet est posé à la base. Je le trouve respectueux.
Le 25 juin 2022 à 02:38:46 :
Le 25 juin 2022 à 02:36:56 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Le problème c'est surtout que ces salopards veulent empoisonner leur peuple ou à minima tester sa soumission, en aucun cas ils ne font ça pour faire passer le bien commun avant l'individu.
Oui, d'ailleurs on va tout mourir du vaccin... dans deux semaines
T'as bien pris soin de ne pas parler du à minima. Si tu crois que ces dirigeants là se soucient du bien être de leur population t'es un naïf.
Pour le reste on en reparlera, leur Malthusianisme n'est même pas caché mais revendiqué, nous vivons sans doute le plus grand scandale de santé publique de tous les temps.Oui oui, heureusement que la Russie et la Chine s'y opposent
Ah non, là-bas ça vaccine encore plus qu'ici
Un jour il faudra que vous vous rendiez compte que l'explication la meilleure à la vaccination Covid est celle donnée par les pouvoirs publics : une crise sanitaire résolvable via immunisation de la populationBon allez tu racontes absolument n'importe quoi abruti, tout le monde a déjà reconnu que les vaccins occidentaux ne marchent pas.
J'espère vraiment pour toi que tu es un troll payé par le Kremlin
C'est un aveu de défaite à tous les niveaux
Le 25 juin 2022 à 02:39:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:37:27 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Avant de reconnaître la souveraineté sur son propre corps, il faut déjà prouver sur quel base légitime et conceptuel le foetus n'aurait pas lui-même de droits sur son propre corps.
Mais comme on est incapable objectivement et conceptuellement de déterminer pourquoi le foetus n'aurait pas ce droit, c'est un débat creux et sans fin malheureusement...
Le 25 juin 2022 à 02:23:54 :
Le 25 juin 2022 à 02:22:15 :
Le 25 juin 2022 à 02:21:14 :
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Ce que je comprends pas dans votre positionnement général c'est en analogie avec votre position sur l'obligation vaccinale pendant le covid.Ici, on trouve anormal que l'état prive de manière systémique la population de sa liberté corporelle (pass vaccinale, campagne de vaccin) sous couvert de peut être fausses raisons morales (protéger autrui, permettre de relancer la dynamique économique). Et je suis assez d'accord avec ça, c'est en effet un tournant totalitaire de l'état.
Mais en quoi cette logique ne s'applique t elle pas à l'interdiction pure et simple de l'IVG par l'état ? Encore une fois le citoyen lambda est dépouillé de la liberté de son corps (droit d'avorter) par l'état pour des raisons morales subjectives, peut être fausses (quand est ce qu'il y a vie, quand est ce que l'on peut autoriser ou non cette opération).
Un khey pour l'explication le paradoxe ?
Et le droit du corps et le droit de vie de l'enfant à naitre, tu en fait quoi ?
Quand à savoir si c'est bien un être vivant, la réponse a déjà été donné par l'Université de Princeton, celle ou Einstein enseignait
https://www.princeton.edu/~prolife/articles/wdhbb.html#:~:text=As%20demonstrated%20above%2C%20the%20human,%2Ddays%2C%20or%203%20weeks.Tu ne réponds pas à ma question en réalité.
Si puisque selon ta position, l'enfant à naitre, qui est bien vivant, ne peut pas disposer de son corps. C'est toi qui est dans le paradoxe.
Le problème ici c'est de considérer un corps prévoyant sur l'autre. Cette considération peut difficilement être prise objectivement, pour peu qu'on veuille y voir deux corps. C'est une considération dans la considération.
Et là vous risquez d'amalgamer deux choses, la position de l'état gouvernant le corps du citoyen, et le citoyen gouvernant un autre corps dans son corps, peut être même qu'un seul corps. Ce sont deux choses différentes puisque l'une ouvre vers un risque totalitaire, l'autre non.
La seule façon de résoudre ce problème, c'est d'interdire purement et simplement l'avortement, et de considérer le foetus comme un être doté de droits.
Le soucis c'est que la société n'est pas encore prête à accepter ce paradigme, se basant sur des arguments purement utilitariste du style: "oui mais en faisant ça, les femmes prendront le risque de mourir dans des avortements clandestins".
Ou alors on se dirige vers la solution complètement opposé: autoriser l'avortement jusqu'à 9 mois.
Dans les deux cas, on se rapprochera d'une solution un peu plus objective par rapport aux juridictions actuelles dans le monde. En gardant évidemment cette part de subjectivité.
Bref, c'est une question extrêmement complexe qui mérite débat et pas conflit généralisé entre deux camps politique..
J'te conseille la vidéo de Monsieur Phi sur l'avortement, lui est pro avortement mais soupes vraiment les enjeux que le sujet recoupe. C'est cool.
Mr phi est un des pires golems du youtube game avec tronche biaisée.
De deux choses l'une :
Ou bien tu postes une photo à minima d'une these en philo que t'as obtenue - ou un capes à la limite, ou bien tu disposes.
Ferme là gontran le philo, si t'as eu ta thèse et que tu dis que c'est bien c'est qu'ils sont incompétents.
Toi je le sais déjà.
Données du topic
- Auteur
- ISSOUBOUGNADAIR
- Date de création
- 24 juin 2022 à 21:40:05
- Date de suppression
- 25 juin 2022 à 08:41:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
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