Mon histoire d'amour avec Gérard Larcher
SuppriméLa scène se déroule dans un grand bureau feutré au Sénat, avec ses tentures lourdes et ses dorures imposantes. Gérard Larcher, assis à son bureau, fait face à son garde du corps, un homme imposant en costume noir, la mâchoire serrée et les bras croisés derrière son dos. À côté de lui, Alexis Bossé, légèrement confus, se tient debout, se demandant encore ce qu'il fait là.
Larcher, l’air grave mais avec un soupçon d’amusement dans les yeux, tape légèrement du doigt sur son bureau avant de lever les yeux vers Alexis. "Alexis, mon cher," commence-t-il, "j’ai pris une décision importante."
Alexis fronce les sourcils. "Oui, Monsieur le Président?"
Larcher prend une grande inspiration, dramatique, puis annonce : "Je te nomme garde du corps de... mon garde du corps."
Un silence pesant envahit la pièce. Le garde du corps, dont le visage n’a pas changé d’un millimètre, jette un regard furtif à Alexis, puis à Larcher. Alexis, quant à lui, reste bouche bée, tentant de comprendre s’il s’agit d’une plaisanterie ou d’une réelle annonce.
"Vous… vous voulez que je sois le garde du corps de votre garde du corps?" balbutie Alexis.
"Exactement !" réplique Larcher, les yeux brillants. "Tu es un homme de confiance, Alexis. Je ne peux pas laisser mon garde du corps sans protection. Il est précieux, tout autant que moi, tu comprends ? Si jamais quelqu’un venait à s’en prendre à lui, qui le protégerait ? C’est là que tu entres en jeu."
Le garde du corps, toujours impassible, se contente d’un léger soupir inaudible. Alexis, de plus en plus perplexe, cherche ses mots. "Monsieur, je n’ai aucune formation pour ce genre de… tâche. Je veux dire, c’est un professionnel, il sait se défendre."
Larcher sourit, comme si cette remarque ne faisait que confirmer la justesse de sa décision. "C’est là que tu te trompes, Alexis. La sécurité, c’est un travail d’équipe. Et je veux que mon équipe soit… infaillible. Tu seras là pour veiller sur lui, comme lui veille sur moi."
Le garde du corps acquiesce légèrement, visiblement habitué aux décisions farfelues de Larcher. Alexis, lui, finit par hocher la tête, comprenant qu’il n’a pas vraiment le choix. "Très bien, Monsieur le Président. Si c’est ce que vous souhaitez…"
Larcher se lève, tout sourire, et tend la main à Alexis. "Je savais que je pouvais compter sur toi ! À partir de maintenant, tu seras le pilier de ma sécurité. Ensemble, on est invincibles."
Alexis serre la main de Larcher, toujours un peu incrédule, mais déjà prêt à s’habituer à cette nouvelle et improbable mission. Tandis que Larcher retourne à son bureau, satisfait, Alexis et le garde du corps échangent un regard complice, partageant sans mot dire l’absurdité de la situation.
Le 17 septembre 2024 à 12:26:10 :
Ce cerveau malade
Bah pourquoi
Le 17 septembre 2024 à 12:26:10 :
Ce cerveau malade
Bah pourquoi
Le 17 septembre 2024 à 12:29:10 :
ça manque de stickers
J'ybainpas pensé
Dans une petite salle de classe, les élèves sont rassemblés, impatients mais perplexes. Les murs sont décorés d'affiches colorées avec des messages de prévention contre le harcèlement. La lumière est vive, l’atmosphère légèrement électrique.
Gérard Larcher, président du Sénat, entre avec un sourire bienveillant, suivi de son compagnon, Alexis Bossé, un facteur au physique imposant. Ils sont là pour sensibiliser les jeunes sur l'importance de dire non au harcèlement. Gérard, avec sa prestance habituelle, prend la parole.
- Gérard :**
« Bonjour à tous, nous sommes ici aujourd’hui pour parler d’un sujet sérieux : le harcèlement. C’est un problème que personne ne devrait avoir à affronter, et il est essentiel de comprendre que… »
Alexis, se tenant à côté de lui, coupe Gérard en soufflant bruyamment, un sourire moqueur aux lèvres. Il brandit soudain un fusil à pompe en plastique, une sorte d'accessoire de spectacle, mais la situation devient rapidement inconfortable.
- Alexis (d'un ton théâtral) :**
« Hé, Gérard, t’as oublié de dire que t’es la cible parfaite pour un peu de bizutage, non ?! »
Les élèves se regardent, mi-amusés, mi-inquiets. Gérard fronce les sourcils, essayant de garder son calme, mais Alexis continue, se tournant vers les enfants.
- Alexis :**
« Alors, les jeunes, vous voulez savoir ce qu’il ne faut *pas* faire ? Regarder comment je traite Gérard ! »
Il pousse légèrement Gérard de l’épaule, toujours avec ce sourire provocateur. Gérard essaie de rire nerveusement, mais la tension est palpable. Alexis fait mine de viser Gérard avec son fusil factice, tout en ajoutant d’une voix plus grave.
- Alexis :**
« C’est comme ça qu’on impose le respect, non ? Faut leur montrer qui est le patron ! »
Les élèves éclatent de rire, certains choqués, d'autres amusés par l’absurdité de la scène. Gérard, tentant de reprendre le contrôle, lève les mains en signe d’apaisement.
- Gérard :**
« Heu, ce que fait Alexis, c’est justement ce qu’on appelle du harcèlement ! Et même si c’est pour rire, ce genre de comportement peut vraiment blesser. Alexis, tu exagères là… »
Mais Alexis, dans son rôle de clown, fait un clin d’œil aux élèves, insistant.
- Alexis :**
« Allez, Gérard, on déconne, c’est pour la prévention ! »
Un silence gênant s’installe dans la pièce. Gérard soupire discrètement et se tourne finalement vers les élèves.
- Gérard :**
« Le harcèlement, ça commence souvent par des blagues, des petites humiliations qui semblent sans importance. Mais ça peut rapidement devenir destructeur. Ce qu’Alexis fait ici est un exemple de ce qu’il ne faut *jamais* faire, même pour rire. »
Alexis, comprenant qu’il est allé trop loin, repose son fusil à pompe en plastique et prend un air plus sérieux. Il s’approche de Gérard et lui pose une main sur l’épaule.
- Alexis (d’un ton plus doux) :**
« Bon, les enfants, Gérard a raison. Ce que je viens de faire, c’est un exemple de comportement toxique. J’ai voulu faire le malin, mais au fond, ça peut vraiment faire du mal. Le respect, c’est ce qui compte le plus, surtout entre amis. »
Les élèves sont désormais plus attentifs, l’ambiance ayant basculé. Gérard termine la session avec une note plus solennelle.
- Gérard :**
« N’oubliez jamais, personne ne mérite d’être traité de cette manière. Si vous êtes témoins de harcèlement, parlez-en. Vous avez le pouvoir de changer les choses. »
La cloche retentit, mettant fin à cette étrange, mais mémorable session. Gérard et Alexis quittent la classe, laissant derrière eux des élèves pensifs et une leçon, bien que maladroitement donnée, sur l’importance du respect.
j'ai fav
khey envoie l'histoire au sénat il faut qu'ils la lisent aussi
Le 17 septembre 2024 à 18:39:16 :
j'ai favkhey envoie l'histoire au sénat il faut qu'ils la lisent aussi
Bonne idée
le gars pourrait consacrer sa vie à être essayiste et chroniqueur LCI comme Louis Sarkozy
mais non il préfère écrire sur le forum...
Données du topic
- Auteur
- -offredestage-
- Date de création
- 17 septembre 2024 à 11:07:58
- Date de suppression
- 28 septembre 2024 à 19:25:00
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