Ivre, je lis vos poèmes sur vocaroo.
SuppriméON CES PA
Le 18 octobre 2023 à 00:42:40 :
ok je ver ecrire un poem de les sendwichsendwich
delisieu avec le suplemen
creme freche evidemen
je te ven a mes clien
mes ces des con jamer conten
Le 18 octobre 2023 à 00:45:53 :
Le 18 octobre 2023 à 00:42:40 :
ok je ver ecrire un poem de les sendwichsendwich
delisieu avec le suplemen
creme freche evidemen
je te ven a mes clien
mes ces des con jamer conten
ok ces parfer
je sui conqi
clien conqi ? -> clien ravi
Le 18 octobre 2023 à 00:46:56 :
Le 18 octobre 2023 à 00:45:53 :
Le 18 octobre 2023 à 00:42:40 :
ok je ver ecrire un poem de les sendwichsendwich
delisieu avec le suplemen
creme freche evidemen
je te ven a mes clien
mes ces des con jamer contenok ces parfer
je sui conqiclien conqi ? -> clien ravi
De rien mon ami passe une bonne soirée si tu as d'autres poèmes n'hésites pas
Un poème que j'avais écrit en 15 minutes pour le fun :
Croix
Tu es le cupidon malin
De ces lignes froides et droites
Qui, brisant leur course sans fin,
Se perdent dans ta forme adroite.Au croisement de l'impossible,
Des hommes et des destinées,
Je te trouve au coeur de la cible
En héraldique suranné.Tu sièges sur l'autel chrétien,
Sur les charniers en swatiska,
Des idées des pieux, des païens,
Tu n'es que le creu reliquat.
Le 18 octobre 2023 à 00:49:22 :
Un poème que j'avais écrit en 15 minutes pour le fun :Croix
Tu es le cupidon malin
De ces lignes froides et droites
Qui, brisant leur course sans fin,
Se perdent dans ta forme adroite.Au croisement de l'impossible,
Des hommes et des destinées,
Je te trouve au coeur de la cible
En héraldique suranné.Tu sièges sur l'autel chrétien,
Sur les charniers en swatiska,
Des idées des pieux, des païens,
Tu n'es que le creu reliquat.
ces pa a la oteur desoler
Un autre poème que j'ai écrit, il est long mais je l'ai écrit pour sa sonorité et uniquement pour ça, vu qu'il n'a pas de sens :
L’Orchestre
Dans le parc, opéra enchanté mais sans toit,
Par son rideau pendu au-dessus de l'eau pure,
Le saule attend qu'au banc je m'abaisse et m'assois
Pour me dévoiler l'air de la quiète nature.Guidé par le soleil, j'aperçois cet autre arbre,
Chef d'orchestre impassible aux baguettes par cent,
Qui étend sur sa troupe endormie dans le marbre
Ses milliers de doigts d'or agiles et puissants.La mesure battue au sein du sycomore
Confère à la fontaine un rythme pour l'archet
Et ce violon blanc décoche un trait sonore
Dans l'eau où le ténor fait danser les rochers.Aux canards dont l'ample aile est de l'air la cymbale,
Au roulement discret des mots des promeneurs
Qui couvre l'assemblée d'une grave chorale,
Le souffle d'une basse offre corps et teneur :C'est le vent qui renait, roule, berce, et balaie,
Perce le coffre clôt par les burles fatales,
Au bourgeon juste éclot, au nez et au palais,
Il apporte pollen, parfum, perles, pétales.Cependant droit au creux de mon oreille en fête,
Lancinante, perçante ainsi qu'un mauvais rêve,
Une vieillarde aigrie, bourgeoise insatisfaite,
Bourdonne, geint, se plaint, et mon plaisir achève.Ah ! En effet hélas pullule tant de foule
Quand tinte au sein des bals quelque fin musicien :
Foulques de Hamelin se fondant dans le moule,
Philistins au balcon avec les béotiens !Agacé du rappel que l'être humain existe,
Je racle d'un regard l'assistance à côté
Mais la course des yeux comme contre du schiste
Se brise de stupeur face à une beauté :Une femme apparait dans un sublime faste ;
La parapet rouillé où son buste s'appuie
Donne aux atours rayés l'identique contraste
Qu'évoque un diamant qui brille au fond d'un puit.Elle emplit du concert l'abysse de ses yeux
Dans lesquels le son plonge et infuse d'iambes
Tout son corps qui apporte à ses gracieuses jambes
La danse d'une épeire au bout d'un fil soyeux.Je la dévore à vue si bien que mon regard
Est le fardeau d'Atlas sur ses frêles épaules :
Elle se tourne alors puis me voit sous mon saule,
Puis d'un sourire - éclat ! - me foudroie tout hagard.Son visage amusé se penche d'indolence.
Confus, je baisse l'œil, mais en le remontant,
La voilà envolée, elle brille d'absence !
Je la cherche endeuillé, ne trouve qu'un néant :L'orchestre s'était mu en un lieu silencieux,
Dans l'infime seconde où je l'ai admirée
Une heure avait coulé, vidé de son les cieux,
D'elle n'avait laissé que sa soie déchirée.À peine récoltée qu'un souffle de Carnyx
Confère au parc un toit, balaie ma satiété.
Il m'enjoint de laisser ce lieu sacré à Nyx
Et me rappelle hélas à notre société.
Le 18 octobre 2023 à 00:49:22 :
Un poème que j'avais écrit en 15 minutes pour le fun :Croix
Tu es le cupidon malin
De ces lignes froides et droites
Qui, brisant leur course sans fin,
Se perdent dans ta forme adroite.Au croisement de l'impossible,
Des hommes et des destinées,
Je te trouve au coeur de la cible
En héraldique suranné.Tu sièges sur l'autel chrétien,
Sur les charniers en swatiska,
Des idées des pieux, des païens,
Tu n'es que le creu reliquat.
Le 18 octobre 2023 à 00:52:16 :
Le 18 octobre 2023 à 00:49:22 :
Un poème que j'avais écrit en 15 minutes pour le fun :Croix
Tu es le cupidon malin
De ces lignes froides et droites
Qui, brisant leur course sans fin,
Se perdent dans ta forme adroite.Au croisement de l'impossible,
Des hommes et des destinées,
Je te trouve au coeur de la cible
En héraldique suranné.Tu sièges sur l'autel chrétien,
Sur les charniers en swatiska,
Des idées des pieux, des païens,
Tu n'es que le creu reliquat.
Le 18 octobre 2023 à 00:53:45 :
Le 18 octobre 2023 à 00:52:16 :
Le 18 octobre 2023 à 00:49:22 :
Un poème que j'avais écrit en 15 minutes pour le fun :Croix
Tu es le cupidon malin
De ces lignes froides et droites
Qui, brisant leur course sans fin,
Se perdent dans ta forme adroite.Au croisement de l'impossible,
Des hommes et des destinées,
Je te trouve au coeur de la cible
En héraldique suranné.Tu sièges sur l'autel chrétien,
Sur les charniers en swatiska,
Des idées des pieux, des païens,
Tu n'es que le creu reliquat.
J'ai buté dezux trois fois sur le deuxième mais ça arrive, je refait.
Le 18 octobre 2023 à 00:51:44 :
Un autre poème que j'ai écrit, il est long mais je l'ai écrit pour sa sonorité et uniquement pour ça, vu qu'il n'a pas de sens :L’Orchestre
Dans le parc, opéra enchanté mais sans toit,
Par son rideau pendu au-dessus de l'eau pure,
Le saule attend qu'au banc je m'abaisse et m'assois
Pour me dévoiler l'air de la quiète nature.Guidé par le soleil, j'aperçois cet autre arbre,
Chef d'orchestre impassible aux baguettes par cent,
Qui étend sur sa troupe endormie dans le marbre
Ses milliers de doigts d'or agiles et puissants.La mesure battue au sein du sycomore
Confère à la fontaine un rythme pour l'archet
Et ce violon blanc décoche un trait sonore
Dans l'eau où le ténor fait danser les rochers.Aux canards dont l'ample aile est de l'air la cymbale,
Au roulement discret des mots des promeneurs
Qui couvre l'assemblée d'une grave chorale,
Le souffle d'une basse offre corps et teneur :C'est le vent qui renait, roule, berce, et balaie,
Perce le coffre clôt par les burles fatales,
Au bourgeon juste éclot, au nez et au palais,
Il apporte pollen, parfum, perles, pétales.Cependant droit au creux de mon oreille en fête,
Lancinante, perçante ainsi qu'un mauvais rêve,
Une vieillarde aigrie, bourgeoise insatisfaite,
Bourdonne, geint, se plaint, et mon plaisir achève.Ah ! En effet hélas pullule tant de foule
Quand tinte au sein des bals quelque fin musicien :
Foulques de Hamelin se fondant dans le moule,
Philistins au balcon avec les béotiens !Agacé du rappel que l'être humain existe,
Je racle d'un regard l'assistance à côté
Mais la course des yeux comme contre du schiste
Se brise de stupeur face à une beauté :Une femme apparait dans un sublime faste ;
La parapet rouillé où son buste s'appuie
Donne aux atours rayés l'identique contraste
Qu'évoque un diamant qui brille au fond d'un puit.Elle emplit du concert l'abysse de ses yeux
Dans lesquels le son plonge et infuse d'iambes
Tout son corps qui apporte à ses gracieuses jambes
La danse d'une épeire au bout d'un fil soyeux.Je la dévore à vue si bien que mon regard
Est le fardeau d'Atlas sur ses frêles épaules :
Elle se tourne alors puis me voit sous mon saule,
Puis d'un sourire - éclat ! - me foudroie tout hagard.Son visage amusé se penche d'indolence.
Confus, je baisse l'œil, mais en le remontant,
La voilà envolée, elle brille d'absence !
Je la cherche endeuillé, ne trouve qu'un néant :L'orchestre s'était mu en un lieu silencieux,
Dans l'infime seconde où je l'ai admirée
Une heure avait coulé, vidé de son les cieux,
D'elle n'avait laissé que sa soie déchirée.À peine récoltée qu'un souffle de Carnyx
Confère au parc un toit, balaie ma satiété.
Il m'enjoint de laisser ce lieu sacré à Nyx
Et me rappelle hélas à notre société.
C'est le mieux que j'ai réussi à faire, c'est pas parfait mais j'ai la flemme de tryhard
(C'est un peu plus dur quand le phrasé n'est pas naturel)
C'est ça qui est fabuleux avec ce forum, tu es alcoolique, tu créés un topic pour réciter la poésie car tu aimes ça, et un mec qui s'appelle PoèmePoli vient poster sur ton topic pour te partgaer ses poèmes.
Je vous aime les kheys
Maître Golem, à terrasse attablé,
Tenait dans sa poche un pass sanitaire
Maître Antivax, désireux de dîner,
Lui tint à peu près ce bréviaire :
"Et bonjour, Monsieur le Golem,
Que vous êtes blême ! que vous me semblez las !
Sans mentir, si votre pâleur
Se rapporte à votre sueur,
Vous êtes Malade du variant Delta!"
À ces mots le Golem est pris de panique,
Et oubliant de remettre son masque,
Il cours au vaccinodrome, et laisse tomber son pass
L'Antivax s'en saisit, et dit : Mon bon Golem,
Apprenez que tout vacciné
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
Cette leçon vaut bien un pass sanitaire sans doute.
Le Golem honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Le 18 octobre 2023 à 01:33:46 :
Maître Golem, à terrasse attablé,
Tenait dans sa poche un pass sanitaire
Maître Antivax, désireux de dîner,
Lui tint à peu près ce bréviaire :"Et bonjour, Monsieur le Golem,
Que vous êtes blême ! que vous me semblez las !
Sans mentir, si votre pâleur
Se rapporte à votre sueur,
Vous êtes Malade du variant Delta!"À ces mots le Golem est pris de panique,
Et oubliant de remettre son masque,
Il cours au vaccinodrome, et laisse tomber son passL'Antivax s'en saisit, et dit : Mon bon Golem,
Apprenez que tout vacciné
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
Cette leçon vaut bien un pass sanitaire sans doute.Le Golem honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Données du topic
- Auteur
- LordSlowpoke
- Date de création
- 15 octobre 2023 à 00:08:43
- Date de suppression
- 31 octobre 2023 à 23:00:00
- Supprimé par
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