[ALERTE] HALLOWEEN c'est bientôt venez on PARLE DE PARANORMAL
Il y a quelques mois je faisais souvent des paralysies du sommeil.
Une nuit j'en ai fais 3 dans la même nuit. C'était pas la première fois que ça m'arrivait donc je savais comment réagir : restez calme et attendre que ça passe.
La fameuse nuit, j'en fait une, j'arrive à en sortir et je retourne dormir un peu soulé car c'est jamais agréable.
Je m'endors, et là j'en refais une sauf que je me réveil pas dans mon appartement du CROUS mais chez mes parents, je me lève et je descends boire de l'eau puis je vais me recoucher et là j'en refais une mais je me réveil dans mon appartement.
J'ai fais un rêve dans un rêve et une paralysie dans un rêve. Ultra étrange, j'en ai pas refait depuis, Dieu merci.
Sinon la première que j'ai fais j'ai cru mourir, comme si un mec m'étranglait et je ne pouvais pas bouger. Je crois pas que j'avais de marque autour du coup comme certains kheys racontent.
Je souhaite ça à personne c'est horrible comme sensation.
A l'époque où ça m'arrivais je fumais beaucoup de shit je sais pas si ça à un lien car c'était pas tout les soirs non plus.
J'ai tout lu, le topic est en fav
Hop hop hop on vient poster ses histoires creepy
Le 01 octobre 2021 à 22:32:30 :
je vais me lire un s.king pour halloween et dracula jamais lu
Le Château des Carpates de Jules Vernes, excellent aussi
Le 29 septembre 2021 à 21:26:49 :
Quand j'étais en Cp ( sa date j'ai 26 ans aujourd'hui )J'etais dans ma chambre solo, ma chambre était toujours ouverte quand je dormais le soir cette dernière ( la porte ) donné sur un toilette..
Une nuit alors que je Dormais peinard...
Pour une raison obscur je me suis réveillé sans bouger de mon lit ( yeux ouvert ) la porte du chiotte c'est ouverte lentement ( toute les lumières etaient éteinte )...Et une ombre est sortie une IMMENSE ombre un homme grand avec un chapeau noir ... Paniqué j'ai fermé les yeux, je réouvert les yeux et il s'est approché il est entré dans ma chambre impossible de crié j'avais trop peur
Je me suis foutu sous la couette et... J'ai sentis les mains autour de mon cou et je me suis fais étrangler ( littéralement ) j'ai sentis mon souffle se coupé je me suis débattu ... Et j'ai fait le mort quelque seconde après plus rien.
J'etais en pleur dans mon lit...
Le matin ma mère me réveil et elle me demande ( je m'en souviendrai toute ma vie ) " pourquoi est ce que tu as des traces rouge autour du cou ? "
J'ai raconté l'histoire elle ne m'a jamais cru.Alors depuis ce jour je ferme TOUTE les portes, mais genre toute je suis dans mon plumard et le salon cuisine salle de bain ma chambre toute son fermé ( un automatisme a l'heure actuelle et ma copine me prend pas la tete avec elle a jamais demandé pourquoi d'ailleurs j'avais cette " manie " a tour fermé )i, j'ai vécu des années de peur et encore aujourd'hui en écrivant l'histoire j'en ai des larmes au yeux ( no fake )
Pour me rassurer je me suis dit qu'il s'agissait d'une paralysie du sommeil, sauf que j'ai bien bougé durant cette attaque et que j'ai eu des traces au cou chose qui n'arrive pas pendant une paralysie
Cette histoire elle est 100% no fake et je raconte la même depuis le Cp j'en ai encore a mon grand regret tout les souvenirs
Bizarre en effet
La paralysie du sommeil je l’ai fais 3 fois et oui tu ne peux absolument pas bougé tout en étant conscient et en ayant l’impression que quelqu’un approche de toi.
Et monte sur ton lit ou sur toi. ( ça dépend des fois)
Ça reste horrible à vivre surtout la première fois ou tu es en panique complète.
Mais ton truc c’est autre chose sans aucun doute ou alors je n’ai pas fais la dernière étape d’étranglement et j’espère jamais la faire
Bien le bonsoir à tous. Ou devrais-je dire... mauvaise soirée ?
L'histoire du jour, pure création de mon esprit, se nomme:
L'ombre autonome :
Léo n'était pas comme les autres garçons de son âge. Il était seul, très seul. Sa passion n'était autre que le glauque, le paranormal et tout ce qui s'y rapporte. Il lisait constamment des magazines sur les enquêtes criminelles en cours, ce qui lui apportait bien évidemment des ennuis.
Xavier, la brute de la classe, n'appréciait pas les gens différents et passait son temps à harceler Léo. Ça allait de l'humiliation à la violence physique.
Un soir, en se promenant sur un forum anonyme à la recherche d'anecdotes angoissantes, il vit un thread qui bousculera à jamais ça vie mais ça, il ne le savait pas encore...
Tenez éloigné vos bourreaux.
Tel était le titre dudit thread. Sans vraiment savoir pourquoi, Léo fit lentement glisser sa souris sur le lien et cliqua dessus.
Alors comme ça vous souhaitez tenir quelqu'un à l'écart de votre vie ? Vous êtes au bonne endroit alors. Petit disclaimer : N'ALLEZ PAS PLUS LOIN SI VOUS N'ÊTES PAS SÛR DE VOUS !
Léo arrêta la lecture du thread pour se demander si, oui ou non, ça valait le coup jusqu'à ce qu'un éclair de lucidité lui traverse l'esprit.
"J'ai beau adorer le paranormal, je n'y crois pas pour autant ! Qu'est-ce que je risque ?"
Il poursuivit alors sa lecture.
Cela ne devrait faire de mal à personne à la condition de ne pas aller plus loin que ce simple sortilège. Munissez-vous de ces ingrédients et suivez les étapes comme décrites ci-dessous. Ne tentez rien d'autre et ne prenez AUCUNE liberté.
Léo mis quelques minutes à réunir tout les ingrédients de la liste et à les mettre en place dans sa chambre mais il était fin prêt. Il commença alors le rituel.
Tout allait bien jusqu'à ce que la fenêtre s'ouvrit brusquement, probablement sous le coup d'une rafale de vent, se disait-il. Il se leva pour aller la refermer mais, du même coup, il renversa les cendres de feu de bois sur le tapis.
"Oh non ! Le rituel est fichu maintenant !"
Il regarda l'heure. 00h. Trop tard pour recommencer en somme.
Il nettoya donc le sol et se coucha.
Cette nuit il ne rêva pas mais senti un malaise, comme si quelque chose pesait sur son corps...
Le lendemain, il pris le bus pour aller en cours.
Il était déjà assis, tout seul, au fond du bus scolaire quand Xavier et ses chiens de garde firent leur entrée. Xavier s'approcha de Léo d'un air colérique et lui demanda de déguerpir car il voulait s'asseoir là. Léo s'exécuta mais en dépassant Xavier, une voix semblable à la sienne se mit à sortir toutes sortes d'insanités. Le brouhaha ambiant s'arrêta soudainement et tout le monde se retourna vers eux.
"T'as dit quoi là ?, beugla Xavier.
- R-rien je te jure ! C'était pas moi !, bredouilla Léo."
Xavier s'apprêtait à casser la figure de notre malheureux quand le chauffeur leur hurla de se calmer. La brute lança alors un regard perçant à Léo avant de le pousser et de s'asseoir à sa place.
Il ne se passa aucun incident jusqu'à la fin de la journée.
Le cours de sport s'était plutôt mal déroulé. Léo n'avait pas trouvé de coéquipiers et il se retrouva donc dans l'équipe de Xavier qui passa 2h à le harceler sans que le prof ne dise quoi que ce soit.
Il était seul dans les vestiaires et se mit alors à pester à voix basse.
"J'aimerais tellement lui faire payer !", dit-il en rangeant ses chaussures dans le casier.
Ça peut s'arranger. Je peux me débarrasser de lui si tu le souhaites.
Léo n'en revenait pas. Une voix s'était-elle vraiment élevée de la pénombre ou quelqu'un lui jouait-il un tour ?
Il opta pour la dernière option.
"C'est pas drôle ! Je sais pas qui est là mais tu ferait mieux de te montrer !"
Aucune réponse...
Léo pensa alors qu'il était juste fatigué et qu'il avait besoin d'une bonne nuit de sommeil.
Il emballa donc ses dernières affaires et sorti du vestiaire, puis de l'établissement. Malheureusement, Xavier l'attendait, seul.
"Eh toi ! Je vais te faire payer pour m'avoir tenu tête dans le bus et avoir pourri mon équipe tout à l'heure !"
Il poussa alors Léo contre le mur qui se débattait comme un diable pour échapper à son emprise.
Soudain, une grimace traversa le visage de la brute.
Son poignet avait fait un 360 sur lui même. Sans aucune raison. Il recula d'un pas et c'est là que Léo vit ce qui était en train de se passer.
Sa propre ombre, détachée de son corps, réglant son compte à celle de Xavier et blessant ainsi son corps physique.
L'histoire ne s'arrêta pas là...
Léo, bouche bée face au spectacle qui se déroulait devant lui, vit avec horreur son ombre sortir un couteau de nul part et s'attaquer à Xavier qui s'écroula au sol.
Il était mort.
Léo s'enfuit, paniqué, mais la police ne tarda pas à le retrouver, un témoin l'ayant vu partir de la scène de crime.
Il tentera de s'expliquer pendant des mois mais sans que cela ne serve à quoique ce soit. Il est encore aujourd'hui interné à l'hôpital Santa Rosa.
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Voilà qui clos l'histoire du jour. À demain pour de nouvelles frayeurs et n'hésitez pas à me donner des conseils pour mes futurs récits.
Le 01 octobre 2021 à 02:43:07 :
Une histoire d'esprits à vous raconter (enfin c'est la seule explication que j'ai).Déjà faut savoir qu'avant cette expérience je ne croyais pas aux fantômes et je me disais juste que ce genre d'histoire paranormale (que je lisais ici notamment) c'était seulement des concours de circonstances et une mauvaise interprétation.
Sauf qu'il y a un an j'ai vécu un étrange concours de circonstances également.
J'étais dans une maison de vacance, une sortes de grosse cabane de bois et de pierre, que mes parents avaient loués, isolée dans une forêt au beau milieux des Ardeches.
Cette vieille maison était magnifique, bien que rustique on pouvait profiter d'une magnifique vue en contre-plongée sur des collines de forêts.
Malheureusement pour mes parents, une urgence professionnelle a fait qu'ils ont dû abréger leur séjour du dernier WE, et on a convenu que je profiterais seul de ces dernières journées et que je ferais du stop pour rentrer lundi (y'avait une nationale pas loin et étant habitué à en faire y'avait aucun soucis).
Bref je profitais de ces journées seules pour faire des rando, me reposer tout simplement.
Le samedi après midi, étant fatigué d'une grosse rando je décide de faire bronzette. Je me couche donc sur la terrasse, sur un mur de pierre et en profite pour lire un petit peu. 3h s'écoulent jusqu'à ce que je remarque que je prends un gros coup de soleil, je décidé donc de me mettre à l'ombre et de m'étaler sur le torse et sur le visage un tube de Biafine.
Je rentre dans la salle de bain, commence à m'en étaler, et en me regardant dans le miroir, choc. Je suis littéralement paralysé parce que je vois. La trace d'une main blanche sur le bas de mon ventre, complètement définie par le coup de soleil. Comme si j'avais brûlé au soleil alors que quelqu'un avait la main sur moi.
Je ne comprends pas, est-ce ma main qui a fait cette trace ? Impossible, même si je voulais la position est inversée, les doigts sont extrêmement bien définis. Je commence à me poser toute sorte de questions et cherche à tour pris à trouver une excuse rationnelle à cela.
1h plus tard (où je raconte cette expérience à mes parents qui sont plutôt amusés par cette histoire d'ailleurs) je me rererarde dans la glace. La forme s'est énormément atténuée pour ne faire que deviner une forme vague qui pourrait faire penser à une main mais rien de plus. Je commence à me convaincre que j'ai été victime d'une hallucination où je ne sais quoi. Cela ne pouvait pas être une main dans ma tête. C'était trop gros.
Troublé par cette expérience, je préfère rester à l'intérieur de la maison et par mesure de sécurité m'enferme à double tour et ferme les volets (électrique, c'est important pour la suite).
Je cherche à m'occuper et vais dans la bibliothèque de la maison qui contient pleins de livres sur le développement personnel, sur le bouddhisme. Sans intérêt pour moi, je continue à regarder les livres et je tombe sur un livre "les témoins de l'invisible".
Étrange, cela me rappelle ce que je viens de vivre. Je n'y prête pas attention. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment j'ai eu un très mauvais pressentiment, comme une impression de tomber dans un piège, une sensation de chute, comme un malaise, mais couplé à une sensation très désagréable d'être enfermé et de ne plus rien contrôler. J'ai commencé à paniquer mais ai reprit le déçu en respirant trois quatre fois.
Puis je me suis dit que je cédais totalement à la panique et me suis forcé à tourner tout ça à la dérision. J'ai commencé à mettre de la musique joyeuse et à me motiver tout seul en me parlant à haute voix et en disant des trucs "mais tu crois aux fantômes maintenant" ? Puis j'ai regardé quelques vidéos sur YouTube.
Passé une heure à me détendre l'ambiance c'était clairement détendue. J'ai trouvé amusant de jouer la provoc en disant à voix haute "esprit tu n'arriveras pas à m'avoir" et là j'ai entendu un roulement derrière moi.
C'était le volet électrique qui venait de s'allumer. Le volet était entrain de s'ouvrir et moi heberlué je regardais la fenêtre se découvrir et m'attendait à voir un visage à la fenêtre. Mais rien, je ne distinguais rien, il faisait nuit noire. Je cherchais la télécommande des yeux et ma peur a atteint son paroxysme quand je l'ai vu à l'autre bout de la pièce là où je l'avais posée 2h plus tôt. Non je n'avais pas pu l'enclencher sans faire exprès...
C'était beaucoup trop pour moi, je me souviens d'avoir dit à voix haute "pardon pardon je crois en ton existence excuse moi". Puis j'ai appelé mes parents qui n'ont pas vraiment compris mais comprenant ma panique m'ont dit de partir si vraiment je me sentais en insécurité mais de pas me mettre en danger.
J'ai fait mes affaires en littéralement 5 minutes (oubliant mon enceinte au passage...) et je me suis cassé. Sauf que pour partir il fallait enclencher l'alarme de la maison. C'était juste un bouton de verrouillage, pas de code à mettre, ce que je faisais à chaque fois quand je partais en randonnée.
J'ai appuyé sur ce bouton, j'ai claqué la porte et l'ai fermé à clef, me suis dirigé vers un chemin qui menait à la nationale et là j'ai entendu l'alarme se déclancher. Je me suis retourné, la porte était pourtant fermé. J'ai pas cherché à comprendre et j'ai couru dans la forêt avec mon téléphone en guise de lampe torche. Je fuyais littéralement même si je ne savais pas ce que je fuyais.
Bref je suis vite arrivé sur cette route, j'ai d'ailleurs été très vite été pris en stop par un mec sympa qui allait à Saint-Étienne (je devais aller à Lyon). Je lui ai raconté mon histoire d'ailleurs car il se demandait ce que je foutais là à une heure pareille (il devait être 23h) et je lui ai tout raconté. On a plus beaucoup parlé mais je crois que je lui ai fait peur et qu'il m'a pris pour un fou tout le long du voyage puis j'ai pris un car et suis rentré.
Voilà c'était la seule et tres marquante expérience que j'ai vécu. J'ai pensé à un cambrioleur, une farce du propriétaire mais avec tous les éléments cela ne tient pas pour moi. Rien qu'écrire l'histoire une nouvelle fois m'a mis dans le mal
Ayii
Meilleure histoire que j'ai pu lire sur ce forum
C'est incroyable si nofake
Le 30 septembre 2021 à 23:36:48 :
(Desole, je suis en qwerty, il n'y a pas d'accent)J'ai une seule histoire a raconter. Un truc qui m'a plutot marque. Rien que d'y repenser je sens que mes yeux deviennent humide... Pourtant j'ai 30 ans et ca s'est passe quand j'en avais 10.
A cette epoque de mes 10 ans donc, j'etais partit en juillet dans une colonie Montagne, pres de Chamonix dans les Alpes.
La colo durait 3 semaines et diverses activites etaient proposees, comme par exemple escalade, canyoning, etc... ET, Mer de glace.
La mer de glace, quelque chose que j'aurais aime faire...
Et d'ailleurs, pour l'inscription aux activites, tout se deroulait le matin, avant de prendre le ptit dej', les animateurs sont avec leur fiches et nous demandent ce qu'on veut faire, en nous montrant les activites disponibles.Comme dit plus haut, j'avais tres envie de faire la mer de glace, et je vois qu'il reste une place de libre (Yatta )
Je demande donc a le faire, mais une nana juste derriere moi me demande si je peux lui laisser la place, puisqu'une de ses amies y va deja.
Bon, apres tout, je connaissais personne qui y allait, et il restait plus de 2 semaines, j'aurais une autre occasion.
Je lui cede donc ma place par galanterieA la place, je prends une activite randonnee en montagne. Restait plus que ca... Tant pis !
La radonnee commence vers 9h. On prend un bus en bas du centre (fallait marcher un bonne vingtaine de minute quand meme) qui nous ammene a une sorte de telepherique.
On embarque tous dans 2 telef different, j'entre dans le 2eme avec un animateur et 2 gosses.
D'un coup, pour aucune raison (tout comme c'est en train de se passer a partir du moment ou je commence ce nouveau paragraphe) les larmes se sont mises a couler. Je n'avais aucune raison, je ne savais pas pourquoi ca se passait, et ca ne voulait pas s'arreter.
Pour une raison que je ne connais pas non plus, je regarde ma montre. 10h12 exactement.Arrive en haut, les larmes s'arretent. A ce moment, je n'avais toujours pas compris ce qui s'etait passe..
La journee se deroule tranquillement, bien qu'aujourd'hui je n'ai plus aucun souvenir de cette randonne, je me rappelle pourtant les evenement qui ont suivit.
Retour au camp, on nous apprend que le groupe partit a la mer de glace est dans l'infirmerie. Personne ne comprend pourquoi. Personne, sauf les animateurs qui ne voulaient rien nous dire.
Neanmoins, cela leur etait impossible de nous cacher la verite : Durant l'activite mer de glace, il y a eu un accident.
Un rocher de plusieurs tonnes est tombe.
On nous raconte l'histoire:
Le rocher parcourait son chemin plutot lentement, laissant le temps a tout le monde de se mettre a l'abri. Tout le monde, sauf une personne ; la fille a qui j'ai cede ma place.
Probablement tetanisee, elle n'a pas bouge d'un centimetre, et ce qui a du arriver arriva. Elle fut completement ecrasee par les tonnes de roches.
Personne n'a rien pu faire. Lorsqu'ils ont remarque que la fille n'avait pas bouge, il etait trop tard. Ils etaient bien trop loin pour venir l'aider. Ils n'ont pu que voir la masse rocheuse tomber sur elle.Cet evenement s'est deroule des le debut de l'activite. Elle est decedee aux alentours de 10h.
Mais je crois connaitre l'heure exact. A mon avis, il etait 10h12.Que s'est-il vraiment passe pour que je me mette a pleurer tout seul ? Pourquoi ? Y a-t-il eu quelque chose qui a fait que j'ai pu ressentir ce drame ? Une sorte de communication avec l'ame de la fille et la mienne ?
N'etant pas croyant, je doute enormement, bien que c'est pour moi la seule explication qui me vient en tete.Sans mentir, en redigeant ce pave, 5 larmes me sont coules le long des joues. Aujourd'hui encore, 20 ans plus tard, en y repensant, les larmes viennent toutes seules.
Paix a son ame.Et je precise que c'est 100% nofake.
Tu l'avais déjà posté sur un topic du même genre, non
Le 01 octobre 2021 à 00:03:15 :
bon j'ai quelques histoires
je vais en raconter une je garde les autres pour aprèsla première c'était en forêt la nuit
je faisais du camping sauvage en sologne vers nançay
je pose ma tente sur un terrain privé mais bon je me dis pas grave je ne fais que passer et plus c'étais pas à coté d'un chemin ou quoi, j'étais pas facile à trouver
donc j'installe ma tente vite fais et j'accroche mon vélo à un arbre (je faisais Orléans bourges mais j'étais parti tard j'avais pas pu le faire en une journée)
Je fais pas de feu de camp rien, et je commence à m'endormir, mais bon que sur une oreille
en plus y'a beaucoup de boucan dans une forêt la nuit, entre les animaux qui bouge, qui gratte, qui grogne, ou même les brocard qui jappe, les oiseux de nuit qui font un boucan insupportable en criant, d'ailleurs ça peut ressembler au cris humain donc ça fait flipper si on connaît pas. Bref je dors mal.
AU milieu de la nuit j'ai envie de pisser et je sors de ma tente pour aller faire ma besogne. j'ouvre ma tente, il fait frais je suis en calbar. je fais quelques pas pour ne pas pisser au pied de ma tente et aller au pied d'un arbre. J'avais pas de lampe.
Je commence donc à pisser et j'entend du bruit au loin derrière moi. Je me dis ça dois être un animal, mais je tourne ma tête quand même. Je vois rien, je rappelle j'ai pas de torche du coup j'étais surtout en mode écoute, j'avais peur que ce soit une lait avec des petits, et j'avais peur qu'elle me charge pour défendre sa progéniture; j'écoutais du coup pour entendre si elle allait "casser les noisettes" ou si j'allais entendre des pas de course dans les feuilles. Mais j'entend juste des pas lents qui se rapproche petit à petit. Je termine donc de pisser tranquille surtout que les pas semblais lointain, en me disant que ce devait être un brocard qu'avait pas trop peur compte tenu de l'obscurité, je m'attendais à ce que l'animal s'enfuis quand j'aillais retourner à la tente. Mais pas du tout les pas continuais à se rapprocher. J'ai hésité à m'en battre les couilles et à retourner dormir, surtout que j'étais très fatigué. Mais j'ai eu un genre d'instinct, j'ai voulu m'assurer que ce soit bien un animal.
Je précise à ce stade de l'histoire que j'avais eu la présence d'esprit de prendre un opinel avec moi, ce qui explique mon comportement assuré, autrement j'en aurais peut être mené moins large.
Donc pour m'assurer que ce soit bien un animal et pour le faire déguerpir qu'il vienne pas m'enmerder pendant que je dort je me suis dis que j'allais crier un coup pour luit faire peur. Donc j'hurle un coup, et j'ai une grosse voix : (ici remplaçons le crie par un bougander) BOUGNADERRRR
Mais au lieu d'entendre un bruit de course qui s'éloigne dans les feuilles, un hurlement vraiment fort me répond. Je reste immobile tétanisé et surpris, ne comprenant pas ce que c'était, mais étant intimider par le crie. Je rappelle que j'étais dans le coltard je venais de me réveiller pour aller pisser. Il me traverse tout à coup l'esprit que ça pourrait être quelqu'un, et quelqu'un de déranger mentalement pour roder dans la forêt la nuit sans lumière et hurler de la sorte. Ah ce moment je me rappelle que j'ai dans la poche de mon sweat à capuche que j'avais sur moi un couteau. Je met la main dans la dite poche mais je ne sens rien
Je sens que je commence à paniquer, mais je me fais violence pour garder mon sang froid. Je ne prêtais plus attention à ce que j'entendais pendant que je réfléchissais mais je suis sortis de ma réflexion violement en entendant que les pas continuais à se rapprocher, et il s'étais accéléré, ça ressemblais plus à quelqu'un qui marchait vite.
Je précise que tout ça c'est passé en très rapidement (ma réflexion, l'accélération des pas) mais mes souvenirs sont très précis et détaillé sur ce moment, je me souviens de chaque quart de secondes.
Je ma prise de décision est quasi instantané, j'ouvre ma tente comme un fou furieux et je me met à tâter là ou il y avait mon pull à capuche, en espérant que ce qui gueule ne me tombe pas dessus pendant que je suis la tête la première dans ma tente. Je cherche quelques seconde qui me paraisse super longue et angoissante et je finis par retrouver mon opinel dans le coin de ma tente. Je commence enclencher le mouvement pour me redresser (j'étais à quatre pattes) et j'entend que les pas ce mettent à courir. Je me relève en un quart de seconde et je vois une espèce de silhouette sombre à une dizaine de mettre en pleine course qui me fonce dessus. j'ai une espèce de seconde chape de sang froid, au lieu de paniquer je reste super calme j'ai l'esprit super clair, instinctivement je me dis que je vais esquiver sa charge sautant vers ma tente juste avant le contact puis le piquer un peu avec ma lame voir le planter si il le faut. J'ouvre simplement mon opinel et je fais un pas vif pour m'éloigner de ma tente.
A partir de là faut savoir que je suis un colosse d'1m90 pour 110 kilos, que je fais du judo depuis ma plus tendre enfance et que j'ai renforcer ça avec du rugby puis de la lutte à mon adolescence.
Donc il faisait sombre, je voyais pas bien donc j'ai mal anticipé le contact, au moment d'inversé mon mouvement et de faire un crochet vers ma tente pour esquiver sa charge j'ai sentis que mon pied gauche commençait à déraper, et en plus j'avais mal anticipé le contact et il me rentre dedans. Il ne me frappe pas ou quoi juste il me rentre dedans. Je suis projeter en arrière et il me tombe dessus. Quand il m'as chargé il avait fait un mouvement circulaire avec son bras droit comme pour donné un crochet sauf que il ne m'as pas frappé, mais il se retrouve avec son bras droit derrière mon torse. Par réflexe je coince son bras contre mes cotés avec mon bras gauche et je le plante en visant la fesse. Je lui enfonce un bon 8 cm de lame en acier inoxydable dans le cul ou le haut de la cuisse je sais pas trop j'ai pas bien vu. Il hurle sur le coup et il a un mouvement réflexe : il essaye de s'en aller, mais je le coince toujours au niveau du bras droit. Il tire une seconde fois mais c'était pas un mouvement réflexe et j'en profite pour placer mon pied droit contre son torse et pousser fort en relâchant l'emprise sur son bras droit. Ca le projette en arrière loin et je me souviens même que je l'ai entendu retombé ça avait fait un sale bruit. Je me relève et lui aussi mais ça se voyais qu'il avait mal c'était pas énergique, je ne me précipite pas, j'ai toujours mon couteau à la main. Il reste sans bouger pendant un bon 2-3 seconde ou on se regarde dans le blanc des yeux (façon de parler on ne se voyait pas il faisait noir) et d'un seul coup il se retourne et se met à tracer de par là ou il est venu. Je reste immobile, un peu surpris et surtout soulagé que ce soit fini. Je reste quand même alerte pendant un bon 20 secondes pour être sur qu'il en revienne pas mais j'entend les bruit de pas qui s'éloigne au départ vite : il courrait, et ensuite ça a ralentit quand il a du se rendre compte que ça ne le poursuivait pas.
J'ai attendu que je n'entende plus du tout ses bruits de pas, je me suis habillé complètement, j'ai défait ma tente et je l'ai plié à l'arrache et j'ai pris mon vélo et je me suis cassé le plus vite possible. Et en pliant ma tente j'ai trouvé un cran d'arrêt déplié par terre
J'ai fait la distance Nançay Bourges de nuit sans lumières via la nationale, y'avait les voitures qui me frôlait c'était super dangereux.
Bordel, jusqu'à la fin je m'attendais à une chute du style "c'était un animal" ou "c'était le fils du propriétaire, on a discuté il était sympa"
Y a vraiment des gens qui rôdent la nuit dans la forêt pour détrousser les voyageurs ?
Halloween a longtemps été ma fête préférée. Pourtant, chaque année à l’approche du 31 Octobre, je m’enferme chez moi et ne sors que le lendemain quand le soleil est déjà haut dans le ciel.
L’histoire que je veux raconter s’est déroulée en 2004 dans une ville du Sud de la France. J’avais 13 ans et je menais une vie des plus banales, sans rien de notable sinon mon adoration pour cette fête d’Halloween. Mes préparatifs pour l’événement se faisaient toujours au moins 15 jours à l’avance. Une année j’étais un vampire, la suivante je devenais un fantôme et celle d’après je me maquillais en zombie… J’avais pour idée qu’un déguisement d’Halloween devait être effrayant au possible et les filles déguisées en fée clochette ou les garçons portant un ensemble de gendarme avaient le don de m’énerver au plus haut point.
Cette année-là, j’avais reçu un coup de téléphone de la part de Samuel, un ami à moi, qui voulait me parler d’un endroit qu’il avait repéré derrière le petit bois qui séparait le village de la grande route nationale. Il m’avait dit qu’on pourrait y camper après la récolte de bonbons pour y passer la nuit. Je lui ai répondu que ça me paraissait être une bonne idée et qu’il fallait que je demande la permission à ma mère. Il a dit qu’il allait téléphoner aux autres garçons de la bande pour leur dire de faire pareil puis il a raccroché.
Ma mère n’a même pas hésité quand je lui ai annoncé que j’allais camper avec mes amis. C’était une époque et un village assez calme où la rubrique des faits divers du journal local n’était agrémentée que de petites histoires, comme celle d’un chat écrasé ou encore celle d’un arbre tombé sur la serre du vieux Roger.
C’est au retour de mon dernier jour d’école que j’ai été acheter mon déguisement. Ma mère m’a accompagné au centre commercial dans un magasin consacré aux fêtes et aux événements. Je trouvais amusant de voir que le rayon Halloween était adjacent à celui des événements religieux. Le déguisement de moine fou contrastait avec les habits immaculés de communiant.
Un masque a attiré mon regard et m’a fait comprendre dès le premier coup d’œil que cette année, je me déguiserai en clown. Il souriait d’une manière malsaine avec des lèvres gercées qui avaient l’air gorgées de sang. Je m’en suis emparé et l’ai montré à ma mère qui a fait une grimace de dégoût en voyant la chose que je lui tendais. Pendant qu’elle me disait à quel point elle trouvait le masque répugnant, je cherchais le reste du costume parmi tous les déguisements alignés sur le rayon. J’ai fini par trouver une chemise décorée de lambeaux de tissus multicolores et tachée d’hémoglobine. J’ai pensé que je pourrais emprunter les souliers de mon père pour imiter les chaussures démesurées que portent habituellement les clowns.
Une quinzaine de jours plus tard, le 31 était enfin arrivé. Je suis sorti de chez moi à vingt heures et j’ai rejoint mes amis devant la supérette du quartier. Nous n’étions que quatre alors qu’au moins 10 garçons avaient été conviés. On a décidé de commencer notre tournée à l’arrivée d’un cinquième garçon.
Baptiste, qui était déguisé en sorcier, a frappé à la première porte de la rue. En remarquant le temps qui s’était écoulé avant de voir ouvrir une jeune femme avec un sceau rempli de sucettes, on a décidé de se séparer pour aller plus vite. En une heure, on avait rempli nos sacs de friandises et avait sonné à toutes les portes de la rue. Toute sauf une. Nous n’avions pas osé franchir la grande grille de la dernière maison sur la droite. Elle était semi-mitoyenne et sa façade gauche donnait sur un champ. Elle avait l’air en piteux état et pourtant, émanait d’elle une certaine aura en concordance avec la période d’Halloween. On s’est rassemblés devant en comparant nos sacs respectifs, puis on a décidé d’aller sonner tous ensemble à la porte de cette étrange maison.
La porte a fini par s’ouvrir et, à notre plus grand étonnement, c’est un homme d’âge moyen qui en a émergé. Il avait des petites lunettes et un crane garni de cheveux gris comme un PDG ou un scientifique. Il nous a salués avec un sourire chaleureux et a commencé à étudier nos masques du regard. Il nous a finalement tendu un saladier rempli de friandises qu’on ne pouvait pas identifier. C’était des petits cubes avec un emballage en papier blanc. On en a pris une poignée chacun, on l’a salué et on est repartis en prenant soin de fermer le portail derrière nous.
Il devait être 21h30 quand Samuel nous a annoncé qu’il allait nous mener à l’endroit qu’il avait repéré pour qu’on y monte nos tentes. On a pris la rue dans l’autre sens et on l’a suivie jusqu’à atteindre le bois qui marquait la fin de la zone habitée du village. Le reste n’était que champs et prairies.
On s’est enfoncés dans le bois, éclairés par nos lampes torches et en suivant Samuel qui marchait d’un pas assuré. Il s’est finalement arrêté devant un énorme rocher sous lequel on pouvait facilement se tenir debout sans en toucher la paroi. Pendant qu’on montait les tentes, je regardais autour de nous mais la profondeur des environs ne me permettait pas de voir quoi que ce soit d’autre que des arbres. On a essayé d’allumer un feu mais personne ne savait comment s’y prendre. On était éclairés que par la lumière de la lune et celle de nos lampes. Assis en cercle, on se racontait des histoires de fantômes à tour de rôle en mangeant ce qu'on avait récolté. Un des garçons a enfin posé la question dont tout le monde voulait connaître la réponse. Quel genre de friandises étaient ces cubes qu'on avait reçus à la dernière maison ? On en a tous ouvert un, mais ce qu’on a vu ne nous a pas donné envie de le mettre dans notre bouche. Ils avaient une horrible couleur mauve translucide et paraissaient être verts en leur centre. On a désigné au pierre-feuille-ciseaux celui qui serait le cobaye. C’est tombé sur Samuel qui a râlé avant de mettre le bonbon dans sa bouche. Il l’a sucé 5 secondes et nous a dit que ça n’avait pas vraiment de goût, puis, il a croqué dedans et a exorbité les yeux avant de recracher ce qu’il avait dans la bouche. Il a dit que c’était absolument infect et tout le monde a ri. On s’est débarrassés des bonbons en les lançant derrière le rocher.
La lune était maintenant cachée derrière les arbres et il faisait très sombre. On a décidé de rejoindre nos tentes. Je partageais la mienne avec Samuel qui portait toujours son masque de citrouille démoniaque. On n’a pas beaucoup parlé avant d’éteindre nos lampes. Je lui ai simplement demandé pourquoi il avait voulu venir ici. Il m’a répondu qu’il ne savait pas vraiment, qu’il aimait bien l’endroit. J’ai acquiescé silencieusement et je me suis retourné dans mon sac de couchage. Je me suis rapidement endormi.
J’ai été réveillé par des bruits provenant de l’extérieur de la tente. Je me suis relevé pour mieux entendre ; ça ressemblait à des craquements et des déglutitions. J’ai tourné la tête et j’ai remarqué que Samuel n’était pas dans la tente, sa couchette était vide. À genoux, toujours dans mon sac de couchage, j’ai commencé à ouvrir la tirette de la tente et j’ai vu Samuel, au pied d’un arbre qui me fixait derrière son masque. La citrouille esquissait un affreux sourire qui me donnait la chair de poule. Je suis sorti de la tente et me suis approché de lui en chuchotant son nom. Mes yeux ont commencé à s’habituer à l’obscurité et j’ai remarqué que Samuel n’était pas tourné vers moi mais qu’il avait retourné son masque à l’arrière de sa tête. Il avait l’air penché sur quelque chose et portait toute son attention dessus. Je l’ai appelé, cette fois un peu plus fort. Il s’est retourné et j’ai compris ce qu’il se passait.
Il tenait dans sa main un lapin ou un lièvre complètement éventré. Son visage était presque intégralement rouge, coloré du sang du pauvre animal. Il m’a regardé dans les yeux et m’a adressé un petit sourire avant de porter le lièvre à sa bouche et de replonger ses dents dedans en aspirant ce qu’il pouvait avec d’horribles bruits.
Je me suis reculé précipitamment. Je ne comprenais pas son comportement. J’ai contourné le campement et me suis caché derrière des hautes herbes tout en observant Samuel qui ne faisait plus attention à moi.
Au bout d’un moment, il a jeté négligemment ce qui restait du lapin et a commencé à s’intéresser aux tentes où dormaient mes amis. Il s’est mis à avancer vers l’une d’entre elles, en marchant bizarrement, presque accroupi. Il a ouvert le voile de la tente et est rentré dedans. 10 secondes se sont écoulées avant que des hurlements ne me parviennent. Je voyais la tente faire de grands mouvements aux rythmes des cris de mes compagnons.
J’ai pris peur et me suis retourné sans même essayé de les aider. J’ai couru devant moi sans m’arrêter. J’ai trébuché plusieurs fois et je ne trouvais pas mon chemin. Je continuais d’entendre des cris au loin. J’ai alors décidé de garder une direction et d’avancer droit devant moi. La lune projetait les ombres des branchages sur mon passage. Chaque bruit m’effrayait et m’encourageait à avancer encore plus vite.
J’ai finalement aperçu une lumière qui semblait artificielle. C’était celle des lampadaires de la rue d’où j’étais venu. J’y ai débouché, essoufflé, puis j’ai encore couru jusqu’à ma maison et je suis rentré. Je commençais à me sentir plus rassuré mais j’ai directement réveillé mes parents pour les prévenir de ce qui était arrivé. Il fallait qu’ils appellent la police.
Mes vêtements étaient déchirés à causes des nombreuses chutes que j’avais faites. Ça a contribué à donner de la véracité à mes propos et mon père m’a demandé de situer l’endroit du campement tandis qu’il parlait à un agent. La police était sur les lieux dans la demi-heure qui a suivi.
Je n’ai jamais revu mes amis mais j’ai pu apprendre certaines choses de mes parents, et d’autres grâce aux rumeurs. Les garçons et les tentes avaient été retrouvés en lambeaux. Plusieurs d’entre eux étaient encore en vie quand on les a amenés en urgence à l’hôpital mais tous ont succombé suite à leurs blessures. Samuel avait les deux jambes broyées et gisait en bas du rocher. La police a pensé qu’il avait fait une chute depuis le haut de ce rocher.
Les bonbons mauves ont aussi été retrouvés et, après étude, les experts ont révélé que des cellules souches d’une pathologie inconnue étaient présentes dans le liquide vert. Ces souches avaient un comportement et une structure assez semblables à ceux du virus de la rage. Cette même pathologie a été trouvée dans le sang de Samuel suite à son autopsie.
J’ai été interrogé plusieurs fois au sujet de ces bonbons. J’ai parlé de la vieille maison et de l’homme qui l’habitait. La police a longuement investigué les lieux mais aucun laboratoire ni aucune trace du mystérieux homme n’ont été trouvés.
Comme je l’ai dit plus haut, Halloween a longtemps été ma fête préférée. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. J’abhorre les citrouilles et je les redoute encore plus quand elles sourient. L’idée que l’homme qui nous a donné ces bonbons puisse encore roder quelque-part me terrorise. Je ne supporte plus la fête et je n’ouvre jamais ma porte au soir du 31 Octobre. J’observe les enfants déguisés par ma fenêtre et je repense à cette nuit-là.
Jour 1
Aujourd'hui les choses ont commencé à devenir bizarres.
Avant d'en dire plus, j'ai besoin d'écrire un peu de ce qui a précédé. Il y a a peu près deux semaines, je suis revenu des vacances de la Toussaint. Durant la première semaine, mon ami Owen n'était pas venu en cours.
Il ne répondait pas à mes textos, ni à mes appels, et pour autant que je sache il n'était sur aucun réseau social. Pendant un moment, j'ai fais comme si de rien n'était, parce que beaucoup de familles qui étaient parties pour les vacances n'étaient pas encore revenues.
Pourtant, la semaine d'après, Owen était toujours absent. J'ai demandé à certain de mes amis s'ils savaient où Owen était parti pour les vacances, et personne ne pensait qu'il avait ne serait-ce que voyagé pendant ces vacances.
Owen et moi étions des commentateurs de jeux. On est sur internet, je suppose que je n'ai pas besoin de vous expliquer ce que c'est. On avait décidé de mettre les liens de nos chaînes YouTube dans la bio de nos comptes Xbox Live pour nous faire un peu de pub. La dernière fois qu'il s'était connecté, c'était deux jours avant la fin des vacances.
Ça voulait dire que Owen n'était parti nulle part pendant ces vacances. J'ai aussi remarqué que le lien dans sa bio avait changé pour un autre compte YouTube. La bio disait "www.youtube.com/user/threedrowned". Ne tenant plus à cause de ma curiosité, je suis allé voir sur le compte, et à ce moment là il y avait seulement trois vidéos de disponibles.
J'ai regardé la première qui était nommée "Wonderland"
La vidéo était étrange. Elle commençait en montrant des photos bizarres d'une pièce sombre, puis embrayait sur des extraits d'un vieux film en noir et blanc basé sur "Alice au pays des merveilles". La vidéo avait l'air corrompue à cause des couleurs qui changeaient parfois radicalement.
Le fond sonore était composé de ce qui semblait être des rires d'enfants et des chants joyeux. La vidéo s'arrêtait alors que l'écran affichait ce texte : "Je les guide jusqu'au pays des merveilles".
La deuxième vidéo, "le trou du lapin", était probablement la moins bizarre de toutes, ce qui n'est pas peu dire.
C'était filmé caméra à l'épaule. La personne marchait de jour autour d'une maison totalement délabrée. L'endroit était vraiment décrépit, et ressemblait à une ferme abandonnée. La personne qui filmait se dirigeait vers la porte, l'ouvrait, puis il y avait une coupure. Le dernier plan était sur une descente d'escalier. Si je me souviens bien, ce plan figurait aussi au début de la vidéo. Pour une raison que j'ignore, j'ai eu comme l'impression d'avoir déjà vu cette maison avant.
J'ai ensuite regardé la troisième vidéo, nommée "The First" (la première). La plus bizarre des trois à mon avis. Elle commençait sur une main gisant dans l'eau, avec un léger bruit blanc en fond. Après quelques secondes, le bruit s'intensifiait et un autre plan se lançait. C'était Owen, marchant dans les bois.
Ce qui était vraiment bizarre, c'était que celui qui le filmait était, comme qui dirait, très loin, caché dans les fourrés, comme si Owen était filmé à son insu. Après un nouveau cut, la vidéo reprenait avec un son encore plus fort. On voyait maintenant une personne assise avec ce qui ressemblait à... du plastique sur son visage. Très en arrière-plan, il y avait quelque chose que je n'étais pas capable de discerner. Je n'étais pas sûr de ce que c'était, ni même de si c'était humain ou non, mais je pouvais voir que ça bougeait. La vidéo s'arrêtait sur cette phrase : "De plus en plus curieux".
Je me demande si la personne qui filmait dans "The Rabbit Hole" était Owen, parce qu'il tenait une caméra dans la troisième vidéo. Peut-être qu'il se dirigeait vers la maison en filmant ? Je digresse, qui que Threedrowned puisse être, il sait où est Owen, et j'ai peur que quelque chose d'horrible soit arrivé à mon ami. Aujourd'hui ça fait deux jours que j'ai vu les vidéos sur YouTube.
Comme je l'ai dit plus tôt, les choses ont commencé à devenir étranges. Pendant toute cette journée, j'ai eu l'impression d'être suivi. Même chez moi, j'ai l'impression que quelqu'un m'observe. Je vois des choses du coin de l’œil, qui disparaissent quand j'essaie de les regarder en face. Je continuerai de mettre à jour s'il se passe encore des choses.
Jour 2
Je jure que j'ai vu quelque chose. J'ai dit avant que normalement je ne voyais ces choses que du coin de l’œil, et je pouvais encore m'accuser d'être juste parano à cause de tout ce bordel avec Threedrowned. Mais pas cette fois. J'ai vu quelque chose. Pendant moins d'une seconde peut-être, mais je l'ai vu, ça ne fait aucun doute.
Je sais que quelque chose me regarde. J'ai l'impression d'être un putain de malade en faisant ça, mais je dois commencer à filmer ce que je fais. C'est le seul moyen que j'ai de comprendre ce qui se passe.
Pour empirer les choses, je crois que je perds mes affaires. J'ai remarqué que mon exemplaire d'Alice au pays des merveilles était introuvable. Et hier, un de mes couteaux de cuisine semblait avoir disparu.
Jour 3
Threedrowned a ajouté une nouvelle vidéo aujourd'hui, titrée "Journey" (voyage). Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je connais l'endroit où ça a été filmé. C'est tourné dans les bois. Après un cut, la vidéo reprend dans la maison décrépite de "The Rabbit Hole". Pas grand-chose d'autre ne se passe dans la vidéo.
La caméra s'attarde sur certaines choses, puis coupe pendant un moment. Il n'y a pas grand chose d'intéressant dans la vidéo, cependant je pense que je sais pourquoi cette maison me semble familière. Je passais devant avant quand je rentrais chez moi, et son air sinistre m'avait marqué. J'ai l'intention de retrouver cette maison demain.
Tout ça est vraiment en train de me faire perdre pied ; j'ai du mal à dormir. Aujourd'hui en cours, il y avait quelqu'un dehors qui me regardait. Il avait l'air d'être en train de parler à quelqu'un d'autre, mais du coin de l’œil, je voyais bien qu'il me regardait. J'ai essayé plusieurs fois de le prendre sur le fait en me retournant rapidement, mais il était trop rapide. À chaque fois que je tournais la tête vers lui, il détournait le regard et continuait de parler à l'autre. Comme si de rien était.
J'ai jeté un œil à la vidéo de quand je me suis filmé, et je n'ai rien pu trouver, mais je suis certain de l'avoir vu aussi à ce moment-là. Qu'est ce qui m'arrive putain ?
Jour 4
Cet après-midi, j'ai décidé d'aller voir la maison visible sur les vidéos de Threedrowned. C'était une idée stupide. Mais encore une fois, j'ai supposé que c'était mieux que d'attendre dans ma maison sans savoir quoi faire. Les portes et les fenêtres de l'avant de la maison étaient condamnées avec des planches de bois, alors j'ai essayé d'aller voir vers la porte de derrière. Celle-ci était ouverte.
La plupart des pièces de la maison semblait inhabité. Il n'y avait rien qui avait l'air important à l'intérieur. Le garage était vide, comme la plupart des pièces de l'étage où j'étais, et il n'y avait pas d'étage supérieur.
J'étais prêt à partir, un peu déçu mais très soulagé, jusqu'à ce que j'entende les pleurs d'un enfant au loin. C'était comme s'ils venaient de sous le plancher. Je n'avais même pas réalisé qu'il y avait une cave avant d'entendre les pleurs, peut-être parce que je n'avais pas remarqué la porte menant au sous-sol. J'ai regardé autour de moi pour trouver quelque chose pour me défendre, juste par mesure de sécurité.
J'ai trouvé une planche de bois, ouvert la porte qui menait au sous-sol, et j'ai descendu les escaliers.
Les pleurs devenaient plus forts. Il faisait noir comme dans un four dans la cave ; je ne pouvais presque rien voir avec la lumière venant du haut des escaliers. La seule façon que j'avais de voir mon chemin était de regarder l'écran de ma caméra, vision nocturne activée.
La cave était extrêmement sale. Tout le sol était couvert de petites flaques que j'espérais être de l'eau. Des chaises cassées couvraient le sol. Il y avait du lierre qui poussait sur le mur du fond, et des poupées épinglées au mur, avec le lierre qui s'enroulait autour d'elles. Ce que j'ai trouvé le plus dérangeant, c'était la table au centre de la pièce. Elle était couverte de marques de griffures et des dents étaient éparpillées sur toute la surface.
Il y avait une porte sur le mur du fond. C'est de là que venaient les pleurs d'enfant. Heureusement que le lierre ne la recouvrait pas, ça aurait rendu les choses difficiles. Au moment précis où j'ai mis ma main sur la poignée de porte, l'enfant s'est arrêté de pleurer. Je n'ai pas vraiment réfléchi et j'ai ouvert la porte.
Ce n'était qu'un placard, avec un très vieux landau au centre. Le landau contenait un tas informe de couvertures et j'ai fouillé dedans, en essayant de trouver le bébé qui pleurait. Je n'ai rien trouvé hormis le livre que j'avais perdu plus tôt.
Quelque chose m'a alors attaqué par derrière. Je n'ai pas pu voir qui ni quoi, il faisait trop sombre.
Et je n'ai pas pu regarder à travers ma caméra, malgré tous mes efforts pour le faire. Après quelques secondes de lutte, j'ai réussi à lui asséner un coup avec la planche et j'ai profité de ce qu'il était sonné pour prendre la fuite.
J'ai essayé de courir pour remonter les escaliers mais c'était difficile de trouver où ils étaient : le temps avait l'air de s'être beaucoup assombri dehors. Le temps de sortir, je me suis aperçu en effet que la nuit était déjà tombée. Même si j'étais venu dans la maison tôt dans l'après-midi, d'une manière ou d'une autre, j'étais resté jusqu'à 21h sans même m'en apercevoir. Je savais pas si ce qui m'avait attaqué me suivait toujours, mais je n'ai pas regardé derrière moi. Pas avant d'être dans ma voiture et de démarrer.
Je viens de revoir ce que j'ai filmé tout à l'heure, pour prendre des notes sur tout ce que j'avais pu voir dans la maison. Ce n'est pas ce que j'ai trouvé qui est important, mais ce que je n'ai pas trouvé. Toute la partie dans la cave a disparu. Ça a l'air de couper à peu près au moment où j'ai commencé à entendre les pleurs, et c'est comme si j'avais l'air de vouloir partir quand ça coupe. Je ne me rappelle pas être allé vers la sortie à ce moment. Le reste de ce que j'ai filmé aujourd'hui (la cave, l'attaque, et moi rentrant à la maison) est complètement absent. Maintenant, je ne sais vraiment pas quoi penser. Est-ce que j'ai juste rêvé tout ce qui s'est passé dans la cave ?
Jour 5
Oubliez ce que j'ai dit à propos de "Journey". Je ne sais pas ce qui se passe. Je croyais avoir regardé la vidéo dans sa totalité, et j'étais sûr que rien ne venait après l'écran noir qui arrivait dans les dernières secondes. J'ai revu la vidéo aujourd'hui, et après une minute de cet écran noir, quelque chose d'autre arrive. La partie après la séquence en noir provient de ma caméra. Je le sais, parce que ces plans sur ma chambre (qui est au premier étage, ça me semble important) font partie de ce que j'ai filmé de moi-même depuis le jour 2. Je suis en train de dormir dans mon lit. Puis quelque chose apparaît derrière la fenêtre de ma chambre, doucement. Ça regarde à l'intérieur, puis ça repart en silence. Après quelques secondes de plus, la vidéo se termine.
J'ai peur. Je suis plus paranoïaque que jamais. Avant, je pensais qu'il y aurait une explication très simple à tout ce bazar. Que j'allais bientôt me réveiller et avoir un putain de fou rire en pensant à ce cauchemar. Mais non. C'est pas un rêve. Quoi que puisse être Threedrowned, ça a pris ces vidéos sur ma propre caméra. Ça sait où j'habite, et qui je suis. C'en est une preuve. Je sais pas ce qui est arrivé à mes autres vidéos, mais je pense que Threedrowned y est pour quelque chose.
J'ai pensé que j'en avais assez vu pour prévenir la police. J'avais mon téléphone, et j'étais prêt à passer mon appel, quand j'ai vu le couteau manquant sur la table de ma cuisine ; il était couvert de sang séché. Juste à côté, une note avait été déposée, tracée au crayon noir.
"Si j'étais toi, je ne le ferais pas, l'ami."
Jour 6
Ça a mis beaucoup de vidéos sur la chaîne aujourd'hui. Elles proviennent toutes de ma caméra. Je le vois dans les vidéos. ça me regarde. encore, encore, encore et ça continue. Je suis sur un manège. Il n'y a pas de fin. Je ne suis même plus capable de dormir. Je ne peux aller nulle part. Pourquoi je devrais ? Dans quel but ? Ça me regarde. Pas d’échappatoire. Je ne peux parler à personne, ça les attraperait aussi. Qu'est ce que ça attend de moi ? arrête ça maintenant. S'il te plaît, laisse moi juste seul. Est-ce que ça lui fait plaisir de me voir comme ça ? De me regarder me tordre de douleur ? Est-ce que ça lui plaît de me voir souffrir comme ça ? IL y a un corps Dans ma salle de bain. Je ne sais pas comment il est arrivéici. J4Aitrouvé son couteau perdu. était couvert de sang. par pitié dieu. pitié dis moi pourquoi mes mains son pleines de sang. Porquoi je ne suis pas au lit la journée. Je me rappelle. m&intenant je me rappelle avoir filmé ces 3vidéos. Non. Je ne l' ai pas fait. je nE sUis pas uN TuEuR. je na'p. je n ai tué persone je n ai tué persone je nai tué persone je n ai tué perons je nai tué persoe j nai tuép aerson je n ai tuepersone j ai. je suis perdu dans le pays des merveilles?
Jour 7
Je m'appelle Madeline. J'ai été au pays des merveilles. Il faisait trop sombre pour voir. Je suis comme cet homme. Ce qu'il a dit est intéressant. Ça nous oblige à réfléchir. Je pense qu'on a tous besoin de réfléchir de temps en temps. Et en le voyant comme ça, je me sens désolée pour lui. C'est un pauvre petit garçon maintenant. Perdu dans le pays des merveilles. Il souffre. Il veut que le sang sur ses mains disparaisse, mais ça ne veut pas partir. Il ne sait même pas comment ce sang est arrivé là. Bien sûr, il a l'air d'être un drôle de personnage, n'est-ce pas ? À tout le temps marcher et parler avec lui même. Ça me fait rire. Il ne les a pas remarqués. I l n'a rieen remarqu" mais il n 'y a parsone il n'ay prsonne pour l aider pas u nseule personne pour l aider pourquoiils dne l'aidnetn pa,ds
/// Jour 7:
Madeline est morte. Nous sommes tous morts. Ça a tué Madeline. Mais je suppose que je l'ai tuée, aussi. Ses beaux yeux vert clair me manquent. Ses beaux cheveux noirs. Aussi noirs et magnifiques qu'un ciel étoilé. Mon dieu, qu'elle était belle. En y repensant, en un regard j'aurais été stupéfié par sa beauté. J'aurais rêvé de passer ma vie avec cette magnifique femme. Elle est morte maintenant. Rien ne la fera revenir. Vous savez ce qui me manque le plus à propos de Madeline ? Son magnifique sourire. Je suis la poupée solitaire et pendue. Une autre traîne par terre. Où est la troisième ?
Je ne suis jamais sorti du pays des merveilles. Je me suis juste noyé. Maintenant, tout ce qu'il reste, c'est lui.
Jour 7:
https://youtu.be/tm9MDiniPi4
Au revoir.
Cette histoire est très récente. A vrai dire vous la raconter fait un peu partie du processus de deuil que je poursuis depuis que tout ça s'est passé.
Je ne me souviens pas avoir déjà rêvé de mes parents de toute ma vie.
Ceux-ci sont partis s'installer au Brésil en 2012, et reviennent parfois en France pour les vacances, et j'essaye d'avoir des nouvelles régulièrement au téléphone.
Une nuit je rêve de ma mère. Nous sommes tous les deux assis sur le sol, adossés à un reste de mur. Autour de nous du brouillard, et dans celui-ci des silhouettes de vestiges de bâtiments. Le ciel est gris, mais un gris lumineux, avec des nuages qui passent en nombre.
Ma mère me dit qu'elle est malade, et donne même le nom de la maladie, mais je ne le retiens pas à mon réveil.
Bref je continue ma vie tranquillement le lendemain, et les deux semaines qui suivent.
Deux semaines plus tard, mon père nous dit sur le groupe whatsapp de notre famille que notre mère est à l'hôpital depuis deux semaines (la nuit où j'ai rêvé d'elle en somme) et qu'il donnera des infos en fonction des avancées.
Une dizaine de jours plus tard il nous prévient que notre grand-mère (sa mère) est décédée il y a une heure.
Le soir, il nous dit que notre mère est transférée en réanimation. Deux heures plus tard, elle n'était plus là.
(Ironie du sort, ma mère et la mère de mon père ne se sont jamais entendues, à un tel point que ça avait créé beaucoup de tensions et que je n'avais plus revu mes grands-parents depuis 20 ans. Au final elles s'en vont le même jour...)
Je ne crois pas trop au paranormal à la base, mais dans mon état d'esprit actuel je ne peux pas m'empêcher de me dire que ma mère a essayé de me prévenir à travers mes rêves, et que c'est un lieu où passé, présent et futur se confondent.
Données du topic
- Auteur
- Mercedes6X6
- Date de création
- 29 septembre 2021 à 21:13:07
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