USA : Les AMISH ont la plus GROSSE FÉCONDITÉ au MONDE !
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
D’après les études réalisées en Islande, l’optimum de fécondité est atteint au 4e ou 3e degré de cousinage. Ce qui se justifie par une balance entre les avantages tirés de la distance génétique (pour éviter de multiplier les paires d'allèles qui possèdent une mutation délétère) et ceux d'une certaine forme de proximité épigénétique qui permet d'éviter les fausses couches. Ainsi qu'un facteur social (les cousins se connaissent plus jeunes et font plus vite des gosses).
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
L'idéal génétiquement c'est entre cousins du 3e degré (1er degré = même grand-père, 2e degré même bisaïeul, 3e degré, même trisaïeul donc le grand-père de ton grand-père en commun).
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
En gros pour calculer la consanguinité tu utilises un indice qui cherche à voir le pourcentage de gênes partagés en regardant si ton arbre généalogique fait des boucles plutôt qu'un arbre. https://en.wikipedia.org/wiki/Coefficient_of_inbreeding
Pour la population minimale ça dérive en gros de la règle 50/500 qui tient à peu près chez les vertébrés. 50 individus non-apparentés (chez les humains plutôt une centaine) pour assurer une diversité génétique suffisante permettant d'éviter les effets les plus graves de la consanguinité et un ordre de grandeur supplémentaire (donc un millier d'humains) pour éviter les dérives génétiques qui à long terme (+100 ans) peuvent tout de même faire apparaître des problèmes ou a minima laissés des marqueurs génétiques super-spécifiques et réduire la diversité (effet fondateur comme pour les finnois ou les ashkénazes, bonus consanguinité pour ces derniers car 25 % des lignées maternelles proviennent... de quatre femmes ) https://www.britannica.com/science/50-500-rule
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
D’après les études réalisées en Islande, l’optimum de fécondité est atteint au 4e ou 3e degré de cousinage. Ce qui se justifie par une balance entre les avantages tirés de la distance génétique (pour éviter de multiplier les paires d'allèles qui possèdent une mutation délétère) et ceux d'une certaine forme de proximité épigénétique qui permet d'éviter les fausses couches. Ainsi qu'un facteur social (les cousins se connaissent plus jeunes et font plus vite des gosses).
Très intéressant ! Merci khey
Ils doivent être bien plus heureux que la moyenne.
Le 04 novembre 2024 à 23:25:36 :
En vrai le style de vie Amish ça doit etre sympa pour nous, fin de temps en temps se déconnecter completement du monde hyperconnecté ect retrouver une simplicité de vie, aprés je sais que je pourrais pas devenir Amish jsui trop addict au monde moderne mais j'en vois les bienfaitsfunfact : j'ai put rencontrer des Amish en pennsylvanie quand j'ai fait un trip aux USA, les gens etaient bienveillants, et les femmes bordel de dieu, aucune vénalité, elle s'interesse a ce que tu leurs dit , on de la conversation malgré qu'ils soient coupé du monde , c'etait un vent de fraicheur en comparaison de nos cassos françaises
aprés en france meme si on en avait envie on aurait pas le droit de vivre comme des Amish, ya que aux USA qu'on peut le faire grace a leurs liberté débridé
Les amish sont très sympa en effet
J'ai eu aussi l'occasion de parler avec eux
Autre truc marrant.
Les juifs orthodoxes israéliens font 6 enfants par femme contre 1,5 pour les autres israéliens athées et occidentalisée.
Israël sera une théocratie israélite d'ici la fin du siècle, AHI
Le 04 novembre 2024 à 23:10:38 :
C'est aussi la communauté la plus heureuse des États-Unis Unis et celle en meilleur santé qui vivent le plus longtempsAu fils c'est eux qui ont raison ont devrait tous vivre comment eux
Vie 100% naturelle.
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Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santéEl famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
En gros pour calculer la consanguinité tu utilises un indice qui cherche à voir le pourcentage de gênes partagés en regardant si ton arbre généalogique fait des boucles plutôt qu'un arbre. https://en.wikipedia.org/wiki/Coefficient_of_inbreeding
Pour la population minimale ça dérive en gros de la règle 50/500 qui tient à peu près chez les vertébrés. 50 individus non-apparentés (chez les humains plutôt une centaine) pour assurer une diversité génétique suffisante permettant d'éviter les effets les plus graves de la consanguinité et un ordre de grandeur supplémentaire (donc un millier d'humains) pour éviter les dérives génétiques qui à long terme (+100 ans) peuvent tout de même faire apparaître des problèmes ou a minima laissés des marqueurs génétiques super-spécifiques et réduire la diversité (effet fondateur comme pour les finnois ou les ashkénazes, bonus consanguinité pour ces derniers car 25 % des lignées maternelles proviennent... de quatre femmes ) https://www.britannica.com/science/50-500-rule
Ok, donc si j'ai bien compris, il faut 100 personnes qui ne soient pas des relatifs, et l'espèce est viable ? Ça veut dire que les mutations spontanées enrayent la possible stagnation des génotypes sur le temps long non ?
Tradition + Liberté = Prospérité, richesse, paix, famille, bonheur.
ça me fait penser à l'Islande médiévale qui avait aucune administration et était plus paisible et plus riche que tous les autres royaumes et empires de son époque.
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> Le 04 novembre 2024 à 23:19:20 :
>Le taux de consanguinité doit être affolant, donc pas sûr qu'ils continuent à se reproduire ou de faire des enfants en bonne santé
El famoso taux affolant vous savez plus quoi inventer pour justifier votre décadence enfaite
Ceci. À partir du moment où tu baises plus loin que ta cousine au premier degré il n'y a pas de risque.
Une population peut se reproduire à l'infini avec moins d'un millier de membres (voire à peine cent dans le cas où ils ne sont pas apparentés).
Intéressant, tu peux développer ? Les mutations génétiques spontanées sont suffisamment nombreuses pour garantir un brassage malgré le faible nombre de génotypes de base ?
En gros pour calculer la consanguinité tu utilises un indice qui cherche à voir le pourcentage de gênes partagés en regardant si ton arbre généalogique fait des boucles plutôt qu'un arbre. https://en.wikipedia.org/wiki/Coefficient_of_inbreeding
Pour la population minimale ça dérive en gros de la règle 50/500 qui tient à peu près chez les vertébrés. 50 individus non-apparentés (chez les humains plutôt une centaine) pour assurer une diversité génétique suffisante permettant d'éviter les effets les plus graves de la consanguinité et un ordre de grandeur supplémentaire (donc un millier d'humains) pour éviter les dérives génétiques qui à long terme (+100 ans) peuvent tout de même faire apparaître des problèmes ou a minima laissés des marqueurs génétiques super-spécifiques et réduire la diversité (effet fondateur comme pour les finnois ou les ashkénazes, bonus consanguinité pour ces derniers car 25 % des lignées maternelles proviennent... de quatre femmes ) https://www.britannica.com/science/50-500-rule
Ok, donc si j'ai bien compris, il faut 100 personnes qui ne soient pas des relatifs, et l'espèce est viable ? Ça veut dire que les mutations spontanées enrayent la possible stagnation des génotypes sur le temps long non ?
Voilà c'est ça, après pour assurer le coup il vaut mieux en avoir un millier pour assurer suffisamment de mutations spontanées mais avec cent tu échappes à l'immense majorité des effets néfastes.
Données du topic
- Auteur
- MS51-D
- Date de création
- 4 novembre 2024 à 23:01:08
- Nb. messages archivés
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