A part la philosophie, l'histoire, les mathématiques et la théologie
Le 11 septembre 2021 à 18:37:34 :
Le 11 septembre 2021 à 18:36:01 :
Première hypothèse de la physique:
"Il existe des phénomènes reproductibles."
Sans la reproductibilité des phénomènes, la physique ne peut plus exister.
Or il n'a jamais été démontré qu'un quelconque phénomène était reproductible sinon à l'erreur des instruments de mesure prêt.J'ai beau être physicien, je dois bien reconnaître la physique incompétente.
La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
Et oui la science repose sur des postulats qui ne sont pas scientifique l'existence, la causalité, le principe de non contradiction, le sujet et la science dépend dans sa légitimité de la philosophie puisqu'elle argumente sur la méthode scientifique et les premiers principes de la raison
Le 11 septembre 2021 à 18:42:42 :
Le 11 septembre 2021 à 18:41:30 :
Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Le 11 septembre 2021 à 18:41:38 :
Le 11 septembre 2021 à 18:07:15 :
Le 11 septembre 2021 à 18:05:19 :
La physique ?Non, en physique tu ne démontre rien, tu te contente d'approximer des phénomènes et de calquer des modèles mathématiques au pif dessus
De plus il n'y a rien de plus golémique que d'étudier les lois physique crées par le démiurgeEn tout cas, Jacobi n'était pas de ton avis, ThetaDeJacobi
Jacobi était bon pour les intégrales elliptiques, pour le reste on repassera
Le 11 septembre 2021 à 18:43:28 :
Le 11 septembre 2021 à 18:42:42 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Bien sûr, certains faits font preuve d'une forte ténacité et leur prise ferme défie trop de variations théoriques. Ces faits forts définissent le noyau du paradigme scientifique actuel. Aujourd'hui, le Big Bang (cosmologie), le pouvoir prédictif de l'équation de Schrödinger (physique quantique) et l'évolution (biologie) sont des faits aussi forts. Mais le pouvoir prédictif de ces théories n'exclut pas la possibilité d'une meilleure explication future (une autre théorie) ouvrant de nouveaux horizons révélant des faits identiques ou plus visibles. Ces faits forts ne nous permettent donc en aucun cas de tirer des conclusions au-delà de leur horizon explicatif.
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Et que fais-tu de l'hypothèse du monde à ARN qui permet d'envisager des êtres vivants sans ADN à une époque plus primitive de la vie ?
Le 11 septembre 2021 à 18:45:13 :
Le 11 septembre 2021 à 18:43:28 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Bien sûr, certains faits font preuve d'une forte ténacité et leur prise ferme défie trop de variations théoriques. Ces faits forts définissent le noyau du paradigme scientifique actuel. Aujourd'hui, le Big Bang (cosmologie), le pouvoir prédictif de l'équation de Schrödinger (physique quantique) et l'évolution (biologie) sont des faits aussi forts. Mais le pouvoir prédictif de ces théories n'exclut pas la possibilité d'une meilleure explication future (une autre théorie) ouvrant de nouveaux horizons révélant des faits identiques ou plus visibles. Ces faits forts ne nous permettent donc en aucun cas de tirer des conclusions au-delà de leur horizon explicatif.
Sauf que ces fait ne sauteront pas (en tous cas, l'ADN ou l'évolution), ils peuvent faire parti d'un ensemble plus complexe et varié (ou peut-etre pas), mais ils existent dans des ensembles et ont été observés et réutilisés dans d'autre cadre d'application.
Du coup l'histoire du "vrai ou réfutée" est pour le coup une vision incomplète de la génération des connaissances.
Le 11 septembre 2021 à 18:47:37 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Bien sûr, certains faits font preuve d'une forte ténacité et leur prise ferme défie trop de variations théoriques. Ces faits forts définissent le noyau du paradigme scientifique actuel. Aujourd'hui, le Big Bang (cosmologie), le pouvoir prédictif de l'équation de Schrödinger (physique quantique) et l'évolution (biologie) sont des faits aussi forts. Mais le pouvoir prédictif de ces théories n'exclut pas la possibilité d'une meilleure explication future (une autre théorie) ouvrant de nouveaux horizons révélant des faits identiques ou plus visibles. Ces faits forts ne nous permettent donc en aucun cas de tirer des conclusions au-delà de leur horizon explicatif.
Sauf que ces fait ne sauteront pas (en tous cas, l'ADN ou l'évolution), ils peuvent faire parti d'un ensemble plus complexe et varié (ou peut-etre pas), mais ils existent dans des ensembles et ont été observés et réutilisés dans d'autre cadre d'application.
Du coup l'histoire du "vrai ou réfutée" est pour le coup une vision incomplète de la génération des connaissances.
Tu parles de faits là, pas de théories. L'ADN n'est pas une théorie scientifique. Donc si, le coup du "pas vrai seulement pas encore réfuté" est toujours valide
Le 11 septembre 2021 à 18:46:50 :
Le 11 septembre 2021 à 18:43:28 :
Le 11 septembre 2021 à 18:42:42 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Et que fais-tu de l'hypothèse du monde à ARN qui permet d'envisager des êtres vivants sans ADN à une époque plus primitive de la vie ?
C'est une jolie hypothèse à laquelle je suis assez en accord, étant néophyte de ce domaine.
Mais elle n'entre absolument pas en contradiction avec le fait qu’aujourd’hui, le vivant sur terre possède de l'ADN.
Le 11 septembre 2021 à 18:43:20 :
Plus golem que les religieux ça existe ? Tous les péchés capitaux sont là pour les empêcher de renverser les élites
C'est vraiment une conception naïve d'opposer la religion à la raison quand on sait que l'un des père de la science moderne est également le père du théisme contemporain
Leibniz était un authentique Rose-Croix et Newton épris d'alchimie qui a laissé des textes sur la magie naturelle
Le 11 septembre 2021 à 18:48:40 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Bien sûr, certains faits font preuve d'une forte ténacité et leur prise ferme défie trop de variations théoriques. Ces faits forts définissent le noyau du paradigme scientifique actuel. Aujourd'hui, le Big Bang (cosmologie), le pouvoir prédictif de l'équation de Schrödinger (physique quantique) et l'évolution (biologie) sont des faits aussi forts. Mais le pouvoir prédictif de ces théories n'exclut pas la possibilité d'une meilleure explication future (une autre théorie) ouvrant de nouveaux horizons révélant des faits identiques ou plus visibles. Ces faits forts ne nous permettent donc en aucun cas de tirer des conclusions au-delà de leur horizon explicatif.
Sauf que ces fait ne sauteront pas (en tous cas, l'ADN ou l'évolution), ils peuvent faire parti d'un ensemble plus complexe et varié (ou peut-etre pas), mais ils existent dans des ensembles et ont été observés et réutilisés dans d'autre cadre d'application.
Du coup l'histoire du "vrai ou réfutée" est pour le coup une vision incomplète de la génération des connaissances.
Tu parles de faits là, pas de théories. L'ADN n'est pas une théorie scientifique. Donc si, le coup du "pas vrai seulement pas encore réfuté" est toujours valide
Avant la démonstration de son existence et des travaux réalisés avec, l'ADN, son utilité pour l'organisme, l'organisation génomique, sa structure, tout ça étaient des théorie. Et ça ne date pas d''il y a si longtemps.
Le 11 septembre 2021 à 18:51:06 :
Le 11 septembre 2021 à 18:47:48 :
L'auteur tu m'as pas répondu sinon. Tu lis Feser, j'espère ?Pour l'instant je lis la somme théologique et j'ai pas encore fini
Je lis assez peu les auteurs contemporains mais je jetterai un coup d'œil
Puis foncer directement dans la Somme, tu dois pas tout saisir khey
Hésite pas à te pencher sur Feser
Ses ouvrages vont de l'introduction à l'Aquinate jusqu'au thomisme de pointe
Le 11 septembre 2021 à 18:51:13 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Bien sûr, certains faits font preuve d'une forte ténacité et leur prise ferme défie trop de variations théoriques. Ces faits forts définissent le noyau du paradigme scientifique actuel. Aujourd'hui, le Big Bang (cosmologie), le pouvoir prédictif de l'équation de Schrödinger (physique quantique) et l'évolution (biologie) sont des faits aussi forts. Mais le pouvoir prédictif de ces théories n'exclut pas la possibilité d'une meilleure explication future (une autre théorie) ouvrant de nouveaux horizons révélant des faits identiques ou plus visibles. Ces faits forts ne nous permettent donc en aucun cas de tirer des conclusions au-delà de leur horizon explicatif.
Sauf que ces fait ne sauteront pas (en tous cas, l'ADN ou l'évolution), ils peuvent faire parti d'un ensemble plus complexe et varié (ou peut-etre pas), mais ils existent dans des ensembles et ont été observés et réutilisés dans d'autre cadre d'application.
Du coup l'histoire du "vrai ou réfutée" est pour le coup une vision incomplète de la génération des connaissances.
Tu parles de faits là, pas de théories. L'ADN n'est pas une théorie scientifique. Donc si, le coup du "pas vrai seulement pas encore réfuté" est toujours valide
Avant la démonstration de son existence et des travaux réalisés avec, l'ADN, son utilité pour l'organisme, l'organisation génomique, sa structure, tout ça étaient des théorie. Et ça ne date pas d''il y a si longtemps.
Et toutes ces choses sont toujours des théories, qui décrivent un fait : l'ADN en soi, observé
Le 11 septembre 2021 à 18:49:04 :
Le 11 septembre 2021 à 18:46:50 :
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Le 11 septembre 2021 à 18:42:42 :
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Toute la science moderne n’a pas la moindre valeur de connaissance ; elle se base sur un renoncement formel à la connaissance au sens vrai. La force motrice et organisatrice de la science moderne ne dérive pas du tout de l’idéal de la connaissance, mais exclusivement de l’exigence pratique, et peut-on dire, de la volonté de puissance appliquée aux choses, à la nature. En dernière analyse, l’élan vers la connaissance s’est transformé en une impulsion à dominer, et c’est d’un scientifique, B. Russel, qu’on tient l’aveu que la science, de moyen de connaître le monde, est devenu un moyen de changer le monde.
Une théorie scientifique n'est jamais vraie, seulement pas encore réfutée
Sinon ça devient une connaissance. Genre la présence d'ADN chez les êtres vivants
Et que fais-tu de l'hypothèse du monde à ARN qui permet d'envisager des êtres vivants sans ADN à une époque plus primitive de la vie ?
C'est une jolie hypothèse à laquelle je suis assez en accord, étant néophyte de ce domaine.
Mais elle n'entre absolument pas en contradiction avec le fait qu’aujourd’hui, le vivant sur terre possède de l'ADN.
A condition de ne pas inclure les virus dans le vivant.
De plus, on ne peut pas asseoir définitivement ce fait tant qu'on a pas recensé et testé toutes les espèces vivantes présentes sur terre.
La seule chose que tu peux en fait affirmer est "tous les êtres vivants qui ont été observés possédaient de l'ADN.
De là à affirmer que tous les êtres vivants partagent cette propriété, on passe bien du fait à l'hypothèse.
Le 11 septembre 2021 à 18:50:43 Hamac5 a écrit :
Le 11 septembre 2021 à 18:43:20 :
Plus golem que les religieux ça existe ? Tous les péchés capitaux sont là pour les empêcher de renverser les élitesC'est vraiment une conception naïve d'opposer la religion à la raison quand on sait que l'un des père de la science moderne est également le père du théisme contemporain
Leibniz était un authentique Rose-Croix et Newton épris d'alchimie qui a laissé des textes sur la magie naturelle
On vit dans le meilleur des mondes possibles
Oui des nourrissons agonisent chaque jour dans un monde créé par un être bon et omnipotent mais c pck c'est le meilleur des mondes possibles
Oui les textes disent n'importe quoi mais c'est pck c'est des métaphores et des paraboles, en fait pour comprendre ce qu'un être omnipotent te raconte faut passer ta vie à rationaliser le texte et le lire dans sa langue originale
Données du topic
- Auteur
- ThetaDeJacobi
- Date de création
- 11 septembre 2021 à 18:03:25
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