Topic de Nancy_Reyes6 :

[SONDAGE] La prostitution dans le mariage..

Supprimé

Le 07 janvier 2024 à 01:40:10 :

Le 07 janvier 2024 à 01:38:00 :

Le 07 janvier 2024 à 01:26:26 :

Le 07 janvier 2024 à 01:24:44 :

Le 07 janvier 2024 à 01:20:49 :

> Le 07 janvier 2024 à 01:17:20 :

>> Le 07 janvier 2024 à 01:14:16 :

> >> Le 07 janvier 2024 à 01:11:33 :

> > >> Le 07 janvier 2024 à 01:08:52 :

> > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:06:56 :

> > > > >>[01:05:40] <Asealis_>

> > > > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:02:40 :

> > > > > >>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:02 :

> > > > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:57:24 :

> > > > > >> > >Surtout que c'est plus saint de se tapper une escort de temps en temps plutôt que de se frustrer en se branlant sur du porn de plus en plus hard

> > > > > >> >

> > > > > >> > Tu peux aussi te branler sans pornographie ; ou, encore mieux, quitter ta femme que tu n'aimes plus. Étonnant, je sais :)

> > > > > >>

> > > > > >> Et abandonner les gosses + rendre ta femme malheureuse.

> > > > > >>

> > > > > >> Non, faut mieux se vider une fois par mois jusqu'à la retraite

> > > > > >

> > > > > >Tu n'abandonnes pas tes enfants, tu les verras toujours avec la garde partagée, à moins bien sûr que tu ne veuilles plus les voir.

> > > > > >Et pour ta femme, je ne suis pas convaincu qu'elle préfère se faire tromper continuellement pas son mari, qui ne l'aime plus, plutôt que de refaire sa vie avec quelqu'un qui aurait plus d'affection à son égard, franchement.

> > > > >

> > > > > Tu penses clairement pas aux enfants si tu fais ça.

> > > >

> > > > Au contraire, il n'y a rien de pire pour des enfants que de voir que leurs parents ne s'aiment plus.

> > >

> > > Pour avoir connu littéralement la position de l’enfant de divorcé passionnelle et ayant moi même offert le spectacle d’un divorce capricieux à mon enfant j’ai l’entière capacité que c’est une connerie monumentale extrêmement desctructeice pour le gosse.

> >

> > Et étant également dans la position de l'enfant divorcé (à mes 6 ans), je peux te dire l'extrême inverse. C'est donc au cas par cas.

> >

> > Ce qu'il en ressort, c'est peut-être alors qu'il est préférable de rester ensemble pour les parents lorsqu'ils s'apprécient encore mais ne s'aiment plus, tout en permettant aux d'eux d'aller voir ailleurs, mais de divorcer lorsqu'ils ne s'entendent vraiment plus ?

>

> Il te manque un élément, voir les dégâts que ça fait sur ton enfant, car un adulte est bien plus capable d’observer que de s’auto diagnostiqué.

>

> Donc je persiste et signe, oui il vaut mieux créer l’équilibre que l’attendre. Quite a se forcer.

>

> Je ne ferais pas deux fois la même connerie. Encore une fois, la vie c’est pas le monde des bisounours, on n’a pas toujours ce qu’on veux. Sauf qu’aujourd’hui je l’ai compris

>

> ÉDIT : comme tu as dit il faut voir au cas pr cas, biensur que s’il y a violence (verbale ou physique) le divorce est à prescrire

Pour ce sujet on est plutôt d'accord
Je l'admet

Sur le fait de faire des concessions (dans la limite de l’acceptable) ou de se séparer quoi qu’il en coûte si l’amour n’est plus que l’ombre d’elle même ?

Sur le fait de ce battre pour son couple et de ne aps divorcer
Dans mon couple le divorce n'est même pas une option

Dans ce cas on est effectivement en phase sur ce plan.

La différence est que je ne me ferme pas la porte de cette « compensation » pour y arriver, indépendamment des efforts à faire pour rendre le foyer le plus sain et paisible possible.
(Bien qu’à ce jour je n’ai pas eu besoin d’y recourir)

Et c'est bien dommage de ne pas fermer cette porte car en l'ouvrant tu fais rentrer beaucoup de mauvaise chose dans ton couple

Tant d’autre chose peuvent apporté des emmerdes (et souvant plus lourde à gérer) que ça.

Si ça me permet de calmé mon côté bestiale une fois chez moi, et d’apporté une réponse réfléchie aux autres problème. Alors je prend.

Le seul gros inconvénient que je vois à cette solution est le risque de blesser.

Le 07 janvier 2024 à 01:49:05 :

Le 07 janvier 2024 à 01:40:10 :

Le 07 janvier 2024 à 01:38:00 :

Le 07 janvier 2024 à 01:26:26 :

Le 07 janvier 2024 à 01:24:44 :

> Le 07 janvier 2024 à 01:20:49 :

>> Le 07 janvier 2024 à 01:17:20 :

> >> Le 07 janvier 2024 à 01:14:16 :

> > >> Le 07 janvier 2024 à 01:11:33 :

> > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:08:52 :

> > > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:06:56 :

> > > > > >>[01:05:40] <Asealis_>

> > > > > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:02:40 :

> > > > > > >>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:02 :

> > > > > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:57:24 :

> > > > > > >> > >Surtout que c'est plus saint de se tapper une escort de temps en temps plutôt que de se frustrer en se branlant sur du porn de plus en plus hard

> > > > > > >> >

> > > > > > >> > Tu peux aussi te branler sans pornographie ; ou, encore mieux, quitter ta femme que tu n'aimes plus. Étonnant, je sais :)

> > > > > > >>

> > > > > > >> Et abandonner les gosses + rendre ta femme malheureuse.

> > > > > > >>

> > > > > > >> Non, faut mieux se vider une fois par mois jusqu'à la retraite

> > > > > > >

> > > > > > >Tu n'abandonnes pas tes enfants, tu les verras toujours avec la garde partagée, à moins bien sûr que tu ne veuilles plus les voir.

> > > > > > >Et pour ta femme, je ne suis pas convaincu qu'elle préfère se faire tromper continuellement pas son mari, qui ne l'aime plus, plutôt que de refaire sa vie avec quelqu'un qui aurait plus d'affection à son égard, franchement.

> > > > > >

> > > > > > Tu penses clairement pas aux enfants si tu fais ça.

> > > > >

> > > > > Au contraire, il n'y a rien de pire pour des enfants que de voir que leurs parents ne s'aiment plus.

> > > >

> > > > Pour avoir connu littéralement la position de l’enfant de divorcé passionnelle et ayant moi même offert le spectacle d’un divorce capricieux à mon enfant j’ai l’entière capacité que c’est une connerie monumentale extrêmement desctructeice pour le gosse.

> > >

> > > Et étant également dans la position de l'enfant divorcé (à mes 6 ans), je peux te dire l'extrême inverse. C'est donc au cas par cas.

> > >

> > > Ce qu'il en ressort, c'est peut-être alors qu'il est préférable de rester ensemble pour les parents lorsqu'ils s'apprécient encore mais ne s'aiment plus, tout en permettant aux d'eux d'aller voir ailleurs, mais de divorcer lorsqu'ils ne s'entendent vraiment plus ?

> >

> > Il te manque un élément, voir les dégâts que ça fait sur ton enfant, car un adulte est bien plus capable d’observer que de s’auto diagnostiqué.

> >

> > Donc je persiste et signe, oui il vaut mieux créer l’équilibre que l’attendre. Quite a se forcer.

> >

> > Je ne ferais pas deux fois la même connerie. Encore une fois, la vie c’est pas le monde des bisounours, on n’a pas toujours ce qu’on veux. Sauf qu’aujourd’hui je l’ai compris

> >

> > ÉDIT : comme tu as dit il faut voir au cas pr cas, biensur que s’il y a violence (verbale ou physique) le divorce est à prescrire

>

> Pour ce sujet on est plutôt d'accord

> Je l'admet

Sur le fait de faire des concessions (dans la limite de l’acceptable) ou de se séparer quoi qu’il en coûte si l’amour n’est plus que l’ombre d’elle même ?

Sur le fait de ce battre pour son couple et de ne aps divorcer
Dans mon couple le divorce n'est même pas une option

Dans ce cas on est effectivement en phase sur ce plan.

La différence est que je ne me ferme pas la porte de cette « compensation » pour y arriver, indépendamment des efforts à faire pour rendre le foyer le plus sain et paisible possible.
(Bien qu’à ce jour je n’ai pas eu besoin d’y recourir)

Et c'est bien dommage de ne pas fermer cette porte car en l'ouvrant tu fais rentrer beaucoup de mauvaise chose dans ton couple

Tant d’autre chose peuvent apporté des emmerdes (et souvant plus lourde à gérer) que ça.

Si ça me permet de calmé mon côté bestiale une fois chez moi, et d’apporté une réponse réfléchie aux autres problème. Alors je prend.

Le seul gros inconvénient que je vois à cette solution est le risque de blesser.

Pourquoi faire des efforts dans le couple quand je peux me vider les couilles ailleurs ?
Pas besoin d'exciter ma femme ou de la séduire si je peux aller voir ailleurs
Pourquoi cultiver la flamme de la.passion ?
Autant prendre ma femme pour acquis
L'herbe est plus verte ailleurs vu que j'ai la flemme d'arroser mon jardin

Tu vois les problèmes ?
Et encore ça c'est qu'une partie

Le 07 janvier 2024 à 01:52:12 :

Pourquoi faire des efforts dans le couple quand je peux me vider les couilles ailleurs ?
Pas besoin d'exciter ma femme ou de la séduire si je peux aller voir ailleurs
Pourquoi cultiver la flamme de la.passion ?
Autant prendre ma femme pour acquis
L'herbe est plus verte ailleurs vu que j'ai la flemme d'arroser mon jardin

Tu vois les problèmes ?
Et encore ça c'est qu'une partie

Encore une fois, l’un n’empêche pas l’autre.
(D’autant que « faire des efforts » renvoi bien trop à la notion de se trahir soit mêmes, donc des efforts, oui, dans la limite de l’acceptable, sans ignorer sa nature intérieur)

Et il n’est pas question d’herbe plus verte ailleurs. Ce n’est absolument pas comparable. La cabane de mon jardin n’est pas ma maison.
Mais elle m’aide à l’entretenir. À moi de savoir l’utiliser avec parcimonie et en tout état de cause

Sur ce mes bons kheys je laisse se débat ici.

Merci à tout ceux qui on exprimé leurs points de vue et ont fait vivre ce topic.

Le 07 janvier 2024 à 01:59:41 :

Le 07 janvier 2024 à 01:52:12 :

Pourquoi faire des efforts dans le couple quand je peux me vider les couilles ailleurs ?
Pas besoin d'exciter ma femme ou de la séduire si je peux aller voir ailleurs
Pourquoi cultiver la flamme de la.passion ?
Autant prendre ma femme pour acquis
L'herbe est plus verte ailleurs vu que j'ai la flemme d'arroser mon jardin

Tu vois les problèmes ?
Et encore ça c'est qu'une partie

Encore une fois, l’un n’empêche pas l’autre.
(D’autant que « faire des efforts » renvoi bien trop à la notion de se trahir soit mêmes, donc des efforts, oui, dans la limite de l’acceptable, sans ignorer sa nature intérieur)

Et il n’est pas question d’herbe plus verte ailleurs. Ce n’est absolument pas comparable. La cabane de mon jardin n’est pas ma maison.
Mais elle m’aide à l’entretenir. À moi de savoir l’utiliser avec parcimonie et en tout état de cause

L'un empêche l'autre clairement
Tu te trahis pas toi même au contraire tu maîtrises ton corps et tu fait les.bon choix
Tu sais ce qui est bon pour toi
C'est pas ton corps qui décide c'est toi

A quel moment une cabane aide à entretenir ta maison ?
Ton exemple à aucun sens

Baiser la même personne c'est juste chiant donc normal de voir ailleurs https://image.noelshack.com/fichiers/2023/46/5/1700225351-368941be-a32a-4de7-b49b-e784cf253271.png

Toujours pareil, suffit d'inverser les rôles, est-ce pour vous acceptable que votre femme aille se faire enfiler de temps en temps par d'autres mecs?

Si non, bah le faites pas par pur respect et logique :pf:

Si oui, félicitations vous êtes un "couple" libertin du même acabit que les boomers qui s'enfilent dans les saunas/clubs privés, le dream :bave:

Btw ceux qui disent que la monogamie est rare chez les animaux, quasiment tous les oiseaux le sont donc bon :rire:

Encore un topic de mecs qui assumeraient pas leurs propos IRL

Le 07 janvier 2024 à 02:09:57 :
Baiser la même personne c'est juste chiant donc normal de voir ailleurs https://image.noelshack.com/fichiers/2023/46/5/1700225351-368941be-a32a-4de7-b49b-e784cf253271.png

C'est chiant pour les décadent

Le 07 janvier 2024 à 01:42:45 :

Le 07 janvier 2024 à 01:40:40 :
Acceptable une fois par an aller aux putes en Allemagne. Ça doit permettre d'assurer la pérennité dans un couple. :)

La prostitution sauve des couples :oui:

Des bons plans FKK ?

[01:39:10] <TanTanDu>
Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais Comment ? dira-t-on. Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :
Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

Mais, oui.

Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

Mais puisque je te le dis !

C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

Oui.

Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

Non.

Quoi, non ?

Je ne te trompe pas.

Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde.
« On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? »
On les garde toutes, monsieur.

C'est toi qui a écris ça ? :snif:

aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais Comment ? dira-t-on. Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :
Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

Mais, oui.

Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

Mais puisque je te le dis !

C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

Oui.

Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

Non.

Quoi, non ?

Je ne te trompe pas.

Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde.
« On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? »
On les garde toutes, monsieur.

C'est toi qui a écris ça ? :snif:

Non

Je baise des escorts régulièrement et même en GFE et ça me permet de rester serein et de maintenir mon couple en donnant le meilleur de moi même au quotidien puisque je me donne la récompense d'un sexe débridé et qui prend soin de ma masculinité, ce qui évite la frustration de l'effort non rétribué :ok:

Et je me respecte je vais pas voir des putes bas de gamme mais de vraies courtisanes qui savent ce que c'est de s'occuper d'un homme :ok:

Les cucks qui s'en indignent me font bien rire, j'aimerais pouvoir arrêter de produire de la testo comme vous mais pas de bol je reste un mec, ragez bien pendant que je me tape des Threesome de MILFs :content:

Le 06 janvier 2024 à 23:50:31 :

Le 06 janvier 2024 à 23:43:23 :
J'imagine qu'après 30 ans de mariage et une vie sexuelle endormie par tant d'années, avoir envie de se taper une 9/10 de 25 ans qui te fera grimper au rideau est compréhensible...

La femme aussi voudra un mec de 25 ans BG endurant avec 20 cm, des abdos et de la puissance hein.
Ça rend la chose excusable ?

Le 07 janvier 2024 à 03:34:57 :
Je baise des escorts régulièrement et même en GFE et ça me permet de rester serein et de maintenir mon couple en donnant le meilleur de moi même au quotidien puisque je me donne la récompense d'un sexe débridé et qui prend soin de ma masculinité, ce qui évite la frustration de l'effort non rétribué :ok:

Et je me respecte je vais pas voir des putes bas de gamme mais de vraies courtisanes qui savent ce que c'est de s'occuper d'un homme :ok:

Les cucks qui s'en indignent me font bien rire, j'aimerais pouvoir arrêter de produire de la testo comme vous mais pas de bol je reste un mec, ragez bien pendant que je me tape des Threesome de MILFs :content:

Driiiiing

Le 07 janvier 2024 à 03:37:08 :

Le 07 janvier 2024 à 03:34:57 :
Je baise des escorts régulièrement et même en GFE et ça me permet de rester serein et de maintenir mon couple en donnant le meilleur de moi même au quotidien puisque je me donne la récompense d'un sexe débridé et qui prend soin de ma masculinité, ce qui évite la frustration de l'effort non rétribué :ok:

Et je me respecte je vais pas voir des putes bas de gamme mais de vraies courtisanes qui savent ce que c'est de s'occuper d'un homme :ok:

Les cucks qui s'en indignent me font bien rire, j'aimerais pouvoir arrêter de produire de la testo comme vous mais pas de bol je reste un mec, ragez bien pendant que je me tape des Threesome de MILFs :content:

Driiiiing

De quoi dring pourquoi je mentirais ? :rire:

Tu crois vraiment que je vais inventer le fait que je baise des escorts alors que je suis en couple ? :rire:

Ah oui je viens de tilter, tu dis dring pour les Threesome de MILFs ? Gros j'ai les moyens de payer ça, c'est pas si cher pour l'expérience déjà et je t'invite à juste aller voir les annonces qu'il peut y avoir à Paris, et je te dis pas ce que je me suis tapé en Belgique :rire:
De vrais films de cul, le genre sur lequel tu te branles mais moi, bah... Je les ai vécu :noel:

Le 06 janvier 2024 à 23:50:07 :

Le 06 janvier 2024 à 23:48:37 :
de toute façon faut pas se faire d'illusion, ceux qui sont le plus contre ça finiront tous par aller voir des escort après quelques années de mariage. C'est le coup classique. Ils s'indignent et mettent en valeurs leurs idéaux de pureté et de fidélité, et après ils finissent tous au bordel. https://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/5/1663921748-ahi.png

Jamais j'irais voir ailleurs
Comme jamais je ne fumerait
Jamais je me soulerai

Tu es catholique ?

Le 07 janvier 2024 à 12:25:01 :

Le 06 janvier 2024 à 23:50:07 :

Le 06 janvier 2024 à 23:48:37 :
de toute façon faut pas se faire d'illusion, ceux qui sont le plus contre ça finiront tous par aller voir des escort après quelques années de mariage. C'est le coup classique. Ils s'indignent et mettent en valeurs leurs idéaux de pureté et de fidélité, et après ils finissent tous au bordel. https://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/5/1663921748-ahi.png

Jamais j'irais voir ailleurs
Comme jamais je ne fumerait
Jamais je me soulerai

Tu es catholique ?

Non je suis pas catholique

bah ça dépend
si la femme en question traite le mec comme une serpillère et ne fait rien, c'est justifié

Données du topic

Auteur
Nancy_Reyes6
Date de création
6 janvier 2024 à 23:15:05
Date de suppression
8 janvier 2024 à 09:20:00
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