[SONDAGE] La prostitution dans le mariage..
SuppriméNon genre une méthode poir exciter ta femme
Ha oui j'en ai une mais tu vas encore faire ta pleureuse "gneu gneu c'est illégal"
Le 07 janvier 2024 à 01:25:41 :
Le 07 janvier 2024 à 01:23:53 :
Si on peut plus aller donner de la force au plus vieux métier du monde en big 2k24, où va-t-on ?Pensée pour les adorateurs de l’amour dans sa plus pure des formes, on attend vos topax « ma femme m’a cuck » et bien sûr le mur des cucks
Je n'y serai jamais sur ton mur
Je vais te la piquer
Le 07 janvier 2024 à 01:29:35 :
Acceptable dans les cas suivants :- Si ta meuf s'en fout de ton plaisir et ne fait aucun effort au pieu.
- Si tu n'as pas baisé depuis bien trop longtemps.
- Si tu tombes dans une routine d'une baise par mois parce qu'elle se "force".
- Si elle t'a cuck pour réequilibrer.
- Si c'est une c*nnasse (mais pourquoi t'es avec alors ?)
- Si tu veux vraiment faire une dinguerie déglinguée que tu ne ferais jamais avec elle.
Dans ce genre de cas faut au moins que la femme soit ok alors
Pour tes premiers points c'est pareil, à moins que la meuf soit ok que t'ailles voir ailleurs pour se décharger elle-même, c'est pas une excuse
Normalement tu communiques pour améliorer les choses
Si votre meuf vous trompe et qu'elle vous dit "bah t'en avais rien à foutre de mon plaisir et on baise jamais, c'était la routine" je pense qu'y en a certains que ça blesserait quand-même
Le 07 janvier 2024 à 01:30:30 :
Le 07 janvier 2024 à 01:27:51 :
:
Le 07 janvier 2024 à 01:13:52 :
> Le 07 janvier 2024 à 01:11:30 :
>> Le 07 janvier 2024 à 01:07:15 :
> >> Le 07 janvier 2024 à 01:05:18 :
> > >> Le 07 janvier 2024 à 00:59:59 :
> > > >> Le 07 janvier 2024 à 00:58:59 :
> > > > >> Le 07 janvier 2024 à 00:53:06 :
> > > > > >>[00:51:53] <Asealis_>
> > > > > > >> Le 07 janvier 2024 à 00:47:25 :
> > > > > > >>>[00:46:06] <Asealis_>
> > > > > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:40:59 :
> > > > > > >> >>> Le 07 janvier 2024 à 00:39:34 :
> > > > > > >> >> >Pour moi, ce sont des lâches, qui veulent avoir le beurre et l'argent du beurre. D'un côté une femme aimante à la maison, qui les aide financièrement, au ménage, avec les enfants, etc ; de l'autre la prostituée bonne, qui fait tout au lit.
> > > > > > >> >> >
> > > > > > >> >> > Et des hypocrites, aussi. Jamais ils n'accepteraient que leur femme fasse la même chose.
> > > > > > >> >>
> > > > > > >> >> Les femmes n’aiment pas le sexe pour ton information
> > > > > > >> >
> > > > > > >> >Si TA femme n'aime pas le sexe, alors ne te marie pas avec, et ne lui fait pas d'enfants. Et dans l'optique bien irréaliste où aucune femme ne devait aimer le sexe comme tu le dis, alors ma réponse est la même : ne te marie pas avec, ne lui jure pas fidélité si c'est quelque chose que tu ne peux respecter.
> > > > > > >>
> > > > > > >> Tu peux jamais savoir de quoi demain sera fait. Et quand tu te marrie ta femme doit aussi assurer son devoir conjugal sinon tout éclatera d'un moment à l'autre
> > > > > > >
> > > > > > >Donc, quand tu jures à ta femme fidélité quoi qu'il advienne, ce n'est finalement que conditionné ? Au moindre problème de santé, à la moindre maladie qui l'empêcherait d'avoir des rapports, tu la quitteras ? Par contre, si elle fait la même chose, et te quitte à la moindre adversité, tu l'insulteras, évidemment, n'est-ce pas ?
> > > > > > >
> > > > > > >Hypocrite, c'est ce que j'ai dit.
> > > > > >
> > > > > > On a pas parlé de quitter la personne. On parle de se vider dans des prostitué.
> > > > > >
> > > > > > Quand t'as des enfants tu vas pas divorcer parce que madame n'a plus envie. Tu assumes ta familles et tu te vides contre quelques euros
> > > > >
> > > > > Les femmes n'ont pas compris qu'un homme peut baiser 100 femmes et revenir auprès de la meme, c'est pour ça que ça sert à rien de debattre avec elles, et leur logiciel feminin
> > > > > Le sexe n'a rien a voir avec fidèlité sur le long terme
> > > >
> > > >
> > > > Clairement
> > > >
> > > > Je Go Escort, mais je préferais qu'on fasse de l'échangisme perso.
> > > >
> > > > Voir les deux.
> > > >
> > > > L'amour et le sexe sont deux choses distinctes
> > >
> > > Ouais nan toi t’aimes vraiment pas ta femme mon goret
> > >
> > > Avoir le désir de la voir se faire toucher et prendre par un autre t’es pas branché correctement
> >
> > j'ai pas le désir de faire ça.
> >
> > Juste ça me dérangerait pas si en retour je peux tirer la femme d'un autre.
> >
> > Plus saint que les couples qui se trompent de chaque côté.
> >
> > Faut être pragmatique, t'as 50% des hommes qui trompent ( Sexe ) une fois dans leur vie et 40% des femmes
>
> Si t’es prêt à voir ta femme se faire troncher par un autre homme juste pour te taper sa femme sans la tromper, tu l’aimes pas/plus (ou t’as des fantasmes d’immonde cuck)
Je prends pas mon pied à voir ça hein.
Mais je suis pas là non plus à pleurer car je fais PAREIL
https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/03/3368-1-study_file.pdf
Regarde les études, à la fin de leur vie, t'as 60% des hommes qui ont déjà trompé.
Et 40% des femmes.Et si t'as femme est dans une classe supérieure, ça monte à 50% et encore plus haut chez les hommes.
l'Adultère, au moins une fois, est la norme
Sauf que le jour où Magalie te trompera elle se sentira pas obligée de t’impliquer dedans pour pas se sentir coupable, ou au mieux tu joueras le rôle du cuck qui nettoie ce que son bull lui a laissé à l’intérieur
Faut vraiment être un cocu né pour se dire « puisque je la trompe j’aimerais qu’elle puisse aussi le faire »
J'ai jamais dit qu'elle aimerait l'ahuri.
Libertinage =/= Tromperie.
Et non, le candaulisme, c'est pas mon truc, ni le gang bang.Libertinage = Kiffer chacun de son côté pour douche et retour à la normal le soir.
Pas faire des cunis de spermes le débilos.
C'est quoi la différence entre adultère et tromperie ?
Même chose,
mais lui il commence à penser qu'être libertin = cuck.
Si il savait que chez les puissants, c'est ultra répandut.
Du coup :
Libertinage = adultère = tromperie
Le 07 janvier 2024 à 01:30:57 :
Non genre une méthode poir exciter ta femme
Ha oui j'en ai une mais tu vas encore faire ta pleureuse "gneu gneu c'est illégal"
Rien compris
Le 07 janvier 2024 à 01:31:18 :
Le 07 janvier 2024 à 01:25:41 :
Le 07 janvier 2024 à 01:23:53 :
Si on peut plus aller donner de la force au plus vieux métier du monde en big 2k24, où va-t-on ?Pensée pour les adorateurs de l’amour dans sa plus pure des formes, on attend vos topax « ma femme m’a cuck » et bien sûr le mur des cucks
Je n'y serai jamais sur ton mur
Je vais te la piquer
Ma place sur le mur ?.
Oui prends la avec plaisir
Le 07 janvier 2024 à 01:25:13 :
Le 07 janvier 2024 à 01:23:42 :
Le 07 janvier 2024 à 01:13:52 :
Le 07 janvier 2024 à 01:11:30 :
Le 07 janvier 2024 à 01:07:15 :
> Le 07 janvier 2024 à 01:05:18 :
>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:59 :
> >> Le 07 janvier 2024 à 00:58:59 :
> > >> Le 07 janvier 2024 à 00:53:06 :
> > > >>[00:51:53] <Asealis_>
> > > > >> Le 07 janvier 2024 à 00:47:25 :
> > > > >>>[00:46:06] <Asealis_>
> > > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:40:59 :
> > > > >> >>> Le 07 janvier 2024 à 00:39:34 :
> > > > >> >> >Pour moi, ce sont des lâches, qui veulent avoir le beurre et l'argent du beurre. D'un côté une femme aimante à la maison, qui les aide financièrement, au ménage, avec les enfants, etc ; de l'autre la prostituée bonne, qui fait tout au lit.
> > > > >> >> >
> > > > >> >> > Et des hypocrites, aussi. Jamais ils n'accepteraient que leur femme fasse la même chose.
> > > > >> >>
> > > > >> >> Les femmes n’aiment pas le sexe pour ton information
> > > > >> >
> > > > >> >Si TA femme n'aime pas le sexe, alors ne te marie pas avec, et ne lui fait pas d'enfants. Et dans l'optique bien irréaliste où aucune femme ne devait aimer le sexe comme tu le dis, alors ma réponse est la même : ne te marie pas avec, ne lui jure pas fidélité si c'est quelque chose que tu ne peux respecter.
> > > > >>
> > > > >> Tu peux jamais savoir de quoi demain sera fait. Et quand tu te marrie ta femme doit aussi assurer son devoir conjugal sinon tout éclatera d'un moment à l'autre
> > > > >
> > > > >Donc, quand tu jures à ta femme fidélité quoi qu'il advienne, ce n'est finalement que conditionné ? Au moindre problème de santé, à la moindre maladie qui l'empêcherait d'avoir des rapports, tu la quitteras ? Par contre, si elle fait la même chose, et te quitte à la moindre adversité, tu l'insulteras, évidemment, n'est-ce pas ?
> > > > >
> > > > >Hypocrite, c'est ce que j'ai dit.
> > > >
> > > > On a pas parlé de quitter la personne. On parle de se vider dans des prostitué.
> > > >
> > > > Quand t'as des enfants tu vas pas divorcer parce que madame n'a plus envie. Tu assumes ta familles et tu te vides contre quelques euros
> > >
> > > Les femmes n'ont pas compris qu'un homme peut baiser 100 femmes et revenir auprès de la meme, c'est pour ça que ça sert à rien de debattre avec elles, et leur logiciel feminin
> > > Le sexe n'a rien a voir avec fidèlité sur le long terme
> >
> >
> > Clairement
> >
> > Je Go Escort, mais je préferais qu'on fasse de l'échangisme perso.
> >
> > Voir les deux.
> >
> > L'amour et le sexe sont deux choses distinctes
>
> Ouais nan toi t’aimes vraiment pas ta femme mon goret
>
> Avoir le désir de la voir se faire toucher et prendre par un autre t’es pas branché correctement
j'ai pas le désir de faire ça.
Juste ça me dérangerait pas si en retour je peux tirer la femme d'un autre.
Plus saint que les couples qui se trompent de chaque côté.
Faut être pragmatique, t'as 50% des hommes qui trompent ( Sexe ) une fois dans leur vie et 40% des femmes
Si t’es prêt à voir ta femme se faire troncher par un autre homme juste pour te taper sa femme sans la tromper, tu l’aimes pas/plus (ou t’as des fantasmes d’immonde cuck)
Je prends pas mon pied à voir ça hein.
Mais je suis pas là non plus à pleurer car je fais PAREIL
https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/03/3368-1-study_file.pdf
Regarde les études, à la fin de leur vie, t'as 60% des hommes qui ont déjà trompé.
Et 40% des femmes.Et si t'as femme est dans une classe supérieure, ça monte à 50% et encore plus haut chez les hommes.
l'Adultère, au moins une fois, est la norme
Sauf que le jour où Magalie te trompera elle se sentira pas obligée de t’impliquer dedans pour pas se sentir coupable, ou au mieux tu joueras le rôle du cuck qui nettoie ce que son bull lui a laissé à l’intérieur
Faut vraiment être un cocu né pour se dire « puisque je la trompe j’aimerais qu’elle puisse aussi le faire »
J'ai jamais dit qu'elle aimerait l'ahuri.
Libertinage =/= Tromperie.
Et non, le candaulisme, c'est pas mon truc, ni le gang bang.Libertinage = Kiffer chacun de son côté pour douche et retour à la normal le soir.
Pas faire des cunis de spermes le débilos.
Tu tournes ça comme tu veux mais de ton propre aveu tu préférerais savoir que ta femme se fait troncher par d’autres types plutôt que de la tromper cucky
Le 07 janvier 2024 à 01:32:49 :
Le 07 janvier 2024 à 01:30:57 :
Non genre une méthode poir exciter ta femme
Ha oui j'en ai une mais tu vas encore faire ta pleureuse "gneu gneu c'est illégal"
Rien compris
Il parle de v1ol
Le 07 janvier 2024 à 01:34:23 :
Le 07 janvier 2024 à 01:32:49 :
Le 07 janvier 2024 à 01:30:57 :
Non genre une méthode poir exciter ta femme
Ha oui j'en ai une mais tu vas encore faire ta pleureuse "gneu gneu c'est illégal"
Rien compris
Il parle de v1ol
Ah ouais chelou
Le 07 janvier 2024 à 01:25:24 :
Le 07 janvier 2024 à 01:20:20 :
Le 07 janvier 2024 à 01:14:16 :
Le 07 janvier 2024 à 01:11:33 :
Le 07 janvier 2024 à 01:08:52 :
> Le 07 janvier 2024 à 01:06:56 :
>>[01:05:40] <Asealis_>
> >> Le 07 janvier 2024 à 01:02:40 :
> >>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:02 :
> >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:57:24 :
> >> > >Surtout que c'est plus saint de se tapper une escort de temps en temps plutôt que de se frustrer en se branlant sur du porn de plus en plus hard
> >> >
> >> > Tu peux aussi te branler sans pornographie ; ou, encore mieux, quitter ta femme que tu n'aimes plus. Étonnant, je sais
> >>
> >> Et abandonner les gosses + rendre ta femme malheureuse.
> >>
> >> Non, faut mieux se vider une fois par mois jusqu'à la retraite
> >
> >Tu n'abandonnes pas tes enfants, tu les verras toujours avec la garde partagée, à moins bien sûr que tu ne veuilles plus les voir.
> >Et pour ta femme, je ne suis pas convaincu qu'elle préfère se faire tromper continuellement pas son mari, qui ne l'aime plus, plutôt que de refaire sa vie avec quelqu'un qui aurait plus d'affection à son égard, franchement.
>
> Tu penses clairement pas aux enfants si tu fais ça.
Au contraire, il n'y a rien de pire pour des enfants que de voir que leurs parents ne s'aiment plus.
Pour avoir connu littéralement la position de l’enfant de divorcé passionnelle et ayant moi même offert le spectacle d’un divorce capricieux à mon enfant j’ai l’entière capacité que c’est une connerie monumentale extrêmement desctructeice pour le gosse.
Et étant également dans la position de l'enfant divorcé (à mes 6 ans), je peux te dire l'extrême inverse. C'est donc au cas par cas.
Ce qu'il en ressort, c'est peut-être alors qu'il est préférable de rester ensemble pour les parents lorsqu'ils s'apprécient encore mais ne s'aiment plus, tout en permettant aux d'eux d'aller voir ailleurs, mais de divorcer lorsqu'ils ne s'entendent vraiment plus ?
Et t'es sur que t'as pas été detruite par les conneries de tes parents ?
Je l'aurais plutôt été si mes parents avaient eu la malheureuse idée de rester ensemble, malgré leurs différends.
Pour te faire une idée, mon père est devenu alcoolique après ma naissance, se mettant boire dans un bar non loin de chez nous toute la nuit et à rentrer complément saoul. Mes parents ont commencé à s'engueuler, mon père à devenir violent, avec moi comme avec ma mère. Puis il a été découvert qu'il avait une affaire puis plusieurs mois, et ils ont divorcé. Après cela, je ne l'ai plus revu.
J'ai peut-être des troubles, mais certainement pas autant que s'ils étaient restés ensembles.
J'ai pas dis que c'etait une mauvaise décision le divorce mais visiblement ça répare rien, bref ça change rien à ce qu'on a dit, il vaut mieux rester ensemble et faire semblant pour elever les enfants que de se séparer
Le 07 janvier 2024 à 01:26:26 :
Le 07 janvier 2024 à 01:24:44 :
Le 07 janvier 2024 à 01:20:49 :
Le 07 janvier 2024 à 01:17:20 :
Le 07 janvier 2024 à 01:14:16 :
> Le 07 janvier 2024 à 01:11:33 :
>> Le 07 janvier 2024 à 01:08:52 :
> >> Le 07 janvier 2024 à 01:06:56 :
> > >>[01:05:40] <Asealis_>
> > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:02:40 :
> > > >>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:02 :
> > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:57:24 :
> > > >> > >Surtout que c'est plus saint de se tapper une escort de temps en temps plutôt que de se frustrer en se branlant sur du porn de plus en plus hard
> > > >> >
> > > >> > Tu peux aussi te branler sans pornographie ; ou, encore mieux, quitter ta femme que tu n'aimes plus. Étonnant, je sais
> > > >>
> > > >> Et abandonner les gosses + rendre ta femme malheureuse.
> > > >>
> > > >> Non, faut mieux se vider une fois par mois jusqu'à la retraite
> > > >
> > > >Tu n'abandonnes pas tes enfants, tu les verras toujours avec la garde partagée, à moins bien sûr que tu ne veuilles plus les voir.
> > > >Et pour ta femme, je ne suis pas convaincu qu'elle préfère se faire tromper continuellement pas son mari, qui ne l'aime plus, plutôt que de refaire sa vie avec quelqu'un qui aurait plus d'affection à son égard, franchement.
> > >
> > > Tu penses clairement pas aux enfants si tu fais ça.
> >
> > Au contraire, il n'y a rien de pire pour des enfants que de voir que leurs parents ne s'aiment plus.
>
> Pour avoir connu littéralement la position de l’enfant de divorcé passionnelle et ayant moi même offert le spectacle d’un divorce capricieux à mon enfant j’ai l’entière capacité que c’est une connerie monumentale extrêmement desctructeice pour le gosse.
Et étant également dans la position de l'enfant divorcé (à mes 6 ans), je peux te dire l'extrême inverse. C'est donc au cas par cas.
Ce qu'il en ressort, c'est peut-être alors qu'il est préférable de rester ensemble pour les parents lorsqu'ils s'apprécient encore mais ne s'aiment plus, tout en permettant aux d'eux d'aller voir ailleurs, mais de divorcer lorsqu'ils ne s'entendent vraiment plus ?
Il te manque un élément, voir les dégâts que ça fait sur ton enfant, car un adulte est bien plus capable d’observer que de s’auto diagnostiqué.
Donc je persiste et signe, oui il vaut mieux créer l’équilibre que l’attendre. Quite a se forcer.
Je ne ferais pas deux fois la même connerie. Encore une fois, la vie c’est pas le monde des bisounours, on n’a pas toujours ce qu’on veux. Sauf qu’aujourd’hui je l’ai compris
ÉDIT : comme tu as dit il faut voir au cas pr cas, biensur que s’il y a violence (verbale ou physique) le divorce est à prescrire
Pour ce sujet on est plutôt d'accord
Je l'admetSur le fait de faire des concessions (dans la limite de l’acceptable) ou de se séparer quoi qu’il en coûte si l’amour n’est plus que l’ombre d’elle même ?
Sur le fait de ce battre pour son couple et de ne aps divorcer
Dans mon couple le divorce n'est même pas une option
Dans ce cas on est effectivement en phase sur ce plan.
La différence est que je ne me ferme pas la porte de cette « compensation » pour y arriver, indépendamment des efforts à faire pour rendre le foyer le plus sain et paisible possible.
(Bien qu’à ce jour je n’ai pas eu besoin d’y recourir)
Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.
Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.
Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !
Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.
Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.
Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais Comment ? dira-t-on. Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.
Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !
C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !
Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.
L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.
Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.
Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :
Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?
Mais, oui.
Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !
Mais puisque je te le dis !
C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?
Oui.
Promets-moi que tu ne me trompes pas ?
Non.
Quoi, non ?
Je ne te trompe pas.
Tu me le jures ?
Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.
Le nœud gordien est là, indénouable.
Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :
Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;
Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…
Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.
J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?
Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.
Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde.
« On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? »
On les garde toutes, monsieur.
Libertinage = Kiffer chacun de son côté pour douche et retour à la normal le soir.
Pas faire des cunis de spermes le débilos.
Tu tournes ça comme tu veux mais de ton propre aveu tu préférerais savoir que ta femme se fait troncher par d’autres types plutôt que de la tromper cucky
Hein ?
Non, je préfère juste faire du libertinage et coucher avec une Française de ma classe sociale et que je pourrai avoir comme collègue plutôt que de me taper en boucle des Colombiennes comme actuellement
C'est juste mon intérêt avant tout.
Ce qui m'attire dans le libertinage, c'est le fait d'une choper une autre meuf avant tout. Une collègue, une fille next-door, les soirées parisiennes que font certains potes avec des canons dont ils profitent.
D'ailleurs, jamais j'irai à une soirée " homme seuls " mais seulement couples perso.
Le 07 janvier 2024 à 01:38:00 :
Le 07 janvier 2024 à 01:26:26 :
Le 07 janvier 2024 à 01:24:44 :
Le 07 janvier 2024 à 01:20:49 :
Le 07 janvier 2024 à 01:17:20 :
> Le 07 janvier 2024 à 01:14:16 :
>> Le 07 janvier 2024 à 01:11:33 :
> >> Le 07 janvier 2024 à 01:08:52 :
> > >> Le 07 janvier 2024 à 01:06:56 :
> > > >>[01:05:40] <Asealis_>
> > > > >> Le 07 janvier 2024 à 01:02:40 :
> > > > >>> Le 07 janvier 2024 à 00:59:02 :
> > > > >> >> Le 07 janvier 2024 à 00:57:24 :
> > > > >> > >Surtout que c'est plus saint de se tapper une escort de temps en temps plutôt que de se frustrer en se branlant sur du porn de plus en plus hard
> > > > >> >
> > > > >> > Tu peux aussi te branler sans pornographie ; ou, encore mieux, quitter ta femme que tu n'aimes plus. Étonnant, je sais
> > > > >>
> > > > >> Et abandonner les gosses + rendre ta femme malheureuse.
> > > > >>
> > > > >> Non, faut mieux se vider une fois par mois jusqu'à la retraite
> > > > >
> > > > >Tu n'abandonnes pas tes enfants, tu les verras toujours avec la garde partagée, à moins bien sûr que tu ne veuilles plus les voir.
> > > > >Et pour ta femme, je ne suis pas convaincu qu'elle préfère se faire tromper continuellement pas son mari, qui ne l'aime plus, plutôt que de refaire sa vie avec quelqu'un qui aurait plus d'affection à son égard, franchement.
> > > >
> > > > Tu penses clairement pas aux enfants si tu fais ça.
> > >
> > > Au contraire, il n'y a rien de pire pour des enfants que de voir que leurs parents ne s'aiment plus.
> >
> > Pour avoir connu littéralement la position de l’enfant de divorcé passionnelle et ayant moi même offert le spectacle d’un divorce capricieux à mon enfant j’ai l’entière capacité que c’est une connerie monumentale extrêmement desctructeice pour le gosse.
>
> Et étant également dans la position de l'enfant divorcé (à mes 6 ans), je peux te dire l'extrême inverse. C'est donc au cas par cas.
>
> Ce qu'il en ressort, c'est peut-être alors qu'il est préférable de rester ensemble pour les parents lorsqu'ils s'apprécient encore mais ne s'aiment plus, tout en permettant aux d'eux d'aller voir ailleurs, mais de divorcer lorsqu'ils ne s'entendent vraiment plus ?
Il te manque un élément, voir les dégâts que ça fait sur ton enfant, car un adulte est bien plus capable d’observer que de s’auto diagnostiqué.
Donc je persiste et signe, oui il vaut mieux créer l’équilibre que l’attendre. Quite a se forcer.
Je ne ferais pas deux fois la même connerie. Encore une fois, la vie c’est pas le monde des bisounours, on n’a pas toujours ce qu’on veux. Sauf qu’aujourd’hui je l’ai compris
ÉDIT : comme tu as dit il faut voir au cas pr cas, biensur que s’il y a violence (verbale ou physique) le divorce est à prescrire
Pour ce sujet on est plutôt d'accord
Je l'admetSur le fait de faire des concessions (dans la limite de l’acceptable) ou de se séparer quoi qu’il en coûte si l’amour n’est plus que l’ombre d’elle même ?
Sur le fait de ce battre pour son couple et de ne aps divorcer
Dans mon couple le divorce n'est même pas une optionDans ce cas on est effectivement en phase sur ce plan.
La différence est que je ne me ferme pas la porte de cette « compensation » pour y arriver, indépendamment des efforts à faire pour rendre le foyer le plus sain et paisible possible.
(Bien qu’à ce jour je n’ai pas eu besoin d’y recourir)
Et c'est bien dommage de ne pas fermer cette porte car en l'ouvrant tu fais rentrer beaucoup de mauvaise chose dans ton couple
Le 07 janvier 2024 à 01:39:10 :
Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.
Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !
Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.
Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.
Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.
Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.
Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais Comment ? dira-t-on. Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.
Alors commence la chaîne.
Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.
Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !
C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !
Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.
L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.
Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.
Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :
Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?Mais, oui.
Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !
Mais puisque je te le dis !
C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?
Oui.
Promets-moi que tu ne me trompes pas ?
Non.
Quoi, non ?
Je ne te trompe pas.
Tu me le jures ?
Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.
Le nœud gordien est là, indénouable.
Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :
Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;
Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…
Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.
J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?
Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.
Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde.
« On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? »
On les garde toutes, monsieur.
C'est beau putain, meme si j'ai lu que le debut
Le 07 janvier 2024 à 01:40:40 :
Acceptable une fois par an aller aux putes en Allemagne. Ça doit permettre d'assurer la pérennité dans un couple.
La prostitution sauve des couples
Parcontre cité Maupassant avec un post de 8 page c’était pas très utile.
Surtout qu’il dit pas mal de merde.
M’enfin à a le mérite d’être agréable à lire.
satisfaite, que la beauté a des >manifestations sans nombre, que le >charme de la vie est dans le changement >et la variété.
Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !
C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !
Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.
L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.
Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.
Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :
Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?Mais, oui.
Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !
Mais puisque je te le dis !
C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?
Oui.
Promets-moi que tu ne me trompes pas ?
Non.
Quoi, non ?
Je ne te trompe pas.
Tu me le jures ?
Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.
Le nœud gordien est là, indénouable.
Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :
Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;
Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…
Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.
J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?
Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.
Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde.
« On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? »
On les garde toutes, monsieur.
Un décadent qui a écrit ça sûrement
Le 07 janvier 2024 à 01:42:45 :
Le 07 janvier 2024 à 01:40:40 :
Acceptable une fois par an aller aux putes en Allemagne. Ça doit permettre d'assurer la pérennité dans un couple.La prostitution sauve des couples
Dans tes rêves ou tes Disney chelou j'imagine
Pas dans la réalité
Données du topic
- Auteur
- Nancy_Reyes6
- Date de création
- 6 janvier 2024 à 23:15:05
- Date de suppression
- 8 janvier 2024 à 09:20:00
- Supprimé par
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