[ALERTE] Disparition d'Émile, 2 ans et demie hier après-midi
Le 03 avril 2024 à 13:58:30 :
La probabilité pour que les ossements soit retrouvé pile le jour de Pâques" La famille a été prévenue, dimanche matin, vers 9 h 30, alors qu'elle participait à la messe de Pâques"
coïncidence, définition du Larousse :
Rencontre fortuite de circonstances ; événements qui se produisent en même temps : Une fâcheuse coïncidence.
C'est quoi votre théorie svp ?
Pour moi, Emile s'est perdu le jour de sa disparition puis a fait une chute mortelle. L'emplacement de son corps était introuvable pendant les fouilles mais suite à un évènement (météorlogique par exemple, animal, ou que sais-je), le corps a bougé et est apparu dans une zone accessible, à la portée des randonneurs
Le 03 avril 2024 à 14:01:14 :
C'est quoi votre théorie svp ?Pour moi, Emile s'est perdu le jour de sa disparition puis a fait une chute mortelle. L'emplacement de son corps était introuvable pendant les fouilles mais suite à un évènement (météorlogique par exemple, animal, ou que sais-je), le corps a bougé et est apparu dans une zone accessible, à la portée des randonneurs
Rien de nouveau à l'horizon
Selon les spécialistes les chiens auraient directement trouvé l'endroit si il s'était déplacé seul
+ gendarmes qui ont archi fouillé la zone selon le maire
Transcription de la conférence de presse.
PROCUREUR : «Je voudrais dire d'abord en mon nom mais aussi au nom de tous les enquêteurs qui ont participé aux recherches et aux investigations, que nos premières pensées sont réservées aux parents et à la famille d'Émile Soleil qui ont vécu et continuent de vivre des heures douloureuses avec une dignité et une retenue qui nous invitent tous au respect de cette douleur mais aussi à la mesure. Avant d'en venir aux évolutions de l'enquête je souhaite revenir brièvement sur les heures et les jours qui ont suivi la disparition d'Emile Soleil la disparition d'Emile Soleil a été signalée, vous le savez, aux autorités le 8 juillet 2023 à 18h. Vous vous souvenez certainement qu'immédiatement, dans un cadre administratif, la gendarmerie a déployé au Haut-Vernet des militaires qui ont procédé aux premières recherches dans les 4h les séparaient de la tombée de la nuit mais également pendant la nuit. Militaires, personnel aidé de drones, d'un hélicoptère, de chiens, de gendarmes et de pompiers. Il se passe donc une nuit avant que des recherches plus importantes soient déployées car vous le savez aussi, toujours dans un cadre administratif ces premières recherches ont été suivies dès le lendemain d'une mobilisation massive de bénévoles encadré par des gendarmes et des sapeurs pompiers qui ont arpenté pendant deux jours une zone couvrant plusieurs kilomètres carré, zone qui comprenait le chemin sur lequel le crâne d'Emile Soleil a été retrouvé samedi dernier. Deux jours pendant lesquels des chiens pisteurs ont été employés tandis que la zone était survolée par des drones et un hélicoptère doté de caméras thermiques en vain comme vous le savez aussi. A ces premières recherches ont succédé des recherches et des investigations judiciaires plus spécifiques concentré dans et à proximité immédiate du village. Je rappelle que très vite, à l'idée que l'enfant pourrait s'être égaré s'est ajoutée l'hypothèse de l'intervention d'un tiers. Pendant cette deuxième phase des recherches et des investigations, ont été employés entre le 23 et le 25 juillet 2023 des drones et des chiens spécialisés dans la recherche de
cadavres, dont je peux dire aujourd'hui avec certitude que eux n'ont pas couvert la zone dans laquelle les ossements d'Emile Soleil ont été retrouvés le 30 mars dernier. Les enquêteurs à ce moment-là se sont concentrés sur des points d'intérêt essentiels. Et là je veux pendant quelques instants donner la parole au colonel qui va nous dire les moyens qui étaient employés à ce moment-là pour essayer de retrouver Émile.»
COLONEL : «Donc là dès les premiers jours nous avons créé une une cellule nationale d'enquête armée par une vingtaine d'enquêteurs spécialisés de la Section de Recherche et du groupement de gendarmerie. Donc cette cellule d'enquête était composée d'un d'un directeur d'enquête, d'un directeur d'enquête adjoint; d'un coordinateur de scène de crime, d'analystes criminels et d'équipes d'enquêteurs cette cellule n'a jamais cessé son travail depuis le premier jour elle a utilisé régulièrement, en fonction des signalements et des actes
d'investigation que nous menions, des moyens spécialisés mis en place par la gendarmerie nationale. Je peux vous citer quelques exemples : ces fameux chiens de recherche de restes humain qui ont été mis en œuvre régulièrement, enfin à plusieurs reprises en tout état de cause, des drones spécialisés, des drones thermiques des drones multispectraux qui permettent d'identifier des anomalies dans la végétation par exemple, des techniciens en investigation subaquatique pour fouiller des cours d'eau et des des lacs. Donc les moyens déployés très régulièrement, à chaque fois que nous en avions besoin pour progresser dans nos investigations, le sont depuis depuis juillet dernier et ça continue aujourd'hui.»
PROCUREUR : «Alors pourquoi toutes ces précisions ? Parce qu'à cette heure, nous ne pouvons affirmer si le corps d'Émile était d'ores et déjà présent dans la zone couverte par les recherches entreprises initialement, et que s'il s'y trouvait, il aurait été nécessairement découvert. Autrement dit, si le lieu de la découverte du crâne d'Emile Soleil est bien situé dans le périmètre des recherches opérationnelles des premiers jours, je ne peux affirmer aujourd'hui, que chaque mètre carré a été foulé par un membre des équipes de recherche et
d'investigation aussi loin soit-elle allée. Je rappelle que nous sommes au mois de juillet 2023, que la végétation est dense, qu'elle est haute, que la topographie est difficile, que le terrain en dehors des chemins est très escarpé. Ce terrain comprend des pentes naturelles qui peuvent avoisiner les 30 %, rendant
difficile l'accès et la visualisation de chaque mètre carré. Et que dire des conditions météorologiques dans lesquelles ces recherches ont été entreprises, les premières recherches ? Les températures avoisinaient à l'époque les 30°C à l'ombre, rendant la marche difficile. Températures qui ont pu altérer l'efficacité des chiens pisteurs et multiplier la restitution de foyers de chaleur nocturne détectés par les caméras infrarouges utilisé par l'hélicoptère qui a survolé la zone. Depuis, sous la direction de deux juges d'instruction du tribunal judiciaire d'Aix-en-Provence saisi le 18 juillet 2023 ont été réalisés des centaines d'actes : perquisition, prélèvements, saisies, fouilles, investigations techniques de toutes sortes, auditions, jusqu'à l'organisation d'une mise en situation le 28 mars 2024. Mais là encore, colonel, je pense qu'il est important que vous précisiez quelles sont les investigations qui ont été conduites pendant toute cette période-là, jusqu'à
aujourd'hui en fait. »
COLONEL : «Je vais donner quelques exemples, quelques chiffres pour mesurer le travail qui a été accompli et qui continue d'être accompli par les enquêteurs. Donc c'est déjà apparu mais, on a
vérifié aujourd'hui et traité 1696 signalements, 11 autres signalements sont en cours de traitement actuellement, signalements que nous avons reçu par mail, par voie téléphonique, par lettre. Ça
peut-être des signalements oraux également. Donc chaque signalement est effectivement vérifié avec la même rigueur. On a mené 157 auditions. En terme de données numériques, on a recueilli 1 million de pages aujourd'hui, numériques, que nous devons étudier que nous étudions. On a travaillé sur près de 1000 personnes titulaires de lignes téléphoniques qui qui étaient présentes à proximité du Haut-Vernet au moment des faits. On a procédé à des analyses sur 500 prélèvements et scellés . Et 18 véhicules ont fait l'objet d'opérations de police technique et scientifique complètes. Ça vous donne un petit exemple du travail que mènent les enquêteurs. Bien sûr à côté de ça il y a des investigations quotidiennes permanentes très
exigeantes.
PROCUREUR : "J'évoquais il y a quelques instants la mise en situation du 28 mars 2024. Cette mise en situation avait pour objectif principal de contextualiser de matérialiser les déclarations des témoins directs et indirects, du réveil de l'enfant après sa sieste jusqu'à l'appel aux forces de l'ordre à 18h12 précisément. Je précise qu'à cette heure aucun lien objectif n'est établi entre cette mise en situation et la découverte d'un crâne humain par une promeneuse le 30 mars 2024. La promeneuse a découvert ses ossements entre 12h et 14h lors d'une promenade sur un chemin qu'elle se souvient avoir arpenté plus d'un mois avant. Perturbée par cette découverte, elle s'est saisi du crâne, en prenant des précautions pour ne pas le souiller et l'a placé dans un sac en plastique. Elle est rentrée chez elle, et a appelé la gendarmerie. Elle a pu indiquer avec une bonne
précision aux enquêteurs l'endroit, le lieu où se trouvaient les ossements, c'est-à-dire le crâne. Le crâne, parce qu'il s'agit bien d'un crâne, était sur le sol d'un chemin étroit, un chemin forestier qui suit une courbe de niveau de part et d'autre de laquelle le terrain présente une très forte déclivité. On devine donc aussi qu'il s'agit, en été, d'une zone très végétalisée. Ce lieu où a été découvert le cadavre peut-être rejoint à pied à partir du bas du village en 25 minutes environ à marche d'homme. Le chemin en tant que tel ne présente pas de difficulté particulière, ne présente pas de difficulté technique majeure, si ce n'est que dans sa partie sous-bois, le terrain est de part et d'autre très pentu. À proximité du lieu où le crâne a été découvert, un ruisseau descend la montagne. Le long de ce ruisseau, qu'on peut deviner par forte pluie devenir un torrent, ont été retrouvés par les enquêteurs hier en contrebas du chemin à environ 150 m du lieu de la découverte du crâne, certains vêtements que portait Émile le jour de sa disparition, c'est-à-dire : un t-shirt, ses chaussures et une culotte ; qui n'étaient pas rassemblés au même endroit mais qui étaient éparpillés sur quelques dizaines de mètres. Aucun autre effet à cette heure, aucun autre ossement n'a été retrouvé. Comme les ossements, les vêtements ont été acheminés à l'IRCGN pour analyse. Là encore à cette heure, nous ne disposons pas des résultats même partiels des analyses en cours. En revanche, les premières analyses du crâne ont permis de révéler les informations suivantes. Le crâne présente de petites fractures et des fissures post mortem, aucun traumatisme ante mortem n'a été observé. Le crâne présente des traces de morsures probable causées par un ou des animaux. Une maxillaire est absente, sans que l'on puisse savoir aujourd'hui si cette maxillaire s'est
détachée naturellement ou sous la force d'une traction. L'aspect des os et des dépôts sur ces os permettent d'affirmer qu'ils n'ont pas été enfouis et qu'ils ont été exposé longtemps aux variations météorologiques et aux intempéries. Là encore les analyses se poursuivent notamment pour déterminer si ces os ont pu rencontrer des biotopes différents. Enfin, et c'est là l'important, ces seules os ne permettent pas de dire quelle est la cause de la mort d'Émile Soleil. Vous aurez donc compris que sous l'autorité des juges d'instruction l'enquête va se poursuivre avec la même intensité. Elle se poursuit en ce moment sur le terrain car les fouilles ne sont pas terminées. Elles se poursuivront probablement demain sur ce terrain. Elles vont se poursuivre sur le plan criminalistique car les éléments retrouvés n'ont pas fini d'être analysés. Entre la chute de l'enfant, l'homicide involontaire et le meurtre, on on ne peut toujours pas privilégier une hypothèse plus qu'une autre pour expliquer la disparition puis la mort de l'enfant Émile. Je sais que ce n'est pas satisfaisant ce n'est n'est satisfaisant pour personne, ni pour la famille, ni pour les enquêteurs, ni pour les juges d'instruction. Mais nos impatiences respectives, aussi légitimes soient-elles ne sauraient nous imposer des conclusions hâtives. Elles ne sauraient en tous les cas commander l'efficacité des investigations. Elles ne sauraient commander la raison et les principes juridiques qui l'encadrent, et plus généralement ne sauraient commander la recherche de la vérité judiciaire. Voilà, j'en ai terminé de cette intervention et nous laisserons la place à quelques brèves et courtes et peu nombreuses questions. Je vous remercie.»
JOURNALISTE : «Quelque chose par rapport au crâne, est-ce qu'il est possible qu'Émile aurait été dès le début sur la zone de découverte du crâne ?»
PROCUREUR : «C'est une conjecture. Tout est possible. Tout est possible, maintenant je peux pas renforcer une hypothèse plus qu'une autre. Ça me semble difficile en l'état actuel des investigations et de la connaissance que l'on a résultant de l'analyse du crâne d'Émile Soleil.»
JOURNALISTE : «Quand on entend que toutes les zones avaient été archi-fouillées, cela n'était pas
vrai...»
PROCUREUR : «Je crois pas avoir dit ça. J'ai indiqué que la la zone avait été fouillée lors des recherches. Le chemin en question avait été arpenté, mais pour ceux qui se sont rendus sur les lieux, ils verront que la zone est quand même difficile. Pas difficile d'accès mais en tous les cas elle est difficile sur le plan topographique, vous avez un chemin mais autour de chemin, je l'ai indiqué tout à l'heure, il y a beaucoup de végétation, il y a beaucoup de pentes avec une forte déclivité. Je sais pas si vous voulez ajouter quelque chose colonel ?»
COLONEL : « Non, non simplement confirmer vos propos. En été, il y a une densité végétale qui est extrêmement importante et un relief qui est qui est très particulier, effectivement. Le cheminement d'un enfant dans cette dans cette zone là est nécessairement compliqué. Donc pour l'instant il est impossible d'émettre une hypothèse. On va travailler avec l'ensemble des éléments qu'on a recueilli au cours de ces investigations et ces recherches. On va recouper ça dès que les recherches sont terminées. On va les recouper avec tout le travail qui a été fait depuis plusieurs mois. Et puis, il faut quand même noter que c'est une étape qui est importante pour l'enquête, bien entendu, mais les investigations vont se poursuivre.
JOURNALISTE : « Est-ce que vu de ce que vous avez, on peut affirmer que le crâne et les vêtements ont été déplacés, ou alors est-ce qu'il est possible qu'ils ont toujours été là ? Est-ce que c'est une hypothèse qu'on peut écarter ? Et ma deuxième question c'est par rapport à la mise en situation est-ce qu'on en sait plus sur les derniers moments ? On on parle notamment ces deux témoins, on entend que certains l'ont vu descendre d'autres monter, est-ce qu'on peut en savoir un peu plus là-dessus ?»
PROCUREUR : «Alors sur la première question, sur les déplacements éventuels des vêtements et
du crâne, je ne peux malheureusement vous produire aucune affirmation. Le crâne a été découvert sur un chemin et qui est habituellement arpenté par les promeneurs et les chasseurs. On imagine qu'il a pu être déplacé. Comment ? Par qui ? Ça c'est une autre question? Donc il a pu l'être par les conditions météorologiques, par les intempéries, l'eau qui dévale les pentes. Il a pu l'être par les animaux qui sont nombreux sur la zone, voilà c'est tout ce que je peux vous dire. Sur votre deuxième question, vous me permettrez de ne pas y répondre, parce que là nous sommes en plein cœur du secret de l'instruction. Comme le disait le colonel, les investigations se poursuivent dans toutes les directions et les éléments que vous me demandez font partie évidemment des éléments qui vont contribuer à la poursuite des investigations.
JOURNALISTE : «Il est donc possible que le petit garçon se soit rendu à cet endroit tout seul et que son corps ait échappé aux recherches des enquêteurs ?»
PROCUREUR : «C'est une possibilité comme il en existe plein d'autres.»
JOURNALISTE : « Je voulais savoir si le fait que les déplacé et notamment emportés par la promeneuse peut
rendre difficile le travail d'identification et de technique criminelle.»
COLONEL : «Non. Une partie du travail, déjà été effectuée par l'IRCGN et effectivement nous nous sommes posé les questions de cette promeneuse qui avait rapporté ses ossements effectivement chez elle mais l'ensemble des opérations que nous avons mené ensuite ont permis de fiabiliser sa parole et son témoignage.»
JOURNALISTE : «Pas de détérioration de... ? »
COLONEL : «Non. Selon les experts de l'IRCGN, non.»
JOURNALISTE : «Elle l'a ramené chez elle, le crâne ?»
PROCUREUR : «C'est ce qui a été dit tout à l'heure oui.»
JOURNALISTE : «Comment comment on explique qu'elle ait ramené le crâne chez elle ?»
COLONEL : «Elle l'explique parce que c'est un réflexe. C'est une femme qui voulait bien faire.»
JOURNALISTE : «Monsieur le Procureur, bonjour. Deux questions. La première par rapport à
cette promeneuse, est-ce que vous pouvez nous donner un petit peu son profil ? Est-ce une habitante du Vernet ou du Haut-Vernet ? Et deuxième question, vous nous avez dit si j'ai bien compris que les os ont été retrouvées à 25 minutes de marche du village, mais par rapport au Haut-Vernet c'est quelle distance exactement ?»
PROCUREUR : «La distance alors, ça dépend comment vous calculez la distance. Il y a la distance à vol d'oiseau et il y a la distance la distance à pied la distance à vol d'oiseau, je crois que ça fait, si je me trompe pas colonel, 1,6-1,7 km. La distance à pied je la connais pas précisément. 25 minutes,
un homme normalement constitué marche environ 4 km à l'heure donc voilà, c'est un peu plus un peu plus de 2 km. Une dernière question ?»
JOURNALISTE : «La randonneuse, elle habite au Haut-Vernet ?»
PROCUREUR : «Pas d'information à donner sur cet aspect là du dossier.»
JOURNALISTE : «Est-ce que cette distance Émile aurait pu la parcourir à pied ?»
PROCUREUR : « Alors cette question là, évidemment je ne suis pas un spécialiste, simplement chacun se fera
son idée. Certains d'entre vous certainement, connaissent des enfants qui sont susceptibles de marcher longtemps, d'autres sont susceptibles de marcher moins longtemps. Ça je ne sais pas quelle était sa capacité à la marche.
JOURNALISTE : «Le chef d'enquête, il a évolué ou pas ?»
PROCUREUR : «Alors le cadre d'enquête est toujours le même. Je rappelle que nous sommes dans le cadre d'une information judiciaire ouverte initialement en recherche des causes de la disparition, puis enlèvement et séquestration. Le cadre d'enquête aujourd'hui, satisfait au pouvoir dont ont besoin les juges d'instruction. Pour la poursuite, on verra plus tard en fonction de l'évolution de l'enquête s'il faut faire évoluer la qualification juridique qui a été retenue au mois de juillet dernier.»
JOURNALISTE : «C'est toujours "enlèvement et séquestration" ?»
PROCUREUR : «Oui.»
JOURNALISTE : « Pour ce qui est des vêtements, on est sur des vêtements qui sont dans un état normal au regard de...»
PROCUREUR : «Les vêtements sont en cours d'analyse, donc je n'irai pas plus loin sur dans le détail sur cette question là.»
JOURNALISTE : « Combien de temps vous continuerez encore les recherches ?»
COLONEL : « Au moins jusqu'à demain et peut-être plus en fonction des besoins. Le temps qu'il faudra.»
PROCUREUR : «Voilà, je vous remercie, la conférence de presse est terminée.»
Le 03 avril 2024 à 14:00:44 :
Du coup c’est quoi la piste privilégiée ? Le gosse s’est perdu dans la forêt et ces incompétents de la police française ont pas été fichu de le retrouver malgré les moyens employés ? Meurtre avec déplacement du corps il y a quelques jours ? Ou alors Emile a été aigled comme le prévoyaient les experts du fofo ?
en gras khey.
hier le proc a dit qu'aucune piste était écartée parce qu'il peut pas dire que la gilbert team a fait de la m... dès le début
Le 03 avril 2024 à 14:01:14 Antotoui a écrit :
C'est quoi votre théorie svp ?Pour moi, Emile s'est perdu le jour de sa disparition puis a fait une chute mortelle. L'emplacement de son corps était introuvable pendant les fouilles mais suite à un évènement (météorlogique par exemple, animal, ou que sais-je), le corps a bougé et est apparu dans une zone accessible, à la portée des randonneurs
Pas de blessure crânienne ante mortem.
Le 03 avril 2024 à 13:58:30 :
La probabilité pour que les ossements soit retrouvé pile le jour de Pâques" La famille a été prévenue, dimanche matin, vers 9 h 30, alors qu'elle participait à la messe de Pâques"
un acte divin , je ne vois que ça !
Le 03 avril 2024 à 14:00:44 :
Du coup c’est quoi la piste privilégiée ? Le gosse s’est perdu dans la forêt et ces incompétents de la police française ont pas été fichu de le retrouver malgré les moyens employés ? Meurtre avec déplacement du corps il y a quelques jours ? Ou alors Emile a été aigled comme le prévoyaient les experts du fofo ?
Le gosse arrive la veille, le lendemain après-midi il fait une sieste, puis s'habille tout de suite, se rend à la fontaine, et vire à droite, suivant un petit chemin de randonnée qu'il ne connaissait sans doute pas, pendant au moins 50 min, avant de s'évanouir sur le côté de déshydratation.
Par malchance, les chiens perdent sa trace au niveau du hameau, et personne n'a jamais su le retrouver, malgré les battues et tous les moyens employés
Le 03 avril 2024 à 13:58:43 waliba a écrit :
Le 03 avril 2024 à 13:55:57 :
Le 03 avril 2024 à 13:53:56 :
Le 03 avril 2024 à 13:17:41 :
Le 03 avril 2024 à 13:09:28 :
> Le 03 avril 2024 à 13:06:00 :
>> Le 03 avril 2024 à 13:03:54 :
> >> Le 03 avril 2024 à 12:55:35 :
> > >d'où l'intérêt de pucer vos gosses.
> >
> > Ce sera sympa quand on pourra pirater l'application de tracking et que les pedos auront l'emplacement exact des gosses pucés en temps réel
>
> mouais...
> un petit émetteur dans la doublure d'un vêtement aurait pu éviter de laisser les parents du petit Emile sans réponse. Ne sachant même pas ce qui lui est réellement arrivé, ce qui est horrible.
Une puce sert a rien dans le cas d'Emile même un téléphone avait pas réseau...
GPS ça capte un peu partout, même ou y'a pas de réseau téléphone mobile.
Il y a un bug dans ton affirmation
Réfléchis bien
Quel bug ?
Téléphone c'est antennes terrestres, gps c'est satellites.Ton traceur gps qui par définition est de petite taille n'aura pas la puissance nécessaire d'émettre dans la zone nécessaire à couvrir pour atteindre les antennes au sol comme tu le dis bien, si dans le même temps, vous considérez que le réseau téléphonique n'est pas accessible pour les mêmes raisons
On peut utiliser le GPS en mode avion donc je vois pas où tu veux en venir.
Le 03 avril 2024 à 14:01:14 :
C'est quoi votre théorie svp ?Pour moi, Emile s'est perdu le jour de sa disparition puis a fait une chute mortelle. L'emplacement de son corps était introuvable pendant les fouilles mais suite à un évènement (météorlogique par exemple, animal, ou que sais-je), le corps a bougé et est apparu dans une zone accessible, à la portée des randonneurs
pareil
la piste criminelle sert juste à faire croire qu'on sait pas encore ce qui s'est passé et à pas charger ce pauvre gilbert et son clebs allergique à la chaleur...
Données du topic
- Auteur
- TabouretRouge
- Date de création
- 9 juillet 2023 à 13:09:29
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