Vos plus grosses branlettes/baises de la honte
Mais putin ...
Le 23 novembre 2020 à 12:14:57 Accidentin- a écrit :
Le 22 novembre 2020 à 00:32:44 Fenrisulfr2 a écrit :
Je sais plus si je l'avais raconté, mais je me souviens d'une soirée DOOMEDUne meuf que je m'étais déjà tapé, un peu ronde mais assez fraîche, folle de cul et des pipes, mais des pipes
Bref quelques mois passent, peut-être un an, je change de ville, d'appart', d'études, à un moment je reviens visiter des potes, j'en profite pour faire le tour des plans cul
Je lui demande par sms sans passer par quatre chemins si elle est deter pour que je la bouillave le soir même. La réponse ne se fait pas tarder "Ok, sois chez moi à 23h"
Je passe une bonne soirée avec les potes, puis l'heure s'approchant, je me mets en route
Sur le chemin je lui demande si elle a toujours sa robe de la dernière fois (qui était assez provoc mais qui faisait le taf: dedans, elle déclenchait chez moi une gaule en béton armé). Premier mauvais signe/signe chelou: "Euh non, je crois que je l'ai jeté"Je me demande qui jette ses robes, mais bon. Toujours par sms je me rends compte qu'elle est pas dans le meilleur des moods (c'est un euphémisme), s'excuse du fait que son appart' est rangé (je lui dis que je m'en branle, j'en ai vu d'autres). Elle me prévient qu'elle est complètement défoncée (avec son humeur pas ouf, ça commence un peu à faire effet douche froide).
Du coup je bloque un peu et lui demande si ça vaut la peine que je finisse la route, mi blasé mi vener: elle insiste, me dit qu'elle veut quand même qu'on se chope, mais qu'elle est pas au sommet de se forme).
A ce moment-là, je suis à 30 sec de sa cité U et mon instinct me dit de rebrousser chemin et de rentrer chez les copains. Je sais pas, je la connaissais très peu, mais l'intuition qu'un truc moche se préparait était forte.
Mais bon, on est tous un peu pareils la teub au garde à vous: c'est pas le meilleur moment pour refonder la mécanique des fluides. Je décide d'osef, arrive, sonne en bas, monte.Dès le couloir y a quelque chose qui cloche. Ça pue un truc rance et plus je m'approche de sa porte plus ça refoule. Je croise les doigts en espérant que cette immondice provienne de chez l'un de ses voisins, frappe à la porte, m'entend répondre que c'est ouvert: je pousse la porte.
Bingo. Je bouffe un véritable mur de puanteur (l'odeur était physique, je vous jure) en pleine gueule. Ça daube la merde de chat à en gerber sur place. Par ailleurs je ne peux même pas ouvrir la porte en entier vu le nombre de décombres dans son studio: pas un seul coin où poser les pieds n'est visible. En forçant un peu j'arrive à faire juste assez d'espace pour passer entre le mur et le battant de la porte. Je referme, manque de marcher dans un étron
Puis je la vois elle. Clairement elle a pas jeté sa robe, c'est juste qu'elle peut plus la mettre, aucune hésitation possible. Elle a littéralement quasi-doublé de volume. J'ai pas grand chose contre les filles rondes, certaines sont très mignonnes, mais à là elle n'est vraiment NI ronde NI mignonne. On est plus proche du Metamorph. Tout déborde, elle fait giga-négligée, sa peau est grisâtre. Non seulement c'est un instant cockblock, mais ça fait pas quinze secondes que je suis chez elle que j'ai déjà envie de me barrer en courant sans même avoir dit bonjour.
Je prends sur moi, lui dit bonjour. La discussion qui s'ensuit est giga-malaisante: au téléphone, elle a commencé chaude comme jamais, là elle reste coite, fixée sur son pétard, sans même essayer de croiser mon regard. Je suis vraiment pas à l'aise, j'essaie de prendre des informations, mais ses réponses sont monosyllabiques.
Dans ma tête à ce moment la ken est annulée et je suis en train de calculer combien de temps je mets de chez elle à prendre le bus pour pas attendre dans le froid (on est en hiver).Vu qu'elle ne faisait pas vraiment d'efforts pour relancer la discussion, je me dis que je vais capitaliser sur un silence pesant pour inventer une excuse et m'esquiver. Au moment où j'allais enfin balancer la meilleure excuse inventable par un esprit humain dans pareil moment pour décarrer fissa, elle me sort: "Tu veux fumer?"
J'accepte, me disant que je serais pas venu pour rien. Mauvais choix encore: elle avait roulé une monstruosité avec du shit d'une qualité jamais vue encore (le truc devait avoir traîné dans les égouts, pas possible autrement, et devait surtout être coupé à quelque chose qui avait passé un pacte avec le diable). A peine le temps d'écraser et je prends un sale coup dans la nuque, commence à peiner pour réfléchir, psychote à l'idée qu'elle voie que je suis pas ienb. C'est simple, je bascule dans un bad trip alors que la situation à la base était déjà un putain de BAD TRIP.
A force de psychoter j'oublie complètement les bus. Quand je regarde l'heure, le dernier est déjà passé depuis dix bonnes minutes. Autant dire que je suis FUCKED. Je vais devoir passer la nuit ici. Problème: j'ai ZERO envie de la baiser. Mais vu comment la communication était difficile avant même la défonce, vu comment on est pris dans la boucle "j'suis gêné parce que ça daube sa race et que c'est un giga-cageot" > "elle est gênée parce qu'elle sait que je sais" > "j'suis encore plus gêné parce qu'elle sait que je sais"
A un moment, je me dis "ALLEZ POUR LA FRANCE", décide de torcher ça et l'embrasse, histoire de me pieuter le plus rapidement possible. En termes d'interaction j'ai l'impression de galocher un mur, en termes de ressenti j'ai l'impression de sucer un phoque. Pour ne rien arranger, elle a une haleine de mort (pas une expression hein, une haleine de cadavre qui a bien commencé à se décomposer). On commence à se peloter (le toucher stimule pas beaucoup plus que l'odeur et le goût, bordel c'est un cauchemar), je me raccroche au fait qu'elle a la chatte en feu à travers son joggos: en faisant abstraction, j'arrive péniblement à une demi-molle.
Je me dis que c'est un début et adopte la méthode "Contre mauvaise fortune bon coeur" en lui arrachant ses vêtements histoire de l'exciter, m'exciter, bref faire en sorte que tout se passe plus vite. Ça marche en partie, puisqu'elle m'enlève mon jean, mon boxer, puis me repousse sur le lit et entreprend de m'enfourcher.
Sauf qu'elle pèse une tonne et qu'elle m'écrase. Littéralement, j'étouffe dès qu'elle redescend. Dans un moment de battement, je vois une sortie d'urgence, lui prend une jambe, tente de la retourner (un bestiau pareil, j'ai naïvement cru pouvoir la manier). Après cinq secondes de bug, je lui dis "Mets-toi à quatre pattes", elle obtempère.
A ce moment je me dis que c'est la dernière ligne droite. Je la culbute comme le dernier des bonobos avec l'objectif de gicler comme le premier des précoces. Je ferme les yeux pour tenter de plus voir son cul moche, cet appart qui ressemble à une décharge, j'essaie d'oublier cette odeur de mort. J'arrête même de respirer (même respirer par la bouche me dégoûte à ce niveau-là). Sauf qu'à force de m'agiter, je finis par tourner de l'oeil. Je fais une sale chute de tension, je vois gris.
Sans trop réaliser ce qui m'arrive et le souffle court, je me retire et tombe à moitié sur son côté. J'ai la tête qui tourne, elle calcule rien de ce qui m'arrive mais je m'en fous. L'incident m'a fait débander d'un coup. Aucune idée de comment je m'y retrouve, mais je fini allongé sur le dos après une mini perte de connaissance.
Et quand je reprends le peu d'esprit que le Tchernobyl n'a pas volé, je constate avec effroi qu'elle n'a pas lâché l'affaire malgré mon coma express: elle est en train de me tripoter la teub. Je prends alors une décision très mature, très responsable: je fais semblant de dormir en priant tous les dieux que je connais qu'elle croie que je me suis turbo-assoupi.
Sauf qu'elle s'en tamponne la chatte, visiblement, et elle continue de me branler (alors que ma teub décolle pas, mais alors, du tout). Survient alors une scène surréaliste: devant mon manque de vigueur et mon manque (manifeste bordel de merde, j'étais censé dormir) d'entrain, elle prend mon sexe mou dans sa bouche d'ogresse, et j'ai droit à la première (et j'espère, dernière) fellation flaccide de ma vie. Ça dure relativement longtemps, mais au bout de trente secondes à astiquer de la viande morte, elle a un instant d'incertitude et rejette, dépitée, ma bite sur mon bide.
Et,sans un mot, va éteindre la lumière. ENFIN PUTAIN JE VAIS POUVOIR DORMIR UN PEU ET ME BARRER COMME UN LÂCHE
Sauf qu'une fois couchée, elle prend petit à petit TOUTE la couverture. Et je suis pile dans l'axe du vieux courant d'air qui se faufile par le volet flingué. J'ai dû passer une bonne heure à essayer de dormir en me pelant les couilles (au sens propre) tout en endurant ses ronflements de Shrek et la puanteur ambiante.
Le lendemain dès que j'ai ouvert l'oeil, j'ai remis mes fringues en quatrième vitesse (j'ai laissé une chaussette là-bas de peur qu'on se croise au réveil) et j'ai tracé ma route sans demander mon reste.
La walk of shame qui s'est ensuivie était phénoménale. J'ai chopé la crève pour faire bonne mesure
Alors en soit c'est pas de la honte car je suis fier de ma copine de 180 Kgs mais on aime bien essayer des choses et expérimenter on a plus au moins le même fétichisme le Feederisme, elle prend du poids volontairement et moi je suis assez maigre 75 Kgs pour 1m85 et on s'adonne a des séances de Squashing ou elle m'écrase de tout son poids, me frappe avec son ventre énorme etc... une fois c'est complètement partis en couille elle m'a proposé des glaçons a faire fondre sur mon corp et le sien du coup j'ai dis WTF mais Ok ça a commencé Soft avec un cube de glace et elle me massais avec le glaçon fondait lentement et ça chatouillait puis je sais pas ce qui s'est passé dans la tête de ma copine mais elle a carrément posé le sachet de glaçon sur mes couilles et elle a soulever son ventre massif pour le balancer de toute ses force sur mes couilles Bordel les Kheys vous pouvez pas imaginer comme c'était terrible je me retrouvais avec un paquet de glaçon compressé sur mes couilles par un ventre qui doit peser a lui seul près de 100kgs J'ai hurlé et je me suis retrouvé avec les couilles rouges et gonflée pendant 2 semaines
Voilà je pense que c'est le truc le plus honteux qui m'est arrivé récemment
Le 05 décembre 2020 à 00:51:07 zezen- a écrit :
Mais putin ...Le 23 novembre 2020 à 12:14:57 Accidentin- a écrit :
Le 22 novembre 2020 à 00:32:44 Fenrisulfr2 a écrit :
Je sais plus si je l'avais raconté, mais je me souviens d'une soirée DOOMEDUne meuf que je m'étais déjà tapé, un peu ronde mais assez fraîche, folle de cul et des pipes, mais des pipes
Bref quelques mois passent, peut-être un an, je change de ville, d'appart', d'études, à un moment je reviens visiter des potes, j'en profite pour faire le tour des plans cul
Je lui demande par sms sans passer par quatre chemins si elle est deter pour que je la bouillave le soir même. La réponse ne se fait pas tarder "Ok, sois chez moi à 23h"
Je passe une bonne soirée avec les potes, puis l'heure s'approchant, je me mets en route
Sur le chemin je lui demande si elle a toujours sa robe de la dernière fois (qui était assez provoc mais qui faisait le taf: dedans, elle déclenchait chez moi une gaule en béton armé). Premier mauvais signe/signe chelou: "Euh non, je crois que je l'ai jeté"Je me demande qui jette ses robes, mais bon. Toujours par sms je me rends compte qu'elle est pas dans le meilleur des moods (c'est un euphémisme), s'excuse du fait que son appart' est rangé (je lui dis que je m'en branle, j'en ai vu d'autres). Elle me prévient qu'elle est complètement défoncée (avec son humeur pas ouf, ça commence un peu à faire effet douche froide).
Du coup je bloque un peu et lui demande si ça vaut la peine que je finisse la route, mi blasé mi vener: elle insiste, me dit qu'elle veut quand même qu'on se chope, mais qu'elle est pas au sommet de se forme).
A ce moment-là, je suis à 30 sec de sa cité U et mon instinct me dit de rebrousser chemin et de rentrer chez les copains. Je sais pas, je la connaissais très peu, mais l'intuition qu'un truc moche se préparait était forte.
Mais bon, on est tous un peu pareils la teub au garde à vous: c'est pas le meilleur moment pour refonder la mécanique des fluides. Je décide d'osef, arrive, sonne en bas, monte.Dès le couloir y a quelque chose qui cloche. Ça pue un truc rance et plus je m'approche de sa porte plus ça refoule. Je croise les doigts en espérant que cette immondice provienne de chez l'un de ses voisins, frappe à la porte, m'entend répondre que c'est ouvert: je pousse la porte.
Bingo. Je bouffe un véritable mur de puanteur (l'odeur était physique, je vous jure) en pleine gueule. Ça daube la merde de chat à en gerber sur place. Par ailleurs je ne peux même pas ouvrir la porte en entier vu le nombre de décombres dans son studio: pas un seul coin où poser les pieds n'est visible. En forçant un peu j'arrive à faire juste assez d'espace pour passer entre le mur et le battant de la porte. Je referme, manque de marcher dans un étron
Puis je la vois elle. Clairement elle a pas jeté sa robe, c'est juste qu'elle peut plus la mettre, aucune hésitation possible. Elle a littéralement quasi-doublé de volume. J'ai pas grand chose contre les filles rondes, certaines sont très mignonnes, mais à là elle n'est vraiment NI ronde NI mignonne. On est plus proche du Metamorph. Tout déborde, elle fait giga-négligée, sa peau est grisâtre. Non seulement c'est un instant cockblock, mais ça fait pas quinze secondes que je suis chez elle que j'ai déjà envie de me barrer en courant sans même avoir dit bonjour.
Je prends sur moi, lui dit bonjour. La discussion qui s'ensuit est giga-malaisante: au téléphone, elle a commencé chaude comme jamais, là elle reste coite, fixée sur son pétard, sans même essayer de croiser mon regard. Je suis vraiment pas à l'aise, j'essaie de prendre des informations, mais ses réponses sont monosyllabiques.
Dans ma tête à ce moment la ken est annulée et je suis en train de calculer combien de temps je mets de chez elle à prendre le bus pour pas attendre dans le froid (on est en hiver).Vu qu'elle ne faisait pas vraiment d'efforts pour relancer la discussion, je me dis que je vais capitaliser sur un silence pesant pour inventer une excuse et m'esquiver. Au moment où j'allais enfin balancer la meilleure excuse inventable par un esprit humain dans pareil moment pour décarrer fissa, elle me sort: "Tu veux fumer?"
J'accepte, me disant que je serais pas venu pour rien. Mauvais choix encore: elle avait roulé une monstruosité avec du shit d'une qualité jamais vue encore (le truc devait avoir traîné dans les égouts, pas possible autrement, et devait surtout être coupé à quelque chose qui avait passé un pacte avec le diable). A peine le temps d'écraser et je prends un sale coup dans la nuque, commence à peiner pour réfléchir, psychote à l'idée qu'elle voie que je suis pas ienb. C'est simple, je bascule dans un bad trip alors que la situation à la base était déjà un putain de BAD TRIP.
A force de psychoter j'oublie complètement les bus. Quand je regarde l'heure, le dernier est déjà passé depuis dix bonnes minutes. Autant dire que je suis FUCKED. Je vais devoir passer la nuit ici. Problème: j'ai ZERO envie de la baiser. Mais vu comment la communication était difficile avant même la défonce, vu comment on est pris dans la boucle "j'suis gêné parce que ça daube sa race et que c'est un giga-cageot" > "elle est gênée parce qu'elle sait que je sais" > "j'suis encore plus gêné parce qu'elle sait que je sais"
A un moment, je me dis "ALLEZ POUR LA FRANCE", décide de torcher ça et l'embrasse, histoire de me pieuter le plus rapidement possible. En termes d'interaction j'ai l'impression de galocher un mur, en termes de ressenti j'ai l'impression de sucer un phoque. Pour ne rien arranger, elle a une haleine de mort (pas une expression hein, une haleine de cadavre qui a bien commencé à se décomposer). On commence à se peloter (le toucher stimule pas beaucoup plus que l'odeur et le goût, bordel c'est un cauchemar), je me raccroche au fait qu'elle a la chatte en feu à travers son joggos: en faisant abstraction, j'arrive péniblement à une demi-molle.
Je me dis que c'est un début et adopte la méthode "Contre mauvaise fortune bon coeur" en lui arrachant ses vêtements histoire de l'exciter, m'exciter, bref faire en sorte que tout se passe plus vite. Ça marche en partie, puisqu'elle m'enlève mon jean, mon boxer, puis me repousse sur le lit et entreprend de m'enfourcher.
Sauf qu'elle pèse une tonne et qu'elle m'écrase. Littéralement, j'étouffe dès qu'elle redescend. Dans un moment de battement, je vois une sortie d'urgence, lui prend une jambe, tente de la retourner (un bestiau pareil, j'ai naïvement cru pouvoir la manier). Après cinq secondes de bug, je lui dis "Mets-toi à quatre pattes", elle obtempère.
A ce moment je me dis que c'est la dernière ligne droite. Je la culbute comme le dernier des bonobos avec l'objectif de gicler comme le premier des précoces. Je ferme les yeux pour tenter de plus voir son cul moche, cet appart qui ressemble à une décharge, j'essaie d'oublier cette odeur de mort. J'arrête même de respirer (même respirer par la bouche me dégoûte à ce niveau-là). Sauf qu'à force de m'agiter, je finis par tourner de l'oeil. Je fais une sale chute de tension, je vois gris.
Sans trop réaliser ce qui m'arrive et le souffle court, je me retire et tombe à moitié sur son côté. J'ai la tête qui tourne, elle calcule rien de ce qui m'arrive mais je m'en fous. L'incident m'a fait débander d'un coup. Aucune idée de comment je m'y retrouve, mais je fini allongé sur le dos après une mini perte de connaissance.
Et quand je reprends le peu d'esprit que le Tchernobyl n'a pas volé, je constate avec effroi qu'elle n'a pas lâché l'affaire malgré mon coma express: elle est en train de me tripoter la teub. Je prends alors une décision très mature, très responsable: je fais semblant de dormir en priant tous les dieux que je connais qu'elle croie que je me suis turbo-assoupi.
Sauf qu'elle s'en tamponne la chatte, visiblement, et elle continue de me branler (alors que ma teub décolle pas, mais alors, du tout). Survient alors une scène surréaliste: devant mon manque de vigueur et mon manque (manifeste bordel de merde, j'étais censé dormir) d'entrain, elle prend mon sexe mou dans sa bouche d'ogresse, et j'ai droit à la première (et j'espère, dernière) fellation flaccide de ma vie. Ça dure relativement longtemps, mais au bout de trente secondes à astiquer de la viande morte, elle a un instant d'incertitude et rejette, dépitée, ma bite sur mon bide.
Et,sans un mot, va éteindre la lumière. ENFIN PUTAIN JE VAIS POUVOIR DORMIR UN PEU ET ME BARRER COMME UN LÂCHE
Sauf qu'une fois couchée, elle prend petit à petit TOUTE la couverture. Et je suis pile dans l'axe du vieux courant d'air qui se faufile par le volet flingué. J'ai dû passer une bonne heure à essayer de dormir en me pelant les couilles (au sens propre) tout en endurant ses ronflements de Shrek et la puanteur ambiante.
Le lendemain dès que j'ai ouvert l'oeil, j'ai remis mes fringues en quatrième vitesse (j'ai laissé une chaussette là-bas de peur qu'on se croise au réveil) et j'ai tracé ma route sans demander mon reste.
La walk of shame qui s'est ensuivie était phénoménale. J'ai chopé la crève pour faire bonne mesure
Ma pire baise de la honte.
C'est un peu dans le titre, tavu.
Données du topic
- Auteur
- Raoultenbtwin
- Date de création
- 21 novembre 2020 à 21:49:27
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