Nous sommes 2 filles et nous répondons en vocal.
SuppriméJ'entends des bruits étranges provenants de mon jardin depuis 1 heure
Je décide alors de sortir pour identifier l'origine de ces bruits
Je regarde partout autour de moi
Rien
Quand soudain quelquechose vient perturber ma vision
Une lumière verte dans le ciel
Des Ovnis ?
Pour établir un contact je cri Onche Onche en faisant de grands gestes avec mes bras
Ça fonctionne
La lumière se rapproche et s'intensifie
Mais ce n'est pas qu'une lumière,non c'est un Vaisseau
Le vaisseau attérit
Je recule,un pont se déroule
De la brume envahit mon jardin
Lorsqu'elle se dissipe,j'apperçois des ombres.
Ces ombres deviennent de plus en plus nettes et là
Devant moi se tenaient des créatures mi hommes-mi vache et je les reconnaît : Le premier a la tête de Brad Pitt,le second la tête de Morgan Freeman,le troisième celle de Nicolas Cage,le quatrième la tête de Christophe Lambert et le dernier celle de Chuck Norris
J'hésite à établir une conversation,parlent-ils notre language ?
Finalement,je leur demande un autographe
Aussitôt,ils saisissent chacun un de mes membres tandis que le dernier me met du scotch sur la bouche.
Mes cris sont étouffés mais néanmoins présents.
Je sens que c'est fini mais soudain je voit ma vie défiler.
Je parvins à me libérer de leur emprise et aussitôt je saute et je riposte avec un coup de pied rotatif 360 degrès qui a pour effet de les propulser dans les airs.
Ils reviennent à la charge mais je contre attaque avec une pluie de coup de pied.
Ils sont en pls et quand je m'apprête à donner le coup final,l'hymne russe transperse le silence et les 5 créatures mi-hommes mi-vaches lévitent puis s'envolent dans le ciel puis dans l'espace.
Mais je prend les commandes du vaisseau et poursuit le combat dans l'espace.
J'attaque avec des lasers tandis qu'ils attaquent avec des jets de lait.
Sauf qu'ils ne font pas le poids pour espérer vaincre un forumeur deter alors ils fusionnent mais c'est ainsi que je les détruits avec un ultralaser.
Fatality
Depuis je voyage dans l'Univers et actuellement je suis avec deux martiennes 10/10
Le plus mythique est le pavé MMA
Le 04 octobre 2021 à 22:21:05 :
Le 04 octobre 2021 à 22:20:46 :
Vous aimez la musique ?
Je découvre encore…
Le 04 octobre 2021 à 22:49:39 :
Les mecs en surpoids c'est rédhibitoire?
Le 04 octobre 2021 à 22:49:57 :
Votre père vous a violées vous aussi ?
nn
Hey ! Salut... J'espère que cette lettre te donnera autant de joie que j'en ai eu à l'écrire.
Pose toi 5 minutes sur ton lit, ne fais rien d'autre pendant la lecture de cette lettre. Ouaip, faisons comme ça. Maintenant j'aimerais que tu me dédies quelques minutes de ta vie parce que c'que j'vais te dire là est super important.
T'sais ça fait maintenant 6 mois que j'te connais et même si nous n'étions pas les collègues les plus proches du monde au début... Et bien... Comment dire... J'trouve qu'on s'entend plutôt bien actuellement, j'aime bien venir te parler même si on s'capte que très rapidement dans la journée.
J'voulais te dire que j'comprends ta méfiance envers les gars, des gros cons j'en ai connu malheureusement... Mais j'sais aussi que ça ne sert à rien de se comporter comme eux car ils n'apportent que du malheur à leur entourage... J'sais que je ne suis pas comme eux mais qu'il est difficile de te l'prouver alors je t'invite à me connaître plus en détail et tu verras qu'avec le temps j'peux être quelqu'un de bien, drôle et attentionné (veuillez rayer la mention inutile, j'rigole).
En tout cas j't'apprécie vachement pour ce que tu es, c'que tu apportes, tes discussions, ton rire, ton humour, j'ai envie d'te connaître ouais, j'ai envie d'en apprendre plus sur toi.
C'pas une déclaration d'amour je t'arrête tout de suite... Mais si tu m'donnes l'opportunité de te connaître et bien peut-être que je t'en ferai une dans les mois à v'nir pourquoi pas...
J'espère que tu répondras positivement à cette demande, t'sais t'es pas obligée d'écrire une lettre pour me répondre, de toute façon qui fait ça aujourd'hui... Écrire des lettres... J'déconne j'sais qu'on se reverra la semaine prochaine au travail alors j'espère qu'on aura l'occasion d'en discuter.
Mais ça c'est si j'ai les cojones de t'envoyer cette lettre parce que ouais je l'ai déjà écrite mais j'ai peur, peur de ta réaction, peur du refus, peur du malaise, peur de m'être trompé sur tes sentiments, sur mes sentiments. En tout cas si tu la lis sache que j'ai fait un gros effort pour toi et ça c'est bien la preuve que je t'apprécie, ouais.
Le 04 octobre 2021 à 22:49:10 :
Le 04 octobre 2021 à 22:48:03 :
Une question les filles, répondez sincèrement :C'est vous qui choisissez vos mecs ou ce sont vos mecs qui vous choisissent ?
DUPONT-MORETTI Marave le PATRON"
Maitre Dupont-Moretti est furieux...
Attablé dans un troquet du 11ème arrondissement, bondé de minables contribuables, il finit de lire l'article du jour lui étant consacré dans Le Parisien.
N'ayant point mangé depuis plus de quatre heures, son estomac réclame, et ajoute encore au ressentiment acide qui monte en lui : "DUPONT-MORETTI minimise l'insécurité galopante et parle de sentiment."
"Proto-fascistes!" marmonne le Maître dans sa barbe...
S'étant décidé, il jette une salière sur un des grouillots, requérant son attention.
"Vous! Voici ce que je prendrais! Et rapidement, jeune homme!"
Le Maître commande en quatrième vitesse:
"Une compotées de tomates au chèvre frais en entrée, un cabillaud rôti et deux pavés de veau en plat! Le tout accompagné d'une fricassée de pleurotes et de deux burgers maison! Filez maintenant, avant que je ne vous fasse manger la carte!"
Jean-Alain, impassible jusque-là, se tourne alors vers Le Maître... Fortement bâti, la cinquantaine bien tassée et vigoureuse, il cesse d'astiquer son comptoir. Patron de son affaire depuis sa retraite de l'armée, ses soixante heures hebdomadaires ne l'enjoignent pas à tolérer le client impoli, quelqu'il soit...
Bien que connaissant le Maître de réputation, de par les récits traumatisés de plusieurs collègues, il n'est pas d'un caractère impressionnable, ayant connu le coup de feu, depuis les casques bleus jusqu'à l'infanterie de Marine...
"Monsieur," dit-il posément, "ce n'est pas une manière de parler à mes employés."
-"Qu'est-ce donc?" demande Le Maître, "Voudriez vous voir le Fisc dès demain tenancier? Fermez donc le clapet à ordures fascisantes qui vous sert de trogne, et servez moi! La République ne saurait être plus longtemps bafouée!"
Il attrape la bouteille de Gigondas trônant devant lui, et la vide au goulot, tout en louffant une longue vapeur grasse, sourde de menace...
La bouteille terminée, une nouvelle flatulence, plus puissante encore, résonne à travers la pièce.
Jean-Alain sent une sueur froide le saisir, lorsque les premiers relents d'une effluve abominable, cadavérique, lui remontent aux narines...
Un couple, attablé sur la gauche du Maître, semble brusquement pris de haut le coeur, et se lève précipitamment, se ruant vers la sortie.
La jeune femme n'y parviendra pas, se pliant en deux et vomissant au sol, des larmes de douleur coulant de ses yeux horrifiés.
"Allons donc!", rugit Dupont-Moretti, le regard allumé, "Cette enfant aura sans doute contracté le Covid! Éloignez là, garçons! Et qu..."
Il se fige soudain, blafard, suant abondamment...
L'odeur putride se répand alors que Le Maître est pris de tremblements compulsifs.
Son regard se voile, et grimpant sur la banquette, il émet un grognement sourd, profond, semblant tout droit issu d'un Âge désormais oublié Des Hommes...
Jean-Alain sent ses yeux s'écarquiller, et il anticipe ce qui va suivre...
La Prophétie Maudite, qu'on lui à maintes fois racontée, s'accomplit sous ses yeux.
Le Maître ne se contrôle plus.
Hilare, commençant à déféquer sur le sol, Moretti hurle: "Le Voilà, Le Sentiment d'insécurité, Cloportes! Misérables Vendéens!"
Jean-Alain passe en Alerte Noire. Il faut sauver la Troupe.
"Putain de merde!", gueule-t-il, "Laissez la gamine à terre, planquez vous! Le Gros Moretti va exploser!"
La foule se rue vers les sorties, piétinant enfants et vieillards, alors que les baies vitrées commencent à trembler...
Le Maître déchaîne alors sa puissance. La robe relevée, un sourire démoniaque et inhumain lui vrillant la face, il projette des missiles de chiasse Républicaine à travers la salle.
Jean-Alain plonge derrière le comptoir, saisissant son vieux calibre 12 juxtaposé, alors qu'une serveuse est projetée et s'écrase sur la glace derrière lui.
Il charge fébrilement deux cartouches à sanglier, revoyant défiler l'assaut de son unité en Bosnie, Le Pont de Vrbanja, baïonnette au Famas...
Bondissant par-dessus le comptoir, il vise La Bête, et hurle à plein poumons: "Pour le 3ème RIMA!"
Il n'entend même pas la double déflagration, couverte par les aboiements démoniaques Du Maître, alors que La Mort s'abat sur lui...
Pavé #16
Par Doctor-DOOM
"Dupont-Moretti DEGLINGUE le Subway"
08h15.
La jeune Amelia se réveille au son de Virgin radio. Amelia a 19 ans et elle est heureuse. Car aujourd’hui c’est son dernier jour de travail au Subway. Elle y’a travaillé 2 ans, sans jours de congés pour mettre tout son maigre pécule à gauche afin de partir 1 an faire le tour du monde. Officiellement, c’est pour découvrir le monde, s’épanouir et améliorer son anglais pour son mémoire de master. C’est ce qu’elle a fait croire à ses parents en tout cas. Mais avec ses amies de la fac, Amelia compte bien se faire déglinguer la marmotte partout à travers le monde, se mettre minable dans les pires bidons villes d’Amérique du sud et gouter aux stupéfiants les plus illégaux d’Asie du sud-ouest. Amelia est souriante, chantonne en s’apprêtant, enfile son tablier et sa casquette au couleur bien connue de la chaine de fastfood verte et jaune…
15h07.
Le maitre Dupont-Moretti ouvre avec fracas le porche de l’hôtel de ville. A l’ouverture des portes, un appel d’air pestilentiel se fit sentir jusque dans la zone industrielle. Une odeur de fromage fermenté et de risotto aux oignons moisis, résultat des flatulences dû au repas quelque peu riche de la veille de l’Ogre de Maubeuge. En effet, le maitre était depuis 9h du matin en séance avec les élus du conseil pour préparer son plan d’attaque afin de bouter les fascistes bleu Marine hors des terres du grand nord.
« Foutus Napoléonistes, avec leurs histoires ils m’ont fait rater mon frichti de 9h30, mon casse-croute de 10h, mon apéritif de 11h…» 4 repas manqués, il fallait tous les rattraper, hors de questions de laisser une victoire à ces Gaulois de facho, il fallait marquer le coup avec un festin digne des plus grandes assemblées de la Cinquième.
Le problème c’est qu’il était 15 heures passée, ou trouver de quoi se revigorer à pareille heure ? Le maitre arpentait les rues, dirigé par ses seuls nasaux pour dénicher une odeur de quelconque victuaille, il transpirait, son ventre gargouillait, les gens étaient apeurés comme s’ils entendaient les trompettes de la venue de la fin du monde et de l’antéchrist. Tout en marmonnant et grognant dans sa barbe, le Maitre tombe nez à ventre avec une enseigne de junkfood américaine. « Subway…? » Le maitre marmonna. « Encore un bric-à-brac de ces républicains outre-Atlantique… » En effet, l’ogre n’eu pas une bonne expérience des fastfoods américains.
Circonspect mais décidé, il fallait bien satisfaire le biblique appétit de la Justice. Le maitre ouvrit les portes de la gargote avec la seule force de son ventre. Quelques personnes étaient en ligne, parfaitement ordonné par les distanciations sociales, attendant leurs tours pour se commander un déjeuner tardif. D’un seul coup de ventre ils se firent projeter de çà et là sur les murs du restaurant !
« Arrière, manants !! Il serait de bon ton que vous passiez devant la Cinquième qui doit ainsi se sustenter ! » Les quelques prolétaires qui voulurent se bastonner pour leur bon droit furent immédiatement contrait d’abandonner l’idée lorsqu’un ballonnement plein de flatuosité gronda en même temps que le froncement de sourcil du ministre.
Amelia était de service, derrière sa caisse, abasourdie par cette scène invraisemblable. Elle avait 2 ans d’expérience dans le métier et n’avait jamais vue pareille bambochade. Elle reprit tout de même ses esprits, il lui restait 4 heures de service pour enfin se livrer aux plaisirs du voyage de débauche et de libertinage qui l’attendait. Elle sourit au Croquemitaine de Maubeuge et prit la parole :
« Monsieur, bienvenue chez Subway, aujourd’hui nous vous propo… »
Dupont-Moretti l’interrompit : «Assez de salamalecs, nigaude !! Servez-moi votre sandwich de 60cm, avec TOUS les ingrédients dont vous disposez !! Je prendrai ensuite un dessert de chaque dans un grand saladier !!! Même pas d'alcool dans votre bourbier... Faites fissa, je m’attable sur cette banquette, je dois retourner au plus vite aux affaires de l’État ! »
15h32
Aussitôt dit, aussitôt fait, le maitre s’installa avec difficulté sur l’étroite banquette, et plusieurs gaz s’échappèrent de l’anus du ministre lorsqu’il réussit à déboutonner son pantalon. C’est qu’il fallait faire de la place pour l’odieuse tambouille qu’il s’apprêtait à engouffrer.
La fraiche Amelia arriva vers la table du Ministre avec un immense plateau, deux sandwichs de 30 cm chacun avec une montagne d’ingrédients. Il y’avait tout, des champignons, du poulet, du bacon, des oignons, du fromage… Le pain était à peine visible. La serveuse fut prié de partir avec un pet bien bruyant.
« Tu ne l’auras pas volé celui-là, sotte gargouille !» hurla le maitre à la jeune serveuse.
Le maitre engloutit le premier sandwich à une vitesse stupéfiante. 3 bouchées, 25 secondes. Il était ravi, mais avec autant d’ingrédient dans sa bouche, il ignorait ce qu’il mangeait. Les quelques courageux qui n’avait pas encore quitté l’établissement assistait à un déchainement de violence d’une gravité peu commune. L’homme et la nourriture, ils ne faisaient qu’un. Un spectacle d’horreur visuel, d’odeur, et surtout de son. A chaque bouchée, un pet.
La deuxième baguette enfournée, les prémices d’un odieux gargouillie se fit entendre. Eh oui, l’ogre venait de manger 1kg d’ingrédients non associables les uns aux autres, cumulé à son jeûne de 6 heures, une première pour le ministre, allait laisser place à une digestion dans la plus pure tradition républicaine.
Le goinfre voulu se lever de table pour aller se soulager, mais impossible !! En effet, si il avait eu du mal déjà à se glisser entre la table et la banquette lorsqu’il était à jeun, maintenant que sa panse était pleine, l’acte lui était interdit. Tant pis, il fallait évacuer d’une manière ou d’une autre, quitte à ce que ce soit directement là, en plein milieu du restaurant à la vue de tous. Le froc à peine baissé, le maitre éructa en même temps qu’il forçait pour faire descendre le fantastique étron qui s’apprêtait à voir le jour. La veine du front gonflée, chaque poil de son corps avait sa goutte de sueur, il fallait mettre bas à ce colombin. En pensant à la famille Lepéniste d’extrême droite dont il était l’ennemi numéro 1, un second souffle lui parvint, pour enfin, sortir l’immense mastard de son sillon inter-fessier gouvernementale. La chose faisait 120 cm de long et lorsqu’elle s’abattit sur le sol déjà humide de la sueur de l’ogre, un bruit encore jamais entendu sur cette planète se fit entendre. Plus tard, certains témoins encore lucides ont juré aux pompiers et aux secouristes que la titanesque déjection sortie de l’orifice du colosse, avait poussé un hurlement…
15h41
La jeune Amelia en larme et sous le choc du spectacle auquel elle a assisté, mis fin aux rêves de luxure et de dévoiement dont elle aspirait à travers le monde.
Merde. Ce jour-là, la Cinquième a gagné…
Le 04 octobre 2021 à 22:38:34 :
Le 04 octobre 2021 à 22:37:59 :
La demande de ban est partie. Le but du topic était de répondre en vocale, ça a duré 1 page et demi.La règle n'est pas respectée
+ vous répondez à 1 question sur 10.
Posez des questions pas gênantes aussi pff
tu a go lesbienne car les Hommes d'aujourd'hui ne font plus envie? à quel âge tu a su que tu était une gouine? tu te D+V sur du porno lesbien uniquement? c'est vrai que les filles 100% hétéro n'existent pas?
(tu peux ignorer les questions malaisantes, je les poses quand meme au cas ou tu oserais répondre)
Le 04 octobre 2021 à 22:21:04 :
en gros j'ai l'habitude d aller bosser a un certain etage de la BU, et cette meuf aussi visiblementsauf que je la trouve super jolie, du coup il y a genre une semaine j ai commencé a la regarder et j ai croisé son regard plusieurs fois, depuis elle me fait des sourires quand elle arrive ou quand elle part
j ai vu recemment qu elle etudiait dans un cours que j'ai deja passé, en fait elle est en L2 math et moi j'ai fini ma licence de math la je fais un M1 stat
tu t'en fou de l'âge, aborde la simplement c'est tout
Le 04 octobre 2021 à 22:49:22 :
Je voudrais avoir un avis sur la musique de mon pote https://youtu.be/yizz_nMOqN4
Pas mal ça aurait pu buzzer en 2002 mais là ce n'est plus ce rap là qui perce
Dupont-Moretti rencontre LARCHER au restaurant "
En ce jour de 3 Vendêmiaire an 2021, l'Ogre de Maubeuge était d'une humeur massacrante, à son habitude.
Après avoir vaqué toute la matinée aux affaires de l'État, le ventre du Maître grondait et résonnait sous les ors de la République dans son bureau de l'hôtel de Bourvallais. Il n'avait eu pour petit-déjeuner qu'une douzaine d'œufs à la coque, une quinzaine d'autres battus en neige, et d'une trentaine de derniers crus.
Toutes ces couvées provoquaient de terribles remugles dans l'estomac gargantuesque d'Éric Dupont-Moretti. Il tortillait sa masse répugnante sur un ravissant fauteuil Louis XVI dont chaque fibre hurlait de douleur. En réponse à un dossier qu'une jeune énarque lui tendait, il leva une fesse éléphantesque et adressa une vesse colossale au museau de l'attachée.
- Assez de ces abrutissantes corvées, vichyste ! La République ne peut travailler le ventre vide ! Il est déjà 10h30 et la Cinquième doit se repaître !
Il repoussa violemment la jeune femme qui, verte et chancelante, rendit tripes et boyaux sur le parquet en point de Hongrie avant d'aller déposer sa démission au Secrétaire Général.
Dupont-Moretti dévala les escaliers en envoyant bouler laquais et valets de justice en bas des marches. Un fumet méphitique collait au pétard du Divin Tyran, agressait les naseaux et piquait les yeux de toute l'administration grouillante du ministère. Un procureur de la République qui se trouvait là hurla qu'une odeur pareille était justifiée de condamnation en cassation. Le Ministre guère intimidé gratifia le magistrat d'un rot carillonnant, et poursuivit son effroyable périple vers "Gigots & Fils", laissant le pauvre homme livide aux portes de la mort.
Arrivé dans sa cantine sous les regards pétrifiés du personnel, le cœur de bœuf d'Acquitator bondit dans son ample poitrine.
Attablé à sa place habituelle (près des chiottes, Sa Majesté Républicaine pouvant à tout moment rouler vers le trône pour y déverser ses bienfaits), se trouvait un paquet informe, cravaté, auréolé de pouvoir. La ventouse du colosse aspirait des litres de Mouton-Cadet à même le goulot, dont les reliquats s'épanchaient en un saignement sordide sur trois doubles mentons mathématiquement imbriqués les uns aux autres. Des pattes gluantes crochetaient les bulots par poignées et les déversaient dans une embouchure gargantuesque, broyant les mollusques coques comprises.
A la place du Maître se trouvait Gérard Larcher.
La vision du Gaulliste provoqua la fureur du Garde des Sceaux, ainsi que la dilatation de son anneau pylorique. Le Ministre envoya valser une rombière et s'empara de son magret qu'il ingéra avec la graisse, puis la tornade Républicaine s'abattit sur toute la boustifaille à disposition, s'envoyant boudins, pâtés, mousse, foies de veaux, de morue, de chapon rôti, abats d'agneaux et couennes de porc ! La fine fleur des gastronomies régionales françaises disparaissent en chapelet dans le trou noir de l'Empereur. La légende raconte que face à cette vision apocalyptique, le chef triplement étoilé Michel Bouchardon se pendit à la fin du service avec une liasse de saucisses.
La nature étant bien faite et suivant son cours, ce qui s'engloutissait dans l'Avocat Pantagruélique était voué à s'en détacher. Bientôt des bruits d'égoûts tourbillonnants résonnèrent du Défenseur qui, pris de court, arracha son falzar dégoulinant de sueur et imposa son immonde postérieur palpitant à l'assemblée. Dupont-Moretti constata d'un œil amusé la panique du peuple face à la Gloire de la République. Ses naseaux inspirèrent l'équivalent de trois mètres cubes d'air vicié, puis du néant jaillit un éléphantesque colombin qui s'écroula en un grondement sur des plateaux de fruits de mer. Le Superbe Despote, suant, acheva son argumentaire si souvent répété d'une colonnade de pétarade démocrate tandis que le GIGN prenait place autour du bâtiment, alerté dans le cadre du plan vigipirate de la détonation d'explosifs.
Mais le Sénateur qui avait fini ses coquillages et les trois litres de crème fouettée avait l'habitude de la politique, de ses manigances, et des duels. S'essuyant la lippe coulante d'une manche, il monta sur la table et dégrafa son pantalon à pinces. La culasse du Président Luthérien fut imposée à la vue de tous, et le trou du fût de Gérard Larcher pétarada la plus élégante marseillaise en contre-ut qu'on put imaginer. Les clients survivants coururent prendre leur carte chez Les Républicains.
Ce jour-là Dupont-Moretti retourna défait au bureau. Le fascisme avait gagné.
Pavé #18
Par Culdemoretti
" La MAINTENANCE du fessier d’Éric Dupont-Moretti "
Les premières aurores se révèlent sur le camp champardennais de Mourmelon-le-Grand, hôte du 501ème Régiment de Chars de Combat, fleuron de la force blindée française. Les mécaniciens de l’armée de terre s’apprêtent à recevoir un engin fort particulier ce matin : il n’est autre que le garde des sceaux Éric Dupont-Moretti. Le maître a eu la mauvaise surprise de caler alors qu’il allait lâcher une coulure Républicaine sur un gnard dissident. Les mécanos, qui sont pourtant bien rôdés au char Leclerc, vont se confronter à l’intrication d’un derrière vigoureusement démocrate.
Un jeune mécano ôte énergiquement la bâche recouvrant le sacro-saint derrière du Maître, calibre de la République mais usé par une décennie d'incontinences rectales. La scène se découvrant sous leurs yeux est fort pitoyable.
« C’est tout l’ravalement qu’il faut r’faire là ! » apostrophe un mécano, épaté.
Les deux fessiers massifs couverts de croûtes vestiges de caprices constitutionnalistes extrémistes ayant macéré sous de titanesques pressions sont aussitôt retirées par une armée de mécaniciens et d’échafaudages, parfois au marteau-piqueur, parfois à l’excavatrice selon l’insolence de la façade. Bien qu’éreintante, la tâche de remise à neuf ne fait pourtant que de débuter.
Le mécano en chef, Basile, un colosse de deux mètres dix au C.V. bien garni par vingt-six années de service et un Kosovo, s’acquitte de la plus délicate des œuvres.
« La Grotte » tel est nommé l’intermédiaire des deux fessiers du Maître, doit être purgée pour retrouver toute sa superbe Républicaine et lutter contre les fins amoureux de la patrie.
Une puissante torche de vingt-mille lumens peine à éclairer « La Grotte » mais laisse entrevoir un colossal tas de merde obstruant la manufacture de flatuosité démocratiques. Aussitôt, l’exhalaison de la démocratie assaille les naseaux du pauvre Balise, dont le faciès larmoyant trahit sa fierté apparente, un rire discret saisit aussitôt ses collègues.
Malgré cette scène peu enviable, il se remémore les exploits de ses frères d’armes à Vrbanja, Bir Hakeim, Stonne, et pénètre dans la cavité, gagné d’un rare courage grâce à la remembrance de brillantes traditions militaires perpétuées au fil des siècles.
Après une pénible progression d’une trentaine de mètres à travers un sphincter grondant d’hostilité, Basile constate que l’agrégat obstruant la cavité s’avère être en fait bien plus : c’est tout le filtre rectal qui doit être changé, et après une minutieuse inspection, une mauvaise surprise se révèle bien vite. Un acte de sabotage a été perpétré par un infâme plaisantin fasciste, qui a sciemment obstrué le filtre, interdisant tout écoulement normal de l’effluve antifasciste.
La décision est promptement prise. Plusieurs forures sont excavées sur le filtre encrassé afin d’y abriter des explosifs. Ceux utilisés en temps normal pour corriger une roche excessivement coriace. La détonation fait émettre un extraordinaire hurlement de Kraken au Maître, beuglant toute son aversion envers le parti d’un bleu marine fascisant et tournant sa trogne au vermeil soviétique en dévoilant une cascade buccale fort peu ragoûtante.
Les minutes s’écoulant, le flambant-neuf filtre Républicain est aussitôt installé. De son côté, Basile, éreinté par les péripéties, clos les événements en installant un rectum flambant neuf, forgé au sein des températures les plus extrêmes et vissé fermement aux parois, doublé d’une arche blindée résistante à toute hargne acerbe du Gardien du temple de la République.
Le Maître, enfin réarmé pour mener sa croisade Républicaine, s’évanouit dans la nature pour conquérir la Jérusalem fasciste en se mouvant à l’aide de puissantes flatuosités, tel un Mirage 2000, et tout content d’user de son nouveau derrière flambant-neuf.
Données du topic
- Auteur
- HappyRom4
- Date de création
- 4 octobre 2021 à 22:20:09
- Date de suppression
- 4 octobre 2021 à 23:09:39
- Supprimé par
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