Mon histoire d'amour avec Gérard Larcher
SuppriméUn après-midi pluvieux au Palais du Luxembourg, l’ambiance était lourde. Les séances sénatoriales battaient leur plein, mais dans un bureau discret au fond des vastes couloirs du Sénat, une confrontation bien plus personnelle se préparait. Alexis Bossé, le jeune facteur, était assis, bras croisés, dans le fauteuil face à Gérard Larcher. Ce dernier, habituellement confiant, semblait nerveux. Alexis, habituellement réservé, affichait aujourd'hui une assurance inhabituelle.
Le silence pesant fut enfin rompu par Alexis, dont le ton calme cachait une menace sous-jacente.
- Alexis** :
"Gérard… il est temps que tu fasses quelque chose pour moi."
Gérard releva la tête, son regard perplexe. Depuis quelque temps, il avait senti que quelque chose avait changé dans l’attitude du jeune homme. Mais il ne s’attendait pas à ce qui allait suivre.
- Gérard** :
"Que veux-tu dire, Alexis ? Tu sais que je suis toujours prêt à t'aider, mais... qu'est-ce que tu veux exactement ?"
Alexis sortit un papier de sa poche, le déplia lentement et le posa sur le bureau de Gérard. C’était un brouillon d’une proposition de loi, tapée à la hâte. Gérard la parcourut rapidement, ses yeux s’écarquillant au fur et à mesure qu’il comprenait.
- Gérard** :
"Le port d'armes pour les facteurs ? Tu es sérieux ?"
- Alexis** (calmement, mais avec une détermination froide) :
"Très sérieux. J'ai beaucoup réfléchi à ça. Tu sais combien c’est devenu dangereux de livrer des colis dans certains quartiers. Les agressions sont de plus en plus fréquentes. Je pense que les facteurs devraient avoir le droit de se défendre."
Gérard posa la feuille sur le bureau, se frottant le front, clairement déstabilisé.
- Gérard** :
"Alexis, c'est… c'est un sujet très sensible. Tu réalises les complications que cela impliquerait ? Armer les facteurs… c'est totalement disproportionné. Je ne peux pas défendre ça au Sénat. C’est hors de question."
Le jeune facteur se redressa dans son fauteuil, ses yeux s’assombrissant.
- Alexis** :
"Je m'attendais à cette réponse. Mais vois-tu, Gérard, je ne suis pas venu ici pour te demander ton avis. J'ai quelque chose que tu veux garder secret, quelque chose qui pourrait faire beaucoup de bruit si c'était révélé à la presse."
Gérard, sentant la menace arriver, pâlit légèrement, bien que son visage reste stoïque.
- Gérard** :
"De quoi tu parles ?"
- Alexis** (les yeux perçants, le ton sec) :
"De nous, Gérard. De notre relation. Je pense que les médias adoreraient savoir que le Président du Sénat entretient une relation avec un jeune facteur. Imagine les gros titres, les scandales, les insinuations... ça pourrait ruiner ta carrière, et tu le sais."
Gérard se leva brusquement, comme si un coup lui avait été porté. Il fit quelques pas dans la pièce, essayant de garder son calme, mais l'agitation se lisait dans chacun de ses gestes.
- Gérard** :
"Tu ne ferais pas ça, Alexis. Ce que nous avons vécu, c'était… spécial, sincère. Tu ne peux pas me menacer comme ça."
- Alexis** (le visage dur) :
"Spécial ou pas, ça ne change rien. Je te donne un choix. Soit tu soutiens cette proposition de loi et tu la portes au Sénat, soit tout le monde saura ce qui se passe entre nous. Tu ne pourras plus cacher ça."
Gérard s’arrêta, le dos tourné à Alexis, respirant profondément. Il comprenait maintenant qu'Alexis n’était plus le même jeune homme naïf qu’il avait connu. Il pesait ses options. La presse, les scandales, l'opprobre… tout cela pouvait détruire des décennies de carrière en une seconde. Mais cette loi était tout simplement impensable, une bombe à retardement pour l’image du Sénat et la sécurité publique.
Il se retourna, affrontant Alexis avec une expression entre colère et résignation.
- Gérard** :
"Tu joues un jeu dangereux, Alexis. Très dangereux."
- Alexis** (impassible) :
"Peut-être, mais je n’ai plus rien à perdre. Toi, par contre… tu as tout à perdre."
Le silence qui suivit était glacial. Gérard savait qu'il était piégé. S’il refusait, sa carrière pourrait être ruinée. Mais s’il acceptait, il s’engageait dans une bataille politique insensée. Il s’approcha finalement de son bureau, reprenant la feuille de proposition de loi, la relisant lentement.
- Gérard** (murmurant presque pour lui-même) :
"Je vais voir ce que je peux faire. Mais sache une chose, Alexis… ce genre de menaces ne te mènera pas loin. Il y a toujours des conséquences."
- Alexis** (se levant, un sourire satisfait) :
"J'accepte de prendre ce risque. Je te laisse réfléchir à ta décision, mais ne tarde pas trop."
Sur ces mots, Alexis quitta le bureau, laissant Gérard seul, avec un dilemme dévastateur. Les mains crispées autour du papier, Gérard comprenait qu'il venait de perdre le contrôle d'une situation qu'il avait, un temps, pensé maîtriser.
Le 17 septembre 2024 à 11:09:17 :
Tarax + sweet
La suite prochainement merci
Le 17 septembre 2024 à 11:11:31 :
tu es de la nourriture ?
Le 17 septembre 2024 à 11:09:17 :
Tarax + sweet
La suite prochainement merci
Oui
Le 17 septembre 2024 à 11:13:46 :
il faut rendre Alexis comestible sinon ça ne marchera jamais
Oui
Le 17 septembre 2024 à 11:56:36 :
la suite nom de dieu
Ça arrive
Gérard Larcher, assis à une table discrète du bar tamisé du club échangiste, consultait son téléphone d'un air absorbé. Le bruit feutré des conversations autour de lui créait une atmosphère étrange, un mélange de tension et d'excitation qui flottait dans l'air. La lumière rougeoyante donnait au lieu une ambiance presque irréelle. Il jetait des coups d'œil furtifs vers l'entrée, attendant impatiemment Alexis, le jeune facteur qui occupait ses pensées depuis un moment déjà.
Alexis arriva enfin, vêtu de son uniforme de facteur, un léger sourire aux lèvres. Son allure décontractée et son assurance contrastait avec la nervosité palpable de Gérard. Le jeune homme s'avança, traversant le bar avec aisance, ignorant les regards curieux des autres clients.
« Gérard », dit Alexis en s'asseyant face à lui, « c'est un endroit… particulier pour discuter du port d'armes des facteurs, non ? »
Gérard sourit légèrement, essayant de dissimuler sa gêne. « On ne risque pas d'être interrompus ici », répondit-il, sa voix plus ferme qu’il ne se sentait réellement. « Et puis, il faut qu'on prépare un plan solide. »
Alexis croisa les bras, l'observant avec une lueur amusée dans les yeux. « Je t’écoute, alors. Que proposes-tu ? »
Gérard prit une gorgée de son verre pour se donner du courage avant de poursuivre. « Il est crucial que les facteurs soient protégés. Avec les agressions en hausse, il est impératif qu'ils aient le droit de porter une arme pour se défendre. Il nous faut une stratégie pour convaincre le parlement et l'opinion publique. »
Alexis hocha la tête, prenant l'affaire au sérieux, malgré le lieu incongru. « Je suis d'accord, mais il faudra aussi montrer que ce n'est pas un geste excessif. Peut-être qu’on pourrait mettre en avant des témoignages de facteurs agressés, ou des études sur la sécurité au travail ? »
Leurs regards se croisèrent un instant, et Gérard sentit son cœur s'accélérer. Malgré la tension de la discussion politique, il ne pouvait ignorer l'attirance qu'il ressentait pour Alexis. Mais il savait que ce n’était ni le lieu ni le moment pour aborder ses sentiments.
« C’est exactement ce qu’il nous faut », répondit Gérard, la voix plus douce. « Travaillons là-dessus ensemble. On formera un front uni. »
Le jeune facteur sourit en retour, conscient du trouble de Gérard mais respectueux de la distance qu'il maintenait. Tandis qu'ils continuaient à élaborer leur plan pour défendre le texte sur le port d'armes des facteurs, l'atmosphère particulière du club échangiste semblait s’effacer autour d’eux, laissant place à une étrange complicité.
Leurs discussions finirent par se fondre dans la musique ambiante du bar, deux mondes en apparence incompatibles se rejoignant dans une cause commune, à la fois sérieuse et teintée d’une attraction inexprimée.
Le 17 septembre 2024 à 12:01:44 :
Qu'est-ce que viens-je de lire
Oui? Donne moi ton avis
La scène se déroule au Sénat, en plein après-midi. L'atmosphère est solennelle, comme à l'accoutumée, mais une certaine tension plane, alimentée par les discussions houleuses des dernières semaines. Gerard Larcher, président du Sénat, monte à la tribune, son visage serein mais déterminé. Il ajuste ses lunettes, consulte rapidement ses notes, puis lève les yeux vers l'assemblée, ses collègues sénateurs pendus à ses lèvres.
Un léger murmure parcourt la salle. Chacun s'attend à un discours technique, comme toujours. Mais très vite, quelque chose d'inhabituel s'installe dans l'air.
"Mes chers collègues," commence-t-il, sa voix posée mais légèrement tremblante. "Je me tiens devant vous aujourd'hui non seulement pour parler d'une question cruciale pour notre société, mais aussi pour partager quelque chose de plus personnel."
Les regards se tournent les uns vers les autres, intrigués.
"Nous avons discuté longuement des dangers auxquels nos facteurs sont confrontés au quotidien. Je pense, et je le dis sans détour, que la sécurité de nos postiers doit être renforcée. C'est pourquoi je défends, ici, devant vous, l'idée controversée que les facteurs puissent porter une arme pour se défendre face aux risques croissants dans certaines zones."
Un silence stupéfait envahit l'hémicycle. Certains froncements de sourcils, des murmures s'élèvent. Larcher lève la main pour demander le silence.
"Je comprends que cette proposition puisse paraître radicale, mais je vous assure qu'elle est mûrement réfléchie."
Il fait une pause, prenant une inspiration, son regard se perd un instant au-delà des murs imposants du Sénat.
"Mais avant de poursuivre, il y a autre chose. Quelque chose de plus... personnel."
À ce moment, tout le monde est suspendu à ses lèvres. Larcher hésite, puis pose ses notes. Son visage s'adoucit.
"Vous connaissez tous Alexis Bossé, n'est-ce pas ?" dit-il en cherchant du regard l'homme en question, assis au fond de la salle, visiblement surpris.
"Alexis... Cela fait longtemps que nous travaillons ensemble. Depuis des années, nous avons partagé bien plus que des idées et des débats. Aujourd'hui, ici même, devant vous tous, je voudrais dire une chose importante. Alexis, veux-tu m'épouser ?"
Un silence total s'abat dans la salle. Les yeux écarquillés de certains sénateurs se posent tour à tour sur Gerard Larcher puis sur Alexis Bossé, figé sur son siège, rouge de surprise.
Le Sénat entier semble retenir son souffle, puis, petit à petit, des murmures, des exclamations de surprise et même quelques rires nerveux commencent à se faire entendre. Les caméras de télévision captent chaque seconde de cette scène surréaliste, diffusant en direct ce moment inattendu à des millions de téléspectateurs.
Alexis, après une seconde d'hésitation qui paraît une éternité, se lève, le visage ému et encore sous le choc. Tous les regards sont braqués sur lui. Et, d'une voix à peine audible mais claire, il répond : "Oui."
Un tonnerre d'applaudissements éclate dans le Sénat. Certains sénateurs se lèvent, d'autres sont figés d'incrédulité. Les caméras zooment sur Larcher, un large sourire aux lèvres, et sur Alexis, qui, rougissant toujours, marche lentement vers la tribune.
La France entière assiste, médusée, à cette scène hors du commun : une déclaration d'amour enflammée au sein même du Sénat, sous l'éclat des projecteurs, en plein direct.
Données du topic
- Auteur
- -offredestage-
- Date de création
- 17 septembre 2024 à 11:07:58
- Date de suppression
- 28 septembre 2024 à 19:25:00
- Supprimé par
- Auteur
- Nb. messages archivés
- 55
- Nb. messages JVC
- 45