JULIEN a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle
Le 17 décembre 2022 à 04:45:38 :
Les noms ont étés modifiés*
Son vrai nom est sûrement Peter ou Brian. Mais il ne faudrait pas stigmatiser les anglais
Le procès de l’horreur ! Deux séquences suffisent à résumer les trois jours d’audience, du 14 au 16 décembre, devant les assises de Seine-et-Marne. D’abord la série de photos diffusées à l’audience, de la jeune victime, massacrée au parloir de la prison de Réau le jour même de ses 27 ans, le 18 mai 2019.
Imène, une jeune femme superbe, promise à tous les avenirs, apparaît heureuse et radieuse. Puis vient le dernier portrait, celui pris sur son lit d’hôpital en réanimation : elle n’est plus qu’une plaie béante. « Un visage qui n’a plus rien d’humain », dira l’avocate générale. La vision est insoutenable et secoue la salle d’émotion.
76 jours de coma
« Un gargouillis de matière organique, de chair, d’os et de dents brisées avec un œil énucléé, baignant dans une marre de sang », précisent les témoins. Un surveillant, qui a vu l’accusé sauter à pieds joints sur son visage rapportent « le craquement des os du crâne, comme une planche qu’on brise. » A cette évocation, la famille de la victime, qui fait bloc sur le banc des parties civiles, baisse la tête.
Les pompiers, intervenus en moins de 10 minutes, pensait alors qu’elle n’arriverait pas vivante à l’hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière, où elle avait été héliportée. Elle restera 76 jours dans le coma. Les médecins vont accomplir des miracles pour reconstruire la bouillie informe du visage : mâchoire fendue en deux, dents cassées, os de la face devenus esquilles avec plus de dix fractures profondes, crâne défoncé, cerveau apparent.
Les soins triomphent peu à peu des chairs mais plus difficilement des lésions neuro-cérébrales. Imène est détruite, son corps marche au ralenti et elle vit désormais cloîtrée chez ses parents qui l’assistent. Elle ne pourra jamais avoir d’enfants, elle ne sera plus « la brillante infirmière globe-trotter travaillant en Suisse », comme le décrit dit sa sœur.
Wissem Bouziane Errahmani a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle
Etrange
Qu'est ce qu'elle foutait au parlu ?
Il peut y avoir de belles relations même en prison mais faut savoir choisir , le mec avait l'air d'un zinzin de base.
Le 17 décembre 2022 à 04:59:32 :
Le 17 décembre 2022 à 04:58:19 :
Qu'est ce qu'elle foutait au parlu ?Il peut y avoir de belles relations même en prison mais faut savoir choisir , le mec avait l'air d'un zinzin de base.
C'était sa femme non? Mais mauvais choix en effet, c'est le moins qu'on puisse dire
Apparemment c'était juste son mec.
Une meuf bien , fidèle , qui était là pour lui , payer ses honoraires d'avocats.
Ce qu'on ne dit pas et que ne dira jamais l'enquête c'est que oui il y a surement une "jalousie maladive voir paranoïaque" derrière le geste mais aussi une "rage issu du manque de contrôle sur elle".
J'explique :
De base elle devait lui faire rentrer des trucs : viande , gel douche et surtout du STUP.
Le mec à l'air d'être un drogué.
La plupart de ceux qui jouent les durs supportent la prison car ils fument CONTINUELLEMENT .
Ils sont jamais en pleine conscience.
C'est pour ça que les prisons laissent plus ou moins faire tant que ça reste discret.
Le mec ne devait plus avoir à fumer , sa copine a rien ramener , il la laisser pour morte.
Certains ont même insulté et frappé leurs propres mères pour du shit au parloir.
Alors bon.
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- 17 décembre 2022 à 04:45:00
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