#MoiJeNePassePas ce hashtag venu tout droit des enfers
SuppriméLe 11 juin 2021 à 16:40:25 :
Le 11 juin 2021 à 16:37:49 :
C'est le point de carambolage de toutes les pensées sur la transidentité. Ça questionne la légitimité / nécessité / pertinence du "passing" qui est le fait d'être perçu(e) comme du sexe opposé au tien quand tu t'identifies au genre opposé : en gros, si tu es né avec un corps de femme, qu'on te perçoive comme un homme ou vice versa.
C'est très intéressant à regarder parce qu'on voit bien que la notion de femme ou d'homme n'a ici plus le moindre sens. Et le concept de "je suis une femme dans un corps d'homme" (ou l'inverse) est aussi pertinent qu'un pet de vache.
Il y a des incohérences latentes, sous ces revendications. Et c'est très intéressant d'observer ce qui merde. Parce que d'un côté, tu as ces gens qui basent leur identité (homme, femme, non binaire...) sur des questions d'identification pure (je suis X parce que je m'identifie comme X). De l'autre, t'as toute une frange transidentitaire qui arguera quelque chose de plus social, des définitions qui passent par des valeurs, une apparence (Je suis X parce que mes comportements et mes valeurs sont ceux de X).
Bref, tout ce beau monde ne pourra pas s'entendre très longtemps. Car on ne peut pas faire graviter un activisme autour d'une définition intangible .
Tellement.
Déja, vouloir démédicalisé la dysphorie de genre, non mais a qui on a demandé l'avis ? Dysphorie de genre médical c'est le nom médical d'une souffrance psychologique, c'est un trouble rare.
Le soucis, c'est que les gens qui prennent la place publique, se disent trans, c'est qu'ils sont la a dire qu'il y'a rien de médical/scientifique blablabla, et donc logiquement on va finir par un arrêt total de soins/Traitement vu qu'ils vont réussir leur coup, c'est ce qui se produit ailleurs en Europe.
Tu m'étonne que les féministes pètent des câbles.
Ah ça. C'est un autre sujet
Le 11 juin 2021 à 16:40:00 :
Je comprend mieux les bac+5 etudes de genre, c'est pour comprendre des phrases comme :
- MoiJeNePassePas parce que je suis nb et que le passing nb même quand t'es androgyne ça existe pas aux yeux des gens
Et parce qu'en tant que xenogenre firegender si je veux un passing faut que je sois h48 enflammé
Nah pis le passing c'est mignon mais c'est claqué comme concept
Notroll vous conaissez des gens IRL avec twitter ?
Moi 1 seul et c'était un type super bizzare
de base, j'ai l'impression que les gens sur twitter, sont ceux qui faisaient parti de la fameuse bande de gens bizzare au collège/lycée, qui se sont uni pour subir moins.
Le 11 juin 2021 à 16:40:35 :
Le 11 juin 2021 à 16:39:24 :
Donnez leur des cours de genetique de base svpLa majorité des trans sont plus calés en endocrino, physio et anatomie génitale que le type ou la nana lambda
Ce serait une erreur de penser qu'ils sont profanes en la matière. Ils savent très bien ce qu'est un corps mâle et un corps femelle. Ils ne considèrent juste pas que ça te définit en tant qu'homme ou femme
Non mais là tu parles du trans normal qui sait très bien qu'il change de genre et pas de sexe, sinon il ne serait pas un LGB544D5+ , nous sur JVC on se fout de la gueule des tarés
Le 11 juin 2021 à 16:42:36 :
Le 11 juin 2021 à 16:40:35 :
Le 11 juin 2021 à 16:39:24 :
Donnez leur des cours de genetique de base svpLa majorité des trans sont plus calés en endocrino, physio et anatomie génitale que le type ou la nana lambda
Ce serait une erreur de penser qu'ils sont profanes en la matière. Ils savent très bien ce qu'est un corps mâle et un corps femelle. Ils ne considèrent juste pas que ça te définit en tant qu'homme ou femme
Non mais là tu parles du trans normal qui sait très bien qu'il change de genre et pas de sexe, sinon il ne serait pas un LGB544D5+ , nous sur JVC on se fout de la gueule des tarés
Chacun voit le taré à sa porte
Je suis non-binaire, j'ai pour l'instant les cheveux longs, je porte des jupes, des collants et des corsets
J'en suis pas moins non-binaire.
"Je ne me reconnais pas dans les normes genrées traditionnelles, mais je suis super féminine !"
Le 11 juin 2021 à 16:41:36 :
Le 11 juin 2021 à 16:40:25 :
Le 11 juin 2021 à 16:37:49 :
C'est le point de carambolage de toutes les pensées sur la transidentité. Ça questionne la légitimité / nécessité / pertinence du "passing" qui est le fait d'être perçu(e) comme du sexe opposé au tien quand tu t'identifies au genre opposé : en gros, si tu es né avec un corps de femme, qu'on te perçoive comme un homme ou vice versa.
C'est très intéressant à regarder parce qu'on voit bien que la notion de femme ou d'homme n'a ici plus le moindre sens. Et le concept de "je suis une femme dans un corps d'homme" (ou l'inverse) est aussi pertinent qu'un pet de vache.
Il y a des incohérences latentes, sous ces revendications. Et c'est très intéressant d'observer ce qui merde. Parce que d'un côté, tu as ces gens qui basent leur identité (homme, femme, non binaire...) sur des questions d'identification pure (je suis X parce que je m'identifie comme X). De l'autre, t'as toute une frange transidentitaire qui arguera quelque chose de plus social, des définitions qui passent par des valeurs, une apparence (Je suis X parce que mes comportements et mes valeurs sont ceux de X).
Bref, tout ce beau monde ne pourra pas s'entendre très longtemps. Car on ne peut pas faire graviter un activisme autour d'une définition intangible .
Tellement.
Déja, vouloir démédicalisé la dysphorie de genre, non mais a qui on a demandé l'avis ? Dysphorie de genre médical c'est le nom médical d'une souffrance psychologique, c'est un trouble rare.
Le soucis, c'est que les gens qui prennent la place publique, se disent trans, c'est qu'ils sont la a dire qu'il y'a rien de médical/scientifique blablabla, et donc logiquement on va finir par un arrêt total de soins/Traitement vu qu'ils vont réussir leur coup, c'est ce qui se produit ailleurs en Europe.
Tu m'étonne que les féministes pètent des câbles.
Ah ça. C'est un autre sujet
Non, on est au coeur du problème.
Il y'a un petit pourcentage de personne atteinte de dysphorie de genre. La médecine a prouvé son existence. En revanche elle a pas prouver l'existence des idéologie "non binaire / Transgenre " etc.
Et pourtant on range tout le monde dans la case trans en occident, depuis le mouvement woke et compagnie.
Enfin merde, le propre de la dysphorie de genre, c'est que justement quelqu'un "normal" ne peut PAS comprendre ce concept, sinon il serai lui même dysphorique de genre. On veut faire passer ça pour un choix alors que non.
C'est du meme niveau que si je pleurait car je voudrai etre un sayien mais que le destin en ait decider autrement
Le 11 juin 2021 à 16:42:22 :
Notroll vous conaissez des gens IRL avec twitter ?Moi 1 seul et c'était un type super bizzare
de base, j'ai l'impression que les gens sur twitter, sont ceux qui faisaient parti de la fameuse bande de gens bizzare au collège/lycée, qui se sont uni pour subir moins.
A part les wesh cassos au chomage, et les types bizarres qui sont tout le temps seul à la fac, je connais personne qui utilise twitter
Le 11 juin 2021 à 16:44:02 :
Le 11 juin 2021 à 16:41:36 :
Le 11 juin 2021 à 16:40:25 :
Le 11 juin 2021 à 16:37:49 :
C'est le point de carambolage de toutes les pensées sur la transidentité. Ça questionne la légitimité / nécessité / pertinence du "passing" qui est le fait d'être perçu(e) comme du sexe opposé au tien quand tu t'identifies au genre opposé : en gros, si tu es né avec un corps de femme, qu'on te perçoive comme un homme ou vice versa.
C'est très intéressant à regarder parce qu'on voit bien que la notion de femme ou d'homme n'a ici plus le moindre sens. Et le concept de "je suis une femme dans un corps d'homme" (ou l'inverse) est aussi pertinent qu'un pet de vache.
Il y a des incohérences latentes, sous ces revendications. Et c'est très intéressant d'observer ce qui merde. Parce que d'un côté, tu as ces gens qui basent leur identité (homme, femme, non binaire...) sur des questions d'identification pure (je suis X parce que je m'identifie comme X). De l'autre, t'as toute une frange transidentitaire qui arguera quelque chose de plus social, des définitions qui passent par des valeurs, une apparence (Je suis X parce que mes comportements et mes valeurs sont ceux de X).
Bref, tout ce beau monde ne pourra pas s'entendre très longtemps. Car on ne peut pas faire graviter un activisme autour d'une définition intangible .
Tellement.
Déja, vouloir démédicalisé la dysphorie de genre, non mais a qui on a demandé l'avis ? Dysphorie de genre médical c'est le nom médical d'une souffrance psychologique, c'est un trouble rare.
Le soucis, c'est que les gens qui prennent la place publique, se disent trans, c'est qu'ils sont la a dire qu'il y'a rien de médical/scientifique blablabla, et donc logiquement on va finir par un arrêt total de soins/Traitement vu qu'ils vont réussir leur coup, c'est ce qui se produit ailleurs en Europe.
Tu m'étonne que les féministes pètent des câbles.
Ah ça. C'est un autre sujet
Non, on est au coeur du problème.
Je parlais de la démédicalisation. Qui n'arrivera absolument jamais : quiconque a déjà eu une dysphorie de genre sait, au fond de ses tripes, que c'est un état qu'on ne souhaite à personne.
Il y'a un petit pourcentage de personne atteinte de dysphorie de genre. La médecine a prouvé son existence. En revanche elle a pas prouver l'existence des idéologie "non binaire / Transgenre " etc.
Et pourtant on range tout le monde dans la case trans en occident, depuis le mouvement woke et compagnie.
Enfin merde, le propre de la dysphorie de genre, c'est que justement quelqu'un "normal" ne peut PAS comprendre ce concept, sinon il serai lui même dysphorique de genre. On veut faire passer ça pour un choix alors que non.
Tu peux faire comprendre ce que tu ressens à quelqu'un qui n'est pas dysphorique. En revanche, oui, je suis d'accord que la majorité des "dysphorie" que tu vois au quotidien relèvent plus du complexe ou de la petite crise identitaire qu'autre chose.
Le 11 juin 2021 à 16:42:36 :
Le 11 juin 2021 à 16:40:35 :
Le 11 juin 2021 à 16:39:24 :
Donnez leur des cours de genetique de base svpLa majorité des trans sont plus calés en endocrino, physio et anatomie génitale que le type ou la nana lambda
Ce serait une erreur de penser qu'ils sont profanes en la matière. Ils savent très bien ce qu'est un corps mâle et un corps femelle. Ils ne considèrent juste pas que ça te définit en tant qu'homme ou femme
Non mais là tu parles du trans normal qui sait très bien qu'il change de genre et pas de sexe, sinon il ne serait pas un LGB544D5+ , nous sur JVC on se fout de la gueule des tarés
"Je suis pas genré je suis le feu"
Données du topic
- Auteur
- BALAVO_1125
- Date de création
- 11 juin 2021 à 16:04:14
- Date de suppression
- 11 juin 2021 à 16:54:32
- Supprimé par
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