La pire vidéo gore que vous avez vu
SuppriméLe 04 mars 2024 à 15:51:02 :
la femme en kit
explique ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Tukhchar
J'ai perdu une partie de mon âme avec cette vidéo.
Le 04 mars 2024 à 15:52:58 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_TukhcharJ'ai perdu une partie de mon âme avec cette vidéo.
Tu avais quel âge quand tu l'as vu ?
Le 04 mars 2024 à 15:54:26 :
Le 04 mars 2024 à 15:52:58 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_TukhcharJ'ai perdu une partie de mon âme avec cette vidéo.
Tu avais quel âge quand tu l'as vu ?
15/16 ans je pense. C'est la première vidéo de ce genre que j'ai vu.
La vidéo du massacre de San Fernando
Vous avez déjà entendu parler du massacre de San Fernando ?
C'est un des trucs les plus choquants que j'ai pu voir
En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando.
À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville.
Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15.
Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ».
Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.
Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ».
Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées.
Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible.
Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre.
Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas.
Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ».
Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ».
Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».
Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ».
Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ».
Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer
Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives.
À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide.
Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme.
Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.
Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée ».
Le 04 mars 2024 à 15:57:10 :
Le 04 mars 2024 à 15:54:26 :
Le 04 mars 2024 à 15:52:58 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_TukhcharJ'ai perdu une partie de mon âme avec cette vidéo.
Tu avais quel âge quand tu l'as vu ?
15/16 ans je pense. C'est la première vidéo de ce genre que j'ai vu.
C'est très jeune en effet !
Le 04 mars 2024 à 15:57:47 :
Des syriens pieds et poings liés décapités par dizaine par l'ISIS
Ils ont été décapités comment ?
Le 04 mars 2024 à 15:57:37 Metisseur180mm a écrit :
La vidéo du massacre de San FernandoVous avez déjà entendu parler du massacre de San Fernando ?
C'est un des trucs les plus choquants que j'ai pu voir
En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando.
À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville.
Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15.
Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ».
Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.
Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ».
Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées.
Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible.
Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre.
Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas.
Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ».
Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ».
Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ».
Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ».
Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer
Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives.
À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide.Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme.
Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.
Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée ».
y a pas de vidéo de ça
[15:59:53] <[BelgianRace40]>
Le 04 mars 2024 à 15:57:37 Metisseur180mm a écrit :
La vidéo du massacre de San FernandoVous avez déjà entendu parler du massacre de San Fernando ?
C'est un des trucs les plus choquants que j'ai pu voir
En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando.
À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville.
Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15.
Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ».
Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.
Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ».
Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées.
Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible.
Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre.
Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas.
Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ».
Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ».
Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ».
Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ».
Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer
Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives.
À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide.Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme.
Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.
Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée ».
y a pas de vidéo de ça
La brique dans le pare brise
soldat ukrainien ou russe qui se fait couper les couilles a vif
Données du topic
- Auteur
- baldou75012
- Date de création
- 4 mars 2024 à 15:50:51
- Date de suppression
- 8 mars 2024 à 10:09:00
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