"CÉLESTIN ! Réveille-toi putain, les ELFES ATTAQUENT ! "

Le 14 septembre 2024 à 14:28:34 :

Le 10 septembre 2024 à 15:33:19 :
On espere que la rentrée de l'op se passe bien

Le 11 septembre 2024 à 15:46:12 :

Le 10 septembre 2024 à 15:33:19 :
On espere que la rentrée de l'op se passe bien

On espère tous ouais, qu'il soit en forme pour des bonnes suites

Merci mes clés. C'est vraiment compliqué d'écrire en ce moment, je risque de faire des pauses de plus en plus longues et j'en suis navré mais pas le choix malheureusement.

Pas de soucis, c'est normal

Le 16 septembre 2024 à 20:14:56 :
Il ne faut pas simper Hakima la fille du forgeron.
Laissons son frère lui expliquer comment Célestin lui a sauvé la vie, puis rêver de lui

Si elle apprend qu'on a préféré rejoindre les collègues pour aller se la coller, on gagne des points de virilité.
Et de plus, on ne dit jamais non à une binouze

Je vote B

Que des arguments pertinents faut l'avouer

Le 16 septembre 2024 à 20:14:56 :
Il ne faut pas simper Hakima la fille du forgeron.
Laissons son frère lui expliquer comment Célestin lui a sauvé la vie, puis rêver de lui

Si elle apprend qu'on a préféré rejoindre les collègues pour aller se la coller, on gagne des points de virilité.
Et de plus, on ne dit jamais non à une binouze

Je vote B

- Ouais, c'est une façon de voir les choses
- Un peu plus grand qu'un pays !

Le choix A) a gagné.
Restez branchés mes preux chevaliers, la sweet arrive demain ou après demain.

Le 15 septembre 2024 à 23:21:42 :
Excellente fic, merci l'op, j'ai tout lu avec grand plaisir.
J'attendais la sweet pour participer a mon premier vote.

Ce sera vote A

Heureux de te voir rejoindre l'aventure clé !

Le 19 septembre 2024 à 00:03:53 :
Le choix A) a gagné.
Restez branchés mes preux chevaliers, la sweet arrive demain ou après demain.

Le 15 septembre 2024 à 23:21:42 :
Excellente fic, merci l'op, j'ai tout lu avec grand plaisir.
J'attendais la sweet pour participer a mon premier vote.

Ce sera vote A

Heureux de te voir rejoindre l'aventure clé !

Quelle magnifique nuitée tu nous donne mon cher op
J'attendrais la venue de la suite avec impatience

A) Suivre Sire Aldrin et rejoindre sa famille

========================

- Si je te suis, où irons nous ?

- Aucune idée. Mais est-ce que tu es prête à me suivre dans cette aventure ?

• La princesse sourit.

- Bien sûr, mon bel Ayden Lawyord. J'espère juste que Père ne m'en voudra pas trop.

- Oublie ton père, Loriane. Une nouvelle vie s'offre à nous. Tu es la seule chose qui compte pour moi, à présent.

• La fenêtre s’ouvre avec un grincement furtif. Ayden Lawyord saisit la main de la princesse et, porté par le souffle nocturne, la guide hors de sa chambre. Ensemble, ils s'élancent à travers les sentiers dérobés du château, menant aux passages secrets que seuls les officiers et Lawyord connaissent.

========================

• Pendant ce temps, à la taverne :

- Gerring, tu comptes me payer comment ?

- *Hips* Demain, avec intérêts... *hips* te va ? J'ai pas mes sous sur moi, je reviens d'une grande bataille je te signale !

• Le chevalier, saoul, titube au milieu de la taverne toujours bondée malgré l'heure tardive.

- ... C'est la dernière fois que je te fais crédit. Fais attention, ton ardoise s'allonge à vue d'oeil.

• Ignorant ce fait, le chevalier d'assaut continue de boire son verre à grandes gorgées.

- *Hips* ... Dis, tu saurais pas où est Ross par hasard ? Tu sais, mon collègue du portail.

- Justement, il est seul à monter la garde au portail, pendant que tu t'exploses le crâne à coup de feu des anciens.

- Pauvre Ross, *hips* sait pas ce qu'il rate !

========================

• Pendant ce temps, loin du Royaume de Forom, au nord-ouest. Un vieillard armé d'une épée rouillée arpente un chemin peu praticable au creux d'une vallée. Atteignant le haut d'une corniche, il remarque qu'un homme se tient assis, sur le chemin.

Que fait ce chevalier ici, seul, en pleine nuit et en territoire interdit ? ... Il est assis sur le sol, adossé à une pierre.

• Le guerrier murmure pour lui-même.

- J'ai perdu tellement de temps... et me voilà en train d'hésiter, à présent... N'ai-je donc aucun courage ? Aucune volonté ?

- Salutations, jeune guerrier. Dis, qu'est-ce qui t'arrives ? Tu déprimes ?

- Tue moi, vieux bandit. Je n'ai plus la force de lutter.

Partie 2 en dessous

- Te tuer ? Voyons, pourquoi je ferais une chose pareille ?

• Des voix résonnent en contrebas.

- Capitaine Shredder, ces traces de pas semblent fraîches !

- Dans ce cas il ne doit pas être loin, soyez vigilants.

Merde... les voilà qui rappliquent. Ils sont sur ma trace...

- Je ne suis qu'un lâche...

• Le vieillard secoue le chevalier pour le raisonner. Ce dernier lève la tête.

- Je te conseille de te planquer l'ami, cette zone est interdite. Si les miliciens t'attrapent...

...

• Le chevalier baisse à nouveau la tête.

- ... ? Bon, comme tu voudra. En tout cas, tu m'as pas vu, ok ?

• Désormais caché dans un buisson à plusieurs mètres de là, le fuyard espionne ses poursuivants qui approchent du rocher contre lequel s'était adossé le chevalier vert. Le cherchant des yeux, il ne le trouve pas. Un bruit un peu plus loin éveille son attention.

*PAF* PAF* PAF*

• C'est lui. Le chevalier déprimé frappe à présent sa tête contre un arbre.

Mais qu'est-ce qui lui prend ? Il est fou ?

Partie 3 en dessous

- Je suis trop faible, Logan... *PAF* PAF* PAF* Trop faible...

L-...Logan ?

• Les soldats tournent la tête vers l'arbre en question et aperçoivent le guerrier se fracasser la tête contre l'arbre. Le capitaine met sa main sur son pommeau et fait signe à ses hommes de se tenir prêts. Ils s'approchent rapidement.

- Formation de combat.

- JE SUIS TROP FAIBLE... PARDONNE MOI !! *PAF* PAF* PAF*

???

- Encore un fou.

Ce n'est pas le vieux Marcus et son épée rouillée... Qui est cet homme ?

- TOI LÀ-BAS ! TU N'AS PAS LE DROIT D'ÊTRE ICI !! JETTE TON SABRE !!!

========================

• Quelques heures auparavant, à Forom.

- Ahahahahahaha !!

• Vous dégustez un délicieux repas avec le forgeron et ses enfants. Après avoir raconté vos exploits de bataille et impressionné Adélaïde et son père, la jeune fille vous a forcé à raconter votre duel contre le rat. Aldrin rit aux éclats, les larmes aux yeux.

- Alors ça ! Franchement Célestin, t'es un génie ! Un duel contre un rat... et t'as failli perdre !

- Te moque pas de moi, c'était un gros rat quand même ! Je pense qu'à ma place, t'aurais moins rigolé...

- En tout cas, j'ai dû laver plusieurs fois tes vêtements pour enlever le sang du rat. C'était vraiment dégueu.

- Désolé Adé...

- Eh bien moi, j'ai galéré à nettoyer la chambre, y'avait des boyaux de partout...

• Aldrin sourit et vous donne une tape amicale sur l'épaule.

- Pfff... Quand je pense à ton swing sur le champ de bataille, j'ai du mal à m'imaginer que c'est la même personne qui a galéré en 1 contre 1 contre un rat avant-hier.

• Quelques minutes plus tard, après avoir aidé la famille à débarrasser la table, vous saluez Aldrin qui file se coucher. Après une brève discussion avec le forgeron qui vous remercie à nouveau d'avoir sauvé son fils, vous refusez ses choncles d'or pensant qu'il en aurait probablement plus besoin que vous, puis vous montez les escaliers, fatigué par cette dure journée. Alors que vous vous dirigez vers la chambre d’amis, Adélaïde apparaît soudain dans l’ombre du couloir. Elle vous attrape doucement par le bras, son regard intense, et sans un mot, vous guide vers sa chambre. Vous la suivez, silencieux.

- ...

- ...

• Elle vous mène jusqu'à son lit et ôte votre haut, avant de se dévêtir, elle aussi, sans un mot. Immédiatement et sans résister, vous succombez au désir brûlant de l'étreindre, vous laissant envelopper par la chaleur de son corps.

========================

• À l'entrée du château, Sire Ross monte toujours la garde, seul sans Gerring. Zed et Koroth approchent.

- ...

- Vous êtes là, Commandants Zed et Koroth ! Est-ce que la mission a été un succès ?

• Le Commandant Koroth jette un regard vers les charrettes pleines de cadavres qui traversent lentement le boulevard en contrebas.

- ...

• Zed pose sa main sur l'épaule de son camarade Koroth, qui, derrière ses airs, semble profondément atteint par la perte de ses hommes. Il soupire.

- Certes aujourd'hui nous sommes victorieux, Ross. Mais à quel prix ?

- ...

• Même le plus naïf des chevaliers pouvait le sentir. Bien que la mission ait été couronnée de succès, l'essence même en était un échec, et ces pertes, irréparables, laissaient un vide que rien ne saurait combler. Ce soir-là, sous la lueur vacillante des torches, quelque chose changea chez le chevalier de Forom. Il se mit à réfléchir - une habitude qu'il n'avait jamais eue. Alors que les officiers sont désormais à l'intérieur du château, le garde, enivré par une mélancolie subtile, se laissa entraîner vers les murmures de la nuit. Les rires et les éclats de voix l’appelaient, offrant un refuge éphémère aux ombres qui dansaient dans son esprit. Dans un abandon silencieux, il quitta son poste, cherchant un apaisement dans les bras de la nuit vivante.

- Je suis trop faible, Logan... *PAF* PAF* PAF* Trop faible...

L-...Logan ?

• Les soldats tournent la tête vers l'arbre en question et aperçoivent le guerrier se fracasser la tête contre l'arbre. Le capitaine met sa main sur son pommeau et fait signe à ses hommes de se tenir prêts. Ils s'approchent rapidement.

- Formation de combat.

- JE SUIS TROP FAIBLE... PARDONNE MOI !! *PAF* PAF* PAF*

???

- Encore un fou.

Ce n'est pas le vieux Marcus et son épée rouillée... Qui est cet homme ?

- TOI LÀ-BAS ! TU N'AS PAS LE DROIT D'ÊTRE ICI !! JETTE TON SABRE !!!

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• Quelques heures auparavant, à Forom.

- Ahahahahahaha !!

• Vous dégustez un délicieux repas avec le forgeron et ses enfants. Après avoir raconté vos exploits de bataille et impressionné Adélaïde et son père, la jeune fille vous a forcé à raconter votre duel contre le rat. Aldrin rit aux éclats, les larmes aux yeux.

- Alors ça ! Franchement Célestin, t'es un génie ! Un duel contre un rat... et t'as failli perdre !

- Te moque pas de moi, c'était un gros rat quand même ! Je pense qu'à ma place, t'aurais moins rigolé...

- En tout cas, j'ai dû laver plusieurs fois tes vêtements pour enlever le sang du rat. C'était vraiment dégueu.

- Désolé Adé...

- Eh bien moi, j'ai galéré à nettoyer la chambre, y'avait des boyaux de partout...

• Aldrin sourit et vous donne une tape amicale sur l'épaule.

- Pfff... Quand je pense à ton swing sur le champ de bataille, j'ai du mal à m'imaginer que c'est la même personne qui a galéré en 1 contre 1 contre un rat avant-hier.

• Quelques minutes plus tard, après avoir aidé la famille à débarrasser la table, vous saluez Aldrin qui file se coucher. Après une brève discussion avec le forgeron qui vous remercie à nouveau d'avoir sauvé son fils, vous refusez ses choncles d'or pensant qu'il en aurait probablement plus besoin que vous, puis vous montez les escaliers, fatigué par cette dure journée. Alors que vous vous dirigez vers la chambre d’amis, Adélaïde apparaît soudain dans l’ombre du couloir. Elle vous attrape doucement par le bras, son regard intense, et sans un mot, vous guide vers sa chambre. Vous la suivez, silencieux.

- ...

- ...

• Elle vous mène jusqu'à son lit et ôte votre haut, avant de se dévêtir, elle aussi, sans un mot. Immédiatement et sans résister, vous succombez au désir brûlant de l'étreindre, vous laissant envelopper par la chaleur de son corps.

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• À l'entrée du château, Sire Ross monte toujours la garde, seul sans Gerring. Zed et Koroth approchent.

- ...

- Vous êtes là, Commandants Zed et Koroth ! Est-ce que la mission a été un succès ?

• Le Commandant Koroth jette un regard vers les charrettes pleines de cadavres qui traversent lentement le boulevard en contrebas.

- ...

• Zed pose sa main sur l'épaule de son camarade Koroth, qui, derrière ses airs, semble profondément atteint par la perte de ses hommes. Il soupire.

- Certes aujourd'hui nous sommes victorieux, Ross. Mais à quel prix ?

- ...

• Même le plus naïf des chevaliers pouvait le sentir. Bien que la mission ait été couronnée de succès, l'essence même en était un échec, et ces pertes, irréparables, laissent un vide que rien ne saurait combler. Ce soir-là, sous la lueur vacillante des torches, quelque chose changea chez le chevalier de Forom. Il se mit à réfléchir - une habitude qu'il n'avait jamais eue. Alors que les officiers sont désormais à l'intérieur du château, le garde, enivré par une mélancolie subtile, se laisse entraîner vers les murmures de la nuit. Les rires et les éclats de voix l'appellent, offrant un refuge éphémère aux ombres qui dansent dans son esprit. Dans un abandon silencieux, il quitte son poste, cherchant un apaisement dans les bras de la nuit vivante.