Le père goriot, les nuits blanches, madame bovary, anna karénine

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Le Rouge et le Noir.
Crime et Châtiment, surtout.

L'Idiot de Dostoïevski est le livre le plus frustrant qu'un homme puisse lire

Tout les personnages sont insupportables, et surtout ils n'évoluent absolument pas, ils se complaisent dans leurs travers sur 1000 pages , malgré que l'auteur te fasse espérer un sursaut de leurs part à la fin

A la fin de ma lecture j'étais à deux doigts de brûler le bouquin, j'ai eu l'impression de m'etre fait voler

C'est pas une redpill pour le coup, mais j'ai jamais lu un livre qui m'a frustré autant

C'est marrant j'en suis au livre 4, je trouve qu'il est pas mal, l'évolution sert a rien c'est plus comme si tu analysais de plus en plus en détails les portraits des perso

Tu ne l'as pas terminé c'est pour ça

Attend de voir les dernières actions d'aglaïa la gamine pourrie gâtée, de sa mère la comtesse égocentrique , de l'insupportable AW nastasia, de michkine le cuck et de son ami passif dont j'ai oublié le nom

La fin est des plus frustrantes, tout les personnages sont expédiés dans les tout des derniers chapitres, chacun s'enfonçant définitivement dans ses travers après 800 pages de plats et de sur place

Rogojine tu veux dire ? Il est pas spécialement passif, dans tout ce tas c'est le plus actif et le plus pationné en vrai

Il est actif mais dans le mauvais sens du terme. Ses actions font du bruit mais sont vaines , un peu comme un chien qui se débat frénétiquement dans l'eau tout en faisant du sur place , pour a la fin se noyer

Enfin je te laisse le terminer, je suis certain que tu changera d'avis, surtout quand tu verras l'évolution anarchique et brutale d'aglaïa , t'auras l'impression d'avoir manqué 5 chapitres , d'être passé à côté d'un fait majeur , c'est inexplicable

Je crois que l'auteur a expédié la fin et le traitement d'aglaïa en est le plus grand symptôme

Je suis pas certain qu'il cherche le résultat. De ce que j'ai lu il a surtout un rapport paradoxalement détaché au monde, il court a sa perte avec un sourire rageur, il vas au bout de sa logique

C'est vrai, il sait que Nastasia est sa perte , vu comme ça son absence d'évolution se comprend

Par contre Lev le cuck
Je te laisse cette formulation, le cuck s'investit mais mal d'une certaine manière, c'est a dire qu'il attend de la vie des choses qui ne viendrons pas.
Le prince lui c'est autre chose, la spontanéité et la pureté d'un enfant. Il est l'ignorant béni, tous le reconnaisent et certains le haïssent même pur cela

Je suis pas d'accord, Michkyne est bien moins naïf que tel qu'il est présenté au tout début

Il a conscience de la vrai nature de Nastasia et de la médiocrité ambiante qui touche tout les personnages de son environnement.

Si il agit comme un enfant c'est par intransigeance moral, couplé à son incapacité à maitriser sa passion , c'est pour ça qu'il m'énerve .
Il refuse de s'adapter par entêtement

Sinon j'ai pas compris l'intérêt du personnage d'hyppolyte, cet ado leucémique n'apporte rien à l'histoire je trouve

Ces digressions incohérentes qui précèdent sa mort sont inutile

C'est peut etre une réflexion de dostoïevski sur la médiocrité, un peu comme l'est le personnage de Gania. En fait un certain nombre de perso du romant ont ce syndrome très romantique de vouloir etre Napoléon tout en etant banales, c'est même tout le début du 4eme livre. Après pour le prince c'est son coter christique qui le rend presque insupportable aux autres parce qu'il rayonne en bonté a peux de frais, illuminant la laideur des autres.
C'est la nature profondément paradoxale et cruel de la moral et de la bonté comme du pardon. Le pardon, cette acte qui parais le plus grand mépris a l'ame qu'il rachette. Le pardon n'est pas qu'un acte de puissance magnanime de celui qui l'offre, il est surtout l'acte le plus humble pour celui qui le reçoit et l'accepte, ce que certains personnages n'acceptent pas

Oui effectivement, tout les personnages du livres sont médiocre voir banal au mieux mais rêvent tous de grandeur, comme la majorité d'entre-nous

C'est d'ailleurs pour ça qu'aucun d'entre eux n'évolue positivement au fil du récit, parceque c'est ce qui se passe dans le réel au final

Mais Hypolyte ne sert à rien , des personnages en mal de grandeur comme lui y'en a un paquet dans l'Idiot (Gania/l'officier qui courtise aglaïa, et d'autre plus secondaire)

Après je ne serai pas aussi tendre envers Mychkine, il est responsable des causes de son malheur, par faiblesse moral et émotionnel

Tout au long du récit il s'entête dans son intransigeance moral simpliste et enfantine , tout ça pour se trahir à la fin, pour une passion sans avenir

Je pense pas que tu sois arrivée a ce moment mais tu verras de quoi je parle

Au fond pour résumer vulgairement, Michkyne n'est qu'un cuck qui sacrifiera sa probité enfantine pour une AW

Pourquoi pas, je vais lire la fin.

Mais selon toi (et les autres je vous convie) qu'est ce que la médiocrité ?
Le simple mépris que l'on porte a une vie qu'on ne voudrait endurer, comme quoi on est toujours le médiocre d'un autre ?
L'absence d'idéal, de passions, de rêves supérieur a sa propre individualité ?
Le contentement ?

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Le Rouge et le Noir.
Crime et Châtiment, surtout.

L'Idiot de Dostoïevski est le livre le plus frustrant qu'un homme puisse lire

Tout les personnages sont insupportables, et surtout ils n'évoluent absolument pas, ils se complaisent dans leurs travers sur 1000 pages , malgré que l'auteur te fasse espérer un sursaut de leurs part à la fin

A la fin de ma lecture j'étais à deux doigts de brûler le bouquin, j'ai eu l'impression de m'etre fait voler

C'est pas une redpill pour le coup, mais j'ai jamais lu un livre qui m'a frustré autant

C'est marrant j'en suis au livre 4, je trouve qu'il est pas mal, l'évolution sert a rien c'est plus comme si tu analysais de plus en plus en détails les portraits des perso

Tu ne l'as pas terminé c'est pour ça

Attend de voir les dernières actions d'aglaïa la gamine pourrie gâtée, de sa mère la comtesse égocentrique , de l'insupportable AW nastasia, de michkine le cuck et de son ami passif dont j'ai oublié le nom

La fin est des plus frustrantes, tout les personnages sont expédiés dans les tout des derniers chapitres, chacun s'enfonçant définitivement dans ses travers après 800 pages de plats et de sur place

Rogojine tu veux dire ? Il est pas spécialement passif, dans tout ce tas c'est le plus actif et le plus pationné en vrai

Il est actif mais dans le mauvais sens du terme. Ses actions font du bruit mais sont vaines , un peu comme un chien qui se débat frénétiquement dans l'eau tout en faisant du sur place , pour a la fin se noyer

Enfin je te laisse le terminer, je suis certain que tu changera d'avis, surtout quand tu verras l'évolution anarchique et brutale d'aglaïa , t'auras l'impression d'avoir manqué 5 chapitres , d'être passé à côté d'un fait majeur , c'est inexplicable

Je crois que l'auteur a expédié la fin et le traitement d'aglaïa en est le plus grand symptôme

Je suis pas certain qu'il cherche le résultat. De ce que j'ai lu il a surtout un rapport paradoxalement détaché au monde, il court a sa perte avec un sourire rageur, il vas au bout de sa logique

C'est vrai, il sait que Nastasia est sa perte , vu comme ça son absence d'évolution se comprend

Par contre Lev le cuck
Je te laisse cette formulation, le cuck s'investit mais mal d'une certaine manière, c'est a dire qu'il attend de la vie des choses qui ne viendrons pas.
Le prince lui c'est autre chose, la spontanéité et la pureté d'un enfant. Il est l'ignorant béni, tous le reconnaisent et certains le haïssent même pur cela

Je suis pas d'accord, Michkyne est bien moins naïf que tel qu'il est présenté au tout début

Il a conscience de la vrai nature de Nastasia et de la médiocrité ambiante qui touche tout les personnages de son environnement.

Si il agit comme un enfant c'est par intransigeance moral, couplé à son incapacité à maitriser sa passion , c'est pour ça qu'il m'énerve .
Il refuse de s'adapter par entêtement

Sinon j'ai pas compris l'intérêt du personnage d'hyppolyte, cet ado leucémique n'apporte rien à l'histoire je trouve

Ces digressions incohérentes qui précèdent sa mort sont inutile

C'est peut etre une réflexion de dostoïevski sur la médiocrité, un peu comme l'est le personnage de Gania. En fait un certain nombre de perso du romant ont ce syndrome très romantique de vouloir etre Napoléon tout en etant banales, c'est même tout le début du 4eme livre. Après pour le prince c'est son coter christique qui le rend presque insupportable aux autres parce qu'il rayonne en bonté a peux de frais, illuminant la laideur des autres.
C'est la nature profondément paradoxale et cruel de la moral et de la bonté comme du pardon. Le pardon, cette acte qui parais le plus grand mépris a l'ame qu'il rachette. Le pardon n'est pas qu'un acte de puissance magnanime de celui qui l'offre, il est surtout l'acte le plus humble pour celui qui le reçoit et l'accepte, ce que certains personnages n'acceptent pas

Oui effectivement, tout les personnages du livres sont médiocre voir banal au mieux mais rêvent tous de grandeur, comme la majorité d'entre-nous

C'est d'ailleurs pour ça qu'aucun d'entre eux n'évolue positivement au fil du récit, parceque c'est ce qui se passe dans le réel au final

Mais Hypolyte ne sert à rien , des personnages en mal de grandeur comme lui y'en a un paquet dans l'Idiot (Gania/l'officier qui courtise aglaïa, et d'autre plus secondaire)

Après je ne serai pas aussi tendre envers Mychkine, il est responsable des causes de son malheur, par faiblesse moral et émotionnel

Tout au long du récit il s'entête dans son intransigeance moral simpliste et enfantine , tout ça pour se trahir à la fin, pour une passion sans avenir

Je pense pas que tu sois arrivée a ce moment mais tu verras de quoi je parle

Au fond pour résumer vulgairement, Michkyne n'est qu'un cuck qui sacrifiera sa probité enfantine pour une AW

Pourquoi pas, je vais lire la fin.

Mais selon toi (et les autres je vous convie) qu'est ce que la médiocrité ?
Le simple mépris que l'on porte a une vie qu'on ne voudrait endurer, comme quoi on est toujours le médiocre d'un autre ?
L'absence d'idéal, de passions, de rêves supérieur a sa propre individualité ?
Le contentement ?

Je dirais que la médiocrité c'est désirer l'opposé de ses conviction/croyance/ valeur morale, et privilégier celui-ci au second

Typiquement un croyant qui commettrait l'adultère par exemple , ou Mychkine qui trahirait une parole donnée

La banalité c'est simplement ne pas être capable de concrétiser ses rêves de grandeurs qui habitent le commun des hommes

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Crime et Châtiment, surtout.

L'Idiot de Dostoïevski est le livre le plus frustrant qu'un homme puisse lire

Tout les personnages sont insupportables, et surtout ils n'évoluent absolument pas, ils se complaisent dans leurs travers sur 1000 pages , malgré que l'auteur te fasse espérer un sursaut de leurs part à la fin

A la fin de ma lecture j'étais à deux doigts de brûler le bouquin, j'ai eu l'impression de m'etre fait voler

C'est pas une redpill pour le coup, mais j'ai jamais lu un livre qui m'a frustré autant

C'est marrant j'en suis au livre 4, je trouve qu'il est pas mal, l'évolution sert a rien c'est plus comme si tu analysais de plus en plus en détails les portraits des perso

Tu ne l'as pas terminé c'est pour ça

Attend de voir les dernières actions d'aglaïa la gamine pourrie gâtée, de sa mère la comtesse égocentrique , de l'insupportable AW nastasia, de michkine le cuck et de son ami passif dont j'ai oublié le nom

La fin est des plus frustrantes, tout les personnages sont expédiés dans les tout des derniers chapitres, chacun s'enfonçant définitivement dans ses travers après 800 pages de plats et de sur place

Rogojine tu veux dire ? Il est pas spécialement passif, dans tout ce tas c'est le plus actif et le plus pationné en vrai

Il est actif mais dans le mauvais sens du terme. Ses actions font du bruit mais sont vaines , un peu comme un chien qui se débat frénétiquement dans l'eau tout en faisant du sur place , pour a la fin se noyer

Enfin je te laisse le terminer, je suis certain que tu changera d'avis, surtout quand tu verras l'évolution anarchique et brutale d'aglaïa , t'auras l'impression d'avoir manqué 5 chapitres , d'être passé à côté d'un fait majeur , c'est inexplicable

Je crois que l'auteur a expédié la fin et le traitement d'aglaïa en est le plus grand symptôme

Je suis pas certain qu'il cherche le résultat. De ce que j'ai lu il a surtout un rapport paradoxalement détaché au monde, il court a sa perte avec un sourire rageur, il vas au bout de sa logique

C'est vrai, il sait que Nastasia est sa perte , vu comme ça son absence d'évolution se comprend

Par contre Lev le cuck
Je te laisse cette formulation, le cuck s'investit mais mal d'une certaine manière, c'est a dire qu'il attend de la vie des choses qui ne viendrons pas.
Le prince lui c'est autre chose, la spontanéité et la pureté d'un enfant. Il est l'ignorant béni, tous le reconnaisent et certains le haïssent même pur cela

Je suis pas d'accord, Michkyne est bien moins naïf que tel qu'il est présenté au tout début

Il a conscience de la vrai nature de Nastasia et de la médiocrité ambiante qui touche tout les personnages de son environnement.

Si il agit comme un enfant c'est par intransigeance moral, couplé à son incapacité à maitriser sa passion , c'est pour ça qu'il m'énerve .
Il refuse de s'adapter par entêtement

Sinon j'ai pas compris l'intérêt du personnage d'hyppolyte, cet ado leucémique n'apporte rien à l'histoire je trouve

Ces digressions incohérentes qui précèdent sa mort sont inutile

C'est peut etre une réflexion de dostoïevski sur la médiocrité, un peu comme l'est le personnage de Gania. En fait un certain nombre de perso du romant ont ce syndrome très romantique de vouloir etre Napoléon tout en etant banales, c'est même tout le début du 4eme livre. Après pour le prince c'est son coter christique qui le rend presque insupportable aux autres parce qu'il rayonne en bonté a peux de frais, illuminant la laideur des autres.
C'est la nature profondément paradoxale et cruel de la moral et de la bonté comme du pardon. Le pardon, cette acte qui parais le plus grand mépris a l'ame qu'il rachette. Le pardon n'est pas qu'un acte de puissance magnanime de celui qui l'offre, il est surtout l'acte le plus humble pour celui qui le reçoit et l'accepte, ce que certains personnages n'acceptent pas

Oui effectivement, tout les personnages du livres sont médiocre voir banal au mieux mais rêvent tous de grandeur, comme la majorité d'entre-nous

C'est d'ailleurs pour ça qu'aucun d'entre eux n'évolue positivement au fil du récit, parceque c'est ce qui se passe dans le réel au final

Mais Hypolyte ne sert à rien , des personnages en mal de grandeur comme lui y'en a un paquet dans l'Idiot (Gania/l'officier qui courtise aglaïa, et d'autre plus secondaire)

Après je ne serai pas aussi tendre envers Mychkine, il est responsable des causes de son malheur, par faiblesse moral et émotionnel

Tout au long du récit il s'entête dans son intransigeance moral simpliste et enfantine , tout ça pour se trahir à la fin, pour une passion sans avenir

Je pense pas que tu sois arrivée a ce moment mais tu verras de quoi je parle

Au fond pour résumer vulgairement, Michkyne n'est qu'un cuck qui sacrifiera sa probité enfantine pour une AW

Pourquoi pas, je vais lire la fin.

Mais selon toi (et les autres je vous convie) qu'est ce que la médiocrité ?
Le simple mépris que l'on porte a une vie qu'on ne voudrait endurer, comme quoi on est toujours le médiocre d'un autre ?
L'absence d'idéal, de passions, de rêves supérieur a sa propre individualité ?
Le contentement ?

Médiocre = de peu d'esprit, de peu de talent, de peu de capacité. Un adjectif que l'on ne peut pas employer pour décrire Muichkyne qui, bien que dépourvu de sensualité, est pourvu d'un don de divination exceptionnel

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Crime et Châtiment, surtout.

L'Idiot de Dostoïevski est le livre le plus frustrant qu'un homme puisse lire

Tout les personnages sont insupportables, et surtout ils n'évoluent absolument pas, ils se complaisent dans leurs travers sur 1000 pages , malgré que l'auteur te fasse espérer un sursaut de leurs part à la fin

A la fin de ma lecture j'étais à deux doigts de brûler le bouquin, j'ai eu l'impression de m'etre fait voler

C'est pas une redpill pour le coup, mais j'ai jamais lu un livre qui m'a frustré autant

C'est marrant j'en suis au livre 4, je trouve qu'il est pas mal, l'évolution sert a rien c'est plus comme si tu analysais de plus en plus en détails les portraits des perso

Tu ne l'as pas terminé c'est pour ça

Attend de voir les dernières actions d'aglaïa la gamine pourrie gâtée, de sa mère la comtesse égocentrique , de l'insupportable AW nastasia, de michkine le cuck et de son ami passif dont j'ai oublié le nom

La fin est des plus frustrantes, tout les personnages sont expédiés dans les tout des derniers chapitres, chacun s'enfonçant définitivement dans ses travers après 800 pages de plats et de sur place

Rogojine tu veux dire ? Il est pas spécialement passif, dans tout ce tas c'est le plus actif et le plus pationné en vrai

Il est actif mais dans le mauvais sens du terme. Ses actions font du bruit mais sont vaines , un peu comme un chien qui se débat frénétiquement dans l'eau tout en faisant du sur place , pour a la fin se noyer

Enfin je te laisse le terminer, je suis certain que tu changera d'avis, surtout quand tu verras l'évolution anarchique et brutale d'aglaïa , t'auras l'impression d'avoir manqué 5 chapitres , d'être passé à côté d'un fait majeur , c'est inexplicable

Je crois que l'auteur a expédié la fin et le traitement d'aglaïa en est le plus grand symptôme

Je suis pas certain qu'il cherche le résultat. De ce que j'ai lu il a surtout un rapport paradoxalement détaché au monde, il court a sa perte avec un sourire rageur, il vas au bout de sa logique

C'est vrai, il sait que Nastasia est sa perte , vu comme ça son absence d'évolution se comprend

Par contre Lev le cuck
Je te laisse cette formulation, le cuck s'investit mais mal d'une certaine manière, c'est a dire qu'il attend de la vie des choses qui ne viendrons pas.
Le prince lui c'est autre chose, la spontanéité et la pureté d'un enfant. Il est l'ignorant béni, tous le reconnaisent et certains le haïssent même pur cela

Je suis pas d'accord, Michkyne est bien moins naïf que tel qu'il est présenté au tout début

Il a conscience de la vrai nature de Nastasia et de la médiocrité ambiante qui touche tout les personnages de son environnement.

Si il agit comme un enfant c'est par intransigeance moral, couplé à son incapacité à maitriser sa passion , c'est pour ça qu'il m'énerve .
Il refuse de s'adapter par entêtement

Sinon j'ai pas compris l'intérêt du personnage d'hyppolyte, cet ado leucémique n'apporte rien à l'histoire je trouve

Ces digressions incohérentes qui précèdent sa mort sont inutile

C'est peut etre une réflexion de dostoïevski sur la médiocrité, un peu comme l'est le personnage de Gania. En fait un certain nombre de perso du romant ont ce syndrome très romantique de vouloir etre Napoléon tout en etant banales, c'est même tout le début du 4eme livre. Après pour le prince c'est son coter christique qui le rend presque insupportable aux autres parce qu'il rayonne en bonté a peux de frais, illuminant la laideur des autres.
C'est la nature profondément paradoxale et cruel de la moral et de la bonté comme du pardon. Le pardon, cette acte qui parais le plus grand mépris a l'ame qu'il rachette. Le pardon n'est pas qu'un acte de puissance magnanime de celui qui l'offre, il est surtout l'acte le plus humble pour celui qui le reçoit et l'accepte, ce que certains personnages n'acceptent pas

Oui effectivement, tout les personnages du livres sont médiocre voir banal au mieux mais rêvent tous de grandeur, comme la majorité d'entre-nous

C'est d'ailleurs pour ça qu'aucun d'entre eux n'évolue positivement au fil du récit, parceque c'est ce qui se passe dans le réel au final

Mais Hypolyte ne sert à rien , des personnages en mal de grandeur comme lui y'en a un paquet dans l'Idiot (Gania/l'officier qui courtise aglaïa, et d'autre plus secondaire)

Après je ne serai pas aussi tendre envers Mychkine, il est responsable des causes de son malheur, par faiblesse moral et émotionnel

Tout au long du récit il s'entête dans son intransigeance moral simpliste et enfantine , tout ça pour se trahir à la fin, pour une passion sans avenir

Je pense pas que tu sois arrivée a ce moment mais tu verras de quoi je parle

Au fond pour résumer vulgairement, Michkyne n'est qu'un cuck qui sacrifiera sa probité enfantine pour une AW

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Crime et Châtiment, surtout.

L'Idiot de Dostoïevski est le livre le plus frustrant qu'un homme puisse lire

Tout les personnages sont insupportables, et surtout ils n'évoluent absolument pas, ils se complaisent dans leurs travers sur 1000 pages , malgré que l'auteur te fasse espérer un sursaut de leurs part à la fin

A la fin de ma lecture j'étais à deux doigts de brûler le bouquin, j'ai eu l'impression de m'etre fait voler

C'est pas une redpill pour le coup, mais j'ai jamais lu un livre qui m'a frustré autant

C'est marrant j'en suis au livre 4, je trouve qu'il est pas mal, l'évolution sert a rien c'est plus comme si tu analysais de plus en plus en détails les portraits des perso

Tu ne l'as pas terminé c'est pour ça

Attend de voir les dernières actions d'aglaïa la gamine pourrie gâtée, de sa mère la comtesse égocentrique , de l'insupportable AW nastasia, de michkine le cuck et de son ami passif dont j'ai oublié le nom

La fin est des plus frustrantes, tout les personnages sont expédiés dans les tout des derniers chapitres, chacun s'enfonçant définitivement dans ses travers après 800 pages de plats et de sur place

Rogojine tu veux dire ? Il est pas spécialement passif, dans tout ce tas c'est le plus actif et le plus pationné en vrai

Il est actif mais dans le mauvais sens du terme. Ses actions font du bruit mais sont vaines , un peu comme un chien qui se débat frénétiquement dans l'eau tout en faisant du sur place , pour a la fin se noyer

Enfin je te laisse le terminer, je suis certain que tu changera d'avis, surtout quand tu verras l'évolution anarchique et brutale d'aglaïa , t'auras l'impression d'avoir manqué 5 chapitres , d'être passé à côté d'un fait majeur , c'est inexplicable

Je crois que l'auteur a expédié la fin et le traitement d'aglaïa en est le plus grand symptôme

Je suis pas certain qu'il cherche le résultat. De ce que j'ai lu il a surtout un rapport paradoxalement détaché au monde, il court a sa perte avec un sourire rageur, il vas au bout de sa logique

C'est vrai, il sait que Nastasia est sa perte , vu comme ça son absence d'évolution se comprend

Par contre Lev le cuck
Je te laisse cette formulation, le cuck s'investit mais mal d'une certaine manière, c'est a dire qu'il attend de la vie des choses qui ne viendrons pas.
Le prince lui c'est autre chose, la spontanéité et la pureté d'un enfant. Il est l'ignorant béni, tous le reconnaisent et certains le haïssent même pur cela

Je suis pas d'accord, Michkyne est bien moins naïf que tel qu'il est présenté au tout début

Il a conscience de la vrai nature de Nastasia et de la médiocrité ambiante qui touche tout les personnages de son environnement.

C'est d'ailleurs pour ça qu'aucun d'entre eux n'évolue positivement au fil du récit, parceque c'est ce qui se passe dans le réel au final

Mais Hypolyte ne sert à rien , des personnages en mal de grandeur comme lui y'en a un paquet dans l'Idiot (Gania/l'officier qui courtise aglaïa, et d'autre plus secondaire)

Après je ne serai pas aussi tendre envers Mychkine, il est responsable des causes de son malheur, par faiblesse moral et émotionnel

Tout au long du récit il s'entête dans son intransigeance moral simpliste et enfantine , tout ça pour se trahir à la fin, pour une passion sans avenir

Je pense pas que tu sois arrivée a ce moment mais tu verras de quoi je parle

Au fond pour résumer vulgairement, Muichkyne n'est qu'un cuck qui sacrifiera sa probité enfantine pour une AW

Plus que ça, Mychkine reflète la conception dostoievskienne de l'amour. L'amour pour D est tragique et déchire l'individu. C'est une passion malsaine on pourrait dire car l'amour te fait tendre hors de toi-même mais jamais tu ne sors de toi-même. Muichkyne est incapable de posséder l'objet de son amour est de s'unir à celui-ci. Pour D, il n'y a pas de fusion de deux âmes en une seule chez lui, dès l’origine, l’amour est voué à la ruine (sauf celui de Dieu)

C'est vrai , cette passion dévorante est récurrente chez beaucoup des personnages de Dostoïevski, ceci explique les développements des personnages de Mychkine ou Svidrigaïlov dans crime et châtiment

J'avais pas vu ça sous cette angle

Le 18 décembre 2021 à 22:28:41 :
Les rêves d’un homme ridicule

Énorme giga supra méga redpill celui là.