J'arrête l’HISTOIRE

L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Sinon on est d'accord pour le reste, même si la vie paysanne en France était pas si mauvaise que tu le dis. Tu pouvais même couiller l'aristocratie locale à un moment.

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Le 09 octobre 2019 à 19:30:09 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Ah. Je compatis pour tes ancêtres.

Le 09 octobre 2019 à 19:31:49 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:30:09 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Ah. Je compatis pour tes ancêtres.

Merci clé A l'ouest la paysannerie avait peut-être un sort matériel meilleur, mais au fond mon message ne change pas : ils étaient en général illettrés, ils n'étaient certainement pas aux côtés de Napoléon ou de Louis XIV. A notre époque tout le monde peut vivre des choses inouïes, peut-être par proxy, mais c'est toujours bien mieux que de ne rien vivre du tout

"Je lis beaucoup de sophismes dans ce que tu écris."

Dextre en une phrase.

Le 09 octobre 2019 à 19:11:32 SemiBanc a écrit :
Des conflits, des guerres, une mode de vie unique
Voir toutes tes récoltes être consommés par une bande de soldats qui se prendront une dérouillée tôt ou tard. Voir ton église se faire démolir pour des questions de religions. Voir tes chefs se faire découper le poignet par César car ils ont eu la force de s'insurger contre son emprise despotique sur la belle Gaule. Quel belle vie.

Le 09 octobre 2019 à 19:14:37 SemiBanc a écrit :
Vivre sous l'époque des chasseurs cueuilleurs, c'est pas un souci. Mais le reste... Le début des fortifications contre les truands, l'établissement de sociétés de plus en plus inégalitaires au fur et à mesure que les sociétés sont de plus en plus organisés... Le début du temps libre qui diminue petit à petit...

Le 09 octobre 2019 à 19:17:09 SemiBanc a écrit :
Franchement ici vous valorisez trop la guerre. Vous êtes encore dans le point de vue de ces anciens qui vénéraient des dieux guerriers et des figures à la Héraclès. On peut les admirer, mais non chercher à les ressembler. La guerre n'apporte qu'infâmie, désordre, misère et expropriation. Surtout qu'elle a changé de nature de nos jours...

Vous vous êtes bien fait ramollir le cerveau.

La guerre, c’est la sortie de l’ordinaire pour l’extraordinaire, « la continuation de la politique par d’autres moyens » comme disait Clausewitz.

Il n’y a que les faibles pour désirer la paix, la douceur, le confort, l’immobilisme, le plaisir est un désir d’animal.

Certes, on aurait pu ne pas se battre, baiser toute la journée, bouffer en jouant du tam-tam dans nos cases et ne pas inventer la roue.

Mais je me fais une autre idée du destin humain et de la grandeur.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille.

Le 09 octobre 2019 à 19:35:21 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:31:49 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:30:09 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Ah. Je compatis pour tes ancêtres.

Merci clé A l'ouest la paysannerie avait peut-être un sort matériel meilleur, mais au fond mon message ne change pas : ils étaient en général illettrés, ils n'étaient certainement pas aux côtés de Napoléon ou de Louis XIV. A notre époque tout le monde peut vivre des choses inouïes, peut-être par proxy, mais c'est toujours bien mieux que de ne rien vivre du tout

« Par proxy »

Derrière un écran oui, dans ta tête.

À une époque où l’on meurt assisté par les antalgiques, où l’on meurt même avant de naître, qui peut se prévaloir de vivre réellement ?

Sans épreuve la vie ne vaut rien, le prix que tu lui donnes est ce que tu es prêt à sacrifier.

Le 09 octobre 2019 à 19:36:45 Isseo a écrit :
"Je lis beaucoup de sophismes dans ce que tu écris."

Dextre en une phrase.

Je montre ses sophismes après, et toi, quels arguments as-tu à donner ?

Là c’est pareil, tu t’attaques à la personne et pas à ses idées, c’est humainement lâché et intellectuellement bas.

Le 09 octobre 2019 à 19:54:41 Dextre218 a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:35:21 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:31:49 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:30:09 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Ah. Je compatis pour tes ancêtres.

Merci clé A l'ouest la paysannerie avait peut-être un sort matériel meilleur, mais au fond mon message ne change pas : ils étaient en général illettrés, ils n'étaient certainement pas aux côtés de Napoléon ou de Louis XIV. A notre époque tout le monde peut vivre des choses inouïes, peut-être par proxy, mais c'est toujours bien mieux que de ne rien vivre du tout

« Par proxy »

Derrière un écran oui, dans ta tête.

À une époque où l’on meurt assisté par les antalgiques, où l’on meurt même avant de naître, qui peut se prévaloir de vivre réellement ?

Sans épreuve la vie ne vaut rien, le prix que tu lui donnes est ce que tu es prêt à sacrifier.

Parce que tu préfères mourir à 30 ans après avoir passé l'entièreté de ta courte vie à labourer ton maigre champ? C'est ce genre d'épreuves qui donnent du goût à la vie? Ou tu es persuadé que si tu vivais au 18e, ce serait forcément parmi les rares aux côtés de Napoléon?

Le 09 octobre 2019 à 20:24:32 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:54:41 Dextre218 a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:35:21 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:31:49 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:30:09 aibicidi a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:28:48 SemiBanc a écrit :

Le 09 octobre 2019 à 19:27:53 aibicidi a écrit :
L'entièreté de mes ancêtres jusqu'au 20e siècle a très certainement pataugé dans la boue et la MERDE pour laborieusement pondre une fournée d'avortons qui perpétueraient la servitude millénaire des paysans à l'aristocrate local. Je viens de l'est mais ce fut en gros du même acabit ici.

A notre époque en Europe, chaque plébéien a la chance inouïe de vivre l'histoire en la lisant. On peut partir dans des élucubrations philosophiques à dire que tu aurais encore préféré ignorer ce que tu peux rater dans la vie réelle, mais moi je suis bien content d'être éduqué, et je suis bien content de pouvoir lire à propos des exploits de 1000 hommes plutôt que de mourir comme chair à canon ignorante et remplaçable pour l'un d'eux

Où dans l'Est ?

Ukraine de l'est, Russie

Ah. Je compatis pour tes ancêtres.

Merci clé A l'ouest la paysannerie avait peut-être un sort matériel meilleur, mais au fond mon message ne change pas : ils étaient en général illettrés, ils n'étaient certainement pas aux côtés de Napoléon ou de Louis XIV. A notre époque tout le monde peut vivre des choses inouïes, peut-être par proxy, mais c'est toujours bien mieux que de ne rien vivre du tout

« Par proxy »

Derrière un écran oui, dans ta tête.

À une époque où l’on meurt assisté par les antalgiques, où l’on meurt même avant de naître, qui peut se prévaloir de vivre réellement ?

Sans épreuve la vie ne vaut rien, le prix que tu lui donnes est ce que tu es prêt à sacrifier.

Parce que tu préfères mourir à 30 ans après avoir passé l'entièreté de ta courte vie à labourer ton maigre champ? C'est ce genre d'épreuves qui donnent du goût à la vie? Ou tu es persuadé que si tu vivais au 18e, ce serait forcément parmi les rares aux côtés de Napoléon?

Réponse 1.

Au général Clarcke
Votre neveu Elliot a été tué sur le champ de bataille d'Arcole. Ce jeune s'était familiarisé avec les armes, il a plusieurs fois marché à la tête des colonnes ; il aurait été un jour un officier estimable. Il est mort avec gloire et en face de l'ennemi ; il n'a pas souffert un instant. Quel est l'homme raisonnable qui n'envierait pas une telle mort ? Quel est celui qui, dans les vicissitudes de la vie, ne s'abonnerait pas pour sortir de cette manière d'un monde si souvent méprisable ? Quel est celui d'entre nous qui n'a pas regretté cent fois de ne pas être ainsi soustrait aux effets puissant de la calomnie, de l'envie et de toutes passions haineuses qui semblent presque exclusivement diriger la conduite des hommes ?

A la citoyene Brueys
Votre Mari a été tué d'un coup de canon, en combattant à son bord. Il est mort sans souffrir et de la mort la plus douce, la plus enviée par les militaires.

Je sens vivement votre douleur. Le moment qui nous sépare de l'objet que nous aimons est terrible ; il nous isole de la terre ; il fait éprouver au corps les convulsions de l'agonie. Les facultés de l'âme sont anéanties ; elle ne conserve de relations avec l'univers qu'au travers d'un cauchemar qui altère tout. L'on sent dans cette situation que, si rien ne nous obligeait à vivre, il vaudrait beaucoup mieux mourir. Mais lorsque, après cette première pensée, l'on presse des enfants sur son cœur, des larmes, des sentiments tendres raniment la nature, et l'on vit pour ses enfants ; oui, Madame, vous pleurerez avec eux, vous élèverez leur enfance, cultiverez leur jeunesse ; vous leur parlerez de leur père, de votre douleur, de la perte qu'il ont faite, de celle qu'à faite la République

Après avoir rattaché votre âme au monde par l'amour filial et l'amour maternel, appréciez pour quelque chose l'amitié et le vif intérêt que je prendrai toujours à la femme de mon ami. persuadez-vous qu'il est des hommes en petit nombre, qui méritent d'être l'espoir de la douleur parce qu'ils sentent avec chaleur les peines de l'âme.

correspodance du général Bonaparte en 1797 pendant la campagne d'Italie

Le 08 octobre 2019 à 14:18:58 :
Lis "collapse" de jared diamond.

Quand on étudie l'histoire sous le prisme de la géographie, du climat et de la géologie (minerais et énergies fossiles disponibles à quel endroit et en quelle quantité) on se rend compte qu'on est des putain de fourmis, et que notre "volonté" ou nos idéaux ne sont rien face à notre environnement, qui est le moteur de tous nos grands choix

https://youtu.be/_htiWxfVMkw?t=189

Le 08 octobre 2019 à 15:20:47 :

Le 08 octobre 2019 à 15:11:51 Dextre133 a écrit :

Le 08 octobre 2019 à 15:07:01 Maison_Velaryon a écrit :

Le 08 octobre 2019 à 15:01:46 Dextre133 a écrit :

Le 08 octobre 2019 à 14:56:10 Maison_Velaryon a écrit :

Le 08 octobre 2019 à 14:51:04 Dextre133 a écrit :

Le 08 octobre 2019 à 14:49:24 Allowinus a écrit :
Pourrais-tu conseiller des bouquins pour ceux qui débutent l'histoire ?

Histoire de France de Jacques Bainville.

Ah oui d'accord, le mec a juste 100 ans de retard sur la recherche historique actuelle, c'est bien ce que je disais, les droitards vivent dans les mythes.

« Pour ceux qui débutent l’histoire »

T’as un problème mental qui consiste à éliminer toute une partie du texte que tu as en face des yeux.

Tu as de la chance, l’esprit de synthèse ça s’acquiert avec le travail.

Le problème c'est que ce n'est absolument pas le meilleur point d’entrée donnant un angle suffisamment contemporain de la recherche... Le roman national n'a plus aucune valeur, le livre de Jacques Bainville est à son tour un objet Historique marquant un courant de l'historiographie française... Lire ça en 2019 c'est perdre son temps.

Tout comme les histoires de France contemporaine seront, sinon moquées, du mois à leur tour des illustrations de l’historiographie françaises.

Le livre de Bainville a le mérite d’être synthétique, bien écrit, de couvrir toute l’histoire de France à l’époque où il a été écrit, de donner envie d’en savoir davantage, de faire aimer l’histoire, et d’être exempt de la mentalité repentante des universitaires actuels.

Si tu parles des livres de Deutsch et autres faquins se prenant pour des historiens je ne peux que te donner raison, il faut bien se souvenir que Bainville était surtout un journaliste, fréquentant les milieux royalistes de l'époque.

Pour ce qui est de l'histoire produite aujourd'hui, ça dépend, il y aura des travaux caducs, et d'autres qui auront amené des avancées dans le courant... L'école des annales a transformée les façons de faire de l'Histoire, et qu'on le veuille ou non elle a énormément "débloqué" l'état végétatif dans lequel se trouvait la discipline. Aujourd'hui l'Histoire est fondamentalement influencée par l'Anthropologie, il n y a pas mieux que la méthode de retrait du chercheur (par rapport au fait historique) pour parler d'Histoire.

https://www.jeuxvideo.com/forums/42-34-59469118-1-0-1-0-le-meiilleur-livre-sur-l-histoire-de-france.htm la PLS a déja été acté pour les Anti-Bainville.