"Le masque, Hervé, c'est une prescription médicale ?"

Le 06 octobre 2020 à 15:30:20 KryptonGuy a écrit :
Il y a réellement des high QI sur ce forum , toujours les bonnes idées

La moyenne basse du fofo mon khey

Je suis le seul quinqua ayant le corona, on va voir si papy tiens le choc !

.........

Bien, je vois que vous connaissez les gestes barrière par coeur, Georges ?

Oui parce que j'avais un peu de mal à comprendre, je n'ai pas trouvé la barrière en question donc je ne sais pas quel geste faire

Georges j'ai demandé tout à l'heure si y'avait des questions, c'était à ce moment-la qu'il fallait en profiter donc j'ai bien peur que çe soit trop tard

Le 06 octobre 2020 à 16:13:44 RugbyClocher a écrit :
Au final, ce reportage date de quelle année ?

2011

Le 06 octobre 2020 à 15:23:56 MilouDominateur a écrit :
Vous êtes plutôt à l'aise sans masque ?

Ah mais je peux avoir un masque, un sac sur la tête, peu importe

On va finir par nous confondre avec le KKK

Comme vous l'avez remarqué... Il y a deux qui personnes qui nous ont quitté
C'est toujours un peu malheureux quand quelqu'un nous quitte mais c'est la loi du genre...

Le 06 octobre 2020 à 15:23:56 MilouDominateur a écrit :
Vous êtes plutôt à l'aise sans masque ?

Ah mais je peux avoir un masque, un sac sur la tête, peu importe

On va finir par nous confondre avec le KKK

Excellent

Du coup, je me remate pour la 5ème fois le reportage en mangeant là

Le 06 octobre 2020 à 20:04:44 PaienDeter a écrit :

Le 06 octobre 2020 à 15:23:56 MilouDominateur a écrit :
Vous êtes plutôt à l'aise sans masque ?

Ah mais je peux avoir un masque, un sac sur la tête, peu importe

On va finir par nous confondre avec le KKK

Excellent

Du coup, je me remate pour la 5ème fois le reportage en mangeant là

J'en suis à 5 fois moi aussi

Tout y est dans ce reportage.

La délégué régionale regard nerveux masculiniste qui surjoue la méchanceté et la virilité mais qui montre en cercle corporate lors des délibérations qu'elle est hystérique et perchée, certainement sous calmant ou antidépresseurs avec une vie familiale chaotique. Elle est en mode automatique on voit bien que son libre arbitre n'existe plus.

Le mec à lunettes aux yeux globuleux full dissocié et sans empathie qui a certainement été un fragilux bolossé toute sa scolarité et fayot de première, qui désormais s'arc boute derriere une facade psycho rigide et un regard vide pour donner l'impression qu'il est apte à la team virile et psycho tant appréciée dans les hautes sphères managériales. Le regard "macron" bien maitrisé, il sème suffisamment le doute pour qu'on lui donne du crédit.

Le consultant black du cabinet de recrutement, rompu aux méthodes américaines, sûr de lui et gros self control, misogyne non dévoilé, influencé par Pape Diouf et les dictateurs africains, légèrement psychopathique et sans aucune espèce d'empathie non plus, et qui n'a certainement aucune experience réelle dans le vrai monde du travail mais qui en connait tous les codes psychologiques, préservé qu'il est de la pression opérationnelle.
C'est certainement celui qui gagne le mieux sa vie. Et forcé de constater que c'est aussi celui qui a le plus les pieds sur terre des 5, même si il surjoue le côté désagréable et top down pour justifier son taux journalier.

Le manager 45+ à cravate autoritaire et costume aussi gris que sa pensée (ni bonne ni mauvaise) qui fait office de référence pour les autres, mais qui finalement n'a de respect que pour ceux qui lui rentrent dedans (cf son petit clash avec Gerard qu'il tente de sauver par la suite), le parfait exemple du faux dur qui ne respecte que les durs mais qui a rien dans le froc. Le middle manager parfait.

La potiche blonde à gros nichons qui n'a a peu près rien à dire mais que tout le monde respecte pour son incroyable capacité à subjuguer les males dominants par la possibilité eventuelle de finir en 5 à 7 avec elle et qui donc a suffisamment de légende et d'histoire de Q autour d'elle avec des grands managers du groupe pour que personne ne prenne en compte son avis mais ne la remette en question pour autant.

Un groupe de 5 qui finalement une fois réunis entre eux ont l'air moins intelligents et pragmatiques que les candidats eux mêmes.

Une entreprise qui a visiblement déshumanisé et désincarné totalement son personnel avec des cadres paumés qui se font donner la leçon par un consultant qui arrive avec son prêt-à-penser et prêt-à-recruter pseudo moderne (el famoso Pape Diouf du ressourcing). Les gimmick du no-CV et des mises en situations à la Milgram qui donnent l'impression "qu'on se sent moderne et sans pitié"

Une grille salariale tupperware.

Un groupe de candidat plutôt sympathique, et dans l'ensemble avec une vraie maitrise de leur savoir faire et un charisme certain en dehors de 3 ou 4 gars et une fille (qu'il fallait exclure rapidement):
_ Le jeune à la mauvaise diction qui est là par hasard et fait tâche.
_ Le turbo mongole sûr de lui aux cheveux gras plaqués gominés qui se prend pour le roi du pétrole et critique tout le monde car il a été meilleur vendeur de chaussettes dans la boite PME où il a bossé de son CAP force de vente jusqu'à ses 40 ans. Il ne peut pas s'empêcher de balancer un pathétique "vous le regretterez" avant de partir. On imagine assez bien que ce genre d'electron libre formaté aurait pas tenu plus de 3 semaines avec un manager GAN "corporate" donc piquant et provocateur vu l'état d'esprit général des cadres que présente ce reportage.
_ L'asiatique perché qui a la fibre Weller, complètement hors sujet et dans sa bulle narcissique, très certainement fils unique pourri gâté et full égocentrique, masquant finalement assez mal son manque de compétence ultime en tous domaines.
_ La très mignonne (et finalement recrutée) et courageuse 30+ à la nuque courte qu'on sent tout de suite insecure et beaucoup trop gentille pour ce monde là, mais qui le masque avec toute l'énergie d'une mère au chomage mariée à un desco du BTP. Elle me fait beaucoup de peine celle ci, je l'aurai bien mariée et sécurisée.

Et tous ceux qui restent, même ceux qui Déprime-Quit dès le début, sont à mon avis d'excellent commerciaux qui auraient fait le taff sans aucun soucis et auraient été recrutés easy dans un process normal.

Evidemment il y a l'ovni Gerard, charisme incroyable, grosse maitrise communicationnelle, rompu à la dominance de groupe et donc au management efficace, qui ferait le bonheur de n'importe quelle grosse boite, mais qui visiblement est dans une position attentiste et ne sait pas se mettre sur les bons réseaux de recrutement pour rebondir, ce qui est dommage pour lui.
Evidemment dans un panier de paumés complexés et sous payés pareil il renvoit de la rage à tout le monde, mais ça c'est la France 2020, la prime aux "malléables" et aux "interchangeables".
Il devrait se vendre beaucoup plus cher et sur des postes beaucoup plus élevés, et si j'avais été côté recruteur du GAN, je l'aurai pris sans soucis pour un essai et pourquoi pas le faire grimper ensuite, ils sont vraiment débiles, vu la période d'essai et le salaire minable proposer, de pas avoir tenté le coup.
D'autant qu'il aurait pu poser sa chemise et changer sa cravate pour prendre la place du chef de groupe d'en face que le recrutement aurait été plus efficace, même sans rien connaitre aux assurances.
Au final, ils auront quand même réussi à embaucher le Grec timide et posé au collier de barbe, ce qui pour le prix de la session en équivalent temps plein et consultant compris (je dirais au bas mot 10 000 euros chargés), donne un rapport qualité prix des plus minables jamais vu pour un recrutement.

On comprend mieux la pauvreté de la grille salariale, pour le coup.

Pour finir, Hervé était à mon avis de loin le meilleur pour vendre des assurances, car on sent qu'il a une intelligence interpersonnelle au dessus de la moyenne et qu'il sait être "humain" et "resilient" face à ces robots du recrutement en meute. Devant n'importe quel type de client ou classe sociale il aurait sû trouver les mots étant donné qu'un mec comme cela fonctionne à la confiance et au respect, ce qui est la qualité principale d'un commercial en assurance.

Le 06 octobre 2020 à 21:31:33 StopRacisme23 a écrit :
Tout y est dans ce reportage.

La délégué régionale regard nerveux masculiniste qui surjoue la méchanceté et la virilité mais qui montre en cercle corporate lors des délibérations qu'elle est hystérique et perchée, certainement sous calmant ou antidépresseurs avec une vie familiale chaotique. Elle est en mode automatique on voit bien que son libre arbitre n'existe plus.

Le mec à lunettes aux yeux globuleux full dissocié et sans empathie qui a certainement été un fragilux bolossé toute sa scolarité et fayot de première, qui désormais s'arc boute derriere une facade psycho rigide et un regard vide pour donner l'impression qu'il est apte à la team virile et psycho tant appréciée dans les hautes sphères managériales. Le regard "macron" bien maitrisé, il sème suffisamment le doute pour qu'on lui donne du crédit.

Le consultant black du cabinet de recrutement, rompu aux méthodes américaines, sûr de lui et gros self control, misogyne non dévoilé, influencé par Pape Diouf et les dictateurs africains, légèrement psychopathique et sans aucune espèce d'empathie non plus, et qui n'a certainement aucune experience réelle dans le vrai monde du travail mais qui en connait tous les codes psychologiques, préservé qu'il est de la pression opérationnelle.
C'est certainement celui qui gagne le mieux sa vie. Et forcé de constater que c'est aussi celui qui a le plus les pieds sur terre des 5, même si il surjoue le côté désagréable et top down pour justifier son taux journalier.

Le manager 45+ à cravate autoritaire et costume aussi gris que sa pensée (ni bonne ni mauvaise) qui fait office de référence pour les autres, mais qui finalement n'a de respect que pour ceux qui lui rentrent dedans (cf son petit clash avec Gerard qu'il tente de sauver par la suite), le parfait exemple du faux dur qui ne respecte que les durs mais qui a rien dans le froc. Le middle manager parfait.

La potiche blonde à gros nichons qui n'a a peu près rien à dire mais que tout le monde respecte pour son incroyable capacité à subjuguer les males dominants par la possibilité eventuelle de finir en 5 à 7 avec elle et qui donc a suffisamment de légende et d'histoire de Q autour d'elle avec des grands managers du groupe pour que personne ne prenne en compte son avis mais ne la remette en question pour autant.

Un groupe de 5 qui finalement une fois réunis entre eux ont l'air moins intelligents et pragmatiques que les candidats eux mêmes.

Une entreprise qui a visiblement déshumanisé et désincarné totalement son personnel avec des cadres paumés qui se font donner la leçon par un consultant qui arrive avec son prêt-à-penser et prêt-à-recruter pseudo moderne (el famoso Pape Diouf du ressourcing). Les gimmick du no-CV et des mises en situations à la Milgram qui donnent l'impression "qu'on se sent moderne et sans pitié"

Une grille salariale tupperware.

Un groupe de candidat plutôt sympathique, et dans l'ensemble avec une vraie maitrise de leur savoir faire et un charisme certain en dehors de 3 ou 4 gars et une fille (qu'il fallait exclure rapidement):
_ Le jeune à la mauvaise diction qui est là par hasard et fait tâche.
_ Le turbo mongole sûr de lui aux cheveux gras plaqués gominés qui se prend pour le roi du pétrole et critique tout le monde car il a été meilleur vendeur de chaussettes dans la boite PME où il a bossé de son CAP force de vente jusqu'à ses 40 ans. Il ne peut pas s'empêcher de balancer un pathétique "vous le regretterez" avant de partir. On imagine assez bien que ce genre d'electron libre formaté aurait pas tenu plus de 3 semaines avec un manager GAN "corporate" donc piquant et provocateur vu l'état d'esprit général des cadres que présente ce reportage.
_ L'asiatique perché qui a la fibre Weller, complètement hors sujet et dans sa bulle narcissique, très certainement fils unique pourri gâté et full égocentrique, masquant finalement assez mal son manque de compétence ultime en tous domaines.
_ La très mignonne (et finalement recrutée) et courageuse 30+ à la nuque courte qu'on sent tout de suite insecure et beaucoup trop gentille pour ce monde là, mais qui le masque avec toute l'énergie d'une mère au chomage mariée à un desco du BTP. Elle me fait beaucoup de peine celle ci, je l'aurai bien mariée et sécurisée.

Et tous ceux qui restent, même ceux qui Déprime-Quit dès le début, sont à mon avis d'excellent commerciaux qui auraient fait le taff sans aucun soucis et auraient été recrutés easy dans un process normal.

Evidemment il y a l'ovni Gerard, charisme incroyable, grosse maitrise communicationnelle, rompu à la dominance de groupe et donc au management efficace, qui ferait le bonheur de n'importe quelle grosse boite, mais qui visiblement est dans une position attentiste et ne sait pas se mettre sur les bons réseaux de recrutement pour rebondir, ce qui est dommage pour lui.
Evidemment dans un panier de paumés complexés et sous payés pareil il renvoit de la rage à tout le monde, mais ça c'est la France 2020, la prime aux "malléables" et aux "interchangeables".
Il devrait se vendre beaucoup plus cher et sur des postes beaucoup plus élevés, et si j'avais été côté recruteur du GAN, je l'aurai pris sans soucis pour un essai et pourquoi pas le faire grimper ensuite, ils sont vraiment débiles, vu la période d'essai et le salaire minable proposer, de pas avoir tenté le coup.
D'autant qu'il aurait pu poser sa chemise et changer sa cravate pour prendre la place du chef de groupe d'en face que le recrutement aurait été plus efficace, même sans rien connaitre aux assurances.
Au final, ils auront quand même réussi à embaucher le Grec timide et posé au collier de barbe, ce qui pour le prix de la session en équivalent temps plein et consultant compris (je dirais au bas mot 10 000 euros chargés), donne un rapport qualité prix des plus minables jamais vu pour un recrutement.

On comprend mieux la pauvreté de la grille salariale, pour le coup.

Pour finir, Hervé était à mon avis de loin le meilleur pour vendre des assurances, car on sent qu'il a une intelligence interpersonnelle au dessus de la moyenne et qu'il sait être "humain" et "resilient" face à ces robots du recrutement en meute. Devant n'importe quel type de client ou classe sociale il aurait sû trouver les mots étant donné qu'un mec comme cela fonctionne à la confiance et au respect, ce qui est la qualité principale d'un commercial en assurance.

J'ai lu attentivement ton pavé, excellente analyse clé

Le 06 octobre 2020 à 21:53:10 ChariotArgente a écrit :
Le pavé "Tout y est"

bordel faut le ressortir à chaque topic celui-là