[ALERTE] Russie/Ukraine… Suite/suite

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Le 16 novembre 2022 à 16:45:12 sniper361 a écrit :
Sur BFM ils disent que c'est la faute des Russes si les " missiles " sont tombés en pologne

J'imagine que si l'ukraine balançait une Nuke, ça serait encore de la faute des Russes

Ps : je suis pro rien du tout, mais un moment faut prendre un peu de recul face à ce cirque et réfléchir 2 secondes hein

Bah... Quel pays balance des centaines de missiles sur un autre pays et oblige donc de dernier à utiliser sa défense AA ?
C'est la Russie

Le 16 novembre 2022 à 16:45:12 sniper361 a écrit :
Sur BFM ils disent que c'est la faute des Russes si les " missiles " sont tombés en pologne

J'imagine que si l'ukraine balançait une Nuke, ça serait encore de la faute des Russes

Ps : je suis pro rien du tout, mais un moment faut prendre un peu de recul face à ce cirque et réfléchir 2 secondes hein

Si un missile de défense anti-aérien ukrainien tombe en Pologne, dû à un dysfonctionnement, c'est parce qu'à l'origine la Russie a envoyé une centaine de missile sur l'Ukraine. C'est pas dur à comprendre.

https://twitter.com/nexta_tv/status/1592906665728229378

Le service de sécurité de l'Ukraine a trouvé des listes de collaborateurs à Kherson, soigneusement laissées par les Russes en fuite dans l'une des caches. ça va swinguer chez les collabos ukrainiens

Le 16 novembre 2022 à 16:45:12 :
Sur BFM ils disent que c'est la faute des Russes si les " missiles " sont tombés en pologne

J'imagine que si l'ukraine balançait une Nuke, ça serait encore de la faute des Russes

Ps : je suis pro rien du tout, mais un moment faut prendre un peu de recul face à ce cirque et réfléchir 2 secondes hein

La Russie est à l'initiative des tirs, à elle la responsabilité de ne pas tirer sur des zones qui pourraient générer des débris

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Je me fiche de ton pavé du monde, il suffit de rendre public le nom des victimes pour mettre fin à l'histoire, ce que demande sans succès la Russie depuis 8 mois dans toutes les réunions internationale et je te donne un scoop, on aura jamais les noms.

Le 16 novembre 2022 à 16:49:38 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Vas lire la page wikipedia qui parle des enquêtes de l'ONU, de Amnesty International, de la cours pénale internationale, des images satellites, etc.
Le nier revient à faire du négationnisme => DDB

Le 16 novembre 2022 à 16:52:13 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Je me fiche de ton pavé du monde, il suffit de rendre public le nom des victimes pour mettre fin à l'histoire, ce que demande sans succès la Russie depuis 8 mois dans toutes les réunions internationale et je te donne un scoop, on aura jamais les noms.

Ca sert à rien, les gens comme toi sont des négationnistes, peu importe l'argument ou la preuve, vous nierez.
Si t'as des noms tu diras "qu'est ce qui me prouve que c'est pas Azov qui a tué ces gens là ?", etc.
Vous êtes des archétypes de négationnistes.

Le 16 novembre 2022 à 16:52:13 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Je me fiche de ton pavé du monde, il suffit de rendre public le nom des victimes pour mettre fin à l'histoire, ce que demande sans succès la Russie depuis 8 mois dans toutes les réunions internationale et je te donne un scoop, on aura jamais les noms.

Les noms sont connus, je sais pas d'où tu sors ton mytho

Le 16 novembre 2022 à 16:52:13 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Je me fiche de ton pavé du monde, il suffit de rendre public le nom des victimes pour mettre fin à l'histoire, ce que demande sans succès la Russie depuis 8 mois dans toutes les réunions internationale et je te donne un scoop, on aura jamais les noms.

Complotisme => ddb pour négationnisme.

Le 16 novembre 2022 à 16:53:23 :
Pourquoi Zelenski s excuse pas aupres des familles et de la Pologne?
Les americains affirme que c est un tir ukrainiens et juste par fierté il s excuse pas, pire il disparait ?

J'ai loupé un truc ?
Il me semblait que personne n'avait rien affirmé, juste que le missile était PROBABLEMENT issu d'un système de défense aérien Ukrainien

Le 16 novembre 2022 à 16:53:03 :

Le 16 novembre 2022 à 16:49:38 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Vas lire la page wikipedia qui parle des enquêtes de l'ONU, de Amnesty International, de la cours pénale internationale, des images satellites, etc.
Le nier revient à faire du négationnisme => DDB

Wikipedia c est pas une preuve.

Le 16 novembre 2022 à 16:53:23 :
Pourquoi Zelenski s excuse pas aupres des familles et de la Pologne?
Les americains affirme que c est un tir ukrainiens et juste par fierté il s excuse pas, pire il disparait ?

L'antiaerien c'est automatique, c'est pas un tir. Le responsable c'est pas la machine qui a essayé d'intercepter un missile russe. C'est le missile russe qui a déclencher le s300

Le 16 novembre 2022 à 16:54:35 :

Le 16 novembre 2022 à 16:53:03 :

Le 16 novembre 2022 à 16:49:38 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Vas lire la page wikipedia qui parle des enquêtes de l'ONU, de Amnesty International, de la cours pénale internationale, des images satellites, etc.
Le nier revient à faire du négationnisme => DDB

Wikipedia c est pas une preuve.

Les images satellites qui montre les cadavres tels qu'on les as trouvé quand les russes tenaient encore la ville et les communications entre russes sur les massacres ?

Le 16 novembre 2022 à 16:55:55 Ohyeahhh a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:54:35 :

Le 16 novembre 2022 à 16:53:03 :

Le 16 novembre 2022 à 16:49:38 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Vas lire la page wikipedia qui parle des enquêtes de l'ONU, de Amnesty International, de la cours pénale internationale, des images satellites, etc.
Le nier revient à faire du négationnisme => DDB

Wikipedia c est pas une preuve.

Les images satellites qui montre les cadavres tels qu'on les as trouvé quand les russes tenaient encore la ville et les communications entre russes sur les massacres ?

Satellites de l'OTAN
Pas une preuve
Je veux des satellites NEUTRES

Le 16 novembre 2022 à 16:54:35 :

Le 16 novembre 2022 à 16:53:03 :

Le 16 novembre 2022 à 16:49:38 :

Le 16 novembre 2022 à 16:46:11 :

Le 16 novembre 2022 à 16:35:30 superpoulet424 a écrit :

Le 16 novembre 2022 à 16:29:21 :
Des nouvelles de Zelenski ou il fait encore l autruche ?

Il va bientôt remettre les preuves comme pour les preuves de Boutcha
Oups, on ne connait toujours pas les noms des victimes alors qu'elles sont parfaitement identifiable

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Boutcha#D%C3%A9sinformation
Désinformation
Le massacre fait l'objet d'une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux de la part du Kremlin et de ses alliés à base d'intox afin de « faire passer le massacre de Boutcha pour une mise en scène ». Selon Le Monde, « Comptes diplomatiques, agences d’État et amateurs de théories du complot tentent de nier la responsabilité russe dans la mort de centaines de civils près de Kiev, en usant souvent de grossières supercheries ».

Les militants prorusses utilisent l’affaire des charniers de Timisoara (révolution roumaine de 1989), cas emblématique de désinformation médiatique, pour tenter de dédouaner les forces armées russes du massacre de Boutcha. L'historien Christian Delporte indique : « Aujourd’hui, une image n’est plus considérée comme une preuve, et beaucoup se disent que, si Timisoara était faux, pourquoi Boutcha ne le serait pas ». Cependant l'évolution technologique depuis 30 ans permet aux techniques de vérification des images d'être plus efficientes. Ainsi avec l’accès à des images satellitaires, le New York Times prouve la présence des cadavres avant le retrait des forces russes, ce qui infirme l’argumentaire de Moscou. Par ailleurs, plusieurs vidéos de la propagande russe sont rapidement discréditées. Enfin, des journalistes d'agences de presse ont vu les cadavres et les décrivent. Pour les journalistes de l'AFP « la peau des visages présente un aspect cireux, laissant penser que les cadavres [étaient] là depuis au moins plusieurs jours » et pour ceux de Reuters « la décomposition de certains corps indique qu’ils sont là depuis des jours, voire des semaines ».

Selon RFI, la désinformation russe « a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d’ultra droite ». Le Kremlin affirme « qu'il n’y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars » ce qui est démenti par des images satellites prises dès le 19 mars qui correspondent « parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tout premiers jours du mois d’avril » et par des images de drones prises entre le 23 et le 30 mars. Des montages vidéos et des infox circulent sur une prétendue mise en scène « mais elles ont toutes été invalidées ». Pour RFI « il existe un contexte propice à ce type de violences », l'agence officielle russe Ria Novosti publiant une tribune de l'idéologue Timofei Sergueïtsev, « faisant l’apologie du crime contre les Ukrainiens » demandant un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». RFI s'interroge « s’il s’agit ou non, d’une stratégie de terreur de l’armée russe ». Der Spiegel rapporte que « les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha ».

Et les preuves sont ou ?

Vas lire la page wikipedia qui parle des enquêtes de l'ONU, de Amnesty International, de la cours pénale internationale, des images satellites, etc.
Le nier revient à faire du négationnisme => DDB

Wikipedia c est pas une preuve.

Wikipedia, on s'en branle, c'est le fait qu'il rapporte les différentes enquêtes d'entité indépendantes tel que l'ONU/Amnesty international/La cour pénale internationale de la Haye, etc.

Si tu vois les images vidéo d'un russe tuant de sang froid un civil désarmé ukrainien, c'est pas parce que ça passe sur BFM que l'argument "BFM c'est d'la merde, donc j'y crois pas" vaut quoique ce soit. C'est complètement con comme raisonnement.