TINTIN CHEZ LES SLAVES

Le 14 février 2024 à 18:01:29 :
Suite c'est excellent

Merci beaucoup, kheyou ! Sweet en cours d'écriture !

Le 15 février 2024 à 07:26:56 :
Ça ressemble vraiment à du Tintin tant dans le phrasé que la structure, c'est du bon boulot!

Merci kheyou ça fait plaisir à entendre ! J'adore les livres Tintin, je vais les relire encore et encore sans jamais m'en lasser !

Le 15 février 2024 à 07:45:50 :
Ayaaa excellent et ça tombe à pic car j'étais sur le point de me retaper les albums de tintin

Mais c'est parfait ça ! Et t'as bien raison de les redécouvrir, Tintin c'est la VIE

Le 15 février 2024 à 07:49:07 :
Je fav

Merci à toi kheyou ! Tu vas pas le regretter !

Le 15 février 2024 à 07:57:16 :
du bon boulot, bravo moussaillon

Merci mille fois ! Sweet en cours d'écriture

- Nos chemins se recroisent encore et encore, n'est-ce pas ?

- Que faites-vous ici ? Que faites-vous en Roumanie ?

- Vous vous souvenez de notre dernière rencontre, je suppose ?

- ...

Souvenez-vous : Tintin et Rastapopoulos s'étaient vu pour la dernière fois à l'issue d'un voyage en Océanie au cours duquel notre héros et ses amis avaient été faits prisonniers sur une île volcanique (Vol 714 pour Syndey).

- Je m'en rappelle très bien. Et je suis curieux de vous retrouver cette fois-ci en Europe de l'Est !

- Moi, c'est la première fois que je vous rencontre. Je crois.

- Eh bien, Tintin serait étonné d'apprendre que je réside ici depuis maintenant plusieurs années !

- C'est-à-dire ? Comment êtes-vous arrivé dans ce pays ? Et surtout, pourquoi m'avoir enlevé, ainsi que Monsieur Pujadas ? Expliquez-vous !

- Cessez donc de vous emporter comme si je projetais de vous envoyer en Sibérie ! Mais je puis comprendre votre réaction à cet événement imprévu ! Disons que, après ces aventures dans le Pacifique, j'ai échappé à tous les services de police à ma recherche. J'ai réussi, grâce à des pêcheurs chevronnés, à me réfugier en Chine. Après cela, j'ai pris la route vers l'Union Soviétique, qui a su m'accueillir comme un patriote. Après quelques ennuis avec la mafia russe, j'ai traversé plusieurs milliers de kilomètres vers l'Europe de l'Est, avant de terminer ici, en Roumanie. Autant vous dire que j'ai apprécié le voyage, malgré tout !

- Je... je n'en reviens pas ! On croirait vos propos inspirés d'un roman !

- Amateur. Tintin aussi, est allé en Chine et en URSS. Et partout dans le monde.

- Taisez-vous, je vous prie. Mon cher Tintin, il se trouve que je vais avoir besoin de vos compétences incontestables pour l'intérêt de cette charmante nation qu'est la Roumanie !

- Comment ça ? Qu'est ce que vous avez derrière la tête, aujourd'hui ?

- ...

Rastapopoulos sort d'une mallette une photo en noir et blanc et la tend à son "invité".

- Dites-moi, reconnaissez-vous ces deux hommes ? Je suppose qu'ils vous parlent déjà !

- Qu'est ce que...

- Sapristi ! Ce sont les Dupont et Dupond !

- C'est ce qu'il me semblait ! Ha ha ha !

- Que leur voulez-vous, enfin ?

- Il se trouve que les Dupondt sont eux aussi, comme vous et moi, présents sur le territoire roumain à l'heure actuelle.

- Comment cela ? Que viennent-ils faire dans ce pays ?

- Bonne question ! Et j'en viens au fait principal. Vos deux amis de longue date cherchent vraisemblablement à accélérer la chute du gouvernement actuel, celui de Ceaucescu, que vous connaissez sûrement ! D'après les informations qui m'ont été données, ces deux agents sont envoyés par une puissance étrangère dans le but de constater les manifestations qui s'enchainent en Roumanie, et envenimer la situation avec leurs activités étrangères !

- Et alors ? Qu'attendez-vous de nous ?

- Vous qui avez tant fréquenté les deux détectives qui nous préoccupent, je crois tout bonnement que vous êtes le mieux qualifié pour me localiser et me retrouver les Dupondt !

Le 15 février 2024 à 17:54:05 :

Le 15 février 2024 à 17:56:53 :

Le 15 février 2024 à 17:54:05 :

- ... Pardon ? Vous attendez de moi que je retrouve les Dupondt pour vous ?

- C'est exact !

- Dans quel intérêt ?

- Ah, ça, ce serait en dire un peu trop ! Top secret !

- C'est simple : vous voulez neutraliser ces deux détectives afin de protéger le gouvernement actuel. Ou plutôt la dictature !

- Stop ! On a pas besoin d'écouter vos âneries. D'ailleurs, vous motiverez Tintin à accomplir la mission que je lui confie là !

- Motiver ? Qu'entendez-vous par là ?

- Eh bien, il serait difficile de contraindre Tintin à nous obéir, c'est pourquoi j'ai eu l'excellente idée de vous capturer avec lui !

- Laissez-moi deviner la suite : vous allez m'enfermer ici et Tintin sera forcé d'aller au bout de sa mission, sinon quoi je serai tué.

- ... Vous êtes vraiment perspicace !

- Mais... c'est absolument révoltant ! Ce sont mes amis, je ne peux pas leur faire ça ! Et comment voulez-vous que je retrouve les Dupondt dans un si grand pays ?

- Détrompez-vous, Tintin ! Vous n'aurez pas à explorer tout le pays ! Vos amis de la police belge se trouvent à Bucarest, et ils devraient y séjourner jusqu'à la fin de leur mission.

- ... Je suppose qu'on va m'imposer un certain délai pour accomplir cette mission ?

- Bien entendu ! Je vous laisse 48 heures pour trouver Dupond et Dupont. 48 heures, pas plus. Une fois que vous les aurez localisé, je vous invite à passer un coup de téléphone au château. Voici le numéro en question !

Rastapopoulos remet à Tintin un papier avec le numéro inscrit dessus.

- Je vous préviens, n'essayez même pas de collaborer avec la police roumaine, ou avec vos amis de Belgique. Mes hommes sont partout à Bucarest, ils surveilleront vos moindres faits et gestes. Si, au bout des 48 heures, vous n'avez aucune information sur la localisation des Dupondt, Monsieur Pujadas ici présent en payera le prix à votre place ! Et si cela devait arriver... vous ne retrouveriez aucune trace de notre présence en Roumanie ! J'ai échappé à la police aux quatre coins du monde, autant vous dire qu'il serait inutile de me faire poursuivre en cas d'échec !

(Les salauds ! Je suis sûr que, même si je trouvais les Dupondt, ils finiraient par me faire tuer...)

- C'est... c'est machiavélique !

- Peut-être, mais le hasard a voulu que nous nous retrouvions à nouveau dans ce pays. Et maintenant que votre associé est mon prisonnier, vous feriez mieux de vous accrocher ! Mais, je me suis dit qu'il fallait bien vous donner un coup de main pour votre départ. Aussi, je vous donne là un billet pour le prochain train qui partira du village de Ciprian Vladimiri, à 5 kilomètres d'ici, vers Bucarest, la capitale où vous êtes arrivé. Le train partira à 9h10. Il est 8h44. Je ne vais donc pas vous retenir plus longtemps ! A vous de jouer ! Voici votre billet, et je compte sur vous pour me retrouver la trace de ces 2 messieurs dans le temps imparti, sinon quoi... vous savez ce qui attend monsieur !

- ...

- Amateur. Tintin aussi, est allé en Chine et en URSS. Et partout dans le monde.

Le 16 février 2024 à 13:05:54 :
- Amateur. Tintin aussi, est allé en Chine et en URSS. Et partout dans le monde.

Le 16 février 2024 à 16:57:00 :
Sweety sweet ! C'est ce genre de topic qui justifie qu'on reste sur le fofo

Merci beaucoup kheyou ! Il faut attirer de nouveaux lecteurs

BON les kheyous.

Mes trois comptes étant bannis, je n'ai pas pu publié la sweet hier. Et j'ai dû attendre ce matin pour me créer ce nouveau profil !

ALORS écoutez-moi bien les kheyous.

QUI VEUT LA SWEET BON SANG DE BONOBO ???!

Le 16 février 2024 à 16:30:39 :
Suite de qualité

Merci kheyou ! Tu pourras en dire autant de la sweet que je vous prépare !

Le 16 février 2024 à 21:49:26 :
Sweet

Et la sweet, elle arrive très bientôt : en cours d'écriture

Appel à tous les TINTINOPHILES du forum.

VENEZ LIRE CETTE FIC DE QUALITÉ !

- Alors, Tintin, êtes vous décidé à accomplir cette quête que je vous confie ?

- ... Décidément, chacune de nos rencontres est une occasion pour moi de vous détester encore plus !

- Vous savez, si vous n'êtes pas d'accord, on peut régler ça très rapidement !

Rastapopoulos dégaine un revolver et le pointe sur Tintin, avant de le rediriger vers David.

- ... Alors ?

- ...

- Très bien, je vais obéir. Laissez-moi m'occuper des Dupondt...

- Vous êtes sûr de ce que vous décidez, Tintin ?

- Bien sûr, qu'il est sûr ! Je ne lui laisse pas le choix. Nous pourrions très bien faire le boulot nous-mêmes et capturer les deux flics sans l'aide de notre aventurier de reporter, mais voilà qu'on s'exposerait aux yeux des espions occidentaux, qui s'activent partout à Bucarest !

- Diabolique !

- Certes ! Mais ne perdons pas plus de temps, je vous laisse accomplir cette mission et j'espère pour vous que vous êtes bien disposé à solliciter vos compétences pour notre compte.

Le vieil ennemi de Tintin se tourne vers ses hommes.

- Enfermez-moi le français dans la cave ! Dimitry ! Artur ! Remettez donc notre ami en liberté, et évitons de lui faire perdre son temps ! Sur ce, bon courage, Tintin ! Petit conseil : méfiez-vous quand même des gangs locaux, et les trafiquants d'organes ! C'est pas la Belgique, ici ! Ha ha ha !

- Je reconnais bien là ce rire irritant !

- Bonne chance, Tintin ! Hé, messieurs, pas la peine de forcer, vous sa-

Tintin est raccompagné à l'entrée du château. On le relâche devant le portail. Les dénommés Artur et Dimitry referment celui-ci sans rien dire. Notre héros est livré à lui-même.

- Dans quel pétrin je me suis encore retrouvé ? Quel hasard, ça ! Voilà que je suis à nouveau confronté à Rastapopoulos... quel bandit !

- J'espère qu'il n'arrivera rien à ce pauvre David ! Je dois faire quelque chose pour lui et mettre hors d'état de nuire ces criminels ! Mais comment m'y prendre ? Et pourquoi m'envoie t-on trouver les Dupondt ? Où sont-ils, à l'heure actuelle ?

- Wouaf !

C'est avec grande surprise que le prodige du journalisme francophone revoit son complice de toujours sortir de sa cachette. Milou n'avait perdu la trace de son maitre, et avait entreprit de suivre ce dernier en s'agrippant au camion, garé devant la résidence.

- Milou ! Comment puis-je croire cela ? Comment tu as fait pour me retrouver aussi vite ?

- Wouaf ! Je me suis forcé à abandonner ces pancakes divins pour suivre ta trace !

- Encore une fois, ta fidélité m'impressionne ! Quel bonheur de te voir sain et sauf. Mais figure-toi que je ne suis pas tiré d'affaire, et Monsieur Pujadas non plus ! On doit retourner à Bucarest, et vite !