SECRETS D'HISTOIRE : La Bete du GEVAUDAN était-elle un loup?

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

Si t'habitais dans la région tu devais bien te chier dessus ahi

Le 27 septembre 2021 à 21:25:59 MacronOEUF a écrit :

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

Si t'habitais dans la région tu devais bien te chier dessus ahi

Comme les ours en russie qui rentre dans les maisons

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

A 17h il fait nuit noire, et avec ta torche tu vois à 10m.

Le 27 septembre 2021 à 21:27:05 -Ashes- a écrit :

Le 27 septembre 2021 à 21:25:59 MacronOEUF a écrit :

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

Si t'habitais dans la région tu devais bien te chier dessus ahi

Comme les ours en russie qui rentre dans les maisons

ils sont adorables eux

Le 27 septembre 2021 à 21:25:59 :

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

Si t'habitais dans la région tu devais bien te chier dessus ahi

En vrai fallait déjà être fou pour sortir tout seul sans arme se promener en pleine campagne Avec les bandits, les bêtes sauvages etc
Sortir entre potes et armées d'épées au moins

Le 27 septembre 2021 à 21:27:46 Pucelineau a écrit :
Ayaaaa l'historienne en saourel

ambiance hipi ?

Le 27 septembre 2021 à 21:25:24 :
Vous imaginez l'ambiance à l'époque n'empêche ?

Horrible ayaa la neige, la nuit, les bruits de loup

Le 27 septembre 2021 à 19:45:43 :

Le 27 septembre 2021 à 19:43:09 :
j'y crois pas du tout à la théorie de la hyène persoent, surtout que c'était plein de loups à l'époque elle se serait faite attaquée et tuée

hyene vs loup c'est la hyène qui gagne

déjà qu'une hyène vs lion c'est tendu pour le lion

les desco

Imaginez un peu l'angoisse de vivre dans le Gévaudan à l'époque de la Bête...

Tu es un berger sans prétention, à surveiller tes moutons, et dans ton dos, au-delà d'une herbe d'un vert tendre qui ondule sous la brise du soir, se dresse la ligne noire d'une forêt de sapins hauts et serrés, dont l'on ne distingue même pas la lisière... Il est temps de rentrer, l'air commence à se rafraîchir et il faut descendre le troupeau dans la vallée, seulement...

De l'orée de la forêt se distingue soudain une masse sombre et plus massive qu'un ours. La chose a quatre pattes et une échine cuirassée, tu ne vois pas ses yeux mais tu les devines cruels.

La Bête est là, elle te scrute, elle te jauge, elle se pourlèche ses horribles babines retroussées, elle est à des centaines de mètres. Mais tu sais que tu ne parviendras pas à lui échapper. Le village plus bas au-delà du ruisseau est trop loin, tu mourras avant que ne tombe la nuit... car c'est ce qui arrive à quiconque s'aventure trop à l'écart des pâturages. Mais tu n'avais pas le choix, la vie ne va pas se gagner toute seule

Alors tu recules pas à pas, dans l'idée illusoire que tes pas discrets te soustrairont au regard acéré de la Chose sur le seuil.

Tu oublies que la Bête a déjà fleuré ton doux fumet depuis des lieues déjà. Et pour cause, tu es la seule proie des environs. Du moins, la seule proie à la hauteur de Son fin palet accoutumé à la chair humaine

Alors tu cours, priant tous les Dieux que la Terre eut jamais porté, escomptant que tes moutons désormais brailleurs et terrifiés qui se dispersent autour de toi constituent une diversion qui puisse te sauver la vie.

Mais la Bête n'est pas née la dernière pluie, la viande du mouton certes tendres ne sera pas assez goûtue comparé au petit berger imprudent.

Tu n'as pas parcouru cinquante pas en courant à perdre haleine, avec l'énergie du désespoir, que déjà l'haleine hideuse de la Bête est sur tes talons. Elle a, de ses muscles puissants et déliés, franchi la vaste étendue d'herbes en une fraction de seconde. Trop facile...