Votre niveau de SOLITUDE / 10

Le 03 mai 2024 à 10:09:38 :
9 car il y a du mieux ces derniers temps, même si c'est sûrement qu'une parenthèse temporaire à mon plus grand regret. Sinon je vois un peu mes amis, très rarement c'était une exception la dernière fois c'est moi qui avait lancé l'idée qu'on se retrouve

Ma seule discussion de la semaine IRL c'était avec une vieille barjot. Parents décédés, ma soeur m'appelle pour se plaindre de ses méandres je suis son bureau des pleurs depuis toujours, dernier appel 1H à se plaindre j'aimais pourtant l'aider, quand j'ose faire le quart je reçois des remarques sans qu'elle ne cherche à savoir. 0 minutes pour ma personne, combien de fois je lui ai fait le reproche, des années que ça dure

La vérité c'est que cela m'est devenu insupportable une année après le décès de mon père (mon dernier parent), que cette solitude est appuyée par ma "dépression" et que je n'ose même plus en parler sur ce forum si c'est pour dépeindre une image si éloignée de mon essentiel.
Mais voilà, j'aurais bien voir quiconque ne pas en souffrir avec ce que j'ai vécu, je pense bien avoir tenu le coup tout ce temps malgré tout.
Certains ont leur famille quand ils rentrent chez-eux : La présence joue beaucoup pour l'avoir connu, qu'importe les dissonances au sein du ménage.
D'autres ont leur compagnon
D'autres sont seuls, mais pour la grande majorité ont leur parents et ne connaissent ni le vide qu'instaure leur départ ni ne perçoivent, passivement, ce qu'impliquent encore leur présence en ce monde : Rien qu'un appel, rien qu'un message ; que dire du reste palpable & matériel, législatif au niveau des garants, financièrement au niveau des prêts. Quand je vois mon ami vivre seul mais qui a sa famille chevillée au corps, sa mère qui ramène son linge toutes les semaines et qui fait ses courses, sa famille prête à lui prêter de l'argent ; Moi je n'ai le droit à 0 erreur et ma survie au moment T pendant sa situation "difficile", je ne le dois qu'à mes deniers récoltés dans une Prépa où je me suis tué ; Pas aux prêts de ma famille

Ce n'est ni de la jalousie ni de la méchanceté, bien loin de moi ces deux qualificatifs, une simple incompréhension et distance qui s'est crée entre moi & lui suite à ses remarques désobligeantes sur ma situation difficile, moi qui fût assez compréhensif et taiseux sur la sienne pourtant bien moindre avec laquelle il se pavana en comparaison avec la mienne : D'ailleurs ici aucun coup bas dans le dos, je lui ai dit de vive-voix et un principe simple : Je ne fais pas aux autres ce que je n'aime pas qu'on me fait. Heureusement on est très bons potes et on s'est toujours dit les choses cash, que de l'amour et de la franchise entre-nous. Il a eu un accident hier et je suis tellement inquiet, heureusement, une fois de plus, plus de peur que de mal : Dieu merci putain j'en peux plus d'enchainer les drames, dieu merci aucunes conséquences sur son corps, il va pouvoir prendre un repos tant mérité à la vue de son rythme effréné.
Puis encore une fois, c'est un très bon ami, même si forcément on ne se voit plus beaucoup. Une parenthèse dans ce message qui n'en est pas vraiment une

Je reviens de la superette avec une bouteille de whisky, ça faisait un mois la dernière, j'ai juste envie de tout oublier ... sauf que ça ne permet pas d'oublier. Je n'ai pas signé pour cette vie, je n'en veux pas.
On me demande alors de travailler alors que ça fait deux années que je ne fais plus mes nuits et que mon travail fût invisible : Métro-Boulot-Dodo je rentre chez-moi tout seul je m'enfile un repas et je recommence le lendemain en ne dormant toujours pas ? C'est accélérer mes idées noires, du fric j'en ai il ne me sert à rien.

D'ailleurs mes études et le métier que j'escomptais il sont passés où ? J'ai du tout mettre de côté sa mère la pute

Enfin voilà, c'est que des évidences tout ça, pourtant j'ai l'impression que personne ne les comprend vraiment autour de moi. Être seul le jour où son dernier parent décède, pendant une partie de sa maladie déjà avant, puis la nuit même, avec ses peines, puis pendant la succession et l'épreuve d'une vie me concernant, les funérailles, puis la suite, toujours avec une peine que je tais ici depuis le départ qui me bouffe et qui aggrave tant chaque pans de ce que je raconte ; qui heureusement s'est enfin adoucie il y'a peu: ça fait une année. C'est pas une vie putain.

Pourtant je culpabilise encore d'en parler. Je me sens illégitime de me plaindre face au combat de mes parents, je me sens honteux d'être dans cet état plaintif après tout ce que j'ai connu et relevé, je ne veux pas blesser quelqu'un qui peut tomber sur mes propos je le crains malgré mes nombreux pseudos en plus d'être si éloigné de ma pensée profonde sur celle-ci

Néanmoins la solitude c'est une sale race putain, ce n'est pas un forum qui la comblera ni des discussions virtuelles, ce n'est pas un chat ni une bouteille de whisky ni un joint. Ce n'est pas non plus un couple car je pense que cette situation induit un déséquilibre et que je ne souhaite être dépendant de personne.
Je me dis parfois que quand il n y a pas de solutions, il y en a pas. Il existe bien des équations toujours non résolues au jour d'aujourd'hui, sans doute existe t-il des vies qui elles aussi sont une équations devenues trop complexes à résoudre et me voici entrer dedans depuis deux ans

Courage à tous dans cette spirale infernale, restez fort et en mouvement pour ne pas couler c'est le principal

Le 03 mai 2024 à 10:32:40 :

Le 03 mai 2024 à 10:09:38 :
9 car il y a du mieux ces derniers temps, même si c'est sûrement qu'une parenthèse temporaire à mon plus grand regret. Sinon je vois un peu mes amis, très rarement c'était une exception la dernière fois c'est moi qui avait lancé l'idée qu'on se retrouve

Ma seule discussion de la semaine IRL c'était avec une vieille barjot. Parents décédés, ma soeur m'appelle pour se plaindre de ses méandres je suis son bureau des pleurs depuis toujours, dernier appel 1H à se plaindre j'aimais pourtant l'aider, quand j'ose faire le quart je reçois des remarques sans qu'elle ne cherche à savoir. 0 minutes pour ma personne, combien de fois je lui ai fait le reproche, des années que ça dure

La vérité c'est que cela m'est devenu insupportable une année après le décès de mon père (mon dernier parent), que cette solitude est appuyée par ma "dépression" et que je n'ose même plus en parler sur ce forum si c'est pour dépeindre une image si éloignée de mon essentiel.
Mais voilà, j'aurais bien voir quiconque ne pas en souffrir avec ce que j'ai vécu, je pense bien avoir tenu le coup tout ce temps malgré tout.
Certains ont leur famille quand ils rentrent chez-eux : La présence joue beaucoup pour l'avoir connu, qu'importe les dissonances au sein du ménage.
D'autres ont leur compagnon
D'autres sont seuls, mais pour la grande majorité ont leur parents et ne connaissent ni le vide qu'instaure leur départ ni ne perçoivent, passivement, ce qu'impliquent encore leur présence en ce monde : Rien qu'un appel, rien qu'un message ; que dire du reste palpable & matériel, législatif au niveau des garants, financièrement au niveau des prêts. Quand je vois mon ami vivre seul mais qui a sa famille chevillée au corps, sa mère qui ramène son linge toutes les semaines et qui fait ses courses, sa famille prête à lui prêter de l'argent ; Moi je n'ai le droit à 0 erreur et ma survie au moment T pendant sa situation "difficile", je ne le dois qu'à mes deniers récoltés dans une Prépa où je me suis tué ; Pas aux prêts de ma famille

Ce n'est ni de la jalousie ni de la méchanceté, bien loin de moi ces deux qualificatifs, une simple incompréhension et distance qui s'est crée entre moi & lui suite à ses remarques désobligeantes sur ma situation difficile, moi qui fût assez compréhensif et taiseux sur la sienne pourtant bien moindre avec laquelle il se pavana en comparaison avec la mienne : D'ailleurs ici aucun coup bas dans le dos, je lui ai dit de vive-voix et un principe simple : Je ne fais pas aux autres ce que je n'aime pas qu'on me fait. Heureusement on est très bons potes et on s'est toujours dit les choses cash, que de l'amour et de la franchise entre-nous. Il a eu un accident hier et je suis tellement inquiet, heureusement, une fois de plus, plus de peur que de mal : Dieu merci putain j'en peux plus d'enchainer les drames, dieu merci aucunes conséquences sur son corps, il va pouvoir prendre un repos tant mérité à la vue de son rythme effréné.
Puis encore une fois, c'est un très bon ami, même si forcément on ne se voit plus beaucoup. Une parenthèse dans ce message qui n'en est pas vraiment une

Je reviens de la superette avec une bouteille de whisky, ça faisait un mois la dernière, j'ai juste envie de tout oublier ... sauf que ça ne permet pas d'oublier. Je n'ai pas signé pour cette vie, je n'en veux pas.
On me demande alors de travailler alors que ça fait deux années que je ne fais plus mes nuits et que mon travail fût invisible : Métro-Boulot-Dodo je rentre chez-moi tout seul je m'enfile un repas et je recommence le lendemain en ne dormant toujours pas ? C'est accélérer mes idées noires, du fric j'en ai il ne me sert à rien.

D'ailleurs mes études et le métier que j'escomptais il sont passés où ? J'ai du tout mettre de côté sa mère la pute

Enfin voilà, c'est que des évidences tout ça, pourtant j'ai l'impression que personne ne les comprend vraiment autour de moi. Être seul le jour où son dernier parent décède, pendant une partie de sa maladie déjà avant, puis la nuit même, avec ses peines, puis pendant la succession et l'épreuve d'une vie me concernant, les funérailles, puis la suite, toujours avec une peine que je tais ici depuis le départ qui me bouffe et qui aggrave tant chaque pans de ce que je raconte ; qui heureusement s'est enfin adoucie il y'a peu: ça fait une année. C'est pas une vie putain.

Pourtant je culpabilise encore d'en parler. Je me sens illégitime de me plaindre face au combat de mes parents, je me sens honteux d'être dans cet état plaintif après tout ce que j'ai connu et relevé, je ne veux pas blesser quelqu'un qui peut tomber sur mes propos je le crains malgré mes nombreux pseudos en plus d'être si éloigné de ma pensée profonde sur celle-ci

Néanmoins la solitude c'est une sale race putain, ce n'est pas un forum qui la comblera ni des discussions virtuelles, ce n'est pas un chat ni une bouteille de whisky ni un joint. Ce n'est pas non plus un couple car je pense que cette situation induit un déséquilibre et que je ne souhaite être dépendant de personne.
Je me dis parfois que quand il n y a pas de solutions, il y en a pas. Il existe bien des équations toujours non résolues au jour d'aujourd'hui, sans doute existe t-il des vies qui elles aussi sont une équations devenues trop complexes à résoudre et me voici entrer dedans depuis deux ans

Courage à tous dans cette spirale infernale, restez fort et en mouvement pour ne pas couler c'est le principal

Pourquoi en parler n'est-ce pas ? Je déteste provoquer peine & pitié et c'est une raison de plus qui m'enjoins à fermer ma gueule
Je tiens à conclure avec une note positive car là est ma mentalité et qu'il est hors de question de me faire avoir par la négativité : J'ai 3 bons amis qui étaient là il y'a 12 ans, qui sont encore là aujourd'hui même si différemment, et qui seront toujours là dans 10 ans : Je serai là pour eux lorsque viendra l'heure de. Ils ont un respect éternel pour moi, de leurs propres mots il y a une décennie, depuis le décès de ma mère et c'est réciproque. Mon souhait le plus cher est de pouvoir les aider un jour dans les problématiques qu'ils traversent au cas par cas, j'ai essayé pour l'un d'eux sans résultats mais depuis il y'a du mieux.
J'ai une sœur qui malgré mes défauts, et les miens, et certaines paroles que je garde au travers de la gorge : est là.
J'ai un chat très affectif qui malgré son insistance et ses miaulements intempestifs me causant bien des soucis, est une source bien sûr trop maigre de présence et de réconfort mais la seule raison qui me tient encore en vie : Je veux lui offrir une fin de vie digne avec les moyens du bord et ne me résout pas à l'abandonner.
Puis surtout, j'ai une amie super chouette qui a su prendre un certain recul et revenir vers moi, ce n'est ni tombé dans l'oreille d'un sourd ni dans le regard d'un aveugle.

Alors aujourd'hui je m'estime chanceux car il y'a du mieux depuis un mois, c'est loin d'être parfait il reste des choses à accomplir et recadrer mais voilà le sourire est un peu revenu.

Le 03 mai 2024 à 10:45:38 :
6/7, c'est en progression

Progression ou régression ?

Il suffirait qu'il y ait qu'une seule grognasse pour tisser un lien long terme IRL, faire des sorties, pour que ce chiffre chute drastiquement voir carrément ne plus être dans un putain d'état de dépression/anxiété. Un bon pote pour que ça chute à 3-4

Mais bon

Je suis un méchant pas digne d'intérêt.
Puis c'est de ma faute si je suis dans cet état

Je n'ai plus spécialement envie de faire d'efforts pour des gens qui ne me font pas sentir bien.

Je recommencerais cet été, je me donnerais à fond IRL, drague de rue total, inscription assoc, puis après ce sera certainement terminé, à jamais.
Ça fait trop souffrir. Le pire étant quand tu penses atteindre ton but et... Next. La personne est juste gentil avec tout le monde, mais maintenant tu n'es plus intéressant.

Quand ce monde ne te désir pas, quand il n'y a guère mieux que l'indifférence, le rejet, la haine, il y a un moment où il faut se rendre et s'avouer vaincu.

Certains nous sommes comme conçu pour errer en marge du monde, sans maison, sans lieu d'accueil, comme des orphelins de l'amour

Il y a deux grands types de personnes

Ceux que l'on cherche à apprécier
Et ceux que l'on cherche à détester.

Qu'importe tes efforts il y aura toujours un problème. Le problème c'est toi. Tu n'es pas désiré.

Peut être que, qu'il ne faut attendre aucune solution de ce monde.

Les femmes sont la force active social

Si tu n'es pas désiré des femmes, c'est foutu, beaucoup trop compliqué et douloureux comme partie.

Les autres hommes chercheront globalement à t'utiliser en faire valoir, domination, harcèlement, raillerie... Sinon, ils sont très susceptibles de te laisser le jour où ils seront en couple.

Tu te sentiras toujours seul dans ce monde

Le 03 mai 2024 à 10:59:06 :
Les femmes sont la force active social

Si tu n'es pas désiré des femmes, c'est foutu, beaucoup trop compliqué et douloureux comme partie.

Les autres hommes chercheront globalement à t'utiliser en faire valoir, domination, harcèlement, raillerie... Sinon, ils sont très susceptibles de te laisser le jour où ils seront en couple.

Tu te sentiras toujours seul dans ce monde

Ce n'est ni le nombre de mes matchs sur les applications, ni leur beauté, ni les occasions que j'ai eu IRL, ni les regards que j'ai au quotidien dans la rue, ni les très belles filles qui ont souhaités m'agraper leur filet, ou avec lesquelles je me suis retrouvé dans leur lit pour certaines : Qui comblent la peine

Plus je vous lis sur ce forum, plus je me sens en total décalage. Je ne sais pas si c'est parce que le niveau a baissé, qu'il est désormais remplis de 2000+ aux mœurs et vertus inexistantes, que la nuance n'est plus dans chaque pan de notre société des relations H-F jusqu'à la politique même : En tout cas pour ton cas, tu es une vie tu es une personne tu es une identité ; Ainsi porte tes couilles, montre au monde qui tu es, ai confiance en ta force & tes qualités, travaille et abat, sens-toi exister bordel.

Le 03 mai 2024 à 10:55:16 :
Il y a deux grands types de personnes

Ceux que l'on cherche à apprécier
Et ceux que l'on cherche à détester.

Qu'importe tes efforts il y aura toujours un problème. Le problème c'est toi. Tu n'es pas désiré.

Peut être que, qu'il ne faut attendre aucune solution de ce monde.

C’est ça
Honnêtement, je pense sincèrement que si ils n’y aurait pas eu tous les génocide qui ont marqué l’histoire

La serait peut-être nous qui serait concerné

Dans un sens, l’époque est dur, mais bon ça aurait peut-être été bien pire

Là, le ( génocide ) se fait de façon évidemment, bien sûre conceptuel c’est un bien grand mot,
qui ne serait évidemment pas approprié
mais bon qui sait ce qui aurait pu se passer dans une Timeline différente

Avec des gens qui ont souvent pensé qu’ils étaient meilleurs que les autres

Quand bien même tu deviens intéressant/beau en grandissant

Tu oublieras probablement jamais l'isolement ressenti, le rejet, durant les années charnières de ta vie, là où t'en avais le plus besoin. C'est un traumatisme beaucoup trop puissant.

T'as toutes tes chances de toujours te sentir très seul, même aimé, entouré dans ta trentaine et +.

Il n'y a que Dieu qui peut guérir des cas comme nous.

En réalité ça doit être 6-7/10

En ressenti 9.5/10

Le 03 mai 2024 à 10:55:16 :
Il y a deux grands types de personnes

Ceux que l'on cherche à apprécier
Et ceux que l'on cherche à détester.

Qu'importe tes efforts il y aura toujours un problème. Le problème c'est toi. Tu n'es pas désiré.

Peut être que, qu'il ne faut attendre aucune solution de ce monde.

Dur à lire mais ceci est la Vérité