La FRANCE est un ENFER LIBERAL
Le 26 juillet 2024 à 18:18:07 :
Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiques
https://youtu.be/5hGTEpe_Lkc?t=6 l'ombre de macron
Le 26 juillet 2024 à 18:21:58 :
Le 26 juillet 2024 à 18:18:07 :
Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesÇa n'a rien de libéral.
Système minarchique et on commence à parler.
Le problème c'est que tu campes sur une positon ultraminoritaire et que tu cherche à l'imposer comme la seule et unique définiront valable du libéralisme. Le libéralisme c'est, in fine, la croyance que la liberté de disposé de son droit de propriété amène à la meilleure allocation possible des ressources.
Le 26 juillet 2024 à 18:20:08 :
Le 26 juillet 2024 à 18:18:22 :
Le 26 juillet 2024 à 18:16:14 :
ajoute a ca pays de castes . La FRONCE l'enfer sur terrePlusieurs économistes ont montré que la faiblesse des inégalités de salaire en France causaient un système de castes.
Pays avec des salaires pas très inégaux = peu de salaires élevés ou très élevés = pas de possibilité de s'enrichir par le travail salarié.
De ce fait, on ne s'enrichit pas par le travail mais par la rente ou l'héritage.
Paradoxalement, l'égalitarisme conduit à une société de castes
Quels économistes précisément ?
Mankiw notamment.
Le 26 juillet 2024 à 18:24:22 :
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Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesÇa n'a rien de libéral.
Système minarchique et on commence à parler.
Le problème c'est que tu campes sur une positon ultraminoritaire et que tu cherche à l'imposer comme la seule et unique définiront valable du libéralisme. Le libéralisme c'est, in fine, la croyance que la liberté de disposé de son droit de propriété amène à la meilleure allocation possible des ressources.
Il faudrait plutôt remonter sur l'idée de droits naturels mais bon.
+ si c'est cela la définition du libéralisme, la France n'est clairement pas libérale (mais aucun pays ne l'est dans ce cadre).
Le 26 juillet 2024 à 18:22:12 :
Le 26 juillet 2024 à 18:18:07 :
Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesJ'entends souvent cela mais la réalité c'est que cela ne colle tout simplement pas à l'évolution de la pensée :
- après 1929 le colloque Lippman évoque le "nouveau libéralisme" avec deux branches, le keynésianisme et l'ordolibéralisme / économie sociale de marché.
- dans les années 1970 et la rupture du consensus keynésien, le "néolibéralisme" autour de Friedman préconise bien la maîtrise des dépenses publiques et le monétarisme.
Peu d'économistes libéraux ou "néolibéraux" d'ailleurs préconisent la baisse des impôts pour les plus riches comme manière de relancer l'économie (ce qui est une solution plutôt keynésienne).
Le néolibéralisme n'est pas tant un courant de pensée (personne ne s'en revendique) que les nouveau équilibres locaux, toujours libéraux, trouvés après la crise de 29 et la 2GM. Il n'y a pas un courant de pensé qui règne. Ce qui prime, c'est le pragmatisme fait d'un amalgame de mécanismes tirés de ces courants. Il y a toujours en France la pensée dominante que la liberté de disposer de ses propriétés est une liberté fondamentale et qu'elle permet la plus juste allocation des ressources.
Après il y a effectivement une dose de communisme en France, incarnée par la Sécurité Sociale.
Le 26 juillet 2024 à 18:29:20 :
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Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesJ'entends souvent cela mais la réalité c'est que cela ne colle tout simplement pas à l'évolution de la pensée :
- après 1929 le colloque Lippman évoque le "nouveau libéralisme" avec deux branches, le keynésianisme et l'ordolibéralisme / économie sociale de marché.
- dans les années 1970 et la rupture du consensus keynésien, le "néolibéralisme" autour de Friedman préconise bien la maîtrise des dépenses publiques et le monétarisme.
Peu d'économistes libéraux ou "néolibéraux" d'ailleurs préconisent la baisse des impôts pour les plus riches comme manière de relancer l'économie (ce qui est une solution plutôt keynésienne).
Le néolibéralisme n'est pas tant un courant de pensée (personne ne s'en revendique) que les nouveau équilibres locaux, toujours libéraux, trouvés après la crise de 29 et la 2GM. Il n'y a pas un courant de pensé qui règne. Ce qui prime, c'est le pragmatisme fait d'un amalgame de mécanismes tirés de ces courants. Il y a toujours en France la pensée dominante que la liberté de disposer de ses propriétés est une liberté fondamentale et qu'elle permet la plus juste allocation des ressources.
Après il y a effectivement une dose de communisme en France, incarnée par la Sécurité Sociale.
Si cette pensée était dominante en France, il n'y aurait pas la ribambelle d'impôts incitatifs ou de mécanismes fiscaux et budgétaires destinés à changer le comportement des acteurs
Après, effectivement, l'opposition frontale entre libéraux et communistes prend sa source sur la divergence irréconciliable sur les droits naturels, dont fait partie la propriété.
Le 26 juillet 2024 à 18:27:02 :
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ajoute a ca pays de castes . La FRONCE l'enfer sur terrePlusieurs économistes ont montré que la faiblesse des inégalités de salaire en France causaient un système de castes.
Pays avec des salaires pas très inégaux = peu de salaires élevés ou très élevés = pas de possibilité de s'enrichir par le travail salarié.
De ce fait, on ne s'enrichit pas par le travail mais par la rente ou l'héritage.
Paradoxalement, l'égalitarisme conduit à une société de castes
Quels économistes précisément ?
Mankiw notamment.
Oui donc aucune formation en sociologie ou anthropologie. Comment il justifie la mobilisation de la notion de caste ?
Le 26 juillet 2024 à 18:32:23 :
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ajoute a ca pays de castes . La FRONCE l'enfer sur terrePlusieurs économistes ont montré que la faiblesse des inégalités de salaire en France causaient un système de castes.
Pays avec des salaires pas très inégaux = peu de salaires élevés ou très élevés = pas de possibilité de s'enrichir par le travail salarié.
De ce fait, on ne s'enrichit pas par le travail mais par la rente ou l'héritage.
Paradoxalement, l'égalitarisme conduit à une société de castes
Quels économistes précisément ?
Mankiw notamment.
Oui donc aucune formation en sociologie ou anthropologie. Comment il justifie la mobilisation de la notion de caste ?
Il ne parle pas de castes. C'est moi qui rajoute en répondant à l'autre khey.
Parler de sociétés de castes pour la France n'a que peu de sens du point de vue anthropologique mais c'est une formule idoine pour une société où l'enrichissement n'est possible que par l'héritage
Le 26 juillet 2024 à 18:32:00 :
Le 26 juillet 2024 à 18:29:20 :
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Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesJ'entends souvent cela mais la réalité c'est que cela ne colle tout simplement pas à l'évolution de la pensée :
- après 1929 le colloque Lippman évoque le "nouveau libéralisme" avec deux branches, le keynésianisme et l'ordolibéralisme / économie sociale de marché.
- dans les années 1970 et la rupture du consensus keynésien, le "néolibéralisme" autour de Friedman préconise bien la maîtrise des dépenses publiques et le monétarisme.
Peu d'économistes libéraux ou "néolibéraux" d'ailleurs préconisent la baisse des impôts pour les plus riches comme manière de relancer l'économie (ce qui est une solution plutôt keynésienne).
Le néolibéralisme n'est pas tant un courant de pensée (personne ne s'en revendique) que les nouveau équilibres locaux, toujours libéraux, trouvés après la crise de 29 et la 2GM. Il n'y a pas un courant de pensé qui règne. Ce qui prime, c'est le pragmatisme fait d'un amalgame de mécanismes tirés de ces courants. Il y a toujours en France la pensée dominante que la liberté de disposer de ses propriétés est une liberté fondamentale et qu'elle permet la plus juste allocation des ressources.
Après il y a effectivement une dose de communisme en France, incarnée par la Sécurité Sociale.
Si cette pensée était dominante en France, il n'y aurait pas la ribambelle d'impôts incitatifs ou de mécanismes fiscaux et budgétaires destinés à changer le comportement des acteurs
Après, effectivement, l'opposition frontale entre libéraux et communistes prend sa source sur la divergence irréconciliable sur les droits naturels, dont fait partie la propriété.
Les impôts ne t'empêchent pas de disposer de tes propriétés. D'autant plus que l'immense majorité des prélèvements en France sont fait sur les transactions, pas les capitaux.
Non. L'opposition frontale entre communistes et défenseurs de l'ordre capitaliste, c'est le matérialisme contre l'idéalisme. Le libéralisme n'est défendable que dans un cadre idéaliste essentialiste. Comme tu le fait par exemple avec la notion de droit naturel, qui est purement idéaliste.
Rien de surprenant, la France est classé 71eme mondiale dans le classement de liberté économique entre l'Indonésie et Salvador... C'est un pays néo communiste bien plus que néo libéral...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_de_libert%C3%A9_%C3%A9conomique
Le 26 juillet 2024 à 18:33:47 :
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> Le 26 juillet 2024 à 18:16:14 :
>ajoute a ca pays de castes . La FRONCE l'enfer sur terre
Plusieurs économistes ont montré que la faiblesse des inégalités de salaire en France causaient un système de castes.
Pays avec des salaires pas très inégaux = peu de salaires élevés ou très élevés = pas de possibilité de s'enrichir par le travail salarié.
De ce fait, on ne s'enrichit pas par le travail mais par la rente ou l'héritage.
Paradoxalement, l'égalitarisme conduit à une société de castes
Quels économistes précisément ?
Mankiw notamment.
Oui donc aucune formation en sociologie ou anthropologie. Comment il justifie la mobilisation de la notion de caste ?
Il ne parle pas de castes. C'est moi qui rajoute en répondant à l'autre khey.
Parler de sociétés de castes pour la France n'a que peu de sens du point de vue anthropologique mais c'est une formule idoine pour une société où l'enrichissement n'est possible que par l'héritage
Donc aucun économiste n'a montré que la redistribution créée un système de caste.
Le 26 juillet 2024 à 18:35:13 :
Le 26 juillet 2024 à 18:32:00 :
Le 26 juillet 2024 à 18:29:20 :
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Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiquesJ'entends souvent cela mais la réalité c'est que cela ne colle tout simplement pas à l'évolution de la pensée :
- après 1929 le colloque Lippman évoque le "nouveau libéralisme" avec deux branches, le keynésianisme et l'ordolibéralisme / économie sociale de marché.
- dans les années 1970 et la rupture du consensus keynésien, le "néolibéralisme" autour de Friedman préconise bien la maîtrise des dépenses publiques et le monétarisme.
Peu d'économistes libéraux ou "néolibéraux" d'ailleurs préconisent la baisse des impôts pour les plus riches comme manière de relancer l'économie (ce qui est une solution plutôt keynésienne).
Le néolibéralisme n'est pas tant un courant de pensée (personne ne s'en revendique) que les nouveau équilibres locaux, toujours libéraux, trouvés après la crise de 29 et la 2GM. Il n'y a pas un courant de pensé qui règne. Ce qui prime, c'est le pragmatisme fait d'un amalgame de mécanismes tirés de ces courants. Il y a toujours en France la pensée dominante que la liberté de disposer de ses propriétés est une liberté fondamentale et qu'elle permet la plus juste allocation des ressources.
Après il y a effectivement une dose de communisme en France, incarnée par la Sécurité Sociale.
Si cette pensée était dominante en France, il n'y aurait pas la ribambelle d'impôts incitatifs ou de mécanismes fiscaux et budgétaires destinés à changer le comportement des acteurs
Après, effectivement, l'opposition frontale entre libéraux et communistes prend sa source sur la divergence irréconciliable sur les droits naturels, dont fait partie la propriété.
Les impôts ne t'empêchent pas de disposer de tes propriétés.
Les impôts sont par nature une infraction au droit de propriété, une infraction nécessaire certes.
D'autant plus que l'immense majorité des prélèvements en France sont fait sur les transactions, pas les capitaux.
Certes.
Non. L'opposition frontale entre communistes et défenseurs de l'ordre capitaliste, c'est le matérialisme contre l'idéalisme. Le libéralisme n'est défendable que dans un cadre idéaliste essentialiste. Comme tu le fait par exemple avec la notion de droit naturel, qui est purement idéaliste.
La notion de droit naturel, du pur idéalisme ? Pourtant, le sentiment de détenir quelque chose et de vouloir le défendre n'est pas quelque chose d'artificiellement imposé par "la société". Sauf à croire une certaine anthropologie ou une certaine archéologie (mais les erreurs de cette école sont tellement nombreuses que bon).
Le 26 juillet 2024 à 18:36:11 :
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> Le 26 juillet 2024 à 18:18:22 :
>> Le 26 juillet 2024 à 18:16:14 :
> >ajoute a ca pays de castes . La FRONCE l'enfer sur terre
>
> Plusieurs économistes ont montré que la faiblesse des inégalités de salaire en France causaient un système de castes.
>
> Pays avec des salaires pas très inégaux = peu de salaires élevés ou très élevés = pas de possibilité de s'enrichir par le travail salarié.
>
> De ce fait, on ne s'enrichit pas par le travail mais par la rente ou l'héritage.
>
> Paradoxalement, l'égalitarisme conduit à une société de castes
Quels économistes précisément ?
Mankiw notamment.
Oui donc aucune formation en sociologie ou anthropologie. Comment il justifie la mobilisation de la notion de caste ?
Il ne parle pas de castes. C'est moi qui rajoute en répondant à l'autre khey.
Parler de sociétés de castes pour la France n'a que peu de sens du point de vue anthropologique mais c'est une formule idoine pour une société où l'enrichissement n'est possible que par l'héritage
Donc aucun économiste n'a montré que la redistribution créée un système de caste.
Tu remarqueras qu'on ne parlait pas de la redistribution mais de conséquences d'une faiblesse relative d'inégalités de salaire.
Les gauchistes ne sont clairement pas prêt pour le vrai libéralisme
Le 26 juillet 2024 à 18:39:01 :
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> Le 26 juillet 2024 à 18:18:07 :
>Toujours ce même type de topique avec toujours le même type d'ignare qui ne comprends pas que depuis la refondation du libéralisme après la crise de 29 et la seconde guerre mondiale, le libéralisme devenu néolibéralisme s'accommode parfaitement de large dépenses publiques
J'entends souvent cela mais la réalité c'est que cela ne colle tout simplement pas à l'évolution de la pensée :
- après 1929 le colloque Lippman évoque le "nouveau libéralisme" avec deux branches, le keynésianisme et l'ordolibéralisme / économie sociale de marché.
- dans les années 1970 et la rupture du consensus keynésien, le "néolibéralisme" autour de Friedman préconise bien la maîtrise des dépenses publiques et le monétarisme.
Peu d'économistes libéraux ou "néolibéraux" d'ailleurs préconisent la baisse des impôts pour les plus riches comme manière de relancer l'économie (ce qui est une solution plutôt keynésienne).
Le néolibéralisme n'est pas tant un courant de pensée (personne ne s'en revendique) que les nouveau équilibres locaux, toujours libéraux, trouvés après la crise de 29 et la 2GM. Il n'y a pas un courant de pensé qui règne. Ce qui prime, c'est le pragmatisme fait d'un amalgame de mécanismes tirés de ces courants. Il y a toujours en France la pensée dominante que la liberté de disposer de ses propriétés est une liberté fondamentale et qu'elle permet la plus juste allocation des ressources.
Après il y a effectivement une dose de communisme en France, incarnée par la Sécurité Sociale.
Si cette pensée était dominante en France, il n'y aurait pas la ribambelle d'impôts incitatifs ou de mécanismes fiscaux et budgétaires destinés à changer le comportement des acteurs
Après, effectivement, l'opposition frontale entre libéraux et communistes prend sa source sur la divergence irréconciliable sur les droits naturels, dont fait partie la propriété.
Les impôts ne t'empêchent pas de disposer de tes propriétés.
Les impôts sont par nature une infraction au droit de propriété, une infraction nécessaire certes.
D'autant plus que l'immense majorité des prélèvements en France sont fait sur les transactions, pas les capitaux.
Certes.
Non. L'opposition frontale entre communistes et défenseurs de l'ordre capitaliste, c'est le matérialisme contre l'idéalisme. Le libéralisme n'est défendable que dans un cadre idéaliste essentialiste. Comme tu le fait par exemple avec la notion de droit naturel, qui est purement idéaliste.
La notion de droit naturel, du pur idéalisme ? Pourtant, le sentiment de détenir quelque chose et de vouloir le défendre n'est pas quelque chose d'artificiellement imposé par "la société". Sauf à croire une certaine anthropologie ou une certaine archéologie (mais les erreurs de cette école sont tellement nombreuses que bon).
Quelle école ?
Données du topic
- Auteur
- GustafKossinna
- Date de création
- 26 juillet 2024 à 17:50:49
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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