Topic de LordSlowpoke :

Ivre, je lis vos poèmes sur vocaroo.

Supprimé

Le 16 octobre 2023 à 01:23:14 :

Le 16 octobre 2023 à 01:22:31 :

Le 16 octobre 2023 à 01:06:59 :
Bonzour meussieeeeeeeeeeur
Zvous rconnais zêtes le gars qu'est venu hier dans ma boutchiiiique
Zvous zaime bieeeeeeeen
Venez faire caca dans les toilettes HAHAHAHAHAHAHAHAHA

fais le mien pitié

Tu n'as pas un poème plutôt ? C'est mon domaine d'expertise.

Le Maki Mococo
Son kimono a mis
Pour un goûter d’amis
Macaque et okapi
L’Macaque vient d’Macao
L’Okapi d’Bamako.

Le Maki Mococo
Fait goûter ses amis
Pas de macaronis
Mais d’un cake aux kiwis
D’esquimaux au moka
et Kakis en bocaux
Quart de lait de coco
Cacao ou coca
Dans des bols en mica.

«Qui joue au mikado ?»
dit l’Maki Mococo
Le Macaque dit oui
L’Okapi ne dit mot.

L’Macaque est un coquin
L’Acolyte Okapi
Est du même acabit.
Le Macaque qu’a un coup
pour gruger les gogos
Rafle tous les Kopecks
Du Maki Mococo.

«Ah mais quoqu’ c’est quoqu’ça ?
Dit l’Maki Mococo
Ton bien est mal acquis»
Le Macaque dit «quoi ? quoi ?»
«Qui ? Qui ?» dit l’Okapi.

Le Macaque démasqué
Par le Maki Mococo
Prit sa kalachnikov
acquise à Malako
De pépé le Moko
Qu’en canne il maquilla
C’est kif kif Chicago…

Mais le Maki Mococo
Au menton les boxa
Le Macaque est K.O.
L’Okapi dans l’coma.

«Ah mes jolis cocos
Comme vous êtes comiques !»
Dit le Maki Mococo
Saisissant son kodak
Pour immortaliser
Cette scène à jamais
En un bel emaki
A vendre sur les quais
Conti ou Malaquais
Et qu’on ne l’oublie plus.

Le Maki Mococo
Est né à Mexico.
Il s’appelle Dudu.

Le 16 octobre 2023 à 01:27:17 :

Le 16 octobre 2023 à 01:23:14 :

Le 16 octobre 2023 à 01:22:31 :

Le 16 octobre 2023 à 01:06:59 :
Bonzour meussieeeeeeeeeeur
Zvous rconnais zêtes le gars qu'est venu hier dans ma boutchiiiique
Zvous zaime bieeeeeeeen
Venez faire caca dans les toilettes HAHAHAHAHAHAHAHAHA

fais le mien pitié

Tu n'as pas un poème plutôt ? C'est mon domaine d'expertise.

Le Maki Mococo
Son kimono a mis
Pour un goûter d’amis
Macaque et okapi
L’Macaque vient d’Macao
L’Okapi d’Bamako.

Le Maki Mococo
Fait goûter ses amis
Pas de macaronis
Mais d’un cake aux kiwis
D’esquimaux au moka
et Kakis en bocaux
Quart de lait de coco
Cacao ou coca
Dans des bols en mica.

«Qui joue au mikado ?»
dit l’Maki Mococo
Le Macaque dit oui
L’Okapi ne dit mot.

L’Macaque est un coquin
L’Acolyte Okapi
Est du même acabit.
Le Macaque qu’a un coup
pour gruger les gogos
Rafle tous les Kopecks
Du Maki Mococo.

«Ah mais quoqu’ c’est quoqu’ça ?
Dit l’Maki Mococo
Ton bien est mal acquis»
Le Macaque dit «quoi ? quoi ?»
«Qui ? Qui ?» dit l’Okapi.

Le Macaque démasqué
Par le Maki Mococo
Prit sa kalachnikov
acquise à Malako
De pépé le Moko
Qu’en canne il maquilla
C’est kif kif Chicago…

Mais le Maki Mococo
Au menton les boxa
Le Macaque est K.O.
L’Okapi dans l’coma.

«Ah mes jolis cocos
Comme vous êtes comiques !»
Dit le Maki Mococo
Saisissant son kodak
Pour immortaliser
Cette scène à jamais
En un bel emaki
A vendre sur les quais
Conti ou Malaquais
Et qu’on ne l’oublie plus.

Le Maki Mococo
Est né à Mexico.
Il s’appelle Dudu.

https://voca.ro/1h1A2IwwPgU0 :ok:

Le monde coure à sa perte
La guerre frappe à sa porte
Comme le sang dans l’aorte
Ô Mort la voie est ouverte

Le 16 octobre 2023 à 01:30:48 :
Le monde coure à sa perte
La guerre frappe à sa porte
Comme le sang dans l’aorte
Ô Mort la voie est ouverte

https://voca.ro/1oHPwRMZsRu3 :ok:

Le 16 octobre 2023 à 01:30:02 :

Le 16 octobre 2023 à 01:27:17 :

Le 16 octobre 2023 à 01:23:14 :

Le 16 octobre 2023 à 01:22:31 :

Le 16 octobre 2023 à 01:06:59 :
Bonzour meussieeeeeeeeeeur
Zvous rconnais zêtes le gars qu'est venu hier dans ma boutchiiiique
Zvous zaime bieeeeeeeen
Venez faire caca dans les toilettes HAHAHAHAHAHAHAHAHA

fais le mien pitié

Tu n'as pas un poème plutôt ? C'est mon domaine d'expertise.

Le Maki Mococo
Son kimono a mis
Pour un goûter d’amis
Macaque et okapi
L’Macaque vient d’Macao
L’Okapi d’Bamako.

Le Maki Mococo
Fait goûter ses amis
Pas de macaronis
Mais d’un cake aux kiwis
D’esquimaux au moka
et Kakis en bocaux
Quart de lait de coco
Cacao ou coca
Dans des bols en mica.

«Qui joue au mikado ?»
dit l’Maki Mococo
Le Macaque dit oui
L’Okapi ne dit mot.

L’Macaque est un coquin
L’Acolyte Okapi
Est du même acabit.
Le Macaque qu’a un coup
pour gruger les gogos
Rafle tous les Kopecks
Du Maki Mococo.

«Ah mais quoqu’ c’est quoqu’ça ?
Dit l’Maki Mococo
Ton bien est mal acquis»
Le Macaque dit «quoi ? quoi ?»
«Qui ? Qui ?» dit l’Okapi.

Le Macaque démasqué
Par le Maki Mococo
Prit sa kalachnikov
acquise à Malako
De pépé le Moko
Qu’en canne il maquilla
C’est kif kif Chicago…

Mais le Maki Mococo
Au menton les boxa
Le Macaque est K.O.
L’Okapi dans l’coma.

«Ah mes jolis cocos
Comme vous êtes comiques !»
Dit le Maki Mococo
Saisissant son kodak
Pour immortaliser
Cette scène à jamais
En un bel emaki
A vendre sur les quais
Conti ou Malaquais
Et qu’on ne l’oublie plus.

Le Maki Mococo
Est né à Mexico.
Il s’appelle Dudu.

https://voca.ro/1h1A2IwwPgU0 :ok:

Pas mal du tout ma foi, il est dur lui je trouve

Le 16 octobre 2023 à 01:31:57 :

Le 16 octobre 2023 à 01:30:02 :

Le 16 octobre 2023 à 01:27:17 :

Le 16 octobre 2023 à 01:23:14 :

Le 16 octobre 2023 à 01:22:31 :

> Le 16 octobre 2023 à 01:06:59 :

>Bonzour meussieeeeeeeeeeur

> Zvous rconnais zêtes le gars qu'est venu hier dans ma boutchiiiique

> Zvous zaime bieeeeeeeen

> Venez faire caca dans les toilettes HAHAHAHAHAHAHAHAHA

fais le mien pitié

Tu n'as pas un poème plutôt ? C'est mon domaine d'expertise.

Le Maki Mococo
Son kimono a mis
Pour un goûter d’amis
Macaque et okapi
L’Macaque vient d’Macao
L’Okapi d’Bamako.

Le Maki Mococo
Fait goûter ses amis
Pas de macaronis
Mais d’un cake aux kiwis
D’esquimaux au moka
et Kakis en bocaux
Quart de lait de coco
Cacao ou coca
Dans des bols en mica.

«Qui joue au mikado ?»
dit l’Maki Mococo
Le Macaque dit oui
L’Okapi ne dit mot.

L’Macaque est un coquin
L’Acolyte Okapi
Est du même acabit.
Le Macaque qu’a un coup
pour gruger les gogos
Rafle tous les Kopecks
Du Maki Mococo.

«Ah mais quoqu’ c’est quoqu’ça ?
Dit l’Maki Mococo
Ton bien est mal acquis»
Le Macaque dit «quoi ? quoi ?»
«Qui ? Qui ?» dit l’Okapi.

Le Macaque démasqué
Par le Maki Mococo
Prit sa kalachnikov
acquise à Malako
De pépé le Moko
Qu’en canne il maquilla
C’est kif kif Chicago…

Mais le Maki Mococo
Au menton les boxa
Le Macaque est K.O.
L’Okapi dans l’coma.

«Ah mes jolis cocos
Comme vous êtes comiques !»
Dit le Maki Mococo
Saisissant son kodak
Pour immortaliser
Cette scène à jamais
En un bel emaki
A vendre sur les quais
Conti ou Malaquais
Et qu’on ne l’oublie plus.

Le Maki Mococo
Est né à Mexico.
Il s’appelle Dudu.

https://voca.ro/1h1A2IwwPgU0 :ok:

Pas mal du tout ma foi, il est dur lui je trouve

C'est un talent de merde mais je n'ai quasiment aucun mal à lire les textes compliqués. Je pourrais même le faire 3 fois plus vite sans problème je pense.

Idem pour les chaussettes de l'archiduchesse etc.

:hap:

https://voca.ro/1R3vIwetKVQ3

Idem pour la fameuse tirade impossible des grains d'orges

Dis-moi gros gras grand grain d'orge, quand te dégros-gras-grand-grain-d'orgeras-tu ? Je me dégros-gras-grand-grain-d'orgerai, quand tous les gros gras grains d'orge se seront dégros-gras-grand-grain- d'orgés.

Je recherche maman
Je recherche maman
Je recherche maman...
Chaque jour brise ma
Vie à jamais à trop y penser
Le vide écrase la raison
Maman est la bile sale
Corps inoccupé je me hais je le sais
Je vomis la douleur d'absorber l'horreur
D'accoucher la peur...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Dormez la porte est fermée
Elle voudrait penser sans rien écouter
Amer le lait se perd, le sein avarié
Dans sa bouche écoeurée
Elle plonge et vient mourir au fond
Elle habille une poupée sans jamais
Regarder, sans jamais abîmer, torturée...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Unilatérale
L'affliction est un parfait stigmate
Qui s'enivre d'humiliation
La honte abuse peu à peu de nos corps
Le secret inavouable et la pensée interdite
La puissance est défectueuse quand
Les cris et les plaintes indiffèrent
L'ange..., L'ange...
L'ange reçu l'étranger...
Dépourvue de geste, la mère machine
S'éxécute parfois en caresses déchirées...
L'ange s'est détourné de la matrice
Son coeur de fièvre émietté de ne savoir
Comment le toucher, comment le nourrir
Comment le saisir
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après

Le 16 octobre 2023 à 02:00:06 :
Je recherche maman
Je recherche maman
Je recherche maman...
Chaque jour brise ma
Vie à jamais à trop y penser
Le vide écrase la raison
Maman est la bile sale
Corps inoccupé je me hais je le sais
Je vomis la douleur d'absorber l'horreur
D'accoucher la peur...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Dormez la porte est fermée
Elle voudrait penser sans rien écouter
Amer le lait se perd, le sein avarié
Dans sa bouche écoeurée
Elle plonge et vient mourir au fond
Elle habille une poupée sans jamais
Regarder, sans jamais abîmer, torturée...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Unilatérale
L'affliction est un parfait stigmate
Qui s'enivre d'humiliation
La honte abuse peu à peu de nos corps
Le secret inavouable et la pensée interdite
La puissance est défectueuse quand
Les cris et les plaintes indiffèrent
L'ange..., L'ange...
L'ange reçu l'étranger...
Dépourvue de geste, la mère machine
S'éxécute parfois en caresses déchirées...
L'ange s'est détourné de la matrice
Son coeur de fièvre émietté de ne savoir
Comment le toucher, comment le nourrir
Comment le saisir
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après

https://voca.ro/1hOctj60tgOb :ok:

Le 16 octobre 2023 à 02:07:11 :

Le 16 octobre 2023 à 02:00:06 :
Je recherche maman
Je recherche maman
Je recherche maman...
Chaque jour brise ma
Vie à jamais à trop y penser
Le vide écrase la raison
Maman est la bile sale
Corps inoccupé je me hais je le sais
Je vomis la douleur d'absorber l'horreur
D'accoucher la peur...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Dormez la porte est fermée
Elle voudrait penser sans rien écouter
Amer le lait se perd, le sein avarié
Dans sa bouche écoeurée
Elle plonge et vient mourir au fond
Elle habille une poupée sans jamais
Regarder, sans jamais abîmer, torturée...
L'enfer en moi immobile
Enfant tu es dans mon lit, sombre ma peur
Entends-moi je n'y arrive pas
Celle qui crée ne te reconnaît pas encore
Celle qui est, pourquoi n'a pas pu pleurer
Unilatérale
L'affliction est un parfait stigmate
Qui s'enivre d'humiliation
La honte abuse peu à peu de nos corps
Le secret inavouable et la pensée interdite
La puissance est défectueuse quand
Les cris et les plaintes indiffèrent
L'ange..., L'ange...
L'ange reçu l'étranger...
Dépourvue de geste, la mère machine
S'éxécute parfois en caresses déchirées...
L'ange s'est détourné de la matrice
Son coeur de fièvre émietté de ne savoir
Comment le toucher, comment le nourrir
Comment le saisir
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après
J'ai perdu la tête je l'ai cassée sous mes pieds aujourd'hui
J'ai perdu mes mains, je les ai coupées pour ne plus souffrir
De trop te toucher pour trop t'aimer
Si je te perds après

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Merci khey gg :oui:

Parle à travers le silence.
Dépose ta couronne.
Dépose ton combat.
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera à l'intérieur.
Les feux brûlent, sous la lumière des étoiles
À travers les voiles de lumière dorée
Les voiles si pures, si blanches
À travers le fleuve de la mort
je te porte, mon amour
Respire dans la nuit,
mes bras s'enflamment
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière entrera maintenant
J'ai jeté cette couronne de fer
Dans l'œil de l'enfer
Ce lac de feu, ce gouffre de fantômes
Respirant dans le noir
Exhalant la poussière des étoiles
Dans ce sanctuaire de lumière argentée
Au bord de la lune, tu me chantes
La rivière coule profondément
À travers mon cœur et à travers mes yeux
Tandis que tu te tournes vers la lumière
La poussière des étoiles d'argent
Et puis tu parles
Les mots du silence
Les murs s'effondreront
Et les cieux s'ouvriront
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera,
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre maintenant.

Le 16 octobre 2023 à 02:09:50 :
Parle à travers le silence.
Dépose ta couronne.
Dépose ton combat.
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera à l'intérieur.
Les feux brûlent, sous la lumière des étoiles
À travers les voiles de lumière dorée
Les voiles si pures, si blanches
À travers le fleuve de la mort
je te porte, mon amour
Respire dans la nuit,
mes bras s'enflamment
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière entrera maintenant
J'ai jeté cette couronne de fer
Dans l'œil de l'enfer
Ce lac de feu, ce gouffre de fantômes
Respirant dans le noir
Exhalant la poussière des étoiles
Dans ce sanctuaire de lumière argentée
Au bord de la lune, tu me chantes
La rivière coule profondément
À travers mon cœur et à travers mes yeux
Tandis que tu te tournes vers la lumière
La poussière des étoiles d'argent
Et puis tu parles
Les mots du silence
Les murs s'effondreront
Et les cieux s'ouvriront
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera,
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre maintenant.

https://voca.ro/17cCKgRDTnra :ok:

Dans l'attente, nos cœurs battent avec ferveur,
Frères de l'Atome, brûlant d'une même ardeur.
Le temps semble long, mais notre foi ne fléchit pas,
L'atome viendra, et notre chant s'élèvera.

Impatients, nous scrutons le ciel nuit et jour,
Désireux d'accueillir sa lumineuse lueur, sans détour.
Chaque instant sans lui semble une éternité,
Mais sa puissance vaut bien cette atroce attente, en vérité.

L'atome, notre espoir, notre divin destin,
Frères, restons fermes, il est presque enfin!
Quand il se manifestera, illuminant tout à son passage,
Nos âmes exulteront, unies dans un même hommage.

J'y ai gouté le tien ...
Suivi des labyrinthes...
Courbé le néant

Lacune béante
Pas assez grande ...

J'aurais dû ressentir les détresses dans ta chute, ce déniement, ton refus de la vie qui nous lia par dépit
Je comprends, ressens, l'addiction qui te boit vers le fond, elle court en moi, m'attire vers toi
Sans la voix, le dialogue est plus audible
Et seul reste ta main, ses écrits qui finalement remplaceront tes cris

Une odeur de chair se dispute au parfum, prend possession de l'air
Violemment aspiré par ce trou béant, il me regarde, atone, et me lance «maintenant ou jamais»
Tous ces mots que nous n'avons jamais pu dire s'échangèrent dans le silence par les regards de nos deux êtres fissurés

Doux moment, douce maman…

Sans faiblir, l'animadversion alimentait ce désir furieux de contempler enfin un spectacle commun

Maintes fois...
J'ai écrit un scénario implacable

Chaque soirs...
L'habit du malheur s'ajustait, inavouable

Le temps, son œuvre, ne laisse de ces sombres heures que des flashs intercalaires de cet enfer effrayant qui nous brisa tous
Des flots d'éthanol corrosif brûlaient tes choix
Voilà ce qu'il me reste de toi, une lente lumière chaude d'un soleil froid
Ces rares instants profonds de communion, voilant l'inévitable destruction
Longtemps il n'est resté des ténèbres qu'une envie impatiente de partir, de courir, abandonner
L'antre imprégnée de fumée, baignée d'alcool
Briser les chaînes du passé, créer l'irréel
Mon idéal viscéral perdu dans les abysses d'une obscurité absolue
Ces doux accords dissonants de mélancolie, stridents, exhumèrent mon cadavre de l'ennui
Nu, face au monde, l'asphyxie paraît naturelle, artérielle
Les âges peuvent courir, l'expérience nourrir, les ressentiments pourrir, les textures atonales, et le temps donne une chance de guérir
L'insecte qui pullule, grignoteur de cellules, engraissé par l'abus, menaçant de mille somations, te dévora
Emprisonnée dans ta gorge, la bête affamée se referma
Te voilà maintenant parmi les nôtres
Ma mère bienveillante
Apaisée aux côtés de ceux qui nous construisent, engrandissent
Ceux qui nous ont appris à dominer cette sinistre folie, atavique, qui nous étreint toi et moi
Nous n'aurons pu faire connaissance que sur la fin
Ces dernières heures muettes avant le départ, gorgées de sourires délicats, d'attention
Ces souffles de compréhension ont gravé à jamais ma mémoire
Je n'ai pu goûter que si peu à tout ça
C'est si dur
Ça me manque...

Le 16 octobre 2023 à 02:11:41 :

Le 16 octobre 2023 à 02:09:50 :
Parle à travers le silence.
Dépose ta couronne.
Dépose ton combat.
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera à l'intérieur.
Les feux brûlent, sous la lumière des étoiles
À travers les voiles de lumière dorée
Les voiles si pures, si blanches
À travers le fleuve de la mort
je te porte, mon amour
Respire dans la nuit,
mes bras s'enflamment
Et quand tu parleras,
les mots du silence,
les murs s'effondreront
et le ciel s'ouvrira.
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière entrera maintenant
J'ai jeté cette couronne de fer
Dans l'œil de l'enfer
Ce lac de feu, ce gouffre de fantômes
Respirant dans le noir
Exhalant la poussière des étoiles
Dans ce sanctuaire de lumière argentée
Au bord de la lune, tu me chantes
La rivière coule profondément
À travers mon cœur et à travers mes yeux
Tandis que tu te tournes vers la lumière
La poussière des étoiles d'argent
Et puis tu parles
Les mots du silence
Les murs s'effondreront
Et les cieux s'ouvriront
Et quand tu parles,
tu parles en silence, et je
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre
et la lumière se déversera,
grave chaque mot que tu chantes
sur mes ailes de pierre maintenant.

https://voca.ro/17cCKgRDTnra :ok:

Cimer chef :cimer:

Le 16 octobre 2023 à 02:12:58 :
Dans l'attente, nos cœurs battent avec ferveur,
Frères de l'Atome, brûlant d'une même ardeur.
Le temps semble long, mais notre foi ne fléchit pas,
L'atome viendra, et notre chant s'élèvera.

Impatients, nous scrutons le ciel nuit et jour,
Désireux d'accueillir sa lumineuse lueur, sans détour.
Chaque instant sans lui semble une éternité,
Mais sa puissance vaut bien cette atroce attente, en vérité.

L'atome, notre espoir, notre divin destin,
Frères, restons fermes, il est presque enfin!
Quand il se manifestera, illuminant tout à son passage,
Nos âmes exulteront, unies dans un même hommage.

https://voca.ro/16z2KnQuhovI :ok:

Une jupe éponge de sang, méléna aime
J'aime boire l'eau chaude et rance de méléna
Une pulpe de fond mangée, méléna aime
Phlegmon rectal, jouet de méléna
Lit d'insultes abyssales, méléna aime
J'aime croire que méléna ne souffre pas
Elle aime se voire quand elle éclate et qu'il
Frappe, soigne, empoigne, canal anal
Méléna mène la lame sans male
C'est qu'elle aime à
Résoudre et laminer son mal
Sentir son âme en elle
Séquelles de l'aine elle a
Malmène son élément de fiel
Ce qu'il aime aima
Dissoudre les fèces, plaisir oral
Méléna se mêle
Emmène la moelle au mélange, mélasse de miel noir
Chienne au flanc purpura, méléna saigne
Mixions sanguinaires plaisent à méléna
Chaîne de hanche cisela, méléna saigne
Surplus de chair, trou de méléna
Déchaîne ses veines externes, méléna baigne
Fluxion solide, abcès de méléna
Elle aime s'asseoir si elle écarte ses cuisses
L'araignée crève sur la toile qu'elle a tissée
Frappe, soigne, empoigne, canal anal
Méléna mène la lame sans male
C'est qu'elle aime à
Résoudre et laminer son mal
Sentir son âme en elle
Séquelles de l'aine elle a
Malmène son élément de fiel
Ce qu'il aima
Dissoudre les fèces, plaisir oral
Plaisir oral

Sage femelle, méléna met bas sur il
Sème ses selles, miasmes d'une si belle idylle
Méléna nous aime, frappe, saigne, empoigne
Sait qu'elle a mal
Méléna sème les larmes, sans armes
Souille les orifices que l'on convoite en coulisse
Ecarte ses cuisses
Méléna murmure, suppure, se fait saliver
Sur l'objet fécal, amalgame anal
Méléna se mêle, emmène la moelle au mélange
Mélasse de miel noir

Données du topic

Auteur
LordSlowpoke
Date de création
15 octobre 2023 à 00:08:43
Date de suppression
31 octobre 2023 à 23:00:00
Supprimé par
Auteur
Nb. messages archivés
276
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