[FIC] Ta Grand-mère et moi.
Le 11 avril 2018 à 10:37:08 zectoro a écrit :
Pourquoi un salto?
A la base je lisais une fic de jvc récemment et je voyais 20 000 options de vote et les messages des lecteurs ressemblaient à:
Je vote: A, D, 4, F, Z et Pamplemousse.
Ça m’a amusé et je me suis dit autant y aller franco et faire un salto.
en tous cas il ne faut surtout pas renvoyer le chaffeur, sinon ça retombera sur Philandrin et le chauffeur voudra se venger
Voici le résultat final des votes.
- 1) IIIIIIIII
- 2) IIIIIIII
--
- A) IIIIIIIIIIII
- B) IIIII
--
- Salto-avant: IIIIIIIIIIIIIII
- Salto-arrière: I
Les choix sélectionnés par les quais sont donc 1), A) et Salto-avant.
Par contre je sortirais la sweet demain à 22h00 les quais. Mine de rien je dois retrouver mon rythme journalier d'antan et à partir de demain la machine sera suffisamment relancée.
Et que vois-je?
C'est les réponses que je voulais choisir qui ont été prises.
La CHANCE
Le 08 avril 2018 à 00:16:58 bepis a écrit :
Le 07 avril 2018 à 18:00:00 Nirox_3 a écrit :
Pas hype par le spin off
1A pour voirÇa va pourtant être une aventure trépidante et originale nous trainant dans des lieux à la fois dépravés et luxueux. Un récit qui va probablement nous faire traverser les époques et les échelons sociaux.
Lors de mon chapitre HS de ma précédente fic, les quais n'étaient à la base pas très emballé par un voyage en Inde (en même temps je vous comprends) et l'histoire a eu des bons retours. Après je n'essaierais pas de te convaincre comme un forcené et de faire du forcing à outrance car généralement j'ai des goûts différents de mes lecteurs et on diverge souvent sur nos passages et personnages préférés.
Pas de soucis clé, mais après la lecture du dernier chap, le coté présent me hype pas trop, mais le coté passé si.
En tout cas,c'est toujours plus intéressant que le spin off en inde, que j'avais lu qu'en diagonal, et encore c'était le début, j'avais pas apprécié
Sinon vote 1 A et Salto avant
Edit: Ah, j'avais pas vu que le choix était déjà fait, mais bon, c'est ceux que je voulais qui ont gagner, donc bon
Le 10 avril 2018 à 22:54:54 ChefDumas a écrit :
Je vois un mec devant les bouteilles de patayaVu que je voulais en acheter une je me dirige vers lui, et je le surveille pour le stopper en cas de tentative de vol, c'est lidl quand même ça serait un crime contre l'humanité.
Du coup je m'approche, il semblait hésitant et tout du coup je lui disit :
- Ca va Monsieur ?
Et là il relève sa tête et omg : C'était lui
Vu que je maitrise un peu la langue de shakespeare, je lui adressa quelques mots :
- Bepis, that is you ?
- Yes, it isn't.
C'était bien lui mais là il me jettûtes un regard qui voulait en dire long : Il voulait passer incognito dans le magasin, d'ailleurs il ne tardit pas à me le dire :
''
- Please, i'm anonym in this shopping, don't revelateLà je lui adressa une tape amicale sur l'épaule :
- No problem Bepis, have a nice day
Il m'adressa un sourire que je lui rendût et je partis. Mais bon voilà c'est quand même dingue de se dire qui avait Bepis au lidl quoi... Maintenant je comprend pourquoi il écrit moins ces temps-ci...
Les prostitués et la coke ce sont deux activités chronophages aussi. Je suis tombé dedans, le succès m'est monté à la tête. Je me suis découvert une passion pour les escorts Estonienne, si jamais vous êtes du côté de Talinn et que vous voyez un mec un peu bourré tituber aux alentours de quatre heures du matin, c'est moi.
Dans 10-15 minutes grossomodo.
[HS] Le rugissement perdu
Partie_03
_________________________________________________________________________________________
-Salomon, pouvez-vous fermer la vitre de l'habitacle? Je dois m'entretenir en privé avec ma femme.
-Bien évidemment monsieur. C'est comme si c'était fait.
Monsieur Safardi ne put finalement s'empêcher de penser que la chrétienté avait du bon. Puisque Salomon était finalement un gentil bougre. Même ayant plus ou moins deviné la suspicion naissante de son patron, il accepta tout de même de s'isoler de ce dernier. Idiot et serviable, c'était comme si le plus-que-parfait avait été inventé rien que pour lui. Une fois complètement isolé, tous les membres de la famille se regardèrent les uns des autres. Yolenne la mère croisa ses jambes infinies et tendit une oreille à son mari, elle était prête à l'écouter mais ce fut sa fille Audrey qui commença la discussion à huit clos.
-Et moi père? Cette conversation me concerne aussi?
-Bien évidemment que tu peux rester, je ne tiens pas à suicider ma petite fille en l'expulsant de la voiture. Tu sais que le périphérique est très dangereux pour les piétons comme pour les hérissons?
-Comme si j'allais zigouiller ma fille.
-Tu as été le disciple d'un sacré personnage après-tout mon chéri. Enfin bref, que voulais-tu me dire?
L’éminent homme d'affaire racla sa gorge et exprima ses doutes au sujet de l'homme qui conduisait son véhicule en ce moment même. Il était bien tenté de le congédier pour diverses raisons, mais heureusement pour l'intéressé, Yolenne était la voix de la raison et sauva in extremis son contrat de travail.
-Non parce-que si j'avais décidé de le virer, tu sais ce que j'aurais fait?
Appuyant sur un bouton secret, une console qui en était d'ailleurs remplie de beaucoup d'autres s'offrit à la vue de tous et toutes. Monsieur Safardi pointa du doigt un imposant et dangereux bitoniau pourpre qui ne demandait qu'à recevoir qu'une pression.
-C'est peut être idiot, mais le siège du conducteur est éjectable. Si tu ne m'avais pas convaincu de le garder avec nous, juste à appuyer et le chauffeur aurait décollé dans la stratosphère.
-Mais pourquoi voulais-tu le renvoyer?
Le magnat aux légères tendances psychopathes exprima ses soupçons concernant l'accident de parachute et une probable implication de Salomon, qui furent immédiatement réfuté par sa femme. Cette dernière faisait entièrement confiance à son employé et la conversation se termina donc de cette manière. La dernière réplique adressée avant la fin de la ballade automobile fut une bénédiction concernant la présence de Philandrin à la sauterie et la dernière action la réouverture de la glace imperméable qui séparait le conducteur de ses nombreux passagers.
-On est enfin arrivé monsieur.
La fête se déroulait dans une toute nouvelle bâtisse de la cité des lumières: La Safardi Arena, qui portait ce nom bien que ce nouveau monument n'était pas du tout un stade ou une salle de concert. Ce bâtiment brillait de mille feux et la tour Eiffel étant toujours coupée en deux, elle resterait jusqu'à la fin de sa reconstruction la plus haute tour de la capitale du haut de ses deux cents trente mètres. Elle était composée de glaces réfléchissantes, et attirait donc toute la palette lumineuse de la vie nocturne Parisienne. De l'orange, du rosé, du violet, voir même du bleu royal y rebondissait et proposait donc au Parisien un véritable décor crépusculaire de carte postal.
Le fidèle Salomon s'engagea donc sur le parking, et depuis ce dernieron pouvait déjà y apercevoir une foule d'anonyme qui souhaitait plus que tout au monde se frayer un chemin pour manger des blinis au caviar avec l'élite de la société Française.
La soirée aurait pu être parfaite, mais malheureusement pour notre personnage principal, la route pour le bonheur est généralement parsemée d'embuches. Rien qu'après avoir posé son premier pas sur le sol, monsieur Safardi fut importuné par un de ses nombreux invités aux méthodes aussi brutes qu'un diamant non taillé.
-Excuse-moi de te déranger, ce n'est pas du tout mon genre d'habitude mais là je suis un peu emmerdé... Il n'y a plus de place sur le parking... J'me Garou? J'me Garou mec?
-Papa, il m'a l'air un peu louche ce type.
Audrey avait toujours été plus ou moins perspicace, et ce depuis son plus jeune âge. Probablement grâce à son éducation à la fois raffiné et portée sur les détails que lui avait inculqué son père. Et une fois de plus, cette dernière avait raison, cet homme avait l'air plus qu'étrange. Outre son accent Canadien ou Québécois, l'étrange énergumène avait les pupilles extrêmement dilatées, lui donnant un regard félin. Il avait de plus une seringue de plantée sur une de ses épaules, détail qu'Ariel ne remarqua qu'une fois que le drogué avait terminé d'effectuer son double salto à la fois avant et arrière, qu'il effectua sans aucune raison valable.
-Mais monsieur, regardez autour de vous, il y a beaucoup de place sur le parking, garez-vous où vous voulez!
-J'me Garou? J'me Garou? Il n'y a plus de place! Arrêtes ton char!
-Bon, les blagues les plus courtes sont les meilleurs mon grand, si vous n'avez rien d'autre à nous dire, on s'en va.
-En tout cas ce fut un joli salto monsieur. Merci de la démonstration.
La fratrie séfarade ne dédaigna donc plus le junkie du regard et s'en allèrent en direction de l'entrée qui leur était réservé. Une fois à l'intérieur, ils purent constater que même si la soirée n'avait pas encore officiellement commencé, l'ambiance avait tout pour plaire. Mais malheureusement pour monsieur Safardi, le superviseur des festivités arriva pour lui annoncer que ce before n'était pas aussi satisfaisant qu'il y paraissait.
-Monsieur, monsieur, monsieur!
-Expliquez-vous donc mon brave!
L'employé voulut parler immédiatement, mais Safardi voulut quand même observer le panorama qui lui était offerte. L'heure était censée être loué à la tristesse, au deuil de deux hommes tombés dans la fleur de l'âge. Mais personne n'était habillé en noir, et tous semblaient s'amuser. Le before de ce "pot de départ" était pour le moment une réussite. Ariel ne connaissait pas tout le monde à l'intérieur mais pouvait apercevoir de nombreuses célébrités comme par exemple Laurent Romejko, le type qui jouait dans Monk et dont personne ne savait le nom, ou bien encore le président de Malte. Parmi l'une de ces nombreuses délégations, une seule l’intéressa: Un convoi de personne marchant presque en rang passa sous ses yeux. Des personnes des deux sexes s'y trouvaient mais une personne en particulier l’intéressa. C'était une jeune fille portant deux nattes blondes, l'allure droite et longiligne, le regard typiquement Slave et donc sensuellement stricte. Elle était habillée d'une longue jupe et d'une chemise, toutes deux rouges, séparés par une ceinture de cuir brun, qui mettait à la fois en valeur ses hanches et le tissu de son chemisier.
-Je ne sais par où commencer monsieur! Déjà, je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais le before est surchargé de votre côté. Vous avez promis beaucoup trop de chose, il va donc falloir faire un choix! Il y a de nombreux invités qui sont déjà présent dans la salle de réception, et ils souhaitent tous que vous veniez les voir! Ok, vous ne les connaissez pas pour la plus part mais c'est toujours sympathique de se faire des nouvelles relations. Et dans la salle d'attente de votre bureau attendent de nombreuses personnalités qui souhaitent vous demander une faveur, un peu comme dans le parrain.
-Pourquoi tu m'expliques cela de cette manière? Je le fais à chaque soirée, je suis habitué idiot! On dirait que tu parles à un novice!
-Désolé. Et puis on a d'autres problèmes un poil plus mineur...
-Non! Enfin je n'espère pas. Cette fille que tu vois là-bas, celle qui fait fille de l'est avec ses nattes et le petit cul musclé et moulé dans une robe rouge, c'est qui?
-La fille du président Biélorusse?
-Parfait... Parfait... Enfin bref, expose-moi ces fameux autres problèmes.
-Déjà, on a un gros problème avec les petits-fours... Les blinis! On n'en a plus!
-Oui et? Allez en chercher d'autres! Ya... Bon sang, j'y étais presque mais je n'y arrive plus...
L'instant d'une seconde, toute cette adrénaline liée à l'ambiance explosive, à la vue du fessier de la jeune Slave et couplée à tous ces nombreux problèmes de riche allaient revigorer l'organe Safardi de son cri mythique. Mais ce dernier se tut une fois de plus avant l'instant fatal... Mais par Yavhé, que devait-il donc faire pour retrouver la joie vivre qui l'habitait jadis?
-Permettez-moi de vous dire que je n'ai rien compris monsieur... Enfin bref, on n'a plus de nourriture, mais c'est peut-être mieux ainsi, car je vous rappelle que vous avez invité Pierre Menes. Il fait actuellement un régime et si on sert de la nourriture en libre-service il pourrait faire une rechute! Mais d'un autre côté, s'il n'y a plus de petits gâteaux, les invités vont tous bouder et probablement partir comme des malpropres!
-Notre dernier problème concerne le parking, on a Garou qui a perdu les pédales, voulez-vous le faire expulser?
_________________________________________________________________________________________
(Pas de sweet Flashback ce soir les quais, on se garde ça pour demain, mais ne vous inquiétez pas, il va y avoir du vote).
Mais que vas-tu décider de faire?
- 1) Tu souhaites passer un bonjour aux inconnus de la soirée.
- 2) Tu rejoins ton bureau pour accorder des faveurs aux puissants.
(Attention, concernant la première vote, seul le choix choisi apparaitra dans la fic, le planning de monsieur Safardi étant chargé).
Souhaites-tu réapprovisionner la soirée en nourriture?
- A) Bien évidemment, sinon les gens risquent de partir.
- B) Non, les invités devront faire sans, pour le bien de Pierre Menés.
Souhaites-tu faire dégager le junkie de ton parking?
- Jennifer Lawrence) Bien évidemment, il va importuner les invités sinon.
- Frank Dubosc) Non, il peut rester, les drogués sont rigolos.
Données du topic
- Auteur
- bepis
- Date de création
- 23 décembre 2017 à 21:53:32
- Nb. messages archivés
- 3103
- Nb. messages JVC
- 3101