NIETZSCHE : Votre AVIS ?

On est d'accord que c'est bon pour les adolescents qui se rebellent ?

Qu'il ne comprend rien à la notion d'ascèse et d'humilité ? Qu'il prône la décadence dionysiaque et l'hédonisme d'où son succès chez les golems ?

« Nietzsche éludait toujours une question par une métaphore d’ordre physique, comme un guilleret poète mineur. Il disait : « Par-delà le bien et le mal » parce qu’il n’avait pas le courage de dire : « Meilleur que le bien et le mal » ou « Pire que le bien et le mal ». S’il avait regardé sa pensée dépouillée de métaphores, il aurait vu qu’elle était un non-sens. Ainsi, quand il décrit son héros, il n’ose pas dire : « L’homme plus pur » ou « l’homme plus heureux », ou « l’homme plus triste », car ce sont là des idées ; et les idées sont inquiétantes. Il dit : « l’homme supérieur » ou « au-dessus de l’homme », une métaphore physique empruntée aux acrobates ou aux alpinistes. Nietzsche est en vérité un bien timide penseur. Il n’a vraiment pas la moindre idée de l’espèce d’homme qu’il demande à l’évolution de produire. […]

Je songeai à tout ce qu’il y avait de courage, de fierté et de pathétique chez le pauvre Nietzsche, à sa révolte contre le vide et la veulerie de notre temps. J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache. Nietzsche n’a fait que louer le guerrier ; elle fut une guerrière. Pourtant, elle fut une personne parfaitement pratique et efficace ; lui n’est qu’un spéculateur extravagant qui ne fait rien'. »

Gilbert Keith Chesterton, Orthodoxie

J'attends avec impatience l'avis des nietzschéens.

Ça fait quoi d'admirer la "pensée" d'un syphilitique concupiscent ?

Oula il l'as démonter.

Mais en soit je pense que Nietzche est à lire.
Oui pour les adolescent mais il convient de le relire adulte.
Parfois en colère j'ai tout de meme estimé certains passage comme magnifique.
Car au final on peut finir par le comprendre, meme en ci opposant parfois, et je ne croit pas qu'il aurait fermer la porte aux philosophes qui le critiquant finissent par le rejoindre dans la mort.

C'est très bonne leçon que de comprendre cela, il y as le terrain de jeu, mais il y as aussi l'après.
La ou finallement, d'une certaine façon tout le monde ce rejoint et ce dis <<il est des notres>>.

Cette lecon finallement c'est en le lisant lui que je l'ai comprise.

L'adversité ne veut pas dire la haine.

Le 30 mai 2022 à 01:03:40 :
Oula il l'as démonter.

Mais en soit je pense que Nietzche est à lire.
Oui pour les adolescent mais il convient de le relire adulte.
Parfois en colère j'ai tout de meme estimé certains passage comme magnifique.
Car au final on peut finir par le comprendre, meme en ci opposant parfois, et je ne croit pas qu'il aurait fermer la porte aux philosophes qui le critiquant finissent par le rejoindre dans la mort.

C'est très bonne leçon que de comprendre cela, il y as le terrain de jeu, mais il y as aussi l'après.
La ou finallement, d'une certaine façon tout le monde ce rejoint et ce dis <<il est des notres>>.

Cette lecon finallement c'est en le lisant lui que je l'ai comprise.

L'adversité ne veut pas dire la haine.

Rien compris. Tu parles français ?

Bah pas que Nietzsche si tu veux mon avis. Je pense que la philosophie est importante sauf que les prof qui l'enseigne sont tous dépressif j'ai l'impression.

Mais même plus jeune il faudrait l'étudier

Mais bon, 2022 a quoi bon avoir de la moral ou des valeurs hein. On a qu'une vie

Le 30 mai 2022 à 00:56:59 :
J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache.

Cette violence

Beaucoup de BZZZZ sur ce topic.

https://www.youtube.com/watch?v=qmdhiHZCkE0

Le 30 mai 2022 à 01:07:50 :
Philosophie pour ados excités oui. Et en + ça a contribué à l'idéologie nazi

Cette inculture bordel

Le 30 mai 2022 à 01:08:22 :

Le 30 mai 2022 à 01:07:50 :
Philosophie pour ados excités oui. Et en + ça a contribué à l'idéologie nazi

Cette inculture bordel

Premier ado excité

Le 30 mai 2022 à 01:06:01 :

Le 30 mai 2022 à 00:56:59 :
J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache.

Cette violence

Il tire sur l'ambulance

Nietzsche c'est en quelque sorte Captain Konstadt. Il constate mais ne propose rien. Fait l'apologie de l'aristocratie guerrière mais à la fin de sa vie n'est même plus capable de chasser une mouche de son visage.

Le 30 mai 2022 à 01:05:41 :

Le 30 mai 2022 à 01:03:40 :
Oula il l'as démonter.

Mais en soit je pense que Nietzche est à lire.
Oui pour les adolescent mais il convient de le relire adulte.
Parfois en colère j'ai tout de meme estimé certains passage comme magnifique.
Car au final on peut finir par le comprendre, meme en ci opposant parfois, et je ne croit pas qu'il aurait fermer la porte aux philosophes qui le critiquant finissent par le rejoindre dans la mort.

C'est très bonne leçon que de comprendre cela, il y as le terrain de jeu, mais il y as aussi l'après.
La ou finallement, d'une certaine façon tout le monde ce rejoint et ce dis <<il est des notres>>.

Cette lecon finallement c'est en le lisant lui que je l'ai comprise.

L'adversité ne veut pas dire la haine.

Rien compris. Tu parles français ?

Je n'ai pas beaucoup apprécié les idées véhiculé par ceux qui l'adule.
Mais on peut lire les texte de plusieurs façons, et en tiré des lecons pour peut qu'on ai l'oreille attentive et une curiosité que l'on soit d'accord ou non avec leurs auteurs.

Ça sert à rien de baffoué les philosophes et écrivains simplement pour le plaisir de le faire, et en critiquant trop fermement ses adeptes ça ne leurs donneras pas forcément envie de s'interessé au reste.

Tu peut cherché à détruire l'image et le travaille d'un homme décédé car dans certains points il t'oppose, mais alors sans vraiment le savoir tu rend hommage à sont influence car tu la reconnait.
C'est mieux d'apprécier les textes pour ce qu'ils sont, que l'on reste critique ou non que de rester bornée à une optique d'annilation des personnes.

Le 30 mai 2022 à 01:07:50 :
Philosophie pour ados excités oui. Et en + ça a contribué à l'idéologie nazi

Tu peux disposax l'aw twitterfag low iq

Le 30 mai 2022 à 01:09:08 :

Le 30 mai 2022 à 01:08:22 :

Le 30 mai 2022 à 01:07:50 :
Philosophie pour ados excités oui. Et en + ça a contribué à l'idéologie nazi

Cette inculture bordel

Premier ado excité

Je ne suis pas nietzschéen, mais dire qu'il a contribué à l'idéologie nazie c'est répéter des poncifs entendus dans une cour d'école sans prendre la peine de de vérifier

Le 30 mai 2022 à 01:07:50 :
Philosophie pour ados excités oui. Et en + ça a contribué à l'idéologie nazi

On s'en fiche, et il était contre les antisémites. Qu'un régime politique récupère ses écrits et déforme sa pensée c'est autre chose.

De toute façon il détestait l'esprit allemand, il le dit dans ses écrits.

Le 30 mai 2022 à 00:56:59 :
« Nietzsche éludait toujours une question par une métaphore d’ordre physique, comme un guilleret poète mineur. Il disait : « Par-delà le bien et le mal » parce qu’il n’avait pas le courage de dire : « Meilleur que le bien et le mal » ou « Pire que le bien et le mal ». S’il avait regardé sa pensée dépouillée de métaphores, il aurait vu qu’elle était un non-sens. Ainsi, quand il décrit son héros, il n’ose pas dire : « L’homme plus pur » ou « l’homme plus heureux », ou « l’homme plus triste », car ce sont là des idées ; et les idées sont inquiétantes. Il dit : « l’homme supérieur » ou « au-dessus de l’homme », une métaphore physique empruntée aux acrobates ou aux alpinistes. Nietzsche est en vérité un bien timide penseur. Il n’a vraiment pas la moindre idée de l’espèce d’homme qu’il demande à l’évolution de produire. […]

Je songeai à tout ce qu’il y avait de courage, de fierté et de pathétique chez le pauvre Nietzsche, à sa révolte contre le vide et la veulerie de notre temps. J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache. Nietzsche n’a fait que louer le guerrier ; elle fut une guerrière. Pourtant, elle fut une personne parfaitement pratique et efficace ; lui n’est qu’un spéculateur extravagant qui ne fait rien'. »

Gilbert Keith Chesterton, Orthodoxie

Nietzsche a existé contrairement à Jeanne d'Arc

Nietzche a eu une grande influence sur le XXeme siècle une influence historique contrairement à Gilbert Keith Chesterton

Le 30 mai 2022 à 00:56:59 :
« Nietzsche éludait toujours une question par une métaphore d’ordre physique, comme un guilleret poète mineur. Il disait : « Par-delà le bien et le mal » parce qu’il n’avait pas le courage de dire : « Meilleur que le bien et le mal » ou « Pire que le bien et le mal ». S’il avait regardé sa pensée dépouillée de métaphores, il aurait vu qu’elle était un non-sens. Ainsi, quand il décrit son héros, il n’ose pas dire : « L’homme plus pur » ou « l’homme plus heureux », ou « l’homme plus triste », car ce sont là des idées ; et les idées sont inquiétantes. Il dit : « l’homme supérieur » ou « au-dessus de l’homme », une métaphore physique empruntée aux acrobates ou aux alpinistes. Nietzsche est en vérité un bien timide penseur. Il n’a vraiment pas la moindre idée de l’espèce d’homme qu’il demande à l’évolution de produire. […]

Je songeai à tout ce qu’il y avait de courage, de fierté et de pathétique chez le pauvre Nietzsche, à sa révolte contre le vide et la veulerie de notre temps. J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache. Nietzsche n’a fait que louer le guerrier ; elle fut une guerrière. Pourtant, elle fut une personne parfaitement pratique et efficace ; lui n’est qu’un spéculateur extravagant qui ne fait rien'. »

Gilbert Keith Chesterton, Orthodoxie

L'homme plus heureux

Le 30 mai 2022 à 00:56:59 :
« Nietzsche éludait toujours une question par une métaphore d’ordre physique, comme un guilleret poète mineur. Il disait : « Par-delà le bien et le mal » parce qu’il n’avait pas le courage de dire : « Meilleur que le bien et le mal » ou « Pire que le bien et le mal ». S’il avait regardé sa pensée dépouillée de métaphores, il aurait vu qu’elle était un non-sens. Ainsi, quand il décrit son héros, il n’ose pas dire : « L’homme plus pur » ou « l’homme plus heureux », ou « l’homme plus triste », car ce sont là des idées ; et les idées sont inquiétantes. Il dit : « l’homme supérieur » ou « au-dessus de l’homme », une métaphore physique empruntée aux acrobates ou aux alpinistes. Nietzsche est en vérité un bien timide penseur. Il n’a vraiment pas la moindre idée de l’espèce d’homme qu’il demande à l’évolution de produire. […]

Je songeai à tout ce qu’il y avait de courage, de fierté et de pathétique chez le pauvre Nietzsche, à sa révolte contre le vide et la veulerie de notre temps. J’ai songé à son appel déchirant d’un équilibre extatique du danger, à son ardent désir des charges de grands chevaux, à son appel aux armes. Eh bien, Jeanne d’Arc avait tout cela, et cette fois encore avec cette différence : elle ne s’est pas contentée de louer le combat : elle a combattu. 'Nous savons qu’elle n’avait pas peur d’une armée, alors que Nietzsche, pour autant qu’on le sache, avait peur d’une vache. Nietzsche n’a fait que louer le guerrier ; elle fut une guerrière. Pourtant, elle fut une personne parfaitement pratique et efficace ; lui n’est qu’un spéculateur extravagant qui ne fait rien'. »

Gilbert Keith Chesterton, Orthodoxie

Je comprends pas ce que veut dire ce mec, ni la pertinence de la comparaison avec Jeanne d'Arc. Dans la notion de surhomme de Nietzsche, il est loin d'y avoir uniquement l’appétence pour la guerre ou la violence. Le concept est bien plus large que ça, et c'est extrêmement réducteur (et complètement con si le type qui écrit ça est complètement premier degré) de résumer ça à "Nietzsche vante le guerrier alors que c'est une victime". Et la dernière phrase est ridicule: Nietzsche a développé une pensée encore lue et influente à note époque, c'est loin d'être un "extravagant qui ne fait rien".