(RISITAS/FILLE/Tarés) : Malaises en Autostop.

Le 10 mai 2017 à 02:57:00 Diesel a écrit :

Sinon c'est quoi le risitas NY au pair?

Osef c'est nul
Croire qu'une histoire à new-york peut rivaliser avec de multiples voyages

Lestoppeur > all risistas

Sinon les gars a force d en lire ca me donne envie de faire le miens, mais une partie serait sur ma famille ( ou plutot mes problemes de familles ) mais je me demande si ca risque pas d etre chiant a lire.

Le 11 mai 2017 à 01:49:14 teti25 a écrit :
Lestoppeur > all risistas

Sinon les gars a force d en lire ca me donne envie de faire le miens, mais une partie serait sur ma famille ( ou plutot mes problemes de familles ) mais je me demande si ca risque pas d etre chiant a lire.

A toi de voir quais, ce qui est interessant je trouve c'est pas de trouver du 'sensationnel' ou de l'accrocheur à tout va, au contraire, mais de s'immerger ou de vivre à travers l'auteur l’expérience humaine qu'il a vécu ( avec la dose humour risitas évidemment parfois qui ne fait pas de mal ) .
Si tu te lances je te lirai en tout cas en ce qui me concerne, pour le reste vois surtout si toi ça t'interesse de te lancer la dedans

Le 11 mai 2017 à 21:42:01 LeStoppeur a écrit :
je vous met une souite d'ici minouit

On se dépêche !

Chapitre 8 : Defuntes, des feintes et des pintes.

-J'ai l'impression qu'on s'est pas rencontrés au bon moment.
Comme ces sentiments de déjà vu, tu sais ces gens qu'on dirait programmés a répéter les même conneries pour se convaincre de leurs choix.
Comme tout devait etre normalisé dans les relations, les facons d'agir.
Si prévisible.
-C'est pas toi c'est moi.
Putain.
La vie peut etre si catin alors qu'hier elle te couvrait de calins.

Tout se finit trop vite, les bons moments s'enfuient sans que t'es jamais le temps de bien les saisir.
Justine fut une autre étoile, bordel avec le temps ton ciel c'est une pure constellation, toi tu reste comme un con.

Juste avec une manipulatrice perverse accrochée comme une sangsue qui te pompe ton fric et ton energie te rabaisse et détruit ta confiance a petit feu.
Quelle joie.

Tu chevauche ta monture, la seule qui l'accepte encore. Fidèle vélo, emmène moi loin d'ici.

Il faut que tu réapprenne a etre heureux seul, avant de laisser entrer quelq'un d'autres dans ta foutue vie.

Ce jour la, tu roule comme un fou le long du lac de serre poncon.
Longeant les rives, un grand soleil te redonne espoir en l'avenir.
Puis t'as plus mal aux cuisses.
Ca y'est ton corps s'y est habitué.
Nouveau master race cycliste.

Tu te sens surpuissant.
Les bornes s'enchainent,les paysages sont magiques.
Les écrins devant toi.

tu arrive bientot a Briancon, a un camping juste avant la ville.

-Bonjour ...
-Emplacement 37 !

Cet acceuil.

Tu installe ta frele tente ( tu as acheté comme un con un abri et non une vraie tente donc s'il pleut ca passe a travers)
Et tu pense replonger dans ta mélancolie... mais tu te fout le doigt dans l'oeil

Au loin tu entend des rire, des paroles.
Qu'est ce donc que cela ?

Un groupe de jean cycliste arrive avec ... Sven putain .

Mais il devait pas partir dans le sud ce con ?

-Arhhhh my friend ! Biere ?

Bordel
Comme si c'était tout a fait normal.
-Tu partait pas dans l'autre sens ?
-Arhh j'ai croisé une fielle dame, elle m'a convaincu pour le galibier.

Putain ce con avait croisé la meme vieille que toi.

-Elle a foulu me sauter tu sais.
Mais
-J'ai accepté. Arhh Charité, ajoute il en haussant les épaules.
Putain ce taré a rendu jouasse la vieille.

Il te présente ensuite les deux filles qui sont avec lui.
Ce séducteur.

-C'est Joulia et Laura deux copineuh de foyage !

Cet appolon des temps moderne ramène dans son sillage deux bombes.
-Hey donde vas ?
-Comment ca va ? On roule depuis une semaine sans voir personne et la en un jour on croise deux mecs.
Elle sourit, un ange.
Misère ces déesses.
Tu en as oublié tout tes soucis, popol est d'accord.

-Plus on est de fou, plus on s'éclate.
-Arhh c'est parlé, buvez les bieres !

Cet alcoolique ultime.

Après faut avouer que ca te manquait, une bonne bierasse.
Sven qui ouvre son sac. De nouveau plein de Kro.
Ce clodo bg.

Ce soir la, vous allumez un barbeuc avec des emballages de barres chocolatées et du carton.
Vive l'écologie.

Sven a tendu une sorte de corde entre deux arbres et essaye de marcher dessus, mais le truc est pas du tout stable.
Il s'écroule souvent.

Julia semble en admiration pour Sven, elle lui pompe le tuyau des yeux littéralement.

Toi tu sympathise avec Laura, sublime brune de l'ordre des "intouchables"
Tu as classé toutes ces meufs de 9 a 10/10 comme intouchables pour toi.
A tord peut etre.

-Et t'as fait l'Argentine tout seul ?
Ca va partir dans le cliché tu le sens, putain ces humains, tu décide de pousser.
-Ouais j'suis un aventurier un peu.
Elle a vraiment l'air impressionné.
En meme temps, t'y réfléchis et a chaud comme ca tu te trouve malade aussi.

-Et tu roule sur ce ...
Elle va le faire merde.
-Cette...
-épave ?
Elle éclate de rire, en se cachant la bouche.
-Non non je voulais pas dire ca hein ? il est cool.

Cool, ton épave de vélo putain.
Mais tu le kiffe quand meme, il t'a porté si loin.

-T'inquiète il a son charme, comme son maitre.
Elle rigole encore.
-Ouais c'est pas faux.

-Surtout avec quelque bieres ca passe encore mieux non ?
Rires.
-Tout s'améliore avec la biere.

Ca c'est parlé.

-ARHHHHHHHHHH TOI LACHER, FOUTU CHIEN
Vous vous retournez, un caniche a choppé Sven a la cheville et con sautille.
Cette image de virilité brisée.
Sven qui insulte le chien en allemand.
Sa maitresse qui tape sven avec sa chaise camping.
Sven en pls.

-LACHEZ CHOUPETTE !

Choupette putain.

Julia olbigé d'aider Sven qui crie comme une fillette.
Tu t'écroule au sol en tapant du poing par terre.
Il t'a mis ko ce malade.

Laura qui te regarde, l'air mi amusé- mi ... bizzarre.
Cette individue de type féminin d'une beauté sans égal voudrait elle faire de toi son casse croute ?

En attendant de résoudre cette égnigme tu dois te foutre de Sven. C'est un minimun.
-Alors Fraulein ? On a peur des chiens-chiens ?
Sven qui rage intérieurement.

-Arhh ce chienne c'est un démon ! les petites dentes son coupants
Il te tuera lui aussi.

La soirée reprend son cours, plus tranquille.
Les bieres s'enchainent, tu te sens de moins en moins vaillant.

a miniuit tu entend un rire familier.
-hihi.

Tu te retourne, mais non ce n'est pas lui, ce sont juste des cycliste japonais venus aussi pour le galibier.
-Hihi collégues ! vous voulez drink saké with us ?

Du saké ?
Alors que tu es déja sec comme du bois en plein été.
Mais Laura et Julia en veulent alors toi aussi.
Tu ne la laissera pas aux Vietkong... enfin aux japonais t'es un peu bourré.

Sven réplique.
-Vous allez goutez la bonne vodka !

Mais il sort des bouteilles de partout lui, c'est un ouf.

-Hihi et nous win tomorrow for the Galibier !

Ils nous défient ces cons.

-Arh Ulrich va vous piner dans le Galibier !

Et le Festival a commencé.
Les verres s'enchainent terriblement.
Tu ne comprends rapidement plus rien a ce qui t'entoure.
Tu te souviens de quelques flash :
Sven debout sur la corde, vidant le fond d'un bouteille
Julia dansant avec un japonais sur de la country
Laura qui t'éponge le front, ses mamelons en gros plan.

Puis tu as du t'endormir.
Enfin tu pense.

Le lendemain, tu sent un poid contre toi.
Anormalement lourd.
Mais
Avec qui a tu dormi ... et foutre chancla que fait tu a poil ?

Souite demain mes quaillounets

Tu as dormi avec ton vélo ?

Enfin au moins tu as un vélo mon reille

Cimer chef, suite de qualitay comme d'habitude.

Petite question pour le voyage a velo : c'est etonnant que tu recontres tant de monde au meme endroit comme ca sur un camping non? C'est pres d'endroits qui voient passer du monde j'imagine?

j'ai rien dit, risitas de qualité

L'auteur qui a dormi avec le vélo et le chien