Vos pires MALAISES au COLLÈGE / LYCÉE
SuppriméBon j'en ai une pas mal qui vient en tête
On partait en classe de neige, je vois deux potes au loin, je me dis qu'il faut mettre l'ambiance avant le trajet en bus
Et je leur sors l'équivalent du "on part pas en savoie nous ??? " de 2014, c'est-à-dire "wesh wesh la mif c tipar en voie-sa la ?" d'une manière ultra reloue en plus
C'était la daronne de mon pote
Mon pote ultra gêné, sa mère encore plus, j'ai essayé de béayer un truc mais c'était ridicule
Qui plus est j'étais pas le plus sociable des mecs du collège quoi
Le 14 juin 2018 à 04:37:04 []LF[] a écrit :
Bon j'en ai une pas mal qui vient en têteOn partait en classe de neige, je vois deux potes au loin, je me dis qu'il faut mettre l'ambiance avant le trajet en bus
Et je leur sors l'équivalent du "on part pas en savoie nous ??? " de 2014, c'est-à-dire "wesh wesh la mif c tipar en voie-sa la ?" d'une manière ultra reloue en plus
C'était la daronne de mon pote
Mon pote ultra gêné, sa mère encore plus, j'ai essayé de béayer un truc mais c'était ridicule
Qui plus est j'étais pas le plus sociable des mecs du collège quoi
franchement regarde les autre malaise tu va relativisé là c'est juste un petit moment un peu gênant en comparaison de certain
Le 14 juin 2018 à 04:16:06 SoulMakossa a écrit :
Le 14 juin 2018 à 04:13:50 SpiceTravel a écrit :
Le 14 juin 2018 à 04:02:57 SoulMakossa a écrit :
Le 14 juin 2018 à 03:56:38 RobotGladossss a écrit :
Le 14 juin 2018 à 03:54:49 SoulMakossa a écrit :
J'étais en 4ème, ma seule année de collège en dehors de La Courneuve pour " m'éviter de mal tourner" dixit les profs de 5èmePour resituer un peu le contexte et expliquer aux pyj qui n'ont pas connu cette fabuleuse époque post émeutes 2005 en banlieue, les ZEP de La Courneuve c'était vraiment ghetto
Comme j'étais plutôt pas trop con et que je faisais pas trop parler de moi au collège ( El famoso technique d'être suffisament intelligent pour pas se faire cramer ) les profs ont décidé d'encourager ma mère à me mettre en internat pour un an afin que je puisse changer d'air et faire " de brillantes études"
J'arrive donc aux environs de Provins dans un collège de blancs, pour beaucoup fils de paysans
D'ailleurs no fake le père d'un type de ma classe venait le chercher en tracteurBref j'arrive donc dans un univers clairement différent de celui de la Courneuve, tout se passe bien jusqu'au moment où un random du fond de la classe ne vient plus, passe deux jours puis un semaine complète et un matin le Principal vient dans la classe faire un speech.
"Jeunes gens, votre camarade X ne reviendra plus"
J'étais tellement habitué aux vannes qu'ont lâché dans la street que du tac au tac j'ai sorti un " Il est mort ou quoi ce fragile?"
Je vous laisse imaginer le blanc qui s'en est suivi, puis de ma réputation jusqu'à la fin de cette année
putain le malaise de fou t'es trop con putain
J'étais jeune et j'imaginais vraiment pas qu'il était mort
Et puis le principal a pas pris un ton hyper grave pour dire ça, ça laissait planer le douteEn général quand le principal se pointe lui même c'est pas pour annoncer qu'il a la grippe
C'est pour ça que j'ai recontextualiser l'artiste
A la Courneuve il venait tous les deux jours annoncés les exclusions, ceux qui étaient incarcérés, placé en mesure d'éloignement etc
C'est la ZEP frero
Le 14 juin 2018 à 04:52:25 l2imss a écrit :
Le 14 juin 2018 à 04:16:06 SoulMakossa a écrit :
Le 14 juin 2018 à 04:13:50 SpiceTravel a écrit :
Le 14 juin 2018 à 04:02:57 SoulMakossa a écrit :
Le 14 juin 2018 à 03:56:38 RobotGladossss a écrit :
Le 14 juin 2018 à 03:54:49 SoulMakossa a écrit :
J'étais en 4ème, ma seule année de collège en dehors de La Courneuve pour " m'éviter de mal tourner" dixit les profs de 5èmePour resituer un peu le contexte et expliquer aux pyj qui n'ont pas connu cette fabuleuse époque post émeutes 2005 en banlieue, les ZEP de La Courneuve c'était vraiment ghetto
Comme j'étais plutôt pas trop con et que je faisais pas trop parler de moi au collège ( El famoso technique d'être suffisament intelligent pour pas se faire cramer ) les profs ont décidé d'encourager ma mère à me mettre en internat pour un an afin que je puisse changer d'air et faire " de brillantes études"
J'arrive donc aux environs de Provins dans un collège de blancs, pour beaucoup fils de paysans
D'ailleurs no fake le père d'un type de ma classe venait le chercher en tracteurBref j'arrive donc dans un univers clairement différent de celui de la Courneuve, tout se passe bien jusqu'au moment où un random du fond de la classe ne vient plus, passe deux jours puis un semaine complète et un matin le Principal vient dans la classe faire un speech.
"Jeunes gens, votre camarade X ne reviendra plus"
J'étais tellement habitué aux vannes qu'ont lâché dans la street que du tac au tac j'ai sorti un " Il est mort ou quoi ce fragile?"
Je vous laisse imaginer le blanc qui s'en est suivi, puis de ma réputation jusqu'à la fin de cette année
putain le malaise de fou t'es trop con putain
J'étais jeune et j'imaginais vraiment pas qu'il était mort
Et puis le principal a pas pris un ton hyper grave pour dire ça, ça laissait planer le douteEn général quand le principal se pointe lui même c'est pas pour annoncer qu'il a la grippe
C'est pour ça que j'ai recontextualiser l'artiste
A la Courneuve il venait tous les deux jours annoncés les exclusions, ceux qui étaient incarcérés, placé en mesure d'éloignement etcC'est la ZEP frero
A l'époque c'était le pire de France avec ceux des quartiers nord à Marseille
En 5 ème je crois, je venais de faire un foot avant de rentrer en cours et j'etais tomber au foot sur le cul alors j'avais putain de mal
Le cours commence à passé tranquille est un pote me demande pourquoi je gesticule comme sa tout le monde parlais donc on s'entendais pas
Je lui répete parce que je me suis fais mal au cul au foot il entend pas
Donc je crie j'ai mal au cul bien fort pour qu'il entende
Sauf que y a eu un grand silence au meme moement et la j'ai senti le malaise arrivé vu que la prof venait d'entrer
Au lycée les seuls malaise qui me viennent c'est faire la bise à une fille qui ressemblait à une pote Et les gens qui me disent bonjour en disant mon prénom alors que j'ai aucun souvenir d'eux
Surtout au collège que j'étais un célestin
Après à partir de la première je suis devenu yes life
Le 14 juin 2018 à 04:41:06 Mac-Issou a écrit :
Ok moi c'était a la rentrée,on devait accueilir notre nouveau prof d'espagnol
Le principal nous dit "M.Lapeyre est en retard il ne vas pas tarder a arrivé"En tant que bon collégien blagueur je lance un "La paire,y'en a pas 2 !"
A 3h du mat je me barre de la soirée pour rentrer chez moi, sauf que je suis passé devant chez elle
Étant amoureux comme pas possible, et surtout n'ayant pas les idées claires j'ai décidé de lui faire passer "un message"
Jai donc pris une craie et jai commencé a marquer son nom 40 putain de fois devant chez elle, devant sa porte sur les murs
Putain quel con je vous assure, jy ai passé 40 min a faire ça et c'est qu'après que je me suis rendu compte que ça faisait psychopathe
Je me suis barré discretos, javais un espoir quelle trouve ça "mignon" et que elle revienne vers moi
Sa a pas loupé, le lendemain son frère (qui etait mon pote aussi hein ) mappelle pour me voir, il était bizarre mais jai rien dis , jai fait genre de rien
Jai fait lerreur de le dire a un seul pote, et cest parti en couilles, tout le monde l'a su, ses potes me traitaient de psychopathe
Sa mère a limite failli porter plainte, elle a flippée
Et quand la fille en question l'a su, elle ma dit que ça allait plus être possible
Voilà, j'ai essayé d'être romantique, mais on écrit devant la barraque de la fille qu'on aime et on se sent ÉQUILIBRÉ
Lycée cours de Français. On devait lire un livre (choix libre) par mois et on avait interro dessus.
Avec mon pote 5minutes avec le début du cours, on invente un livre, un titre, les héros etccc....
On raconte un truc badass mais facile à retenir. L'interro se passe 1 semaine après le prof rend les copies (il les rendait de la pire note à la meilleure). J'attends mon tour putain toujours rien , je me dis putain je suis un génie.
Le prof m'appelle en dernier, je suis fier un truc de dingue
- le prof : Alors Celestin, on se croit + malin que la classe avec des livres qui n'existent pas et ton histoire totalement bidon.
- Le MALAISE abyssalle dans la classe, le regard des gens qui passaient
de fierté à dégout/rire
Moi: Je passe de joie à honte en moins d'une seconde, je transpire comme un dingue, je suis en eau avec le stress
Je regarde mon pote , je comprends pas pourquoi je suis le seul à me faire afficher.
Cet ***** avait lu le livre et avait fait genre de suivre mon plan pour voir si j'allais réellement le faire
C'était en 5eme, j'avais une heure de libre entre deux cours donc je décide d'aller a l'amphi pour passer le temps, je m'installe je sort mes affaires, la salle se remplit. Tout ce passe normalement mais tout étais incroyablement silencieux
Donc je me met dans mon cahier de brouillon et commence a dessinner des trucs a la con comme tout bon celestin au collège
Et la ya le surveillant qui me passe une feuille, je regarde et c'était un controle de math
Je lui demande pourquoi il me passe ca et il me répond "bah c'est le concours de maths comme tout les ans "
Je commence a suer et lui explique en begayant que je m'etais pas inscrit et que j'avais oublié que l'amphi etait réservé
Tout le monde me regardait chelou et se retenait de rire
Et j'ai du y retourner 10min après paske j'avais oublié ma trousse
Le 14 juin 2018 à 08:59:22 klatara a écrit :
Lycée cours de Français. On devait lire un livre (choix libre) par mois et on avait interro dessus.
Avec mon pote 5minutes avec le début du cours, on invente un livre, un titre, les héros etccc....
On raconte un truc badass mais facile à retenir. L'interro se passe 1 semaine après le prof rend les copies (il les rendait de la pire note à la meilleure). J'attends mon tour putain toujours rien , je me dis putain je suis un génie.
Le prof m'appelle en dernier, je suis fier un truc de dingue- le prof : Alors Celestin, on se croit + malin que la classe avec des livres qui n'existent pas et ton histoire totalement bidon.
- Le MALAISE abyssalle dans la classe, le regard des gens qui passaient
de fierté à dégout/rireMoi: Je passe de joie à honte en moins d'une seconde, je transpire comme un dingue, je suis en eau avec le stress
Je regarde mon pote , je comprends pas pourquoi je suis le seul à me faire afficher.
Cet ***** avait lu le livre et avait fait genre de suivre mon plan pour voir si j'allais réellement le faire
putain rien que d'y penser ce malaise
Le 14 juin 2018 à 09:03:23 klatara a écrit :
Le 14 juin 2018 à 08:59:22 klatara a écrit :
Lycée cours de Français. On devait lire un livre (choix libre) par mois et on avait interro dessus.
Avec mon pote 5minutes avec le début du cours, on invente un livre, un titre, les héros etccc....
On raconte un truc badass mais facile à retenir. L'interro se passe 1 semaine après le prof rend les copies (il les rendait de la pire note à la meilleure). J'attends mon tour putain toujours rien , je me dis putain je suis un génie.
Le prof m'appelle en dernier, je suis fier un truc de dingue- le prof : Alors Celestin, on se croit + malin que la classe avec des livres qui n'existent pas et ton histoire totalement bidon.
- Le MALAISE abyssalle dans la classe, le regard des gens qui passaient
de fierté à dégout/rireMoi: Je passe de joie à honte en moins d'une seconde, je transpire comme un dingue, je suis en eau avec le stress
Je regarde mon pote , je comprends pas pourquoi je suis le seul à me faire afficher.
Cet ***** avait lu le livre et avait fait genre de suivre mon plan pour voir si j'allais réellement le faire
putain rien que d'y penser ce malaise
Bah quoi, il avait respecté la consigne : lire un livre de son choix, sans qu'on précise que ça ne puisse pas être un livre écrit par l'élève lui-même Chaud pour un prof d'être si peu rigoureux dans son raisonnement
Mais là t'as ce clampin d'éducateur (un pion en belgique) qui vient casser les couilles et nous balance au dirlo, donc peu après le dirlo s'amène : d'abord il est étonné puis finalement il se marre, il nous fait un peu la morale genre c'est pas un club med mais il s'en balek et nous dit nous laisser à condition qu'on lui donne une merguez
Pendant ce temps, le pion piquait sa crise tah mister bean et s'est cassé humilié, tout le monde golriait
Données du topic
- Auteur
- Aknophog
- Date de création
- 13 juin 2018 à 22:41:00
- Date de suppression
- 14 septembre 2024 à 03:35:00
- Supprimé par
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