Dylan transpercé au sabre à Marseille, 18 mois de sursis à 3 ans de prison pour les agresseurs
SuppriméLe 11 mai 2024 à 22:00:29 :
"Ne fais pas ça, tu vas en prendre pour 30 ans"Réalité : "3 ans de prison, sorti au bout de 8 mois"
Ahi même son collègue était pas prêt pour la justice française
Le 11 mai 2024 à 22:00:06 :
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 MillionsMustDie a écrit :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
non mais c'est connu que les homicides involontaire en voiture tu prend peu de zonzon
Osef j'avais juste envie de rappeler que le racisme c'est vraiment pas bien surtout
Le 11 mai 2024 à 21:58:38 :
pourquoi quand un français autochtone se defend et donne un coup de batte a un oqtf venu le voler dans sa maison a 3h du mat, il prend étrangement plus cher ?
T'as un lien pour cette histoire khey ? J'arrive plus à la retrouver
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 MillionsMustDie a écrit :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
Le 11 mai 2024 à 21:52:28 :
Le mec a clairement eu l'intention de le tuer 2 ans ferme
Donc dans 2 ans si il a l'intention d'en tuer un autre ça sera pareil...
Les juge putain
Et le fait que ça soit des dealers ( trafiquant de drogue ) fera pas l'objet de poursuite non plus je suppose ?
Dans une société normale, les mecs auraient pris 10 ans rien que pour le trafic de drogue.
Là, trafic de drogue + poignarder un mec avec intention de tuer, comment tu peux punir à moins de 15 ans ? Même un mineur, y'a un moment faut assumer ses actes
PS : de totue façon tu sais qu'il sortirait au bout de 8-9 ans, ce qui pour un mineur trafiquant de drogue qui poignarde des gens ne me parait même pas spécialeemnt sévère, c'est un chatiment juste tout simplement
Le 11 mai 2024 à 21:59:36 :
Le 11 mai 2024 à 21:58:38 :
pourquoi quand un français autochtone se defend et donne un coup de batte a un oqtf venu le voler dans sa maison a 3h du mat, il prend étrangement plus cher ?Car c'est VOULU, certains le comprennent pas encore les juges sont complices.
Quel est l'objectif ?
Mineur ou pas dans un pays normal ça devrait être minimum 15 ans ferme et incompressible...
Ce shithole de merde corrompu où tu peux prendre la même peine que ces sales merdes si jamais tu parles des portes en bois et de la communauté de l'anneau..
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
"Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place."
Le 11 mai 2024 à 22:00:06 :
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 MillionsMustDie a écrit :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
non mais c'est connu que les homicides involontaire en voiture tu prend peu de zonzon
Je t’assure que si tu as pas la « carte » sortie de prison de nahim tu prends 10 ans
Le 11 mai 2024 à 22:02:44 :
Le 11 mai 2024 à 21:59:36 :
Le 11 mai 2024 à 21:58:38 :
pourquoi quand un français autochtone se defend et donne un coup de batte a un oqtf venu le voler dans sa maison a 3h du mat, il prend étrangement plus cher ?Car c'est VOULU, certains le comprennent pas encore les juges sont complices.
Quel est l'objectif ?
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
Le 11 mai 2024 à 21:59:36 :
Le 11 mai 2024 à 21:58:38 :
pourquoi quand un français autochtone se defend et donne un coup de batte a un oqtf venu le voler dans sa maison a 3h du mat, il prend étrangement plus cher ?Car c'est VOULU, certains le comprennent pas encore les juges sont complices.
Ceci.
Les gens les + dangereux pour la société sont volontairement laissé en liberté pour que le pays devienne un pays invivable a la criminalité ingérable.
Ainsi, l'Etat arrivera en sauveur à grand coup de loi liberticide.
L'Etat créé le problème et te vendra la solution.
Le 11 mai 2024 à 22:03:22 :
Le 11 mai 2024 à 22:02:44 :
Le 11 mai 2024 à 21:59:36 :
Le 11 mai 2024 à 21:58:38 :
pourquoi quand un français autochtone se defend et donne un coup de batte a un oqtf venu le voler dans sa maison a 3h du mat, il prend étrangement plus cher ?Car c'est VOULU, certains le comprennent pas encore les juges sont complices.
Quel est l'objectif ?
Pourquoi faire ?
Le 11 mai 2024 à 22:00:06 :
Le 11 mai 2024 à 21:59:17 MillionsMustDie a écrit :
2 ans, ça me rappelle cette affaire sur laquelle je suis retombé ajd :Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.
Jérôme, 29 ans, et Juliette, 40 ans, frère et sœur, avaient perdu la vie. Alain, le conjoint de Juliette, et leur enfant alors âgé de six ans, avaient été très grièvement blessés.
Le procureur avait requis une peine un peu plus lourde, de cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, épinglant la « lâcheté dont [le prévenu] a fait preuve aujourd’hui en ne se présentant pas à l’audience ». (…)
L’enfant souffre de mutisme
Après avoir bu de la vodka dans un bar à chicha, ce 14 janvier 2018, le jeune homme alors âgé de 22 ans prend le volant de la 508 de son père, vers 2 heures du matin. Alors qu’il roule à plus de 155 km/h, sur une portion non éclairée de l’autoroute A4, il percute une Jeep à pleine vitesse. Une 106 se fracasse quelques instants plus tard contre la 508, immobilisée sur la trois voies. Puis une Toyota s’encastre à son tour dans la 106, qui s’embrase.
Juliette, à bord, mourra brûlée vive, et Jérôme, lui, des suites de ses blessures. Jordan (le prénom a été changé), le fils d’Alain et Juliette, a eu les deux fémurs et tibias fracturés. Il a en outre été très lourdement traumatisé, après avoir vu sa mère brûler dans le véhicule. « Il souffre de mutisme. Il ne parle qu’à quelques camarades et à sa famille », a glissé son père, Alain, à l’audience. Le père de famille a, lui, souffert d’un traumatisme crânien avec amnésie péri traumatique, et de fractures à la nuque, à une clavicule et à de nombreuses côtes.
« C’est un danger public »
Selon plusieurs témoins, avant le premier impact, Nahim roulait dangereusement, tous feux éteints - ce que l’expertise n’a néanmoins pas pu prouver - en faisant des queues de poisson aux autres automobilistes. « C’est un danger public. On sait tous qu’il n’y a pas l’intention de causer des morts, mais il a néanmoins une parfaite conscience des risques qu’il faisait courir aux autres », a martelé Me Vincent Julé-Parade, l’avocat des parties civiles.
Après les faits, Nahim aurait demandé, en vain, à d’autres automobilistes de se déclarer responsable à sa place. Il aurait ensuite tenté de prendre la fuite. Ce qu’il conteste également. « M. B. n’a pas eu la correction de venir nous porter secours, alors que notre véhicule était en flammes », a dénoncé Alain à l’audience.
non mais c'est connu que les homicides involontaire en voiture tu prend peu de zonzon
Je comprends pas comment le père qui a eu sa femme brûlée vive et son fils avec les jambes cassés peut ne pas faire justice lui même
Données du topic
- Auteur
- Pump3289
- Date de création
- 11 mai 2024 à 21:44:32
- Date de suppression
- 11 mai 2024 à 22:21:00
- Supprimé par
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