(PROJET) Je veux faire une bande dessinée, qui sait dessiner ?
SuppriméY'a t-il des kheys chaud pour se lancer dans un projet de bande dessinée ? Actuellement je suis entrain d'écrire mon 4ème scénario d'une saga de fantasy. Je vais pas mentir c'est relativement sympa avec beaucoup de combat, la forme est occidentale mais le fond est très shonen.
Pour la faire courte j'ai déjà écrit des histoires pour les voir un jour adapté au cinéma, mais la bd semble plus facile à élaborer.
Le résumé L'histoire suit Sasha, une jeune guerrière adepte de l'art du sabre partie dans une quête impossible : celle de vaincre ceux qu'on nomme "la main", un groupe d'individu responsable de toute la misère humaine.
C'est très bref, mais c'est l'idée. Voici une grosse partie de la 1ère histoire
La nuit est noire, l’air froid. Une femme se débat de ses agresseurs et parvient à fuire, elle les sème. Epuisée, elle tombe sur son chemin près d’un champ, le jour se lève petit à petit. Cette femme accouche et donne naissance à deux bébés, heureuse et apaisée elle finit par mourir de fatigue. Dix hommes masqués et à cheval arrivent puis se mettent en cercle autour, l’un d’eux - sans doute le chef - s’agenouille près d’elle et récupère les enfants, il baisse la tête en signe de recueillement.
Dix ans plus tard.
Une calèche avance pas à pas sur son chemin, le cocher et son voisin discutent. L’homme âgé, nommé Ikari, dit que la décision est déjà prise depuis longtemps : seule la fille pourra repartir. Ils sont arrivés à destination, en haut d’une montagne se situe une mini forteresse appelé “le nid”. Nos hommes font face à trois gardiens, ils expliquent la raison de leur venue puis entre. A l’intérieur tout est sombre, froid et inquiétant, c’est allumé à la bougie. Deux enfants sont au centre de ce qui semble être une salle d'entraînement, ils sont punis tous les deux pour avoir fait une bêtise, le garçon protège la fille en se tenant pour responsable. Le chef sait qu’il ment et décide de gifler la coupable, les enfants sont en pleurs. Ikari dit au chef qu'il est venu chercher la fille. L’homme lui ordonne de rejoindre Ikari puis de dégager. Le jeune enfant se précipite pour rejoindre sa sœur mais il est attrapé par trois hommes et emmené dans l’obscurité, seul ses cris résonnent puis finissent par s’étouffer dans un silence glaçant. Ikari demande le prénom de la jeune fille, le chef rigole de manière sarcastique, car il sait très bien que cet endroit est le refuge des bâtards et des exclus, les prénoms n’existent pas chez les gardiens. Maintenant il lui ordonne de disparaître à jamais, Ikari s'exécute. Sur le chemin du retour, Ikari adresse la parole à la fille, mais elle ne dit rien, ce qu’il comprend. Cependant il décide d’être direct avec elle, le groupe qu’ils sont allés voir s’appelle les gardiens, il y a des années ils les ont recueillis bébés, leur mère est morte en les mettant au monde.
Ensuite, selon la règle de leur royaume, aucune fille n’a le droit d’être élevé parmi eux. Il n’y a que les hommes qui peuvent devenir des gardiens. La fille prononce les seuls mots : “je veux mon frère”. Ikari s’excuse du plus profond de son cœur, mais il n’avait pas le choix. La calèche traverse le village de Mato, miséreux et rongé par la maladie. Ils arrivent devant une immense demeure puis y entrent, à l’intérieur il y a beaucoup d’enfants, tous orphelins. Ikari confie la jeune fille à une femme qui lui montrera sa chambre avec ses nouvelles camarades, la pauvre est toujours aussi terrifiée et silencieuse. La nuit tombe et les enfants sortent de leur chambre pour manger, tout le monde s’installe mais le personnel compte 38 enfants, le 39ème à disparu. L’angoisse monte chez Ikari qui comprend que la nouvelle arrivée s’est enfuie, ils partent à sa recherche. Elle n’est pas dans le village ni dans le bâtiment lui-même, c’est alors que notre vieil homme trouve l’enfant dans une forêt non loin, inconsciente et blessée. Il la ramène dans l'infirmerie de la demeure. A son réveil une femme se tient à ses côtés et la rassure, quelques temps plus tard la fille se remet sur pied et va voir Ikari qui lui fait la présentation de l’habitat en lui disant qu’ici elle est en sécurité avec des gens comme elle, il n’y a pas de raison de fuir. L’homme parle ensuite des travaux des orphelins, chaque enfant ici a le choix de choisir un corps de métier et d’aider la société, il sera formé et travaillera en groupe. La fille doit choisir entre la forgerie, l’infirmerie, les écuries, les travaux d’intérieurs ou bien la cavalerie. Elle ira naturellement vers l’infirmerie, Ikari accepte son choix. Cette dernière lui demandera ensuite si elle pouvait avoir un prénom, il lui demande lequel lui plait. Elle répond qu’elle n’en connaît aucun.Le propriétaire des lieux réfléchit puis lui en trouve un, ça sera Sacha, c’est comme ça qu’il aurait appelé sa fille s’il en avait eu une.
Si ça vous intéresse je pourrais poster le scénario complet du 1, par contre le 2 et 3 ça attendra
C'est pas sympa de vouloir faire tomber les copains
Le 26 novembre 2022 à 00:13:51 :
Le 26 novembre 2022 à 00:06:30 :
l'histoire est pourtant remplie de péripéties, merci du upTrop "cliché" à mon goût. Je ne prendrais aucun plaisir à dessiner cette histoire. Mais puisses-tu trouver un intéressé
C'est de la fantasy classique, c'est simple mais très cool
Le 26 novembre 2022 à 03:11:22 :
Tu veux faire une bd ? Dessine la
C'est pas sympa de vouloir faire tomber les copains
je sais écrire pas dessiner
Le 26 novembre 2022 à 13:32:01 :
scenario vu et revu khey
imagines toi que des milliers de gens ont ou peuvent ecrire ce genre d'histoires, pourquoi ton projet aboutirait plus que les autres dans cette masse?
Le synopsis est classique, enfin selon vous. Mais l'histoire en elle-même est relativement cool, vous n'avez rien vu encore c'est pour ça Je demande l'aide de kheys pour dessiner
Le 26 novembre 2022 à 15:50:47 :
Et c'est payé combien ton bordel?
Ca sera payé si ça marche, c'est juste un essai pour le moment, et si ça plaît ça marchera.
Données du topic
- Auteur
- _Hono_
- Date de création
- 26 novembre 2022 à 00:04:02
- Date de suppression
- 26 novembre 2022 à 21:03:00
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