Comment se DÉFINIR soi-même ?
Terre de mes ancêtres
la culture qui est le reflet du génome lui même reflet de l'environnement/climat ou vivent les hommes
accepter que Dieu est en nous
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
Le 27 janvier 2022 à 23:34:51 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:17 :
Perso : 0 personnalité, forumeur
Nous n'avons pas souvent eu l'occasion de nous connaitre. Je me pose souvent la même question que toi ces temps ci, et j'ai vraiment du mal à cerner ce qui pourrait faire ma singularité.
Le 27 janvier 2022 à 23:34:49 :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:31 :
Le 27 janvier 2022 à 23:30:36 :
Ma réponse actuelle, non réfléchie, est que notre nature est celle qui ressort le plus souvent, sur lesquelles on a pas de prise, en cela il suffit de se remémorer chaque sentiment que l'on a ressenti à chaque moment particulier de notre vie, et puis voilà? Des objections?Sur lesquelles on a pas de prise Lesquelles désigne quoi ? Pas de prise ça veut dire quoi ?
Bah les émotions? Puisque c'est ça qui définie la nature non?
Les émotions sont pas neutres, elles sont influencées par tout un tas de truc : avec qui tu parles et dans quel but principalement. Se définir par ses émotions c'est traitre parce qu'elles sont changeantes, c'est en réaction à quelque chose. Or notre identité ne se base pas sur une perception singulière de nous-même mais sur un constat objectif. Mais est-il possible d'y parvenir je ne sais pas
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Le 27 janvier 2022 à 23:38:19 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:49 :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:31 :
Le 27 janvier 2022 à 23:30:36 :
Ma réponse actuelle, non réfléchie, est que notre nature est celle qui ressort le plus souvent, sur lesquelles on a pas de prise, en cela il suffit de se remémorer chaque sentiment que l'on a ressenti à chaque moment particulier de notre vie, et puis voilà? Des objections?Sur lesquelles on a pas de prise Lesquelles désigne quoi ? Pas de prise ça veut dire quoi ?
Bah les émotions? Puisque c'est ça qui définie la nature non?
Les émotions sont pas neutres, elles sont influencées par tout un tas de truc : avec qui tu parles et dans quel but principalement. Se définir par ses émotions c'est traitre parce qu'elles sont changeantes, c'est en réaction à quelque chose. Or notre identité ne se base pas sur une perception singulière de nous-même mais sur un constat objectif. Mais est-il possible d'y parvenir je ne sais pas
Donc pour toi quelqu'un de peureux ne peut se définir comme peureux objectivement?
Le 27 janvier 2022 à 23:38:12 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:51 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:17 :
Perso : 0 personnalité, forumeurNous n'avons pas souvent eu l'occasion de nous connaitre. Je me pose souvent la même question que toi ces temps ci, et j'ai vraiment du mal à cerner ce qui pourrait faire ma singularité.
On est d'accord que c'est perturbant comme question ? Moi qui pensait que la crise existentielle cessait à la fin de l'adolescence. J'ai 24 ans et j'ai toujours pas les réponses que je me posais y'a de ça plus de 10 ans ahi
Le 27 janvier 2022 à 23:41:14 :
Le 27 janvier 2022 à 23:38:19 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:49 :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:31 :
Le 27 janvier 2022 à 23:30:36 :
Ma réponse actuelle, non réfléchie, est que notre nature est celle qui ressort le plus souvent, sur lesquelles on a pas de prise, en cela il suffit de se remémorer chaque sentiment que l'on a ressenti à chaque moment particulier de notre vie, et puis voilà? Des objections?Sur lesquelles on a pas de prise Lesquelles désigne quoi ? Pas de prise ça veut dire quoi ?
Bah les émotions? Puisque c'est ça qui définie la nature non?
Les émotions sont pas neutres, elles sont influencées par tout un tas de truc : avec qui tu parles et dans quel but principalement. Se définir par ses émotions c'est traitre parce qu'elles sont changeantes, c'est en réaction à quelque chose. Or notre identité ne se base pas sur une perception singulière de nous-même mais sur un constat objectif. Mais est-il possible d'y parvenir je ne sais pas
Donc pour toi quelqu'un de peureux ne peut se définir comme peureux objectivement?
La peur est une émotion, mais être peureux c'est un état d'esprit. Et puis un mec peureux ne va pas définir tout son être à travers cela, un être humain est infiniment plus riche que ça
Le 27 janvier 2022 à 23:41:56 :
Essaye de deviner comment les autres te définiraient
Si moi-même je ne me connais pas vraiment, alors eux seraient incapable de me définir. Ils me diront des traits de caractère, mais ne cerneraient pas mon identité. Si ça se trouve Heiddeger a raison, on peut pas mettre de mots sur ce qu'on est
Le 27 janvier 2022 à 23:40:29 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Tout est authentique, même l'apparente inauthenticité lors des relations sociales. Il ne peut pas en être autrement, pour qu'il y ait de l'inauthentique il faudrait un faux soi, extérieur à nous, sauf que ça n'existe pas et que toutes les actions qu'on réalise viennent de nous.
Le 27 janvier 2022 à 23:40:29 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Je pars du principe qu'on n'est pas réellement ce qu'on prétend être sans l'authenticité même qui se doit d'opérer coute que coute. Mais d'autres iront renchérir son contraire. Je ne saurais trancher. Si un jour j'ai enfin la réponse tant attendue, je fais la promesse de la dire à un maximum de personne
Le 27 janvier 2022 à 23:44:54 Deipnosophiste a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:40:29 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Tout est authentique, même l'apparente inauthenticité lors des relations sociales. Il ne peut pas en être autrement, pour qu'il y ait de l'inauthentique il faudrait un faux soi, extérieur à nous, sauf que ça n'existe pas et que toutes les actions qu'on réalise viennent de nous.
Ce que la déréalisation, l’état de flou permanent de l’être pour certain, la Nausée de Sartre, la Peste de Camus, le Bouffon de Dazai, et j'en passe et des meilleures, tout cela ébranle l'authenticité dans son action à mes yeux
Le 27 janvier 2022 à 23:44:54 :
Le 27 janvier 2022 à 23:40:29 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Tout est authentique, même l'apparente inauthenticité lors des relations sociales. Il ne peut pas en être autrement, pour qu'il y ait de l'inauthentique il faudrait un faux soi, extérieur à nous, sauf que ça n'existe pas et que toutes les actions qu'on réalise viennent de nous.
Le maquillage, le refoulement et la négation de soi sont aussi authentiques du coup ?
Le 27 janvier 2022 à 23:45:28 :
Le 27 janvier 2022 à 23:40:29 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:37:11 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:09 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:32:10 :
Le 27 janvier 2022 à 23:27:56 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:25:47 :
Je suppose que le plus simple est de se dire qu'on se définit via le rapport qu'on a avec autrui (la perception, l'image donnée, les sentiments renvoyés...), ça permet de remplir le tableau qui est déjà tracé par notre individualité (quand on est face à soi dans différentes situations permettant la prise de conscience, le recul, etc)Le rapport qu'on a avec autrui est changeant, alors ça veut dire que notre nature l'est également ? Je ne pense pas
Et contrôler ses sentiments c'est juste contrôler le masque qu'on porte en société, c'est pas notre véritable identitéEn surface il semble mobile, mais dans le fond le rapport du conflit des consciences reste le même, c'est fixe. Ce qui est de nature changeante l'est partiellement, à moins d'un traumatisme profond, d'un changeant lourd au sein de individualité qui sert de contours au cadre nous définissant, j'en doute fort.
Quant aux sentiments, il y a savoir faire la part des choses (tout l’intérêt est là à mon sens, savoir se sonder). Refouler constamment son authenticité nous perd. Jouir éperdument du masque nous aveugle, en faire une dynamique de sociabilisation est un mensonge.
Là mon cher ami, vous me posez une question existentielle face à laquelle moi-même je tente en vain d'y répondre. Je m'applique chaque jour que Dieu fait à toujours dire la vérité, uniquement et seulement la vérité toute entière, qu'elle me soit fortuite ou non. Je n'aurais guère d’intérêt à faire autrement. Quitte à froisser l'ego de certains, l'important n'est pas dans la conséquence, mais le résultat : avoir voulu viser juste quoi qu'il arrive sur le fond de notre pensée, du ressenti joint à cela, etc.
D'accord, c'est intéressant merci pour tes réponses détaillées. Mais du coup si on trouve pas son authenticité on peut pas se définir soi-même
Je pars du principe qu'on n'est pas réellement ce qu'on prétend être sans l'authenticité même qui se doit d'opérer coute que coute. Mais d'autres iront renchérir son contraire. Je ne saurais trancher. Si un jour j'ai enfin la réponse tant attendue, je fais la promesse de la dire à un maximum de personne
Le 27 janvier 2022 à 23:41:44 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:38:12 :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:51 Nabilis- a écrit :
Le 27 janvier 2022 à 23:34:17 :
Perso : 0 personnalité, forumeurNous n'avons pas souvent eu l'occasion de nous connaitre. Je me pose souvent la même question que toi ces temps ci, et j'ai vraiment du mal à cerner ce qui pourrait faire ma singularité.
On est d'accord que c'est perturbant comme question ? Moi qui pensait que la crise existentielle cessait à la fin de l'adolescence. J'ai 24 ans et j'ai toujours pas les réponses que je me posais y'a de ça plus de 10 ans ahi
Oui ça peut être perturbant. Quand on ne saisi pas ce qui peut définir notre existence en tant qu'individu, ça s'accompagne souvent d'une deuxième question : À quoi bon continuer ?
On en vient à ce poser ce genre de question pour tout et n'importe quoi, et je n'ai pas l'impression que ça soit forcément une question d'âge.
Bah de deux façons.
Je peux me définir comme ce que je ressens, ma conscience en cet instant présent.
On peut me définir aussi via des attributs comme mon nom, mon prénom, mon age, ma date de naissance, les souvenirs que j'ai laissé. Dans ce cas je vis dans le regard des gens.
Données du topic
- Auteur
- Nabilis-
- Date de création
- 27 janvier 2022 à 23:08:39
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