[ALERTE] HALLOWEEN c'est bientôt venez on PARLE DE PARANORMAL
Le 01 octobre 2021 à 01:46:32 :
https://www.youtube.com/watch?v=4duhvpXHzO0
J'ai jamais peur de ce genre de chose mais après avoir lu les 7 pages et le début de la vidéo, je t'avoue que je me chie dessus là.
Le 01 octobre 2021 à 01:54:07 :
Le 01 octobre 2021 à 01:46:32 :
https://www.youtube.com/watch?v=4duhvpXHzO0J'ai jamais peur de ce genre de chose mais après avoir lu les 7 pages et le début de la vidéo, je t'avoue que je me chie dessus là.
Pareil, toujours un risque que ce soit faux et c'est probablement le cas mais ça met dans l'ambiance
Super topic j'ai tout lus
je up
Une histoire d'esprits à vous raconter (enfin c'est la seule explication que j'ai).
Déjà faut savoir qu'avant cette expérience je ne croyais pas aux fantômes et je me disais juste que ce genre d'histoire paranormale (que je lisais ici notamment) c'était seulement des concours de circonstances et une mauvaise interprétation.
Sauf qu'il y a un an j'ai vécu un étrange concours de circonstances également.
J'étais dans une maison de vacance, une sortes de grosse cabane de bois et de pierre, que mes parents avaient loués, isolée dans une forêt au beau milieux des Ardeches.
Cette vieille maison était magnifique, bien que rustique on pouvait profiter d'une magnifique vue en contre-plongée sur des collines de forêts.
Malheureusement pour mes parents, une urgence professionnelle a fait qu'ils ont dû abréger leur séjour du dernier WE, et on a convenu que je profiterais seul de ces dernières journées et que je ferais du stop pour rentrer lundi (y'avait une nationale pas loin et étant habitué à en faire y'avait aucun soucis).
Bref je profitais de ces journées seules pour faire des rando, me reposer tout simplement.
Le samedi après midi, étant fatigué d'une grosse rando je décide de faire bronzette. Je me couche donc sur la terrasse, sur un mur de pierre et en profite pour lire un petit peu. 3h s'écoulent jusqu'à ce que je remarque que je prends un gros coup de soleil, je décidé donc de me mettre à l'ombre et de m'étaler sur le torse et sur le visage un tube de Biafine.
Je rentre dans la salle de bain, commence à m'en étaler, et en me regardant dans le miroir, choc. Je suis littéralement paralysé parce que je vois. La trace d'une main blanche sur le bas de mon ventre, complètement définie par le coup de soleil. Comme si j'avais brûlé au soleil alors que quelqu'un avait la main sur moi.
Je ne comprends pas, est-ce ma main qui a fait cette trace ? Impossible, même si je voulais la position est inversée, les doigts sont extrêmement bien définis. Je commence à me poser toute sorte de questions et cherche à tour pris à trouver une excuse rationnelle à cela.
1h plus tard (où je raconte cette expérience à mes parents qui sont plutôt amusés par cette histoire d'ailleurs) je me rererarde dans la glace. La forme s'est énormément atténuée pour ne faire que deviner une forme vague qui pourrait faire penser à une main mais rien de plus. Je commence à me convaincre que j'ai été victime d'une hallucination où je ne sais quoi. Cela ne pouvait pas être une main dans ma tête. C'était trop gros.
Troublé par cette expérience, je préfère rester à l'intérieur de la maison et par mesure de sécurité m'enferme à double tour et ferme les volets (électrique, c'est important pour la suite).
Je cherche à m'occuper et vais dans la bibliothèque de la maison qui contient pleins de livres sur le développement personnel, sur le bouddhisme. Sans intérêt pour moi, je continue à regarder les livres et je tombe sur un livre "les témoins de l'invisible".
Étrange, cela me rappelle ce que je viens de vivre. Je n'y prête pas attention. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment j'ai eu un très mauvais pressentiment, comme une impression de tomber dans un piège, une sensation de chute, comme un malaise, mais couplé à une sensation très désagréable d'être enfermé et de ne plus rien contrôler. J'ai commencé à paniquer mais ai reprit le déçu en respirant trois quatre fois.
Puis je me suis dit que je cédais totalement à la panique et me suis forcé à tourner tout ça à la dérision. J'ai commencé à mettre de la musique joyeuse et à me motiver tout seul en me parlant à haute voix et en disant des trucs "mais tu crois aux fantômes maintenant" ? Puis j'ai regardé quelques vidéos sur YouTube.
Passé une heure à me détendre l'ambiance c'était clairement détendue. J'ai trouvé amusant de jouer la provoc en disant à voix haute "esprit tu n'arriveras pas à m'avoir" et là j'ai entendu un roulement derrière moi.
C'était le volet électrique qui venait de s'allumer. Le volet était entrain de s'ouvrir et moi heberlué je regardais la fenêtre se découvrir et m'attendait à voir un visage à la fenêtre. Mais rien, je ne distinguais rien, il faisait nuit noire. Je cherchais la télécommande des yeux et ma peur a atteint son paroxysme quand je l'ai vu à l'autre bout de la pièce là où je l'avais posée 2h plus tôt. Non je n'avais pas pu l'enclencher sans faire exprès...
C'était beaucoup trop pour moi, je me souviens d'avoir dit à voix haute "pardon pardon je crois en ton existence excuse moi". Puis j'ai appelé mes parents qui n'ont pas vraiment compris mais comprenant ma panique m'ont dit de partir si vraiment je me sentais en insécurité mais de pas me mettre en danger.
J'ai fait mes affaires en littéralement 5 minutes (oubliant mon enceinte au passage...) et je me suis cassé. Sauf que pour partir il fallait enclencher l'alarme de la maison. C'était juste un bouton de verrouillage, pas de code à mettre, ce que je faisais à chaque fois quand je partais en randonnée.
J'ai appuyé sur ce bouton, j'ai claqué la porte et l'ai fermé à clef, me suis dirigé vers un chemin qui menait à la nationale et là j'ai entendu l'alarme se déclancher. Je me suis retourné, la porte était pourtant fermé. J'ai pas cherché à comprendre et j'ai couru dans la forêt avec mon téléphone en guise de lampe torche. Je fuyais littéralement même si je ne savais pas ce que je fuyais.
Bref je suis vite arrivé sur cette route, j'ai d'ailleurs été très vite été pris en stop par un mec sympa qui allait à Saint-Étienne (je devais aller à Lyon). Je lui ai raconté mon histoire d'ailleurs car il se demandait ce que je foutais là à une heure pareille (il devait être 23h) et je lui ai tout raconté. On a plus beaucoup parlé mais je crois que je lui ai fait peur et qu'il m'a pris pour un fou tout le long du voyage puis j'ai pris un car et suis rentré.
Voilà c'était la seule et tres marquante expérience que j'ai vécu. J'ai pensé à un cambrioleur, une farce du propriétaire mais avec tous les éléments cela ne tient pas pour moi. Rien qu'écrire l'histoire une nouvelle fois m'a mis dans le mal
Le pire c'est qu'après cette histoire j'ai eu une emmerdé avec la proprio car j'avais pas mis les clefs dans le boîtier sécurité à l'extérieur de la maison (complètement oublié sous la panique) et suis parti avec les clefs.
J'ai du payer 80 euros de dédommagement et lui les envoyer à la poste, ce qui lui a fait perdre deux journées de location soit disant
Bonsoir mes amis et bienvenue sur le topic. Je suis auteur à mes heures perdues et, chaque soir, je vous présenterai une de mes histoires.
Néanmoins, l'occasion est spéciale. Pour inaugurer le topic, je vais vous conter une histoire réelle qui m'est arrivée il y'a de cela 10 ans...
Le visage de la fenêtre :
C'était une nuit fraîche d'automne. À cette époque j'étais en sixième et j'étais parti en voyage scolaire d'une semaine.
Le voyage s'était très bien passé pour honnête. On avait visité des grottes, fait de la peinture rupestre, sculpté dans des blocs et toutes sortes d'activités créatives ma foi fortement sympathiques.
Est venu le dernier jour du voyage. On s'est levé très tôt pour prendre le car du retour parce que le voyage était très long. Pour nous occuper, les professeurs avaient décidé de nous diffuser un film sur un petit écran à l'avant du bus et, grâce à cela, le trajet s'était déroulé à vitesse grand v.
Il était tard dans la soirée quand nous sommes arrivé à notre destination. Nos parents nous attendaient, regroupés en une petite foule sur le parking.
C'était un endroit tout à fait banal, si ce n'est qu'il était situé entre un opéra et un bâtiment utilisé mais à l'apparence désaffecté.
Impatient de retrouver ma mère, j'ai descendu les marches du bus sans prendre la peine de faire attention et, surpris par le vide entre la dernière marche et le sol, j'ai trébuché mais ne suis pas tombé.
C'est en regardant autour de moi pour prendre mes repères que je l'aperçu, me fixant de son visage neutre et sans expression, comme si elle portait un masque. Une silhouette se tenait debout, immobile, derrière une fenêtre du troisième ou quatrième étage du bâtiment à l'allure abandonnée.
Je n'en revenait pas. Seule la "figure" de la chose était nettement visible, le reste se fondait dans la pénombre de la pièce non éclairée et de la nuit.
Je me suis approché de ma mère pour la lui montrer et, quand nous nous sommes retournés à nouveau, le visage de la fenêtre avait disparu. Aucune trace de vie ne semblait habiter le bâtiment qui était replongé dans le silence glacial de la nuit.
Depuis ce jour, dès que je passe devant ce lieu sordide, je jette un oeil aux différentes fenêtres qui ponctuent sa façade, espérant comprendre ce que j'avais aperçu ce soir là. Malheureusement, ou heureusement devrais-je dire, la silhouette ne s'est jamais représentée à moi...
___
Voilà qui clos ma première histoire qui, pour l'occasion, est 100% véridique. J'espère qu'elle vous a plu et n'hésitez pas à me faire vos retours et à me donner des conseils pour mes prochaines histoires.
Le 30 septembre 2021 à 23:36:48 :
(Desole, je suis en qwerty, il n'y a pas d'accent)J'ai une seule histoire a raconter. Un truc qui m'a plutot marque. Rien que d'y repenser je sens que mes yeux deviennent humide... Pourtant j'ai 30 ans et ca s'est passe quand j'en avais 10.
A cette epoque de mes 10 ans donc, j'etais partit en juillet dans une colonie Montagne, pres de Chamonix dans les Alpes.
La colo durait 3 semaines et diverses activites etaient proposees, comme par exemple escalade, canyoning, etc... ET, Mer de glace.
La mer de glace, quelque chose que j'aurais aime faire...
Et d'ailleurs, pour l'inscription aux activites, tout se deroulait le matin, avant de prendre le ptit dej', les animateurs sont avec leur fiches et nous demandent ce qu'on veut faire, en nous montrant les activites disponibles.Comme dit plus haut, j'avais tres envie de faire la mer de glace, et je vois qu'il reste une place de libre (Yatta )
Je demande donc a le faire, mais une nana juste derriere moi me demande si je peux lui laisser la place, puisqu'une de ses amies y va deja.
Bon, apres tout, je connaissais personne qui y allait, et il restait plus de 2 semaines, j'aurais une autre occasion.
Je lui cede donc ma place par galanterieA la place, je prends une activite randonnee en montagne. Restait plus que ca... Tant pis !
La radonnee commence vers 9h. On prend un bus en bas du centre (fallait marcher un bonne vingtaine de minute quand meme) qui nous ammene a une sorte de telepherique.
On embarque tous dans 2 telef different, j'entre dans le 2eme avec un animateur et 2 gosses.
D'un coup, pour aucune raison (tout comme c'est en train de se passer a partir du moment ou je commence ce nouveau paragraphe) les larmes se sont mises a couler. Je n'avais aucune raison, je ne savais pas pourquoi ca se passait, et ca ne voulait pas s'arreter.
Pour une raison que je ne connais pas non plus, je regarde ma montre. 10h12 exactement.Arrive en haut, les larmes s'arretent. A ce moment, je n'avais toujours pas compris ce qui s'etait passe..
La journee se deroule tranquillement, bien qu'aujourd'hui je n'ai plus aucun souvenir de cette randonne, je me rappelle pourtant les evenement qui ont suivit.
Retour au camp, on nous apprend que le groupe partit a la mer de glace est dans l'infirmerie. Personne ne comprend pourquoi. Personne, sauf les animateurs qui ne voulaient rien nous dire.
Neanmoins, cela leur etait impossible de nous cacher la verite : Durant l'activite mer de glace, il y a eu un accident.
Un rocher de plusieurs tonnes est tombe.
On nous raconte l'histoire:
Le rocher parcourait son chemin plutot lentement, laissant le temps a tout le monde de se mettre a l'abri. Tout le monde, sauf une personne ; la fille a qui j'ai cede ma place.
Probablement tetanisee, elle n'a pas bouge d'un centimetre, et ce qui a du arriver arriva. Elle fut completement ecrasee par les tonnes de roches.
Personne n'a rien pu faire. Lorsqu'ils ont remarque que la fille n'avait pas bouge, il etait trop tard. Ils etaient bien trop loin pour venir l'aider. Ils n'ont pu que voir la masse rocheuse tomber sur elle.Cet evenement s'est deroule des le debut de l'activite. Elle est decedee aux alentours de 10h.
Mais je crois connaitre l'heure exact. A mon avis, il etait 10h12.Que s'est-il vraiment passe pour que je me mette a pleurer tout seul ? Pourquoi ? Y a-t-il eu quelque chose qui a fait que j'ai pu ressentir ce drame ? Une sorte de communication avec l'ame de la fille et la mienne ?
N'etant pas croyant, je doute enormement, bien que c'est pour moi la seule explication qui me vient en tete.Sans mentir, en redigeant ce pave, 5 larmes me sont coules le long des joues. Aujourd'hui encore, 20 ans plus tard, en y repensant, les larmes viennent toutes seules.
Paix a son ame.Et je precise que c'est 100% nofake.
Le 01 octobre 2021 à 01:30:56 :
dans ma vie j'ai vecue 2 trucs étranges seulement persole premier est un peu long le deuxième plus court mais perso c'est celui qui m'as le plus marqué
1- Un été j'ai été chez une meuf, une grande maison en forme de T en normandie dans un petit coin paumé
Je la connaissait bien et j'étais chez elle avec sa meilleur amie pour le mois de juillet
C'étais une meuf normal, lambda, pas religieuse rien, plutôt terre a terre
Sauf qu'une fois chez elle elle arrêtais pas de dire qu'il y avais un fantôme, gentil, chez elle, et que c'était son ami, elle racontais également que parfois il se manifestais en griffant le conteur de sa fenêtrela chambre de cette meuf était un carré avec un tout petit coin en expansion qui donnais sur la fenêtre, et mon lit a moi étais pile poil devant la fenêtre, donc personne ne pouvais passer et aller à la fenêtre sans que je le sache
les semaines passent tout vas bien et un jour la meuf en question déprime beaucoup et fais une petite fugue pour gratter l'attention, elle se barre dans la forêt en pleine nuit ahi
on y va, on la cherche, on flippe, on la retrouve, on rentre on se couche rapidement en mattant un dvd
et le lendemain quand je me suis reveiller pour fumer ma clope au réveil y'avais des inscriptions chelous sur le bas du contour de la fenêtre, comme si on les avais inscrit de rage avec un objet metallique mais ça avais l'air vieux alors que c'était pas là la veille
sur le moment j'ai un peu flippé mais heureusement 2jour après on s'en allait ahi
La deuxième histoire maintenant, qui m'a réellement marqué ;
en gros, dans la nuit du mardi au mercredi 16-17 octobre 2007 a 3h41 du matin j'ai sentis / su que mon père était mort
on habitais pas au même endroit et j'avais pas eu de nouvelles de lui depuis l'année d'avant en mai, mais je me souviens clairement que j'étais dans ma chambre, sur mon lit, en tailleurs, face à ma télé et mon écran d'ordi , je chillais normal et d'un coup j'ai regarder en face de moi et ça m'as fais une sensation indescriptible avec des mots où j'ai su/sentis que mon père était partis
le lendemain matin ma mère m'annonçait son décès en pleine nuit, annoncé entre 3 et 4h du matin
je suis pas religieux, je crois pas spécialement au paranormal ni a l'astrologie ni au spirituel en gros, j'ai jamais été là dedans, par contre cet évènement précis me fait dire que je n'ai / qu'on a pas toutes les réponses sur plein de chose qui ne s'expliquent pas avec des rapport entre les particules de différents atomes ..
Pour la première histoire c'etait écrit quoi sur les inscriptions ?
Pour la seconde c'est monnaie-courant ce genre de 6eme sens lors de la mort d'un proche, courage clé !
Le 01 octobre 2021 à 02:43:07 :
Une histoire d'esprits à vous raconter (enfin c'est la seule explication que j'ai).Déjà faut savoir qu'avant cette expérience je ne croyais pas aux fantômes et je me disais juste que ce genre d'histoire paranormale (que je lisais ici notamment) c'était seulement des concours de circonstances et une mauvaise interprétation.
Sauf qu'il y a un an j'ai vécu un étrange concours de circonstances également.
J'étais dans une maison de vacance, une sortes de grosse cabane de bois et de pierre, que mes parents avaient loués, isolée dans une forêt au beau milieux des Ardeches.
Cette vieille maison était magnifique, bien que rustique on pouvait profiter d'une magnifique vue en contre-plongée sur des collines de forêts.
Malheureusement pour mes parents, une urgence professionnelle a fait qu'ils ont dû abréger leur séjour du dernier WE, et on a convenu que je profiterais seul de ces dernières journées et que je ferais du stop pour rentrer lundi (y'avait une nationale pas loin et étant habitué à en faire y'avait aucun soucis).
Bref je profitais de ces journées seules pour faire des rando, me reposer tout simplement.
Le samedi après midi, étant fatigué d'une grosse rando je décide de faire bronzette. Je me couche donc sur la terrasse, sur un mur de pierre et en profite pour lire un petit peu. 3h s'écoulent jusqu'à ce que je remarque que je prends un gros coup de soleil, je décidé donc de me mettre à l'ombre et de m'étaler sur le torse et sur le visage un tube de Biafine.
Je rentre dans la salle de bain, commence à m'en étaler, et en me regardant dans le miroir, choc. Je suis littéralement paralysé parce que je vois. La trace d'une main blanche sur le bas de mon ventre, complètement définie par le coup de soleil. Comme si j'avais brûlé au soleil alors que quelqu'un avait la main sur moi.
Je ne comprends pas, est-ce ma main qui a fait cette trace ? Impossible, même si je voulais la position est inversée, les doigts sont extrêmement bien définis. Je commence à me poser toute sorte de questions et cherche à tour pris à trouver une excuse rationnelle à cela.
1h plus tard (où je raconte cette expérience à mes parents qui sont plutôt amusés par cette histoire d'ailleurs) je me rererarde dans la glace. La forme s'est énormément atténuée pour ne faire que deviner une forme vague qui pourrait faire penser à une main mais rien de plus. Je commence à me convaincre que j'ai été victime d'une hallucination où je ne sais quoi. Cela ne pouvait pas être une main dans ma tête. C'était trop gros.
Troublé par cette expérience, je préfère rester à l'intérieur de la maison et par mesure de sécurité m'enferme à double tour et ferme les volets (électrique, c'est important pour la suite).
Je cherche à m'occuper et vais dans la bibliothèque de la maison qui contient pleins de livres sur le développement personnel, sur le bouddhisme. Sans intérêt pour moi, je continue à regarder les livres et je tombe sur un livre "les témoins de l'invisible".
Étrange, cela me rappelle ce que je viens de vivre. Je n'y prête pas attention. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment j'ai eu un très mauvais pressentiment, comme une impression de tomber dans un piège, une sensation de chute, comme un malaise, mais couplé à une sensation très désagréable d'être enfermé et de ne plus rien contrôler. J'ai commencé à paniquer mais ai reprit le déçu en respirant trois quatre fois.
Puis je me suis dit que je cédais totalement à la panique et me suis forcé à tourner tout ça à la dérision. J'ai commencé à mettre de la musique joyeuse et à me motiver tout seul en me parlant à haute voix et en disant des trucs "mais tu crois aux fantômes maintenant" ? Puis j'ai regardé quelques vidéos sur YouTube.
Passé une heure à me détendre l'ambiance c'était clairement détendue. J'ai trouvé amusant de jouer la provoc en disant à voix haute "esprit tu n'arriveras pas à m'avoir" et là j'ai entendu un roulement derrière moi.
C'était le volet électrique qui venait de s'allumer. Le volet était entrain de s'ouvrir et moi heberlué je regardais la fenêtre se découvrir et m'attendait à voir un visage à la fenêtre. Mais rien, je ne distinguais rien, il faisait nuit noire. Je cherchais la télécommande des yeux et ma peur a atteint son paroxysme quand je l'ai vu à l'autre bout de la pièce là où je l'avais posée 2h plus tôt. Non je n'avais pas pu l'enclencher sans faire exprès...
C'était beaucoup trop pour moi, je me souviens d'avoir dit à voix haute "pardon pardon je crois en ton existence excuse moi". Puis j'ai appelé mes parents qui n'ont pas vraiment compris mais comprenant ma panique m'ont dit de partir si vraiment je me sentais en insécurité mais de pas me mettre en danger.
J'ai fait mes affaires en littéralement 5 minutes (oubliant mon enceinte au passage...) et je me suis cassé. Sauf que pour partir il fallait enclencher l'alarme de la maison. C'était juste un bouton de verrouillage, pas de code à mettre, ce que je faisais à chaque fois quand je partais en randonnée.
J'ai appuyé sur ce bouton, j'ai claqué la porte et l'ai fermé à clef, me suis dirigé vers un chemin qui menait à la nationale et là j'ai entendu l'alarme se déclancher. Je me suis retourné, la porte était pourtant fermé. J'ai pas cherché à comprendre et j'ai couru dans la forêt avec mon téléphone en guise de lampe torche. Je fuyais littéralement même si je ne savais pas ce que je fuyais.
Bref je suis vite arrivé sur cette route, j'ai d'ailleurs été très vite été pris en stop par un mec sympa qui allait à Saint-Étienne (je devais aller à Lyon). Je lui ai raconté mon histoire d'ailleurs car il se demandait ce que je foutais là à une heure pareille (il devait être 23h) et je lui ai tout raconté. On a plus beaucoup parlé mais je crois que je lui ai fait peur et qu'il m'a pris pour un fou tout le long du voyage puis j'ai pris un car et suis rentré.
Voilà c'était la seule et tres marquante expérience que j'ai vécu. J'ai pensé à un cambrioleur, une farce du propriétaire mais avec tous les éléments cela ne tient pas pour moi. Rien qu'écrire l'histoire une nouvelle fois m'a mis dans le mal
Bordel c'est probablement l'une des histoire qui m'a fait le plus flippé khey
Le 01 octobre 2021 à 03:00:26 :
Bonsoir mes amis et bienvenue sur le topic. Je suis auteur à mes heures perdues et, chaque soir, je vous présenterai une de mes histoires.Néanmoins, l'occasion est spéciale. Pour inaugurer le topic, je vais vous conter une histoire réelle qui m'est arrivée il y'a de cela 10 ans...
Le visage de la fenêtre :
C'était une nuit fraîche d'automne. À cette époque j'étais en sixième et j'étais parti en voyage scolaire d'une semaine.
Le voyage s'était très bien passé pour honnête. On avait visité des grottes, fait de la peinture rupestre, sculpté dans des blocs et toutes sortes d'activités créatives ma foi fortement sympathiques.Est venu le dernier jour du voyage. On s'est levé très tôt pour prendre le car du retour parce que le voyage était très long. Pour nous occuper, les professeurs avaient décidé de nous diffuser un film sur un petit écran à l'avant du bus et, grâce à cela, le trajet s'était déroulé à vitesse grand v.
Il était tard dans la soirée quand nous sommes arrivé à notre destination. Nos parents nous attendaient, regroupés en une petite foule sur le parking.
C'était un endroit tout à fait banal, si ce n'est qu'il était situé entre un opéra et un bâtiment utilisé mais à l'apparence désaffecté.Impatient de retrouver ma mère, j'ai descendu les marches du bus sans prendre la peine de faire attention et, surpris par le vide entre la dernière marche et le sol, j'ai trébuché mais ne suis pas tombé.
C'est en regardant autour de moi pour prendre mes repères que je l'aperçu, me fixant de son visage neutre et sans expression, comme si elle portait un masque. Une silhouette se tenait debout, immobile, derrière une fenêtre du troisième ou quatrième étage du bâtiment à l'allure abandonnée.Je n'en revenait pas. Seule la "figure" de la chose était nettement visible, le reste se fondait dans la pénombre de la pièce non éclairée et de la nuit.
Je me suis approché de ma mère pour la lui montrer et, quand nous nous sommes retournés à nouveau, le visage de la fenêtre avait disparu. Aucune trace de vie ne semblait habiter le bâtiment qui était replongé dans le silence glacial de la nuit.Depuis ce jour, dès que je passe devant ce lieu sordide, je jette un oeil aux différentes fenêtres qui ponctuent sa façade, espérant comprendre ce que j'avais aperçu ce soir là. Malheureusement, ou heureusement devrais-je dire, la silhouette ne s'est jamais représentée à moi...
___
Voilà qui clos ma première histoire qui, pour l'occasion, est 100% véridique. J'espère qu'elle vous a plu et n'hésitez pas à me faire vos retours et à me donner des conseils pour mes prochaines histoires.
Le 01 octobre 2021 à 12:59:58 :
Le 01 octobre 2021 à 03:00:26 :
Bonsoir mes amis et bienvenue sur le topic. Je suis auteur à mes heures perdues et, chaque soir, je vous présenterai une de mes histoires.Néanmoins, l'occasion est spéciale. Pour inaugurer le topic, je vais vous conter une histoire réelle qui m'est arrivée il y'a de cela 10 ans...
Le visage de la fenêtre :
C'était une nuit fraîche d'automne. À cette époque j'étais en sixième et j'étais parti en voyage scolaire d'une semaine.
Le voyage s'était très bien passé pour honnête. On avait visité des grottes, fait de la peinture rupestre, sculpté dans des blocs et toutes sortes d'activités créatives ma foi fortement sympathiques.Est venu le dernier jour du voyage. On s'est levé très tôt pour prendre le car du retour parce que le voyage était très long. Pour nous occuper, les professeurs avaient décidé de nous diffuser un film sur un petit écran à l'avant du bus et, grâce à cela, le trajet s'était déroulé à vitesse grand v.
Il était tard dans la soirée quand nous sommes arrivé à notre destination. Nos parents nous attendaient, regroupés en une petite foule sur le parking.
C'était un endroit tout à fait banal, si ce n'est qu'il était situé entre un opéra et un bâtiment utilisé mais à l'apparence désaffecté.Impatient de retrouver ma mère, j'ai descendu les marches du bus sans prendre la peine de faire attention et, surpris par le vide entre la dernière marche et le sol, j'ai trébuché mais ne suis pas tombé.
C'est en regardant autour de moi pour prendre mes repères que je l'aperçu, me fixant de son visage neutre et sans expression, comme si elle portait un masque. Une silhouette se tenait debout, immobile, derrière une fenêtre du troisième ou quatrième étage du bâtiment à l'allure abandonnée.Je n'en revenait pas. Seule la "figure" de la chose était nettement visible, le reste se fondait dans la pénombre de la pièce non éclairée et de la nuit.
Je me suis approché de ma mère pour la lui montrer et, quand nous nous sommes retournés à nouveau, le visage de la fenêtre avait disparu. Aucune trace de vie ne semblait habiter le bâtiment qui était replongé dans le silence glacial de la nuit.Depuis ce jour, dès que je passe devant ce lieu sordide, je jette un oeil aux différentes fenêtres qui ponctuent sa façade, espérant comprendre ce que j'avais aperçu ce soir là. Malheureusement, ou heureusement devrais-je dire, la silhouette ne s'est jamais représentée à moi...
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Voilà qui clos ma première histoire qui, pour l'occasion, est 100% véridique. J'espère qu'elle vous a plu et n'hésitez pas à me faire vos retours et à me donner des conseils pour mes prochaines histoires.
Merci mon khey ! Mais c'est un témoignage.
Des conseils pour améliorer mon écriture pour l'histoire du soir ?
Le 01 octobre 2021 à 00:03:15 :
bon j'ai quelques histoires
je vais en raconter une je garde les autres pour aprèsla première c'était en forêt la nuit
je faisais du camping sauvage en sologne vers nançay
je pose ma tente sur un terrain privé mais bon je me dis pas grave je ne fais que passer et plus c'étais pas à coté d'un chemin ou quoi, j'étais pas facile à trouver
donc j'installe ma tente vite fais et j'accroche mon vélo à un arbre (je faisais Orléans bourges mais j'étais parti tard j'avais pas pu le faire en une journée)
Je fais pas de feu de camp rien, et je commence à m'endormir, mais bon que sur une oreille
en plus y'a beaucoup de boucan dans une forêt la nuit, entre les animaux qui bouge, qui gratte, qui grogne, ou même les brocard qui jappe, les oiseux de nuit qui font un boucan insupportable en criant, d'ailleurs ça peut ressembler au cris humain donc ça fait flipper si on connaît pas. Bref je dors mal.
AU milieu de la nuit j'ai envie de pisser et je sors de ma tente pour aller faire ma besogne. j'ouvre ma tente, il fait frais je suis en calbar. je fais quelques pas pour ne pas pisser au pied de ma tente et aller au pied d'un arbre. J'avais pas de lampe.
Je commence donc à pisser et j'entend du bruit au loin derrière moi. Je me dis ça dois être un animal, mais je tourne ma tête quand même. Je vois rien, je rappelle j'ai pas de torche du coup j'étais surtout en mode écoute, j'avais peur que ce soit une lait avec des petits, et j'avais peur qu'elle me charge pour défendre sa progéniture; j'écoutais du coup pour entendre si elle allait "casser les noisettes" ou si j'allais entendre des pas de course dans les feuilles. Mais j'entend juste des pas lents qui se rapproche petit à petit. Je termine donc de pisser tranquille surtout que les pas semblais lointain, en me disant que ce devait être un brocard qu'avait pas trop peur compte tenu de l'obscurité, je m'attendais à ce que l'animal s'enfuis quand j'aillais retourner à la tente. Mais pas du tout les pas continuais à se rapprocher. J'ai hésité à m'en battre les couilles et à retourner dormir, surtout que j'étais très fatigué. Mais j'ai eu un genre d'instinct, j'ai voulu m'assurer que ce soit bien un animal.
Je précise à ce stade de l'histoire que j'avais eu la présence d'esprit de prendre un opinel avec moi, ce qui explique mon comportement assuré, autrement j'en aurais peut être mené moins large.
Donc pour m'assurer que ce soit bien un animal et pour le faire déguerpir qu'il vienne pas m'enmerder pendant que je dort je me suis dis que j'allais crier un coup pour luit faire peur. Donc j'hurle un coup, et j'ai une grosse voix : (ici remplaçons le crie par un bougander) BOUGNADERRRR
Mais au lieu d'entendre un bruit de course qui s'éloigne dans les feuilles, un hurlement vraiment fort me répond. Je reste immobile tétanisé et surpris, ne comprenant pas ce que c'était, mais étant intimider par le crie. Je rappelle que j'étais dans le coltard je venais de me réveiller pour aller pisser. Il me traverse tout à coup l'esprit que ça pourrait être quelqu'un, et quelqu'un de déranger mentalement pour roder dans la forêt la nuit sans lumière et hurler de la sorte. Ah ce moment je me rappelle que j'ai dans la poche de mon sweat à capuche que j'avais sur moi un couteau. Je met la main dans la dite poche mais je ne sens rien
Je sens que je commence à paniquer, mais je me fais violence pour garder mon sang froid. Je ne prêtais plus attention à ce que j'entendais pendant que je réfléchissais mais je suis sortis de ma réflexion violement en entendant que les pas continuais à se rapprocher, et il s'étais accéléré, ça ressemblais plus à quelqu'un qui marchait vite.
Je précise que tout ça c'est passé en très rapidement (ma réflexion, l'accélération des pas) mais mes souvenirs sont très précis et détaillé sur ce moment, je me souviens de chaque quart de secondes.
Je ma prise de décision est quasi instantané, j'ouvre ma tente comme un fou furieux et je me met à tâter là ou il y avait mon pull à capuche, en espérant que ce qui gueule ne me tombe pas dessus pendant que je suis la tête la première dans ma tente. Je cherche quelques seconde qui me paraisse super longue et angoissante et je finis par retrouver mon opinel dans le coin de ma tente. Je commence enclencher le mouvement pour me redresser (j'étais à quatre pattes) et j'entend que les pas ce mettent à courir. Je me relève en un quart de seconde et je vois une espèce de silhouette sombre à une dizaine de mettre en pleine course qui me fonce dessus. j'ai une espèce de seconde chape de sang froid, au lieu de paniquer je reste super calme j'ai l'esprit super clair, instinctivement je me dis que je vais esquiver sa charge sautant vers ma tente juste avant le contact puis le piquer un peu avec ma lame voir le planter si il le faut. J'ouvre simplement mon opinel et je fais un pas vif pour m'éloigner de ma tente.
A partir de là faut savoir que je suis un colosse d'1m90 pour 110 kilos, que je fais du judo depuis ma plus tendre enfance et que j'ai renforcer ça avec du rugby puis de la lutte à mon adolescence.
Donc il faisait sombre, je voyais pas bien donc j'ai mal anticipé le contact, au moment d'inversé mon mouvement et de faire un crochet vers ma tente pour esquiver sa charge j'ai sentis que mon pied gauche commençait à déraper, et en plus j'avais mal anticipé le contact et il me rentre dedans. Il ne me frappe pas ou quoi juste il me rentre dedans. Je suis projeter en arrière et il me tombe dessus. Quand il m'as chargé il avait fait un mouvement circulaire avec son bras droit comme pour donné un crochet sauf que il ne m'as pas frappé, mais il se retrouve avec son bras droit derrière mon torse. Par réflexe je coince son bras contre mes cotés avec mon bras gauche et je le plante en visant la fesse. Je lui enfonce un bon 8 cm de lame en acier inoxydable dans le cul ou le haut de la cuisse je sais pas trop j'ai pas bien vu. Il hurle sur le coup et il a un mouvement réflexe : il essaye de s'en aller, mais je le coince toujours au niveau du bras droit. Il tire une seconde fois mais c'était pas un mouvement réflexe et j'en profite pour placer mon pied droit contre son torse et pousser fort en relâchant l'emprise sur son bras droit. Ca le projette en arrière loin et je me souviens même que je l'ai entendu retombé ça avait fait un sale bruit. Je me relève et lui aussi mais ça se voyais qu'il avait mal c'était pas énergique, je ne me précipite pas, j'ai toujours mon couteau à la main. Il reste sans bouger pendant un bon 2-3 seconde ou on se regarde dans le blanc des yeux (façon de parler on ne se voyait pas il faisait noir) et d'un seul coup il se retourne et se met à tracer de par là ou il est venu. Je reste immobile, un peu surpris et surtout soulagé que ce soit fini. Je reste quand même alerte pendant un bon 20 secondes pour être sur qu'il en revienne pas mais j'entend les bruit de pas qui s'éloigne au départ vite : il courrait, et ensuite ça a ralentit quand il a du se rendre compte que ça ne le poursuivait pas.
J'ai attendu que je n'entende plus du tout ses bruits de pas, je me suis habillé complètement, j'ai défait ma tente et je l'ai plié à l'arrache et j'ai pris mon vélo et je me suis cassé le plus vite possible. Et en pliant ma tente j'ai trouvé un cran d'arrêt déplié par terre
J'ai fait la distance Nançay Bourges de nuit sans lumières via la nationale, y'avait les voitures qui me frôlait c'était super dangereux.
"Et en pliant ma tente j'ai trouvé un cran d'arrêt déplié par terre"
putainnnn c'était vraiment un combat au couteau en pleine nuit dans la forêt
Heureusement que t'étais costaud et armé
L'histoire la plus dangereuse du topic
Voici le RESUME DES HISTOIRES D'HIER SOIR
NUMERO 1
Le 30 septembre 2021 à 20:49:36 :
La voisineUn jeune homme habitait dans un immeuble. Une nuit, quelqu'un frappe à sa porte. Il se lève et va ouvrir. Une femme se tient là et lui demande si elle peut passer la nuit chez lui parce que son conjoint la frappe. Elle le rassure en lui disant qu'elle a appelé sa famille et qu'ils viendront la chercher demain matin à la première heure. Le jeune homme lui donne une couverture et lui propose de passer la nuit sur le sofa.
À son réveil, la couverture est pliée sur le divan et la jeune femme est partie. Il se prépare et part travailler.
Le soir suivant, on cogne de nouveau à sa porte. La même femme est à sa porte, mais cette fois-ci elle est marquée de coups au visage. Elle lui demande une seconde fois l'hospitalité. Ne pouvant qu'accepter, il lui propose de dormir au même endroit que la veille.
Le matin, elle n'est plus là. Le même manège se reproduit tout au long de la semaine. Inquiet, le jeune homme se rend au poste de police pour expliquer la situation.
L’agent lui montre une photo sur laquelle il reconnaît la femme. La police lui apprend que cette femme a été battue à mort dans son immeuble par son conjoint…
NUMERO 2
Le 30 septembre 2021 à 21:09:13 :
Bon je vais vous raconter quelques annectode que j'ai moi même vécu c'est pas des histoires de fou mais bonAnnectode 1 : Paralysie du sommeil
Quand j'étais en étude supérieur j'étais hébergé chez un pote et je passer mes aprem à la recherche d'un logement CROUS
Un jour je me connecte sur le site du CROUS et je vois logement (neuf) disponible à réserver donc ni une ni deux je réserve celui-ci qui me paraissait être un parfait palace au vu de mes maigres moyens
Le lendemain je me rend surplace et je fais el famoso visite des lieux tout était nickel le batiment était neuf les chambres était vraiment sympa les cuisines commune bien équipée dans une ambiance design-cosy-space
J'étais vraiment trop trop refais les kheys pour le coup, donc je retourne chez mon pote je prépare mes affaires pour déménager là-bas le lendemain
Le truc c'est que pendant la nuit j'ai fais un cauchemars assez glauque
J'ai rêver d'être dans le couloir du bâtiment crous en question, vous savez les scène avec les couloirs ou il n'y a rien et ou plane un long silence + led qui clignote
Bah c'était exactement ça et d'un coup je me retrouve devant la porte d'entrée de ma nouvelle chambre, je me retourne et je vois une ombre d'au moins 2-3 mètres
Elle me choppe par le cou et propulse contre la porte et m'étrangle
Je respire plus et j'ai littéralement l'impression de mourir, je me réveil à 3h30 du mat mais j'arrive ni a bouger ni a respirer (surement la panique) mais je sentais une présence autour de moi pour le coup
Au final j'ai quand même emmenager dans cette chambre, mais c'est à partir d'elle que j'ai enchaîner mes echecs scolaire + déchéance (drogue, mauvaise hygiene de vie pas de sport etc)
Perso j'ai vu ça comme un signe pour me dire de pas emménager sauf que je l'ai pas écouté
NUMERO 3
Le 30 septembre 2021 à 21:16:12 :
Le casse-têteUne femme âgée vivant seule décide de faire un casse-tête dans son salon pour passer la soirée. Dehors, c'est la noirceur totale.
Au fur et à mesure qu'elle assemble les pièces, une impression étrange la saisit : elle reconnaît peu à peu dans son puzzle le décor de son salon, puis sa télévision, puis elle-même vue de face! De plus en plus fébrile, elle continue.
Les dernières pièces du puzzle qu'elle assemble sont celles de la fenêtre derrière elle. La toute dernière pièce du coin de la fenêtre montre le visage terrifiant d'un homme la regardant!
NUMERO 4
Le 30 septembre 2021 à 23:22:03 :
Etant petit je vivais dans une maison qui me terrifiait littéralement, elle était froide, austère, dominée par un énorme grenier de film d'horreur...et chaque PUTAIN de soir, depuis ma chambre, j'entendais quelqu'un/quelque chose marcher à bas très lourds dans ce fameux grenier, j'étais mort de peur, terrifié, en larme
Une fois j'ai vu une forme blanche qui me regardait depuis le bord de mon lit, j'entais parler des voix rauques et agressives alors que j'étais seul à la maison, étant con étant petit j'ai cramé une peluche avant de la balancer par la fenêtre, en revenant le soir elle était posée sur le rebord de ma fenetre
Je ne sais pas si c'est mon cerveau de gamin qui "inventait" les événements paranormaux ou si c'était vraiment paranormal mais rien que de me souvenir j'ai la chair de poule
NUMERO 5
Le 30 septembre 2021 à 23:36:48 :
(Desole, je suis en qwerty, il n'y a pas d'accent)J'ai une seule histoire a raconter. Un truc qui m'a plutot marque. Rien que d'y repenser je sens que mes yeux deviennent humide... Pourtant j'ai 30 ans et ca s'est passe quand j'en avais 10.
A cette epoque de mes 10 ans donc, j'etais partit en juillet dans une colonie Montagne, pres de Chamonix dans les Alpes.
La colo durait 3 semaines et diverses activites etaient proposees, comme par exemple escalade, canyoning, etc... ET, Mer de glace.
La mer de glace, quelque chose que j'aurais aime faire...
Et d'ailleurs, pour l'inscription aux activites, tout se deroulait le matin, avant de prendre le ptit dej', les animateurs sont avec leur fiches et nous demandent ce qu'on veut faire, en nous montrant les activites disponibles.Comme dit plus haut, j'avais tres envie de faire la mer de glace, et je vois qu'il reste une place de libre (Yatta )
Je demande donc a le faire, mais une nana juste derriere moi me demande si je peux lui laisser la place, puisqu'une de ses amies y va deja.
Bon, apres tout, je connaissais personne qui y allait, et il restait plus de 2 semaines, j'aurais une autre occasion.
Je lui cede donc ma place par galanterieA la place, je prends une activite randonnee en montagne. Restait plus que ca... Tant pis !
La radonnee commence vers 9h. On prend un bus en bas du centre (fallait marcher un bonne vingtaine de minute quand meme) qui nous ammene a une sorte de telepherique.
On embarque tous dans 2 telef different, j'entre dans le 2eme avec un animateur et 2 gosses.
D'un coup, pour aucune raison (tout comme c'est en train de se passer a partir du moment ou je commence ce nouveau paragraphe) les larmes se sont mises a couler. Je n'avais aucune raison, je ne savais pas pourquoi ca se passait, et ca ne voulait pas s'arreter.
Pour une raison que je ne connais pas non plus, je regarde ma montre. 10h12 exactement.Arrive en haut, les larmes s'arretent. A ce moment, je n'avais toujours pas compris ce qui s'etait passe..
La journee se deroule tranquillement, bien qu'aujourd'hui je n'ai plus aucun souvenir de cette randonne, je me rappelle pourtant les evenement qui ont suivit.
Retour au camp, on nous apprend que le groupe partit a la mer de glace est dans l'infirmerie. Personne ne comprend pourquoi. Personne, sauf les animateurs qui ne voulaient rien nous dire.
Neanmoins, cela leur etait impossible de nous cacher la verite : Durant l'activite mer de glace, il y a eu un accident.
Un rocher de plusieurs tonnes est tombe.
On nous raconte l'histoire:
Le rocher parcourait son chemin plutot lentement, laissant le temps a tout le monde de se mettre a l'abri. Tout le monde, sauf une personne ; la fille a qui j'ai cede ma place.
Probablement tetanisee, elle n'a pas bouge d'un centimetre, et ce qui a du arriver arriva. Elle fut completement ecrasee par les tonnes de roches.
Personne n'a rien pu faire. Lorsqu'ils ont remarque que la fille n'avait pas bouge, il etait trop tard. Ils etaient bien trop loin pour venir l'aider. Ils n'ont pu que voir la masse rocheuse tomber sur elle.Cet evenement s'est deroule des le debut de l'activite. Elle est decedee aux alentours de 10h.
Mais je crois connaitre l'heure exact. A mon avis, il etait 10h12.Que s'est-il vraiment passe pour que je me mette a pleurer tout seul ? Pourquoi ? Y a-t-il eu quelque chose qui a fait que j'ai pu ressentir ce drame ? Une sorte de communication avec l'ame de la fille et la mienne ?
N'etant pas croyant, je doute enormement, bien que c'est pour moi la seule explication qui me vient en tete.Sans mentir, en redigeant ce pave, 5 larmes me sont coules le long des joues. Aujourd'hui encore, 20 ans plus tard, en y repensant, les larmes viennent toutes seules.
Paix a son ame.Et je precise que c'est 100% nofake.
Données du topic
- Auteur
- Mercedes6X6
- Date de création
- 29 septembre 2021 à 21:13:07
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