Les droitards " Oui mais MARX et l'ARMEE DE RESERVE "
Le 11 septembre 2024 à 18:36:12 :
Le 11 septembre 2024 à 18:34:58 :
Putain 40 piges et le mec est nul à chier c'est dinguePour lui le capitaliste part de la valeur-travail (marxisme) et sait qu'il doit lutter contre la baisse tendancielle du taux de profit pour maintenant le capital organique
Littéralement le contraire de ce que dit Marx : le capitaliste ignore l'origine de la valeur, il cherche juste le profit court terme, donc il va augmenter sa part de machine et baisser sa part organique, et à grande échelle ça va faire baisser la valeur ce qui déclenchera une baisse du taux de profit
En grand 2024 tous les grands bourgeois ont lu Marx
Ah de mieux en mieux, les libéraux ont lu Marx du coup ils appliquent sa méthode
Le patron random d'une usine de chausson en Charente, il applique Marx et va pas du tout acheter des machines pour augmenter le rendement
Tu comprends pas quoi dans le mot " contradiction " le singe ?
et ont compris la réalité de la baisse tendancielle du taux de profit lié à l'automatisation de la production, c'est pour cela qu'ils organisent l'immigration de masse.
Ce dont le capitalisme a besoin, et donc les capitalistes. D'où la contradiction :
Cette diminution progressive du capital variable relativement au capital constant et au capital total correspond au perfectionnement de la composition organique du Capital social moyen et est l'indice du progrès de la productivité du travail social. Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires
Le 11 septembre 2024 à 17:18:51 :
Post avant " oui mais lumpenprolétariat, racaille, gngn délinquants criminels, insécurité "Marx mettait en avant les criminels et les délinquants en tant que perturbateurs de la bourgeoisie; et se foutait de la gueule des pro-sécurité:
https://www.marxists.org/francais/marx/works/1861/00/marx_crime.htmLe criminel interrompt la monotonie et la sécurité de la vie bourgeoise. Il la protège ainsi contre la stagnation et fait émerger cette tension à fleur de peau, cette mobilité de l'esprit sans lesquelles le stimulus de la compétition elle-même serait fort mince. Il donne ainsi une nouvelle impulsion aux forces productrices.
Ayaoo, je la connaissais pas celle-là
Cimer les criminel de contribuer aux développement des forces de production en créant les métiers de police et de justice et en développant les activités des serruriers
Sinon dire que les bourgeois ont lu Marx et l'utilisent pour contrer la baisse tendancielle du taux de profit est bien évidemment faux, c'est le contraire : les libéraux contredisent et nient totalement la baisse tendancielle du taux de profit
Même à gauche il y a des gens qui la nuancent à cause de l'adaptativité remarquable du capitalisme
C'est du gaspillage permanent dans une volonté de profit immédiat.
Le 11 septembre 2024 à 18:40:11 :
Sinon dire que les bourgeois ont lu Marx et l'utilisent pour contrer la baisse tendancielle du taux de profit est bien évidemment faux, c'est le contraire : les libéraux contredisent et nient totalement la baisse tendancielle du taux de profitMême à gauche il y a des gens qui la nuancent à cause de l'adaptativité remarquable du capitalisme
Allo: la bourgeoisie occidentale a fait absolument tout ce qu'elle a pu dans les années 80 pour éviter d'automatiser la production
L'Histoire, ça t'arrives de la prendre en compte?
T'as cru que les immigrés étaient venus tout seul? Tu ignores qu'il y a une politique migratoire?
Le 11 septembre 2024 à 18:41:41 :
Le 11 septembre 2024 à 18:40:11 :
Sinon dire que les bourgeois ont lu Marx et l'utilisent pour contrer la baisse tendancielle du taux de profit est bien évidemment faux, c'est le contraire : les libéraux contredisent et nient totalement la baisse tendancielle du taux de profitMême à gauche il y a des gens qui la nuancent à cause de l'adaptativité remarquable du capitalisme
Allo: la bourgeoisie occidentale a fait absolument tout ce qu'elle a pu dans les années 80 pour éviter d'automatiser la production
Oui c'est littéralement le contraire
L'Histoire, ça t'arrives de la prendre en compte?
T'as cru que les immigrés étaient venus tout seul? Tu ignores qu'il y a une politique migratoire?
Rien à voir avec les immigrés encore une fois, qui ne servent qu'à baisser les salaires
Sinon les années 80 c'est vraiment le pire exemple vu que c'est là qu'on voit l'explosion de nouveaux marchés, ce qui correspond à la phase 1 de la baisse tendancielle
La droite ne lit même pas ses propres auteurs alors Marx
Tu peux mettre un libéral en PLS en t'appuyant seulement sur Smith et Mises
Le 11 septembre 2024 à 18:34:55 :
Le 11 septembre 2024 à 18:33:52 :
Le 11 septembre 2024 à 18:25:48 :
Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salairesBen je suis d'accord avec ça perso.
Y'en a marre de ramer dans le vent.
Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
On y est pas certes, mais c'est un horizon.Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
Le bourgeois ne veut rien, il est agent du capital et c'est tout. Et il automatise car dans le cadre de la concurrence il est obligé s'il veut produire des marchandises avec une valeur par marchandise compétitive, et donc un prix qui l'est aussi.
Il n'est pas obligé.
Il peut délocaliser.
Il peut faire venir des immigrés.
C'est bien, tu commences à comprendre.
Le problème c'est que tu vois les choses comme si tout était un plan de la classe capitaliste qui aurait conscience de tout ce qui fait la reproduction du capital, encore une fois.
Déjà que la classe capitaliste aujourd'hui est d'une complexité monstrueuse parce qu'elle est actionnariale et anonyme, en plus tu voudrais que tout ce beau monde se concerte pour établir des plans de migration et de délocalisation pour la seule raison qu'il y a une baisse tendancielle du taux de profit.
Oui la délocalisation encore une fois est pour un temps une contre-tendance de la baisse tendancielle du taux de profit, mais elle mène inévitablement à un retour de cette baisse tendancielle car si, même après la délocalisation la course à la machinisation ne s'arrête pas. Il n'y a pas délocalisation et arrêt magique de la tendance à machiniser la sphère de la production.
Pareil pour les immigrés, s'il y a évidemment une utilisation de l'immigration dans la sphère de la production pour baisser les salaires et augmenter le taux d'exploitation moyen, de là à dire que la classe capitaliste les fait venir exprès pour contrer la baisse tendancielle du taux de profit, c'est tout autre chose. Qu'elle soit accommodante avec des politiques migratoires car elle sait qu'elle a à y gagner oui (il suffit de regarder les discours du MEDEF), mais ça va pas plus loin.
Le 11 septembre 2024 à 18:32:13 :
Le 11 septembre 2024 à 18:30:00 :
Le 11 septembre 2024 à 18:28:24 :
Le 11 septembre 2024 à 18:26:17 :
Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salairesBen je suis d'accord avec ça perso.
Y'en a marre de ramer dans le vent.
Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
On y est pas certes, mais c'est un horizon.Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
Mais putain il raconte n'importe quoi c'est affolant
C'est littéralement le contraire
Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
Mec, c'est le livre 3 du Capital. N'importe quel Marxiste aguerri te l'expliquera. T'es jeune, je t'en veux pas, moi aussi j'ai été "pour l'immigration" dans ma jeunesse. Aujourd'hui j'ai 40 ans, j'ai lu Marx et les auteurs marxistes en long et en large et en travers, et au lieu de troller sur JVC je devrais être en train d'écrire le putain de pamphlet que j'ai promis à fan base sur twitter
Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires. Cette importance croissante de la valeur du capital constant, à laquelle ne correspond nullement une augmentation quantitative des valeurs d'usage, éléments matériels du même capital, entraîne une baisse progressive des prix : chaque produit contient une moindre quantité de travail que dans les stades antérieurs de la production, où le capital avancé pour le travail était plus grand relativement à celui consacré aux moyens de production. La série de chiffres que nous avons établie au commencement de ce chapitre exprime donc la vraie tendance de la production capitaliste, qui est caractérisée par une diminution progressive du capital variable par rapport au capital constant et une baisse correspondante des taux de profit pour des taux de plus-value, (une exploitation du travail) constants ou même croissants. (Nous verrons plus loin que cette baisse est tendancielle et non absolue.) La tendance à une baisse du taux général des profits est donc la caractéristique capitaliste du progrès de la productivité du travail social; ce qui ne veut pas dire que d'autres facteurs ne puissent pas déterminer la baisse des taux de profit, mais ce qui exprime qu'il est de l'essence de la production capitaliste d'entraîner par son développement progressif une transformation du taux de la plus-value en des taux de profit de plus en plus petits. "
La fameuse baisse tendancielle du taux de profit. La fameuse distinction très claire entre capital constant et variable ( ou capital circulant et fixe pour parler mieux comme Ricardo ) , la fameuse transition immuable de la plus-value , la fameuse baisse des salaires avec l'augmentation du machinisme , le fameux capital qui n’apparaît que sous forme argent , la fameuse augmentation de la valeur qui serait primordiale dans la société marchande , la fameuse SUBSTANCE de la valeur d'échange
De tout ce qu'à avancé Marx, il a toujours prouvé qu'il était un empiriste, et même un vulgaire empiriste et que jamais il n'a pu atteindre la rigueur logique de son maître Ricardo, toutes, je dis bien TOUTES ses théories sur la valeur et le profit sont démentis par l'expérience.
Mais bon vu que vous aimez la paresse, c'est plus facile de taper sur des attardés de droitards illettrés, plutôt que de faire l'examen critique objectif des thèses marxistes. Rejeter Marx est la chose la plus dialectique que vous pouvez faire. Mais bon, si même son plus grand exégète, Althusser n'a pas réussi cette étape, j'ai des énormes doutes sur les marxologues du forum.
Le 11 septembre 2024 à 18:53:07 :
Le 11 septembre 2024 à 18:32:13 :
Le 11 septembre 2024 à 18:30:00 :
Le 11 septembre 2024 à 18:28:24 :
Le 11 septembre 2024 à 18:26:17 :
> Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
>Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salaires
>
> Ben je suis d'accord avec ça perso.
> Y'en a marre de ramer dans le vent.
> Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
> On y est pas certes, mais c'est un horizon.
Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
Mais putain il raconte n'importe quoi c'est affolant
C'est littéralement le contraire
Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
Mec, c'est le livre 3 du Capital. N'importe quel Marxiste aguerri te l'expliquera. T'es jeune, je t'en veux pas, moi aussi j'ai été "pour l'immigration" dans ma jeunesse. Aujourd'hui j'ai 40 ans, j'ai lu Marx et les auteurs marxistes en long et en large et en travers, et au lieu de troller sur JVC je devrais être en train d'écrire le putain de pamphlet que j'ai promis à fan base sur twitter
Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires. Cette importance croissante de la valeur du capital constant, à laquelle ne correspond nullement une augmentation quantitative des valeurs d'usage, éléments matériels du même capital, entraîne une baisse progressive des prix : chaque produit contient une moindre quantité de travail que dans les stades antérieurs de la production, où le capital avancé pour le travail était plus grand relativement à celui consacré aux moyens de production. La série de chiffres que nous avons établie au commencement de ce chapitre exprime donc la vraie tendance de la production capitaliste, qui est caractérisée par une diminution progressive du capital variable par rapport au capital constant et une baisse correspondante des taux de profit pour des taux de plus-value, (une exploitation du travail) constants ou même croissants. (Nous verrons plus loin que cette baisse est tendancielle et non absolue.) La tendance à une baisse du taux général des profits est donc la caractéristique capitaliste du progrès de la productivité du travail social; ce qui ne veut pas dire que d'autres facteurs ne puissent pas déterminer la baisse des taux de profit, mais ce qui exprime qu'il est de l'essence de la production capitaliste d'entraîner par son développement progressif une transformation du taux de la plus-value en des taux de profit de plus en plus petits. "
La fameuse baisse tendancielle du taux de profit. La fameuse distinction très claire entre capital constant et variable ( ou capital circulant et fixe pour parler mieux comme Ricardo ) , la fameuse transition immuable de la plus-value , la fameuse baisse des salaires avec l'augmentation du machinisme , le fameux capital qui n’apparaît que sous forme argent , la fameuse augmentation de la valeur qui serait primordiale dans la société marchande , la fameuse SUBSTANCE de la valeur d'échange
De tout ce qu'à avancé Marx, il a toujours prouvé qu'il était un empiriste, et même un vulgaire empiriste et que jamais il n'a pu atteindre la rigueur logique de son maître Ricardo, toutes, je dis bien TOUTES ses théories sur la valeur et le profit sont démentis par l'expérience.
Mais bon vu que vous aimez la paresse, c'est plus facile de taper sur des attardés de droitards illettrés, plutôt que de faire l'examen critique objectif des thèses marxistes. Rejeter Marx est la chose la plus dialectique que vous pouvez faire. Mais bon, si même son plus grand exégète, Althusser n'a pas réussi cette étape, j'ai des énormes doutes sur les marxologue du forum.
En quoi c'est démenti par l'expérience ? Laisse moi deviner, tu confonds valeur et prix ?
La baisse tendancielle du taux de profit se vérifie constamment et je te renvoie aux travaux des critiques de la valeur comme Robert Kurz si tu veux des exemples empiriques de ce phénomène au XXème siècle. Il y en a pleins d'autres après, tu peux creuser.
Le 11 septembre 2024 à 18:57:14 :
Le 11 septembre 2024 à 18:53:07 :
Le 11 septembre 2024 à 18:32:13 :
Le 11 septembre 2024 à 18:30:00 :
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> Le 11 septembre 2024 à 18:26:17 :
>> Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
> >Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salaires
> >
> > Ben je suis d'accord avec ça perso.
> > Y'en a marre de ramer dans le vent.
> > Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
> > On y est pas certes, mais c'est un horizon.
>
> Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
>
Mais putain il raconte n'importe quoi c'est affolant
C'est littéralement le contraire
> Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
Ce dont le capitaliste n'est pas conscient, le singeMec, c'est le livre 3 du Capital. N'importe quel Marxiste aguerri te l'expliquera. T'es jeune, je t'en veux pas, moi aussi j'ai été "pour l'immigration" dans ma jeunesse. Aujourd'hui j'ai 40 ans, j'ai lu Marx et les auteurs marxistes en long et en large et en travers, et au lieu de troller sur JVC je devrais être en train d'écrire le putain de pamphlet que j'ai promis à fan base sur twitter
Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires. Cette importance croissante de la valeur du capital constant, à laquelle ne correspond nullement une augmentation quantitative des valeurs d'usage, éléments matériels du même capital, entraîne une baisse progressive des prix : chaque produit contient une moindre quantité de travail que dans les stades antérieurs de la production, où le capital avancé pour le travail était plus grand relativement à celui consacré aux moyens de production. La série de chiffres que nous avons établie au commencement de ce chapitre exprime donc la vraie tendance de la production capitaliste, qui est caractérisée par une diminution progressive du capital variable par rapport au capital constant et une baisse correspondante des taux de profit pour des taux de plus-value, (une exploitation du travail) constants ou même croissants. (Nous verrons plus loin que cette baisse est tendancielle et non absolue.) La tendance à une baisse du taux général des profits est donc la caractéristique capitaliste du progrès de la productivité du travail social; ce qui ne veut pas dire que d'autres facteurs ne puissent pas déterminer la baisse des taux de profit, mais ce qui exprime qu'il est de l'essence de la production capitaliste d'entraîner par son développement progressif une transformation du taux de la plus-value en des taux de profit de plus en plus petits. "
La fameuse baisse tendancielle du taux de profit. La fameuse distinction très claire entre capital constant et variable ( ou capital circulant et fixe pour parler mieux comme Ricardo ) , la fameuse transition immuable de la plus-value , la fameuse baisse des salaires avec l'augmentation du machinisme , le fameux capital qui n’apparaît que sous forme argent , la fameuse augmentation de la valeur qui serait primordiale dans la société marchande , la fameuse SUBSTANCE de la valeur d'échange
De tout ce qu'à avancé Marx, il a toujours prouvé qu'il était un empiriste, et même un vulgaire empiriste et que jamais il n'a pu atteindre la rigueur logique de son maître Ricardo, toutes, je dis bien TOUTES ses théories sur la valeur et le profit sont démentis par l'expérience.
Mais bon vu que vous aimez la paresse, c'est plus facile de taper sur des attardés de droitards illettrés, plutôt que de faire l'examen critique objectif des thèses marxistes. Rejeter Marx est la chose la plus dialectique que vous pouvez faire. Mais bon, si même son plus grand exégète, Althusser n'a pas réussi cette étape, j'ai des énormes doutes sur les marxologue du forum.En quoi c'est démenti par l'expérience ? Laisse moi deviner, tu confonds valeur et prix ?
La baisse tendancielle du taux de profit se vérifie constamment et je te renvoie aux travaux des critiques de la valeur comme Robert Kurz si tu veux des exemples empiriques de ce phénomène au XXème siècle. Il y en a pleins d'autres après, tu peux creuser.
Je n'ai jamais confondu prix et valeur, mais marx a confondu valeur et production.
Il n'y a aucune baisse tendancielle du taux de profit, car quand le profit, qui est cette partie du capital réinjectée qui donne effet au travail, est engagé, c'est en vu d'un revenu positif. Il n'y a que en période de crise que le mirage keynésien de la baisse du taux de profit semble prendre sens, la période inflationniste que l'on vit en est la preuve la plus nette.
Si le profit baisse ce n'est pas par défaut de production mais bien car la production est absorbé presque totalement par la consommation improductive.
Le 11 septembre 2024 à 18:55:18 :
J'arrive après la guerre mais vraiment la boucle cacophonique des débats de marxoulin ici
J'écoute... Je lis vos avis.
J'ai une culture (très) parcellaire du marxisme, alors je poserai des questions lorsque ce sera nécessaire.
Latexile a fait une bonne vulgarisation pour comprendre à quel point la société actuelle fonctionne comme une fourmilière au détriment de tous les acteurs.
Y compris des gens de pouvoir.
Le 11 septembre 2024 à 19:05:01 :
Le 11 septembre 2024 à 18:57:14 :
Le 11 septembre 2024 à 18:53:07 :
Le 11 septembre 2024 à 18:32:13 :
Le 11 septembre 2024 à 18:30:00 :
> Le 11 septembre 2024 à 18:28:24 :
>> Le 11 septembre 2024 à 18:26:17 :
> >> Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
> > >Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salaires
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> > > Ben je suis d'accord avec ça perso.
> > > Y'en a marre de ramer dans le vent.
> > > Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
> > > On y est pas certes, mais c'est un horizon.
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> > Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
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> Mais putain il raconte n'importe quoi c'est affolant
>
> C'est littéralement le contraire
> > Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
> Ce dont le capitaliste n'est pas conscient, le singe
Mec, c'est le livre 3 du Capital. N'importe quel Marxiste aguerri te l'expliquera. T'es jeune, je t'en veux pas, moi aussi j'ai été "pour l'immigration" dans ma jeunesse. Aujourd'hui j'ai 40 ans, j'ai lu Marx et les auteurs marxistes en long et en large et en travers, et au lieu de troller sur JVC je devrais être en train d'écrire le putain de pamphlet que j'ai promis à fan base sur twitter
Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires. Cette importance croissante de la valeur du capital constant, à laquelle ne correspond nullement une augmentation quantitative des valeurs d'usage, éléments matériels du même capital, entraîne une baisse progressive des prix : chaque produit contient une moindre quantité de travail que dans les stades antérieurs de la production, où le capital avancé pour le travail était plus grand relativement à celui consacré aux moyens de production. La série de chiffres que nous avons établie au commencement de ce chapitre exprime donc la vraie tendance de la production capitaliste, qui est caractérisée par une diminution progressive du capital variable par rapport au capital constant et une baisse correspondante des taux de profit pour des taux de plus-value, (une exploitation du travail) constants ou même croissants. (Nous verrons plus loin que cette baisse est tendancielle et non absolue.) La tendance à une baisse du taux général des profits est donc la caractéristique capitaliste du progrès de la productivité du travail social; ce qui ne veut pas dire que d'autres facteurs ne puissent pas déterminer la baisse des taux de profit, mais ce qui exprime qu'il est de l'essence de la production capitaliste d'entraîner par son développement progressif une transformation du taux de la plus-value en des taux de profit de plus en plus petits. "
La fameuse baisse tendancielle du taux de profit. La fameuse distinction très claire entre capital constant et variable ( ou capital circulant et fixe pour parler mieux comme Ricardo ) , la fameuse transition immuable de la plus-value , la fameuse baisse des salaires avec l'augmentation du machinisme , le fameux capital qui n’apparaît que sous forme argent , la fameuse augmentation de la valeur qui serait primordiale dans la société marchande , la fameuse SUBSTANCE de la valeur d'échange
De tout ce qu'à avancé Marx, il a toujours prouvé qu'il était un empiriste, et même un vulgaire empiriste et que jamais il n'a pu atteindre la rigueur logique de son maître Ricardo, toutes, je dis bien TOUTES ses théories sur la valeur et le profit sont démentis par l'expérience.
Mais bon vu que vous aimez la paresse, c'est plus facile de taper sur des attardés de droitards illettrés, plutôt que de faire l'examen critique objectif des thèses marxistes. Rejeter Marx est la chose la plus dialectique que vous pouvez faire. Mais bon, si même son plus grand exégète, Althusser n'a pas réussi cette étape, j'ai des énormes doutes sur les marxologue du forum.En quoi c'est démenti par l'expérience ? Laisse moi deviner, tu confonds valeur et prix ?
La baisse tendancielle du taux de profit se vérifie constamment et je te renvoie aux travaux des critiques de la valeur comme Robert Kurz si tu veux des exemples empiriques de ce phénomène au XXème siècle. Il y en a pleins d'autres après, tu peux creuser.
Je n'ai jamais confondu prix et valeur, mais marx a confondu valeur et production.
Il n'y a aucune baisse tendancielle du taux de profit, car quand le profit, qui est cette partie du capital réinjectée qui donne effet au travail, est engagé, c'est en vu d'un revenu positif. Il n'y a que en période de crise que le mirage keynésien de la baisse du taux de profit semble prendre sens, la période inflationniste que l'on vit en est la preuve la plus nette.
Si le profit baisse ce n'est pas par défaut de production mais bien car la production est absorbé presque totalement par la consommation improductive.
Il y a beaucoup de soucis dans ton énoncé.
Déjà tu prends les cycles du capital en chemin en disant "le profit est la partie du capital réinjectée qui donne effet au travail". Non, le profit n'est pas un capital réinjecté, c'est la forme phénoménale d'un capital augmenté de la valeur produite par la force de travail. Une partie de ce capital sera effectivement réinjectée, servira peut-être à augmenter la productivité de la production ou que sais-je encore, mais on s'en fout.
Tu dis que le profit (je corrigerais : une partie) est réinjecté en vu d'un revenu positif. Oui et ? La baisse tendancielle est une baisse du TAUX de profit, pas du profit en terme ABSOLU. Tu peux avoir une augmentation du profit et une baisse tendancielle du taux de profit. L'un n'empêche pas l'autre.
La baisse tendancielle du taux de profit n'est pas une simple crise de la production, c'est une crise de la production dans ses possibilités de débouchées dans la circulation, donc en finalité une tendance immuable de la production (la mécanisation) qui débouche sur une crise de la demande dans un temps long.
Donc à mon avis tu confonds profit et taux de profit, et c'est pour ça que tu penses que ça n'est effectif qu'en période de crise.
Aucun rapport non plus avec les périodes inflationnistes, mais là il faudrait en revenir à la conception par marx du Capital fictif et donc du crédit et c'est un tout autre débat.
Le 11 septembre 2024 à 19:17:52 :
Le 11 septembre 2024 à 19:05:01 :
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> > >> Le 11 septembre 2024 à 18:24:03 :
> > > >Les capitalistes veulent baisser la part organique et monter la part mécanique, ça veut dire acheter des machines et virer des salariés/baisser les salaires
> > > >
> > > > Ben je suis d'accord avec ça perso.
> > > > Y'en a marre de ramer dans le vent.
> > > > Le but final de l'homme et de s'affranchir totalement du travail tout en ayant de quoi vivre.
> > > > On y est pas certes, mais c'est un horizon.
> > >
> > > Attention au contre-sens: le bourgeois ne veut pas automatiser, au contraire, il veut préserver la part exploitation humaine soit en délocalisation soit en important des immigrés.
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> > Mais putain il raconte n'importe quoi c'est affolant
> >
> > C'est littéralement le contraire
> > > Le profit est le produit de l'exploitation du travail humain, pas du travail des machines.
> > Ce dont le capitaliste n'est pas conscient, le singe
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> Mec, c'est le livre 3 du Capital. N'importe quel Marxiste aguerri te l'expliquera. T'es jeune, je t'en veux pas, moi aussi j'ai été "pour l'immigration" dans ma jeunesse. Aujourd'hui j'ai 40 ans, j'ai lu Marx et les auteurs marxistes en long et en large et en travers, et au lieu de troller sur JVC je devrais être en train d'écrire le putain de pamphlet que j'ai promis à fan base sur twitter
> Grâce à l'emploi de plus en plus considérable de machines et de capital fixe, un même nombre d'ouvriers peut mettre en œuvre, dans le même temps, une masse de plus en plus grande de matières premières et auxiliaires. Cette importance croissante de la valeur du capital constant, à laquelle ne correspond nullement une augmentation quantitative des valeurs d'usage, éléments matériels du même capital, entraîne une baisse progressive des prix : chaque produit contient une moindre quantité de travail que dans les stades antérieurs de la production, où le capital avancé pour le travail était plus grand relativement à celui consacré aux moyens de production. La série de chiffres que nous avons établie au commencement de ce chapitre exprime donc la vraie tendance de la production capitaliste, qui est caractérisée par une diminution progressive du capital variable par rapport au capital constant et une baisse correspondante des taux de profit pour des taux de plus-value, (une exploitation du travail) constants ou même croissants. (Nous verrons plus loin que cette baisse est tendancielle et non absolue.) La tendance à une baisse du taux général des profits est donc la caractéristique capitaliste du progrès de la productivité du travail social; ce qui ne veut pas dire que d'autres facteurs ne puissent pas déterminer la baisse des taux de profit, mais ce qui exprime qu'il est de l'essence de la production capitaliste d'entraîner par son développement progressif une transformation du taux de la plus-value en des taux de profit de plus en plus petits. "
La fameuse baisse tendancielle du taux de profit. La fameuse distinction très claire entre capital constant et variable ( ou capital circulant et fixe pour parler mieux comme Ricardo ) , la fameuse transition immuable de la plus-value , la fameuse baisse des salaires avec l'augmentation du machinisme , le fameux capital qui n’apparaît que sous forme argent , la fameuse augmentation de la valeur qui serait primordiale dans la société marchande , la fameuse SUBSTANCE de la valeur d'échange
De tout ce qu'à avancé Marx, il a toujours prouvé qu'il était un empiriste, et même un vulgaire empiriste et que jamais il n'a pu atteindre la rigueur logique de son maître Ricardo, toutes, je dis bien TOUTES ses théories sur la valeur et le profit sont démentis par l'expérience.
Mais bon vu que vous aimez la paresse, c'est plus facile de taper sur des attardés de droitards illettrés, plutôt que de faire l'examen critique objectif des thèses marxistes. Rejeter Marx est la chose la plus dialectique que vous pouvez faire. Mais bon, si même son plus grand exégète, Althusser n'a pas réussi cette étape, j'ai des énormes doutes sur les marxologue du forum.En quoi c'est démenti par l'expérience ? Laisse moi deviner, tu confonds valeur et prix ?
La baisse tendancielle du taux de profit se vérifie constamment et je te renvoie aux travaux des critiques de la valeur comme Robert Kurz si tu veux des exemples empiriques de ce phénomène au XXème siècle. Il y en a pleins d'autres après, tu peux creuser.
Je n'ai jamais confondu prix et valeur, mais marx a confondu valeur et production.
Il n'y a aucune baisse tendancielle du taux de profit, car quand le profit, qui est cette partie du capital réinjectée qui donne effet au travail, est engagé, c'est en vu d'un revenu positif. Il n'y a que en période de crise que le mirage keynésien de la baisse du taux de profit semble prendre sens, la période inflationniste que l'on vit en est la preuve la plus nette.
Si le profit baisse ce n'est pas par défaut de production mais bien car la production est absorbé presque totalement par la consommation improductive.Il y a beaucoup de soucis dans ton énoncé.
Déjà tu prends les cycles du capital en chemin en disant "le profit est la partie du capital réinjectée qui donne effet au travail". Non, le profit n'est pas un capital réinjecté, c'est la forme phénoménale d'un capital augmenté de la valeur produite par la force de travail. Une partie de ce capital sera effectivement réinjectée, une autre servira peut-être à augmenter la productivité de la production ou que sais-je encore, mais on s'en fout.
Tu dis que le profit (je corrigerais : une partie) est réinjecté en vu d'un revenu positif. Oui et ? La baisse tendancielle est une baisse du TAUX de profit, pas du profit en terme ABSOLU. Tu peux avoir une augmentation du profit et une baisse tendancielle du taux de profit. L'un n'empêche pas l'autre.
La baisse tendancielle du taux de profit n'est pas une simple crise de la production, c'est une crise de la production dans ses possibilités de débouchées dans la circulation, donc en finalité une tendance immuable de la production (la mécanisation) qui débouche sur une crise de la demande dans un temps long.
Donc à mon avis tu confonds profit et taux de profit, et c'est pour ça que tu penses que ça n'est effectif qu'en période de crise.
Aucun rapport non plus avec les périodes inflationnistes, mais là il faudrait en revenir à la conception par marx du Capital fictif et donc du crédit et c'est un tout autre débat.
Le revenu brut se partage en salaire et profit ( la rente étant contenu dans le profit ), ne me fait donc pas le contradicteur pour faire le contradicteur, marx reprend en partie cette définition de Ricardo. La chose différente est que marx croit rétablir l'égalité de l'échange en substituant travail par force de travail.
Je prend la définition du capital donné par Ricardo pour bien montrer que c'est en se basant sur cette définition que les choses prennent sens. Si on voit le capital, comme partie des biens employés à la production et qui donnent effet au travail, tout de suite on arrive à entrevoir la genèse du profit ( qui reste encore à expliquer par les économistes ). Ta force phénoménale ne veut rien dire dans les faits car elle mène à confondre le travail et le produit du travail, et remplacé ça par "force de travail" ne change rien. L'échange étant dans les conditions de l'expérience marchande censé être une relation d'égalité, alors il n'y a QUE l'échange différé qui explique le profit, et non ta force de travail, que marx décrit comme SUBSTANCE de la valeur.
La baisse tendancielle veut bien dire ce que ça veut dire, et pourtant le profit à considérablement augmenté depuis Keynes.
Quand je parle d'absortion de la production, çela veut bien dire que le revenue brut n'arrive plus à dégager du profit c'est tout, cas hypothétique ( qui va de moins en moins le devenir ), où tout le revenu brut sert en subsistance. C'est un cas limite et non une chose qu'on observe ( dans les pays industrialisé je veux dire).
"Crise de la demande" = merci de me donner raison, car je ne parle pas de demande mais bien d'offre. Tu t'exprimes en bon keynésien qui pense que c'est la demande qui règle l'offre, alors que c'est strictement l'inverse.
"Confond taux de profit et profit" ça veut dire quoi, faut être clair, car si c'est ton histoire de profit absolu, alors faudra trouver autre chose.
Aucun rapport avec l'inflation, mais c'est uniquement en période d'inflation, que l'on cherche à augmenter la demande et qu'on parle de crise de la demande. La baisse du taux de profit de keynes est explicitement sa notion de demande effective, car pour lui la demande en capital est strictement limité. Et quand il y'a une crise inflationniste, à quelle chose on pense tout de suite ?
Le reste on ne peut pas être d'accord car tu penses que la crise de la production est une crise de la demande ( ça n'a aucun sens, un capital est engagé en vue d'un bénéfice ) et tu prouves par là que tu es un empiriste car tu penses que " les possibilités de débouchées" sont bloqués, or si on parle en ces termes, les débouchés veulent précisément dire que la production est engagés, sinon il l'investissement est arrêté.
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- GusFric
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- 11 septembre 2024 à 17:16:41
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