"Tonton, je te hais"

Le 07 décembre 2020 à 11:05:07 Dangeur a écrit :
Merde je viens de lire celle des clones et c'est excellent l'op qui à sauvé ma mâtiné d'esclave

Avec plaisir Khey.

Vivement demain

Tes fics sont sur risific ?

Le 07 décembre 2020 à 11:39:04 KheyDeter0027 a écrit :
SWEEEET
Tu lis quoi comme bouquin de sf khey?

Je lis pas moi, j'écris

Le 07 décembre 2020 à 12:24:00 Pandora1205 a écrit :
Vivement demain

Tes fics sont sur risific ?

Je crois que le mec les a mis dessus, sans ma permission. Sachant que Risific c'est bourré de pubs, le mec se fait de l'argent avec le travail d'autrui, n'allez pas sur ce site.

Le 07 décembre 2020 à 16:58:27 VictorZolem a écrit :

Le 07 décembre 2020 à 11:39:04 KheyDeter0027 a écrit :
SWEEEET
Tu lis quoi comme bouquin de sf khey?

Je lis pas moi, j'écris

Le 07 décembre 2020 à 12:24:00 Pandora1205 a écrit :
Vivement demain

Tes fics sont sur risific ?

Je crois que le mec les a mis dessus, sans ma permission. Sachant que Risific c'est bourré de pubs, le mec se fait de l'argent avec le travail d'autrui, n'allez pas sur ce site.

Tu t'inspires bien de quelque chose, non?

Le 07 décembre 2020 à 17:43:42 KheyDeter0027 a écrit :

Le 07 décembre 2020 à 16:58:27 VictorZolem a écrit :

Le 07 décembre 2020 à 11:39:04 KheyDeter0027 a écrit :
SWEEEET
Tu lis quoi comme bouquin de sf khey?

Je lis pas moi, j'écris

Le 07 décembre 2020 à 12:24:00 Pandora1205 a écrit :
Vivement demain

Tes fics sont sur risific ?

Je crois que le mec les a mis dessus, sans ma permission. Sachant que Risific c'est bourré de pubs, le mec se fait de l'argent avec le travail d'autrui, n'allez pas sur ce site.

Tu t'inspires bien de quelque chose, non?

Pas du tout, j'improvise toujours mot pour mot, je ne sais jamais où je vais

Vous entrez en vitesse et pouvez voir dans le ciel un engin supersonique fendre le ciel, vous soupirez :

- Désolé, j’ai paniqué pour rien, à cette vitesse c’est impossible qu’ils nous repèrent. Mais c’est étrange, en courant dans le vaisseau j’ai l’impression d’avoir été très rapide.
- Souvenez-vous, vous n’avez plus vos jambes d’autrefois, elles ont été renforcées pour la gravité keplerienne.

Faram s’approche de vous et vous donne une petite aiguille :

- C’est une arme discrète, elle endormira n’importe quelle femme que tu piqueras avec.
- On n’arrête pas le progrès, Merci.

Vous vous mettez finalement en route avec Xerl, le numéro 6. C’est avec lui que vous vous entendez le mieux. Vous marchez durant plus d’une heure avant d’apercevoir une ville au loin, pleine de gratte-ciels.

« Nous sommes vraiment en France ? »

Xerl s’arrête là :

- Je suis content de t’avoir accompagné jusqu’ici, mais tu vas devoir continuer seul, mon physique me ferait repérer directement, seul toi peut passer inaperçu.
- Vraiment ? Les femmes ont le même physique qu’à mon époque ?
- Oui, une évolution physique ne peut pas se faire juste en quelques millénaires, c’est notre arrivée sur Kepler qui nous a rendue comme ça. Contacte le vaisseau dès que la station est mise en place, il te suffira juste d’appuyer là.

Il vous montre le fonctionnement de l’appareil, vous salue et retourne au vaisseau.

« Génial… Comment vais-je faire tout seul ? »

Vous avancez vers la ville, jusqu’à en être à l’entrée, vous voyez des femmes au loin qui ressemblent à celles que vous connaissiez, la majorité a les cheveux très courts. Il n’y a pas beaucoup de différences entre elles et vous. Rapidement vous passez une main sur votre visage, vous êtes déjà intégralement rasé.

« Très bien, allons-y. »

Vous avancez en vous fondant dans la masse, certaines femmes vous trouvent bizarre, mais vous comprenez rapidement qu’elles ne fixent pas votre visage mais vos vêtements.

« Zut… Quel abruti… »

Vous trouvez une ruelle isolée puis attendez une cible.

Une femme se montre, sans même lui laisser le temps de réagir vous prenez votre petite aiguille et lui plantez dans le dos. Elle tombe inconsciente, et vous la déshabillez malgré votre morale.

« Désolé, je n’ai pas le choix… Un peuple entier compte sur moi. »

Vous vous dépêchez pour ne pas attirer l’attention, vous voici maintenant travesti pour la première fois, vous vous sentez assez discret pour relâcher votre garde, et retournez sur une rue principale en admirant l’architecture.

« Où vais-je pouvoir installer la station… il me faudrait un lieu où personne ne va jamais. »

Vous vous rappelez une grotte où vous alliez avec votre père, très difficile d’accès et bien cachée, vous essayez de vous rappeler l’emplacement mais une femme vous interpelle :

- Excusez-moi, vous ne devriez pas rester là.

Vous sursautez et êtes étonnés de comprendre ses paroles, vous essayez de rétorquez avec une voix féminine :

- Désolé, je ne me sens pas très bien, je suis un peu perdu.
- Vraiment ? Ressaisissez-vous, le couvre-feu va tomber.

« Un couvre-feu ? Mais on est en plein jour ! »

- Oui, j’y vais.

La femme vous fixe en train de partir, vous ne savez pas vraiment ce qu’il va se passer mais vous comprenez que vous ferez mieux de ne pas rester à l’extérieur. Vous courez un peu plus loin du centre-ville jusqu’à remarquer une vieille demeure qui a l’air inhabitée. Elle est entièrement faite de béton fissuré comme toutes les habitations aux alentours.

Vous vous assurez que personne ne vous observe puis forcez sur la porte pour entrer. Vous sentez une vieille odeur de moisissure et recherchez autour de vous tout ce que vous pouvez trouver.

« Des stylos, des câbles électriques, un peu de papier illisible, du tissu, des objets métalliques… Rien d’intéressant. »

- Lâche-moi, espèce de garce ! Lâche-moi !

Les cris viennent de dehors, vous avancez à l’entrebâillement de la porte pour prendre des informations, vous voyez un homme hurler, attaché aux poignets par une femme. L’homme est comme vous, il n’a aucune modification physique. Vous ne comprenez pas et décidez de tirer cette affaire au clair, vous sortez et les suivez en silence durant plusieurs minutes.

La femme ouvre une porte en tapant un digicode, vous n’avez pas le droit de les perdre de vue, sans réfléchir, vous sprintez puis plantez votre aiguille dans la cuisse de la femme.

Le prisonnier sursaute, regarde la femme et sol puis vous demande, surpris :

- Pourquoi m’avez-vous aidé ?
- Je suis là pour vous sauver.

Il remarque directement à votre voix que vous êtes un homme :

- C’est impossible, pourquoi êtes-vous en liberté ?

Vous n’avez pas de temps à perdre avec les détails et allez droit au but :

- Je viens de Kepler.
- Kepler ? Vraiment ? Mais non, c’est impossible.
- Je vous dis la vérité, je suis venu libérer la Terre des femmes.

Vous entrez tout de même dans le bâtiment protégé puis tirez l’homme avec vous, il a des sortes de cordes métalliques aux poignets :

- Comment je vous enlève ça ?
- C’est impossible, une fois que c’est mis, je ne peux pas les retirer.

Vous cherchez à comprendre d’où il vient :

- Je pensais qu’il n’y avait plus d’hommes sur Terre.
- Et moi, je pensais que les kepleriens ne nous ressemblaient plus.
- Je suis un terrien. Mon histoire est difficile à expliquer, mais vous devez m’aider à comprendre ce qu’il se passe ici.
- Je suis un reproducteur.
- Pardon ?
- Je fais partie des hommes qui sont élevés uniquement pour féconder les femmes.
- C’est une blague ?

Il vous tire dans un coin de la pièce avec ses mains attachées :

- Chut, nous devons rester discrets. Je me demande comment vous avez réussi à parvenir jusqu’ici sans vous faire prendre, les femmes n’ont tellement pas l’habitude de voir un homme en liberté qu’elles ne vous ont pas remarqué, j’imagine.

Vous essayez tout de même de lui enlever ses liens, en vain :

- Vous allez devoir rester attaché un moment, je vais vous amener avec moi. Vos informations nous serons utiles.
- On va se faire repérer, nous sommes en plein couvre-feu.
- Mais nous sommes en plein jour.
- Tous les jours, après le zénith, les femmes doivent rester chez elles, et le trafic d’hommes à lieu à ce moment-là.

Vous entendez des cris d’homme venant du sous-sol du bâtiment, il reprend :

- Quoi qu’il en soit, vous avez raison, on ne peut pas rester ici.
- On sort et on fonce vers la sortie de la ville.
- Il n’y a pas grand monde en extérieur lors du couvre-feu, si nous nous dépêchons, nous pouvons réussir.

Vous lui demandez :

- Quel est votre nom ?
- Arnaud.

« C’est une blague ? »

Le 08 décembre 2020 à 11:10:56 Celestin-roi10 a écrit :
C'est boxxy avec un filtre faceapp ?

L'un des seuls stickers qui me convenait pour le personnage