Qu’est-ce qui vous ÉNERVE le plus dans les DÉBATS IRL ?
Les gens qui s’énervent.
Ils savent qu’ils sont en PLS sur le plan rhétorique, donc ils passent sur le registre émotionnel.
Le 05 mai 2021 à 17:58:52 :
Coupage de paroles (comme dans les débats tv), réponse par l'émotion et l'attaque perso avec absence totale de recul (=fermeture d'esprit) danss le but de décridibiliser non pas l'argment mais celui qui l'apportee...Le 05 mai 2021 à 18:00:33 :
Les gens qui s’énervent.Ils savent qu’ils sont en PLS sur le plan rhétorique, donc ils passent sur le registre émotionnel.
Vous avez tout résumé.
Rien de plus infernal que de débattre avec une personne qui passe plus de temps à hurler qu’à écouter.
1) La psychiatrisation de la pensée non conforme.
Par exemple, discréditer tout argument critique à l’égard des changements de populations et les conséquences civilisationnelles qui en découlent, en mettant de tels arguments sur le compte d’une « crispation » dont il faudrait étudier les causes, l’avantage d’une telle analyse étant bien entendu de pouvoir se dispenser de prendre au sérieux le contenu des objections et de repousser l’opinion exprimée comme si elle n’était rien d’autre que la manifestation d’un syndrome (« sentiment d’insécurité », « peur de l’islam », etc.). L’individu est ainsi dépossédé de son pouvoir d’argumentation : s’il dénonce l’insécurité, c’est qu’il souffre d’un « sentiment d’insécurité » ; s’il critique l’islam, c’est qu’il ressent une « peur de l’islam » qui est une phobie qui implique un traitement curatif.
2) Il y a aussi un sophisme répandu qu'il faut absolument déceler. Il consiste à contester l'existence d'une chose au prétexte qu'elle défie toute caractérisation globale. Par exemple
"- Qu'est-ce que la culture française ?
- *se perd dans des caractéristiques mineures, qui parfois sont loin d’être l’apanage de telle culture plutôt que de telle autre.*
- Tu vois c'est inconsistant "
Notons qu’il en va de même de l’identité personnelle. À la question « qui êtes-vous ? » je ne peux donner qu’une réponse superficielle. Par exemple je peux indiquer mon nom et ma profession, dire que je suis le fils d’un tel. Mais je ne me reconnais pas tout à fait dans cette présentation réductrice, car j’ai une intuition de ce qui fait de moi une personne singulière, intuition qui est inexprimable, parce que le sentiment d’exister pour moi-même est purement intérieur et se dénature quand je tente de l’extérioriser en une représentation.
La situation est analogue en ce qui concerne l’identité d’une civilisation. Dès que je tente d’en dérouler les codes et les valeurs, je rencontre des phénomènes d’importation et d’immixtion, un écheveau difficile à démêler. Et pourtant nous possédons notre culture de l’intérieur, comme une chose qui ne nous est pas étrangère.
3) Le schéma explicatif socio-constructiviste.
Une croyance naïve où le genre est une construction sociale, qu’il n’y a pas de différences entre les cerveaux des hommes et des femmes, que l’individu fait office de pâte à modeler infiniment modifiable au gré des changements de « normes » sociales ou, plus largement, de politique interventionniste (discrimination positive) etc.
Alors que pourtant, c’est rigoureusement faux dans les sociétés occidentales (hors exceptions notables de certains facteurs environnementaux importants et essentiels tels que les carences d’iode, les cas de dénutrition extrêmement sévères, ou encore de maltraitance infantile, qui de toutes manière ne sauraient constituer de grande différence statistique dans les pays développés pour les premiers, et pour le dernier s’avère en grande partie héritable, en plus d’être statistiquement rare).
Que l’on place la variable « éducation genrée » ou « discrimination genrée » dans l’une ou l’autre des catégories d’environnement partagé ou non-partagé, il apparaît que son effet causal est minime, et sa valeur nomologique prédictive, par voie de fait, parfaitement dérisoire pour prédire des inégalités H/F dans l’accomplissement professionnel, du niveau de revenu, etc – dès lors que ces inégalités dépendent causalement d’une distribution numérique inégale aux deux extrémités de la courbe d’un QI plus héréditaire que socialement acquis.
La meilleure explication de ce fait est que les personnes ayant un ou des « gènes du QI élevé » ont tendance à se placer dans des environnements plus enrichissants sur le plan cognitif que ceux qui sont moins génétiquement doués. Ces environnements stimulent le QI des gens, mais dès qu’ils peuvent choisir leurs propres environnements, les personnes génétiquement moins intelligentes choisissent des environnements qui correspondent à leur QI génotypique.
Certes, les parents peuvent aider leurs enfants pendant qu’ils sont à la maison, qui sont donc influencés en retour par cet environnement que leurs parents leur imposent, mais cela ne changera pas l’environnement que les enfants finiront par choisir pour eux-mêmes une fois qu’ils quitteront la maison, c’est-à-dire à l’âge adulte. Ces environnements refléteront en grande partie leur potentiel cognitif inné, plutôt que d’être les résultats de variables environnementales du type « famille pauvre » ou « éducation genrée ».
Cette interprétation est supportée par pleins d’autres preuves empiriques : il a été démontré que de nombreuses conditions environnementales connues pour avoir un impact sur l’intelligence, et qui sont en corrélation avec l’intelligence, telles que le statut socio-économique et le niveau d’éducation sont héritables doublé du fait que l’on prédit mieux des conditions socio-économiques et de leur variance inter-individuelle au moyen du QI que l’inverse.
Le 05 mai 2021 à 18:20:29 :
1) La psychiatrisation de la pensée non conforme.Par exemple, discréditer tout argument critique à l’égard des changements de populations et les conséquences civilisationnelles qui en découlent, en mettant de tels arguments sur le compte d’une « crispation » dont il faudrait étudier les causes, l’avantage d’une telle analyse étant bien entendu de pouvoir se dispenser de prendre au sérieux le contenu des objections et de repousser l’opinion exprimée comme si elle n’était rien d’autre que la manifestation d’un syndrome (« sentiment d’insécurité », « peur de l’islam », etc.). L’individu est ainsi dépossédé de son pouvoir d’argumentation : s’il dénonce l’insécurité, c’est qu’il souffre d’un « sentiment d’insécurité » ; s’il critique l’islam, c’est qu’il ressent une « peur de l’islam » qui est une phobie qui implique un traitement curatif.
2) Il y a aussi un sophisme répandu qu'il faut absolument déceler. Il consiste à contester l'existence d'une chose au prétexte qu'elle défie toute caractérisation globale. Par exemple
"- Qu'est-ce que la culture française ?
- *se perd dans des caractéristiques mineures, qui parfois sont loin d’être l’apanage de telle culture plutôt que de telle autre.*
- Tu vois c'est inconsistant "Notons qu’il en va de même de l’identité personnelle. À la question « qui êtes-vous ? » je ne peux donner qu’une réponse superficielle. Par exemple je peux indiquer mon nom et ma profession, dire que je suis le fils d’un tel. Mais je ne me reconnais pas tout à fait dans cette présentation réductrice, car j’ai une intuition de ce qui fait de moi une personne singulière, intuition qui est inexprimable, parce que le sentiment d’exister pour moi-même est purement intérieur et se dénature quand je tente de l’extérioriser en une représentation.
La situation est analogue en ce qui concerne l’identité d’une civilisation. Dès que je tente d’en dérouler les codes et les valeurs, je rencontre des phénomènes d’importation et d’immixtion, un écheveau difficile à démêler. Et pourtant nous possédons notre culture de l’intérieur, comme une chose qui ne nous est pas étrangère.
3) Le schéma explicatif socio-constructiviste.
Une croyance naïve où le genre est une construction sociale, qu’il n’y a pas de différences entre les cerveaux des hommes et des femmes, que l’individu fait office de pâte à modeler infiniment modifiable au gré des changements de « normes » sociales ou, plus largement, de politique interventionniste (discrimination positive) etc.
Alors que pourtant, c’est rigoureusement faux dans les sociétés occidentales (hors exceptions notables de certains facteurs environnementaux importants et essentiels tels que les carences d’iode, les cas de dénutrition extrêmement sévères, ou encore de maltraitance infantile, qui de toutes manière ne sauraient constituer de grande différence statistique dans les pays développés pour les premiers, et pour le dernier s’avère en grande partie héritable, en plus d’être statistiquement rare).
Que l’on place la variable « éducation genrée » ou « discrimination genrée » dans l’une ou l’autre des catégories d’environnement partagé ou non-partagé, il apparaît que son effet causal est minime, et sa valeur nomologique prédictive, par voie de fait, parfaitement dérisoire pour prédire des inégalités H/F dans l’accomplissement professionnel, du niveau de revenu, etc – dès lors que ces inégalités dépendent causalement d’une distribution numérique inégale aux deux extrémités de la courbe d’un QI plus héréditaire que socialement acquis.
La meilleure explication de ce fait est que les personnes ayant un ou des « gènes du QI élevé » ont tendance à se placer dans des environnements plus enrichissants sur le plan cognitif que ceux qui sont moins génétiquement doués. Ces environnements stimulent le QI des gens, mais dès qu’ils peuvent choisir leurs propres environnements, les personnes génétiquement moins intelligentes choisissent des environnements qui correspondent à leur QI génotypique.
Certes, les parents peuvent aider leurs enfants pendant qu’ils sont à la maison, qui sont donc influencés en retour par cet environnement que leurs parents leur imposent, mais cela ne changera pas l’environnement que les enfants finiront par choisir pour eux-mêmes une fois qu’ils quitteront la maison, c’est-à-dire à l’âge adulte. Ces environnements refléteront en grande partie leur potentiel cognitif inné, plutôt que d’être les résultats de variables environnementales du type « famille pauvre » ou « éducation genrée ».
Cette interprétation est supportée par pleins d’autres preuves empiriques : il a été démontré que de nombreuses conditions environnementales connues pour avoir un impact sur l’intelligence, et qui sont en corrélation avec l’intelligence, telles que le statut socio-économique et le niveau d’éducation sont héritables doublé du fait que l’on prédit mieux des conditions socio-économiques et de leur variance inter-individuelle au moyen du QI que l’inverse.
ce taux de bullshit typique du petit bras moyen
Données du topic
- Auteur
- vozon
- Date de création
- 5 mai 2021 à 17:48:53
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