La PHILOSOPHIE/IDÉOLOGIE POLITIQUE la plus DÉBILE pour vous ?
Le 18 octobre 2024 à 12:05:54 :
Le 18 octobre 2024 à 11:59:38 :
Anarcho-capitalisme.
Le 18 octobre 2024 à 12:08:43 :
L'existentialisme car il est la porte ouverte à tout un tas de décad****.
Et sur le plan économique, tous les modèles basés sur une croissance sans limite et une production déconnectée des besoins des individus (ou répondant à des besoins artificiels eux-mêmes mis en place pour écouler cette production excessive).
c'est pas une philosophie politique, et en quoi ça ouvre la voie à une quelconque forme de dégénérescence morale ? au contraire la lutte contre la mauvaise foi est le combat pour la vérité le plus juste et radical depuis celui du christ
Le 18 octobre 2024 à 12:09:22 :
Le 18 octobre 2024 à 12:05:54 :
Le 18 octobre 2024 à 11:59:38 :
Anarcho-capitalisme.
Libertariens zinzins.
Le 18 octobre 2024 à 12:09:22 :
Le 18 octobre 2024 à 12:05:54 :
Le 18 octobre 2024 à 11:59:38 :
Anarcho-capitalisme.
Je ne sais même pas si ca existe vraiment mais c'est un truc en isme donc ça fait sérieux.
Le 18 octobre 2024 à 12:00:59 :
Facile, le communisme, de très loin.Le communisme se trompe complètement sur la nature humaine, et amène systématiquement, et de façon mécanique, de l'oppression, de la dictature, des goulags, du mensonge, etc.
Le communisme, c'est la mort de l'âme, la fin de l'humain.
Etre communiste aujourd'hui = soit gros fdp, soit débile profond
Tu n'as pas l'air d'être très futé toi aussi puisque, ce que tu reproches au communisme concerne également les modèles à l'opposé du communisme.
En effet, le libéralisme pour qu'il soit véritablement vertueux et fonctionne bien doit se mettre en place dans une société où les individus ont une certaine éthique. Quand tu as des individus sans foi ni loi et purement individualistes, il s'agit simplement d'un système de domination sauvage des plus riches sur les plus pauvres
Ça me rappelle quelque chose tiens.
Le 18 octobre 2024 à 12:08:58 :
On aimerait bien connaître l idéologie politique qui répond aux critères de popper ,big dirty, démontres nous ça
Socialisme scientifique, celui de Marx et Engels (je ne parle donc pas des applications léninistes, maoistes ou autres, donc), ainsi que celui d'Althusser qui a apportée de nombreux éclairages supplémentaires.
Le 18 octobre 2024 à 12:11:12 :
Le 18 octobre 2024 à 12:08:43 :
L'existentialisme car il est la porte ouverte à tout un tas de décad****.
Et sur le plan économique, tous les modèles basés sur une croissance sans limite et une production déconnectée des besoins des individus (ou répondant à des besoins artificiels eux-mêmes mis en place pour écouler cette production excessive).c'est pas une philosophie politique, et en quoi ça ouvre la voie à une quelconque forme de dégénérescence morale ? au contraire la lutte contre la mauvaise foi est le combat pour la vérité le plus juste et radical depuis celui du christ
J'aurais aimé échanger avec toi sur ce sujet khey mais la charte ne va pas me rater, je le sais
Marre de me faire ban alors que je ne dis rien d'hors charte.
Le 18 octobre 2024 à 12:16:12 :
Le 18 octobre 2024 à 12:08:58 :
On aimerait bien connaître l idéologie politique qui répond aux critères de popper ,big dirty, démontres nous çaSocialisme scientifique, celui de Marx et Engels (je ne parle donc pas des applications léninistes, maoistes ou autres, donc), ainsi que celui d'Althusser qui a apportée de nombreux éclairages supplémentaires.
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Socialisme_est-il_scientifique
Les réformateurs socialistes du XIXe siècle ont donné comme des applications de la science leurs systèmes de réorganisation de la famille, de la propriété, des relations économiques, des relations politiques, de la société entière. En réalité, ils n’ont pas commencé par une étude objective de la société même, de ses conditions et de ses lois, ils n’ont pas commencé par la sociologie. Leurs systèmes, depuis le premier jusqu’au dernier, y compris le socialisme prétendu scientifique de Marx, qui est seulement mieux systématisé que les autres, sont des doctrines « préscientifiques, » selon l’expression de M. Durkheim. On pourrait dire encore que ce sont des doctrines pré-sociologiques.
Les socialistes reprochent à la méthode de beaucoup d’économistes d’être « conceptuelle » et « idéologique, » de ne procéder ni par la vraie abstraction scientifique, ni par la vraie démonstration, ni par la vérification, mais par des conceptions a priori, que l’on combine ensuite sans en montrer l’accord complet avec l’expérience. Ces objections sont vraies de beaucoup de systèmes économiques, comme nous l’avons montré tout à l’heure, mais nous allons voir qu’elles s’appliquent aussi aux systèmes socialistes, encore plus éloignés du réel.
L’abstraction scientifique, nécessaire à la sociologie comme à toutes les sciences, consiste à séparer un groupe de faits ou de relations, afin de le mieux étudier. Partie de l’expérience, elle revient sans cesse à l’expérience, pour modeler les idées sur les faits, puis les faits sur les idées. Les conceptions de l’esprit valent par leur correspondance avec la réalité et dans la mesure où la réalité les vérifie. Est-ce cette méthode vraiment sociologique qu’emploient les socialistes actuels ? Ils partent d’abstractions et d’idées formées par l’esprit, telles qu’une parfaite répartition qui donnerait à chacun exactement « le produit intégral de son travail. » Ils partent aussi d’un idéal de l’administration collective, qu’ils supposent capable de gérer les biens de tous sans toucher aux personnes. Dans un discours à la Chambre, M. Jaurès se demandait : « Qui administrera le vaste domaine constitué par l’expropriation capitaliste ? » Et il répondait : « L’État démocratique, assisté du peuple tout entier. » Ces majestueuses entités touchent quelque peu à la mythologie. Les faits naturels de la concurrence, de l’offre et de la demande, de la valeur établie par leur rapport, ne sont pas toute la réalité, mais sont des élémens essentiels de la réalité ; beaucoup de socialistes y substituent un idéal de valeur absolue ou aussi voisine que possible de l’absolu, qui s’établirait uniquement d’après le « travail » et le « mérite » de chacun. « La quantité du travail, écrit Marx, a pour mesure sa durée dans le temps. Le travail qui forme la substance et la valeur des marchandises est du travail égal et indistinct, une dépense de la même force. » Voilà une métaphysique à l’allemande où l’on joue avec des termes abstraits. Qu’est-ce que la substance d’une maison par exemple ? Est-ce seulement le travail humain ? La nature, qui a fourni la substance des pierres, du marbre, du bois, du fer, n’est-elle pour rien dans la valeur du produit ? Qu’est-ce qu’un travail égal et indistinct ? Le travail de Pasteur, qui écrit un livre sur les fermentations, est-il égal et indistinct par rapport à celui du relieur qui a cousu les pages du livre ou du brasseur qui utilisera les découvertes du savant ? Y a-t-il là une dépense de la même force, qui ne serait évaluable que par la durée de cette dépense dans le temps ? Des phrases creuses peuvent tromper un ouvrier, lecteur de Marx, et lui inspirer d’autant plus d’admiration qu’il les comprend moins ; tromperont-elles un homme de science ou un philosophe, soucieux de remplacer les mots par leur définition (substance, force, etc.), puis de vérifier le rapport des conclusions aux prémisses ?
La méthode du socialisme actuel est a priori et dogmatique. Elle présuppose des notions juridiques confuses sur les droits mutuels de l’individu et de la société, des notions économiques confuses sur les intérêts matériels de l’individu et de la société, des notions morales confuses sur les intérêts moraux ou intellectuels de l’individu et de la société, enfin des notions sociologiques confuses sur la nature même, des sociétés et sur leurs lois d’équilibre ou de mouvement. Toutes ces notions sont posées sans preuve, comme vérités indiscutables ; après quoi, on en déduit a priori des conséquences plus ou moins légitimes et on construit, toujours a priori, un plan de société parfaite, représentation symbolique des espoirs du prolétariat.
Le 18 octobre 2024 à 12:15:43 :
Le 18 octobre 2024 à 12:00:59 :
Facile, le communisme, de très loin.Le communisme se trompe complètement sur la nature humaine, et amène systématiquement, et de façon mécanique, de l'oppression, de la dictature, des goulags, du mensonge, etc.
Le communisme, c'est la mort de l'âme, la fin de l'humain.
Etre communiste aujourd'hui = soit gros fdp, soit débile profond
Tu n'as pas l'air d'être très futé toi aussi puisque, ce que tu reproches au communisme concerne également les modèles à l'opposé du communisme.
En effet, le libéralisme pour qu'il soit véritablement vertueux et fonctionne bien doit se mettre en place dans une société où les individus ont une certaine éthique. Quand tu as des individus sans foi ni loi et purement individualistes, il s'agit simplement d'un système de domination sauvage des plus riches sur les plus pauvres
Ça me rappelle quelque chose tiens.
"C'est A."
"euhgneugneu t'es con, dans B y'a aussi des problèmes"
les golems de reddit qui se perdent bordel, vous êtes vraiment des brèles
retourne attendre le grand soir dans ta chambre avec poster marvel le 0 tout ahi
Le 18 octobre 2024 à 12:11:12 :
Le 18 octobre 2024 à 12:08:43 :
L'existentialisme car il est la porte ouverte à tout un tas de décad****.
Et sur le plan économique, tous les modèles basés sur une croissance sans limite et une production déconnectée des besoins des individus (ou répondant à des besoins artificiels eux-mêmes mis en place pour écouler cette production excessive).c'est pas une philosophie politique, et en quoi ça ouvre la voie à une quelconque forme de dégénérescence morale ? au contraire la lutte contre la mauvaise foi est le combat pour la vérité le plus juste et radical depuis celui du christ
il veut sûrement parler sur le plan de la moral, et il a raison l'existentialisme ne possède pas de système moral, le relativisme est souvent utilisé pour critiquer l'existentialisme
Wokisme bien sûr.
Et l'égalitarisme social-libéral en général.
Le 18 octobre 2024 à 12:15:43 :
Le 18 octobre 2024 à 12:00:59 :
Facile, le communisme, de très loin.Le communisme se trompe complètement sur la nature humaine, et amène systématiquement, et de façon mécanique, de l'oppression, de la dictature, des goulags, du mensonge, etc.
Le communisme, c'est la mort de l'âme, la fin de l'humain.
Etre communiste aujourd'hui = soit gros fdp, soit débile profond
Tu n'as pas l'air d'être très futé toi aussi puisque, ce que tu reproches au communisme concerne également les modèles à l'opposé du communisme.
En effet, le libéralisme pour qu'il soit véritablement vertueux et fonctionne bien doit se mettre en place dans une société où les individus ont une certaine éthique. Quand tu as des individus sans foi ni loi et purement individualistes, il s'agit simplement d'un système de domination sauvage des plus riches sur les plus pauvres
Ça me rappelle quelque chose tiens.
le vice privé peut permettre la vertu publique, c'est un principe de base du libéralisme exposé dans la fable des abeilles
Le 18 octobre 2024 à 12:22:11 :
Les religions monothéïstes
Il n'existe qu'une religion monothéiste. Les autres sont des polythéistes qui se réclament du monothéisme. Et tu m'expliques même pas ce qui te dérange. Le monothéisme est la croyance logique par excellence.
Données du topic
- Auteur
- Animalhumain38
- Date de création
- 18 octobre 2024 à 11:54:57
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