Topic de Bwonsamdi- :

Mais POURQUOI je ne SUIS PAS HEUREUX, bordel ?!

Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :
Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

Le 16 novembre 2024 à 13:05:37 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :
Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

J'ai un déficit héréditaire en sérotonine (et ça a beaucoup d'impacts physiologiques) et je suis heureux, ce qui donne du plaisir est de l'ordre du confort, pas du bonheur.

C'est nécessairement un problème philosophique. C'est que tu ne saisis pas la portée que peut avoir la philosophie sur ta façon de ressentir le monde.

Tu vois ce sentiment quand tu es persuadé de quelque chose de faux ? Même quand on te prouve le contraire tu as toujours le sentiment que c'est vrai ?

Tu peux avoir le même pouvoir sur le monde et tes ressentis par le biais de la philosophie

Le 16 novembre 2024 à 13:08:09 :

Le 16 novembre 2024 à 13:05:37 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :
Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

J'ai un déficit héréditaire en sérotonine (et ça a beaucoup d'impacts physiologiques) et je suis heureux, ce qui donne du plaisir est de l'ordre du confort, pas du bonheur.

C'est nécessairement un problème philosophique. C'est que tu ne saisis pas la portée que peut avoir la philosophie sur ta façon de ressentir le monde.

Tu vois ce sentiment quand tu es persuadé de quelque chose de faux ? Même quand on te prouve le contraire tu as toujours le sentiment que c'est vrai ?

Tu peux avoir le même pouvoir sur le monde et tes ressentis par le biais de la philosophie

Comment tu fais concrètement, tu remets tout en question, t'essaies de prendre du recul sur les choses, t'adoptes une certaine doctrine ou un mode de pensée spécifique ?

J'ai le meme probleme khey

J'ai tout fait, sport, alimentation, sommeil, changer ma façon de voir la vie, psychothérapie, stoicisme, tenu d'un journal, eglise, ...

Au final y'a toujours un moment ou je retombe, j'ai plus envie de rien et tout me parait sans importance, j'ai tout le temps froid, et tout devient negatif.

Je me suis fait a l'idée que je suis chimiquement handicapé du cerveau. J'ai repris les antidepresseurs aujourd'hui :/

Pareil aucun but aucune ambition a part être heureux

Le 16 novembre 2024 à 13:09:35 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:08:09 :

Le 16 novembre 2024 à 13:05:37 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :
Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

J'ai un déficit héréditaire en sérotonine (et ça a beaucoup d'impacts physiologiques) et je suis heureux, ce qui donne du plaisir est de l'ordre du confort, pas du bonheur.

C'est nécessairement un problème philosophique. C'est que tu ne saisis pas la portée que peut avoir la philosophie sur ta façon de ressentir le monde.

Tu vois ce sentiment quand tu es persuadé de quelque chose de faux ? Même quand on te prouve le contraire tu as toujours le sentiment que c'est vrai ?

Tu peux avoir le même pouvoir sur le monde et tes ressentis par le biais de la philosophie

Comment tu fais concrètement, tu remets tout en question, t'essaies de prendre du recul sur les choses, t'adoptes une certaine doctrine ou un mode de pensée spécifique ?

Il faut lire et trouver ce à quoi tu t'identifies naturellement le plus, mais tout en gardant à l'esprit que tu ne lis que ta propre interprétation de l'oeuvre que tu lis.

Tu te laisses convaincre par ce qui te convainc, et ça te donne à penser. Tu t'ouvres à de nouveaux questionnements, et tu trouves des réponses à d'anciens questionnements.

Moi je suis touché personnellement particulièrement par Nietzsche, c'est une philosophie qui fait se sentir fort et heureux à mes yeux. Et par beaucoup d'autres raisonnements d'autres philosophes.

Depuis que j'ai lu l'expérience de pensée du poids incommensurable, l'expérience de pensée de l'éternel retour de Nietzsche, je n'ai plus jamais ressenti de malheur.

De la détresse, de l'inconfort, de la peine, bien sûr ; Mais plus jamais de malheur.

Le 16 novembre 2024 à 13:13:16 :
J'ai le meme probleme khey

J'ai tout fait, sport, alimentation, sommeil, changer ma façon de voir la vie, psychothérapie, stoicisme, tenu d'un journal, eglise, ...

Au final y'a toujours un moment ou je retombe, j'ai plus envie de rien et tout me parait sans importance, j'ai tout le temps froid, et tout devient negatif.

Je me suis fait a l'idée que je suis chimiquement handicapé du cerveau. J'ai repris les antidepresseurs aujourd'hui :/

Putain on se comprend khey

Y'a des moments d'euphorie sans réelle raison par ci par là comme des montagnes russes, mais à la fin c'est toujours la négativité qui revient pour la claire majorité du temps

Les AD aident vraiment ? J'ai entendu que le cerveau y devient immunisé au bout d'un moment..

Le 16 novembre 2024 à 13:14:10 :

Le 16 novembre 2024 à 13:09:35 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:08:09 :

Le 16 novembre 2024 à 13:05:37 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :
Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

J'ai un déficit héréditaire en sérotonine (et ça a beaucoup d'impacts physiologiques) et je suis heureux, ce qui donne du plaisir est de l'ordre du confort, pas du bonheur.

C'est nécessairement un problème philosophique. C'est que tu ne saisis pas la portée que peut avoir la philosophie sur ta façon de ressentir le monde.

Tu vois ce sentiment quand tu es persuadé de quelque chose de faux ? Même quand on te prouve le contraire tu as toujours le sentiment que c'est vrai ?

Tu peux avoir le même pouvoir sur le monde et tes ressentis par le biais de la philosophie

Comment tu fais concrètement, tu remets tout en question, t'essaies de prendre du recul sur les choses, t'adoptes une certaine doctrine ou un mode de pensée spécifique ?

Il faut lire et trouver ce à quoi tu t'identifies naturellement le plus, mais tout en gardant à l'esprit que tu ne lis que ta propre interprétation de l'oeuvre que tu lis.

Tu te laisses convaincre par ce qui te convainc, et ça te donne à penser. Tu t'ouvres à de nouveaux questionnements, et tu trouves des réponses à d'anciens questionnements.

Moi je suis touché personnellement particulièrement par Nietzsche, c'est une philosophie qui fait se sentir fort et heureux à mes yeux. Et par beaucoup d'autres raisonnements d'autres philosophes.

Depuis que j'ai lu l'expérience de pensée du poids incommensurable, l'expérience de pensée de l'éternel retour de Nietzsche, je n'ai plus jamais ressenti de malheur.

De la détresse, de l'inconfort, de la peine, bien sûr ; Mais plus jamais de malheur.

Très bien merci pour ton avis intéressant et recherché, j'irai lire des philosophes

Le 16 novembre 2024 à 13:13:50 :
Pareil aucun but aucune ambition a part être heureux

La plus grosse ironie de la vie, comment je déteste ça..

Le 16 novembre 2024 à 13:17:07 :

Le 16 novembre 2024 à 13:13:16 :
J'ai le meme probleme khey

J'ai tout fait, sport, alimentation, sommeil, changer ma façon de voir la vie, psychothérapie, stoicisme, tenu d'un journal, eglise, ...

Au final y'a toujours un moment ou je retombe, j'ai plus envie de rien et tout me parait sans importance, j'ai tout le temps froid, et tout devient negatif.

Je me suis fait a l'idée que je suis chimiquement handicapé du cerveau. J'ai repris les antidepresseurs aujourd'hui :/

Putain on se comprend khey

Y'a des moments d'euphorie sans réelle raison par ci par là comme des montagnes russes, mais à la fin c'est toujours la négativité qui revient pour la claire majorité du temps

Les AD aident vraiment ? J'ai entendu que le cerveau y devient immunisé au bout d'un moment..

Je pense que l'esprit y est pour beaucoup, dans le sens ou si tu changes pas ta façon de voir les choses y'a de grande chance que tu restes en depression, , mais je pense aussi qu'il y a une bonne part de chimie, et c'est d'ailleurs prouvé que genetiquement certains ont plusnfe chance que d'autre d'être touché par ça, les depressions saisonnieres egalement, etc...

Le 16 novembre 2024 à 13:19:11 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:14:10 :

Le 16 novembre 2024 à 13:09:35 Bwonsamdi- a écrit :

Le 16 novembre 2024 à 13:08:09 :

Le 16 novembre 2024 à 13:05:37 Bwonsamdi- a écrit :

> Le 16 novembre 2024 à 13:01:33 :

>Bah tu comprends d'évidence pas ce qu'est le bonheur, faut pas te demander pourquoi tu n'es pas heureux ? C'est évident ! Être heureux n'est jamais un acquis et n'est pas un dû.

>

> Il faut te demander pourquoi tu devrais être heureux. Lister des considérations superficielles n'a pas de rapport avec le bonheur, c'est plutôt ton confort de vivre sur lesquelles ces considérations instruisent !

>

> Pour être heureux, il n'y a rien besoin... Crois-tu que ce que tu listes est nécessaire au bonheur ? Non, ce n'est pas le cas, c'est contingent. Comment quelque chose de contingent au bonheur pourrait-être une raison d'être heureux ?

>

> C'est une question de philosophie, de perspective, de cohérence. De réflexion. Réfléchis suffisamment et tu sauras pourquoi tu ne peux qu'être heureux :(

C'es en effet ni l'un ni l'autre mais au stade où j'en suis je me demande si j'ai pas dépassé le stade de la philosophie pour atterrir encore plus loin, dans le monde du médical.

Je soupçonne sérieusement une anhédonie au sens premier, c'est-à-dire une baisse d'activité du système de récompense cérébral

J'ai un déficit héréditaire en sérotonine (et ça a beaucoup d'impacts physiologiques) et je suis heureux, ce qui donne du plaisir est de l'ordre du confort, pas du bonheur.

C'est nécessairement un problème philosophique. C'est que tu ne saisis pas la portée que peut avoir la philosophie sur ta façon de ressentir le monde.

Tu vois ce sentiment quand tu es persuadé de quelque chose de faux ? Même quand on te prouve le contraire tu as toujours le sentiment que c'est vrai ?

Tu peux avoir le même pouvoir sur le monde et tes ressentis par le biais de la philosophie

Comment tu fais concrètement, tu remets tout en question, t'essaies de prendre du recul sur les choses, t'adoptes une certaine doctrine ou un mode de pensée spécifique ?

Il faut lire et trouver ce à quoi tu t'identifies naturellement le plus, mais tout en gardant à l'esprit que tu ne lis que ta propre interprétation de l'oeuvre que tu lis.

Tu te laisses convaincre par ce qui te convainc, et ça te donne à penser. Tu t'ouvres à de nouveaux questionnements, et tu trouves des réponses à d'anciens questionnements.

Moi je suis touché personnellement particulièrement par Nietzsche, c'est une philosophie qui fait se sentir fort et heureux à mes yeux. Et par beaucoup d'autres raisonnements d'autres philosophes.

Depuis que j'ai lu l'expérience de pensée du poids incommensurable, l'expérience de pensée de l'éternel retour de Nietzsche, je n'ai plus jamais ressenti de malheur.

De la détresse, de l'inconfort, de la peine, bien sûr ; Mais plus jamais de malheur.

Très bien merci pour ton avis intéressant et recherché, j'irai lire des philosophes

"Le poids le plus lourd. - Et si, un jour ou une nuit, un démon venait se glisser dans ta suprême solitude et te disait : « Cette existence, telle que tu la mènes, et l'as menée jusqu'ici, il te faudra la recommencer et la recommencer sans cesse ; sans rien de nouveau ; tout au contraire !La moindre douleur, le moindre plaisir, la moindre pensée, le moindre soupir, tout de ta vie reviendra encore, tout ce qu'il y a en elle d'indiciblement grand et d'indiciblement petit, tout reviendra, et reviendra dans le même ordre, suivant la même impitoyable succession,... cette araignée reviendra aussi, ce clair de lune entre les arbres, et cet instant, et moi aussi ! L'éternel sablier de la vie sera retourné sans répit, et toi avec, poussière infime des poussières ! »... Ne te jetterais-tu pas à terre, grinçant des dents et maudissant ce démon ? A moins que tu n'aies déjà vécu un instant prodigieux où tu lui répondrais : « Tu es un dieu ; je n'ai jamais ouï nulle parole aussi divine ! » Si cette pensée prenait barre sur toi, elle te transformerait peut-être, et peut-être t'anéantirait ; tu te demanderais à propos de tout : « Veux-tu cela ? le reveux-tu ? une fois ? toujours ? à l'infini ? » et cette question pèserait sur toi d'un poids décisif et terrible ! Ou alors, ah ! comme il faudrait que tu t'aimes toi-même et que tu aimes la vie pour ne plus désirer autre chose que cette suprême et éternelle confirmation !"

Le 16 novembre 2024 à 13:24:25 :
Rapproche toi de Dieu.

J'ai une anecdote à propos de ça

J'ai toujours aimé me balader dans les églises même si je suis athée car j'aime l'ambiance et la sérénité de ces endroits. Le mois dernier j'en ai visité une, et pour déconner dans le livre où tu peux écrire ce que tu veux j'ai écrit " si tu existes fais-moi un signe " :d) quelques semaines plus tard je suis en couple https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Mais la joie n'a été que de très courte durée car je retombe dans la déprime

Données du topic

Auteur
Bwonsamdi-
Date de création
16 novembre 2024 à 12:39:26
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