"Célestin, amène-moi un film"
Le 04 octobre 2022 à 06:15:58 :
La suite a disparu ?Le 04 octobre 2022 à 06:21:50 :
Je sais pas si la souite est sortie mais si c'est le cas elle a sauté
Non, c'est juste qu'elle est plus longue que prévu, donc ça me prend du temps avec en plus ce que j'ai à faire à côté. Je suis confiant qu'elle sortira aujourd'hui, peut-être ce soir
3) Temporiser et suivre le plan du Poète
Vous vous tournez vers la Demoiselle, qui vous sourit toujours tristement.
« J’aimerais un peu de temps pour réfléchir.
-Bien entendu, je comprends. Tu es mon invité Célestin.
-Eh moi, Madame ? Quel sera mon sort ?
-Vous êtes, Monsieur, en bonne compagnie à défaut de l’être vous-même. Vous pourrez rester tant que Célestin restera.
-Et Valentin ? Je pourrais le voir ?
-Je crains que non, pas avant que tu n’aies donné une réponse à ma proposition.
La Demoiselle claque des doigts, et vous voici dans une chambre magnifiquement décorée de soirées, d’ornements et même d’un gigantesque tableau, vous représentant dans une quelconque position glorieuse. Le tout, en bleu évidemment. Vous remarquez que le Poète n’est pas avec vous, et que la sympathique pièce n’a aucune porte.
« Quant tu auras fait ton choix, appelle-moi. »
Et la Demoiselle disparaît.
Vous réfléchissez tandis que vous faites le tour de la chambre, à regarder le paysage de pendus par les fenêtres, à quoi faire.
« Le Poète finira par te contacter, occupe-toi en attendant.
Une bonne idée émerge. L’Œil. Savoir ce que deviennent vos connaissances en-dehors des Cours est toujours bon.
« Ce sera plus facile en plus depuis les Cours. »
Vous conjurez la formule, prenez un papier turquoise traînant dans la chambre, et commencez à tracer les signes kabbalistiques. Au bout d’un moment, le papier devient noir, une plaque de ténèbres. Vous pensez à quelqu’un.
Le visage de votre ami apparaît. Sa bouche est tordue d’un immense sourire tandis que ses yeux semblent inquiets. A ses côtés, Jean.
-Ordres de l’Arlequin. L’alliance est rétablie tant que le problème est pas réglé. Eh, j’ai pas besoin que tu déconnes dans le mauvais sens toi aussi, on a déjà Kloé qui a désertée.
L’image des deux hommes s’effacent alors que vos pensées vagabondent vers quelqu’un d’autre.
Le papier noirci vous montre votre... collègue ? Camarade ? Vous montre Lionel en train de fumer et habillé en policier, en compagnie de Lenny et de l’autre faux policier. Leurs mines sont sévères.
« Ils en ont encore pour longtemps ?
Lionel poursuit sa clope.
« Lionel. J’espère que c’est du solide parce que là... »
Lenny jette un coup d’œil rapide vers le troisième, qui reste silencieux. Sa mine est sévère, trop sévère.
« Ils arrivent. On devrait avoir un peu plus d’infos sur ce qui se passe et pour trouver celui qui tire les ficelles.
-Ca paraît évident pourtant, notre homme c’est Silverstein.
-Mais bordel, tout concorde : il a les bâtiments, les moyens de se payer le personnel, et on sait de sources sûres qu’ils vendaient des parchemins. Sans compter que la clinique... »
Il s’interrompt, et regarde l’homme silencieux, qui ne dit toujours rien.
« La clinique était à lui, d’où la présence des Dents là-bas. C’est sûr que...
-Non, c’est pas lui qu’on cherche. Silverstein est un autre problème. Sinon, tu sais où est Célestin ? »
Vous frissonnez. Lenny prend un air pensif.
« Non. Mon cousin non plus d’ailleurs. Personne ne sait où il est.
-Je sais où on l’a vu pour la dernière fois. »
Vous voyez les deux vrais policiers arriver, un air fatigué.
« Yul, Gonzales. Alors, chez le Maire ?
-Un bordel. Le Président est pas joignable. Les lignes sont coupées, même lui peut pas sortir de la ville.
-Silverstein a le contrôle complet. Reste à savoir ce qu’il veut maintenant...
Votre concentration faiblit et un plusieurs noms successifs vous viennent en tête, si bien que le papier a dû mal à suivre.
Vous voyez d’abord le tableau de la Princesse des Ombres, qui vous sourit et vous fait un clin d’œil.
« Tu loupes le spectacles Célestin. »
Vous voyez Avortin, dans la rue, inquiet, repris rapidement par votre tante.
« Avortin, rentre vite à la maison avant que... »
Vous voyez Michael, et non loin la figure enchaînée du Maire ainsi que Pauline.
« Silverstein va pas s’en tirer. Dès que le contact avec les Cours sera repris je... »
Vous voyez Ekrivin, soucieux semble-t-il, alors qu’un homme encagoulé l’escorte dans un bâtiment quelconque.
« Nom de nom, quelle panade. »
Vous voyez votre Grand-Père, devant une télé éteinte, qui regarde dans le vide.
« Bordel, vont fermer leur gueule oui. »
Et les images s’affolent alors que le papier s’effrite en petits morceaux, avant de disparaître.
« Bordel, qu’est-ce qui se passe là-bas ?
-Ca sent pas bon. La mélodie s’accélère.
-Ca veut dire que les règles du Grand Jeu sont de plus en plus contournées.
La voix du Poète vous parvient, sans que vous puissiez identifier d’où elle provient.
« Qu’est-ce que... où vous êtes ?
-Pas très loin. Ou assez loin. Le concept d’espace est plus permissif dans les Cours, et je crains que son attention ne soit tournée ailleurs.
-Aucune idée, mais il serait temps de nous échapper.
Le Poète commence à réciter des formules, qui viennent naturellement dans votre bouche alors qu’un couloir se forme depuis l’un des murs de la pièce.
« Continuez la formulation et pensez à votre cousin tout en suivant le couloir. »
Vous vous enfoncez en suivant les instructions. Vous pénétrez dans un couloir étrange, dont le sol semble agir en spiral si bien que vous vous trouvez un instant au plafond sans pour autant chuter. Au bout de dix minutes, ou peut-être une heure, vous pénétrez dans une chambre similaire à la vôtre, où sur un vaste lit Valentin dort, le Poète à ses côtés.
« Je suis arrivé avant vous semble-t-il.
-Bon, maintenant on fait quoi ?
-Partir d’ici sans se faire remarquer sera autre chose que quitter nos chambres, je ne le crains.
-Il y a cependant une solution, bien que je craigne qu’elle ne nous complique plus la tâche qu’autre chose.
-J’ai une... amie, oui amie conviendra, qui vit dans les Cours et vers qui nous pourrions nous tourner pour partir d’ici.
-Attendez, je comprends pas, on peut partir vers la Cour du Sigle comme ça ?
-Non. Chaque Cour est limitée par le pouvoir de son propriétaire, en premier lieu, pour l’arrivée et pour la sortie. Parfois, par un hasard extraordinaire ou par un talent monstrueux, certains passent entre les gouttes mais ça arrive peu. C’est là qu’intervient l’Entre-Cours.
-Oui. Comme je vous l’ai dit, l’espace est un concept plus permissif au sein des Cours, qui sont des mondes entre eux. Alors, qu’est-ce qui les sépare ? Tous ne tombent pas d’accord, tout simplement parce que les Cours n’ont pas la même logique standardisée que la Matière, mais tous s’accordent pour dire qu’il existe des espaces entre les Cours, des failles en quelques sortes ou des poches, nommées collectivement comme étant l’Entre-Cours.
« Imaginez Célestin que vous vous baladiez dans une forêt, et qu’au détour d’un sentier, vous entriez soudainement dans un désert. Voilà ce que fait l’effet de l’Entre-Cours. Ce sont des poches, inconquises et neutres. C’est d’ailleurs là qu’il y a longtemps, la plupart des Bâtards régnaient en petits roitelets.
« Maintenant, l’Entre-Cours ne compte plus que quelques poches actives et pleines de vie, les autres ne sont que des désolations traîtresses. Et justement, mon amie règne sur l’une des dernières que je qualifierais d’acceptable.
-Et votre amie, elle est sûre ?
-Sûre oui. Elle sert plus ou moins le Sigle. Sa condition est tout à fait particulière par ailleurs. Elle se fait appeler la Comtesse, mais n’est en aucun cas une Bâtarde. Il me suffit de la contacter pour qu’elle nous adresse une invitation nous permettant de nous rendre à son manoir, et de là, aller à la Cour du Sigle. Cependant...
-Je crains que nous ne soyons mêlés encore à des affaires inconvenantes. Enfin, nous n’avons pas vraiment le choix, je suppose.
-Comment vous allez la contacter ?
-Allons, Célestin, vous oubliez que je suis un Bâtard. Certes, pas l’un des plus puissants, mais tout de même. »
Vous voyez le Poète commencer à changer de forme, pour passer à un aspect plus... divin. Vous sentez l’air frémir alors qu’il prononce des mots inintelligibles.
Enfin, il revient à sa forme humaine, avant de vous regarder d’un drôle d’air.
Vous entendez la voix de la Demoiselle qui semble résonner dans la pièce, avant qu'elle n'apparaisse directement.
« Célestin aussi. Vous voudriez nous quitter sans respecter notre marché ?
-Mon doux Célestin, tu sais que peu importe où tu ailles, je finirais par te rattraper, n’est-ce pas ? »
A ces mots, vous voyez les murs se transformer, comme s’ils se détricotaient. Les fils qui émergent viennent vous saisir à la gorge, avant de former une corde qui se pend au plafond, vous étouffant.
Le Poète tranche la corde d’un coup sec de la main avant de partir d’un rire moqueur.
« N’avais pas mieux à faire, Madame ? Le souci qui vous monopolisait avant s’est-il achevé ?
Alors que la question se pose, vous apercevez un curieux phénomène à proximité du Poète. Une faille semble se former dans l’air, une fêlure qui s’étend dans toutes les directions.
Vous vous exécutez tandis que le Poète continue de trancher les cordes qui convergent vers vous.
« Madame, je crains que nous ne devions vous quitter en pareille inimité. Je vous salue bien bas, aussi bas qu’un fils sa mère. »
A ces mots, il vous prend par le bras, et vous emporte, Valentin et vous, directement dans la fêlure.
Vous entendez la Demoiselle qui au loin chuchote, comme à votre oreille.
Et vous tombez encore une fois.
Vous êtes dans un hall luxueux. Un tapis richement ornementé couvre le sol, tandis que les murs sont couverts de tableaux de magnifiques femmes. Tout transpire le luxe débauché, à un degré similaire à la chambre attribuée par la Demoiselle, mais avec une myriade de couleurs plus variée.
Autour de vous, des silhouettes rougeâtres vous regardent, flamboyantes. Non loin, des êtres verdâtres et déformés se tordent et se déforment. Des monstres violâtres enchaînés se mêlent à la masse, et d’autre carnaval de couleurs se font sentir.
Une douce musique se fait entendre, et vous reconnaissez le craquement d’un vinyle qui tourne.
Spoil
Vous voyez que la foule de créatures autour de vous s’écarte pour laisser un passage entre vous et deux silhouettes, une femme et un homme. Ce dernier est grand, recouvert d’une armure épaisse, tel un chevalier de l’ancien temps. Un vert émeraude semble jaillir de lui, tandis que son armure étincelle.
Cependant, c’est la femme à ses côtés qui attire les regards. Le bras au chevalier, l’autre main occupée à tenir une cigarette, elle est d’une pâleur semblable à la neige, qui met en avant ses yeux vairons, l’un bleu turquoise et l’autre rose éclatant, tandis que ses lèvres sont recouvertes du même rose flamboyant. Seule fausse note, un bracelet de fer rouillé à son poignet, qui tranche avec l’élégance générale.
La femme se retire du bras du Chevalier, alors que le Poète se relève pour s’incliner légèrement. Vous l’imitez immédiatement, tandis que Valentin dort encore.
« Poète. Que nous vaut votre visite ? Je vois que vous avez amené des invités avec vous. Vous êtes vous reconverti en guide des Cours ? »
La remarque est sèche.
« Madame la Comtesse, si j’eus connaissance que vous aviez déjà tant d’invités, y compris des plus surprenants, je ne me serais pas imposé de la sorte. Les circonstances m’ont imposé pareil outrage, cependant.
-Vous nous détaillerez ça plus tard, je ne vais pas ajouter à votre impolitesse avec une autre, celle de vous exhiber devant ma petite armée. Relevez votre ami, et suivez-moi. »
Elle reprend le bras du Chevalier, qui fixait le Poète jusque-là, et fait demi-tour. Le Poète vous murmure à l’oreille tandis que vous relevez Valentin.
« Je crains que nous ne soyons pas sorti de nos peines.
-Le chevalier avec elle est un Bâtard. Un des Perdus. Et sa « petite armée » n’est pas quelque chose d’habituel ici. »
Le Poète s’interrompt, et vous suivez tout trois, enfin vous et le Bâtard et Valentin porté, la Comtesse et le Bâtard. Vous quittez la salle commune, et longez de longs couloirs majestueux derrière le serviteur et sa dame, avant d’arriver vers ce qui semble être les quartiers personnels de la Comtesse.
Elle entre, s’installe dans un fauteuil (Art Déco, club plus spécifiquement, mais ça vous n’en savez rien), et vous fait signe de vous installer vous aussi. Vous installez Valentin, qui dort toujours, dans un fauteuil du même acabit, avant de vous installer à votre tour. Seul le chevalier reste debout, aux côtés de la Comtesse. Le Poète se tourne immédiatement vers lui.
« Vous êtes le Jouteur Eperdu, Monsieur ?
-C’est ainsi qu’on me nomme. Je ne crois pas que nous ayons plaisir à nous rencontrer auparavant, malgré notre condition commune.
-Vous êtes considéré comme l’un des Perdus, au même titre que le Sage et la Fillette.
-Je crains de ne savoir non plus où ces derniers se trouvent. Mon allégeance à présent va à la Comtesse.
-Et votre allégeance, Madame, va toujours au Sigle.
-Plus ou moins oui. Il ne nous est pas d’une grande aide dans la guerre.
-La guerre qui a lieu en ce moment même. Les Cours sont en émoi, messieurs, mais les Autres n’agissent pas alors qu’une Bâtarde réunit des armées en recrutant directement dans leurs rangs.
-Oui, les Servants trahissent leurs maîtres. L’Ultime Esclavagiste avance, inarrêtable, enfin, jusqu’à moi. Nous sommes dans un état de siège, Poète. L’Entre-Cours est dans un statuquo.
-Mais pourquoi vous attaquer, Madame ? L’Ultime Esclavagiste pourrait vous ignorer. »
Elle ignore frontalement la question.
« Votre arrivée en pareille situation est étrange. Une coïncidence bizarre, et je ne crois pas aux coïncidences.
-Ce n’était pas... prévu de notre part d’arriver ici non plus, Madame. Nous nous rendions dans la Cour de Papier avant d’être détourné de notre chemin.
-Pour arriver à la Cour Bleue, et maintenant ici. Enfin, votre ami... » Elle vous désigne. « ... est aussi passé par la Cour Sans Nom. Mes soldats me l’ont rapporté. »
Le Poète vous jette un regard méfiant.
« Je l’ignorais pareillement. Mais enfin, la situation ne change pas. Votre Manoir nous permettrait de nous rendre directement à la Cour de Papier. Nous ne souhaitons pas nous attarder et vous déranger plus avant.
-Poète, vous savez à quel point votre aide me serait précieuse. Votre coopération contre l’Ultime Esclavagiste serait... un tournant.
-Allons, vous savez que je ne suis qu’un grain de sable face au Jouteur, ma présence n’est pas nécessaire...
-Un grain de sable nécessaire. Je vous l’ai dit, les côtés sont équilibrés pour le moment.
-Libres de partir s’ils le décident. »
Le Poète se tourne vers vous.
« Célestin, je crains que nos chemins ne doivent se séparer ici, pour le moment. Si vous décidiez de rester, je ne pourrais vous en être que reconnaissant, même si je crains pour votre sécurité déjà par de trop de fois compromise. »
Au loin, si loin mais si proche auparavant, la carte perforée est brisée, les touches deviennent anarchiques et une nouvelle mélodie se met en place : les échos du compositeur vous parviennent, alors que le chœur éructe d’indignation. Au milieu de la cacophonie nouvelle, une chansonnette étrangère se perd dans le bruit, montant en crescendo lent avant d’engloutir le monde.
1) Partir avec Valentin chez le Sigle
3) Laisser Valentin avec le Poète, et partir chez le Sigle
hihiuheuihui
Le fofo déconnait encore avec les stickers, faites pas gaffe à la fin de la seconde partie
Le 05 octobre 2022 à 00:58:26 :
Espérons demain
J'ai galéré avec l'administration toute la journée, d'où le retard
Le 05 octobre 2022 à 02:07:39 :
Maintenant que j'ai fini ma fic je pourrais enfin rattraper mon retard
Nice ça
Petit résumé des Entités rencontrées ou connues jusque là, non détaillé et suivant en plus les théories de Célestin
Autres/Archontes
* Demoiselle aux Cordes - Cour Bleue
Servants : les Lamentateurs. Pas de Marqués ni de Damnés connus.
* Royale Carcasse - Cour Sans Nom / Cour des Illusions
Servants : Sans Formes. Pas de Marqués ni de Damnés connus.
* Sigle - Cour de Papier
* Arlequin à Trois Faces
Marqués connus : Carl, Kloé. Damné connu : Jean.
* Fiel Rouge
* Duc des Soupirs - Cour des Soupirs
Damné connu : Monsieur le Maire ; autre inconnu
* Inéluctable Courtisane
* Messie de la Tourbe - Cour Miraculeuse
Marqué connu : Michael
* Roc d'Autorité
Marqué connu : Eva
* Purulence - Cour des Immondices
Servants : les Immondices. Marqué connu : Andy. Damné connu : le Gros.
* Extatique Orgiaque
Damné connu : nom inconnu
* Infécond
Marqué connu : Pauline.
Bâtards
Divers
J'en ai probablement oublié
2
Franchement, vu la galère des autres cours, autant rester avec le poète
Je vote 2)
Vote 2 :
Partir avec ou sans Valentin ne semble pas une bonne idée.
Si on se fait attaquer chemin faisant, rien ne dit qu'on réussira à le protéger si il est avec nous.
Si il se fait attaquer/enlever par la demoiselle aux cordes pendant notre absence, on risque d'avoir du mal à le récupérer.
Rester ici avec le Poète nous permettra en plus d'en savoir plus sur la situation actuelle. Et si un conflit éclate avec les servants de l'Ultime Esclavagiste, il y a peut-être une chance qu'on puisse récupérer une nouvelle partie de l'Arsenal.
Si vous avez des questions de compréhension des Entités, ou des remarques autres sur la fic (notamment de potentiels défauts), hésitez pas non plus les kheys
Je me rends compte que ça peut être complexe dans le temps
Données du topic
- Auteur
- DSKronos
- Date de création
- 20 juillet 2022 à 18:31:53
- Nb. messages archivés
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