"Non mais c'est un sujet complexe en fait"
SuppriméLe 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
Le 12 décembre 2021 à 17:33:37 :
le simple fait qu'il n'y ait pas de consensus scientifique sur la question est un argument en soit: on laisse le législateur décider de tuer ou non ce qui pourrait être considéré comme un être humain.C'est marrant mais dans ce cas précis il n'y a pas de principe de précaution. Un posture éthique raisonable serait de décider d'interdire complement l'avortement face à l'impossiblité de définir scientifiquement et objectivement à quel moment un embryon/foetus à la légitimité de vivre.
On vit dans une société où la peine de mort est taboue, l'un des arguments premier étant "quid des erreur judiciaire ?". Pourtant on choisi arbitrairement une date à partir de laquelle il est acceptable de tuer un potentiel être humain.
C'est d'autant plus cocasse qu'à côté de ça on commence à donner des droits aux animaux. Les golems en 2021 s'indignent du mauvais traitement des poules dans les abattoirs mais hurleront aux fachisme si on ose ne serait-ce que questionner la légitimiter du droit à l'avortement.
Absolument. Deux pays différents ne se mettront pas d'accord sur la date limite pour tuer son enfant, mais les avortax croient encore que la science peut fournir un créneau précis d'apparition de la vie
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.
Foetus = cellules = coupe toi les cellules de ta main osef
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 QueSais-Je a écrit :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.
La gymnastique mentale des athées c'est formidable
Le 12 décembre 2021 à 17:34:31 :
Le 12 décembre 2021 à 17:30:28 :
Le 12 décembre 2021 à 17:29:09 :
Le 12 décembre 2021 à 17:27:56 :
Le 12 décembre 2021 à 17:24:24 :
Le 12 décembre 2021 à 17:22:35 :
Yes j'ai fait bannir ce déchet et son pseudo antisémiteEt l'autre aussi tout aussi dérangé qui jubile devant son écran
Personne à gauche n'a jamais prétendu ça
Un vrai gaucho tabasse les fascistes dans ton genre à toute heure
Les hommes soja dans ton genre se cassent le bras lorsqu'ils tentent de porter un coup
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
Les arbres communiquent ahurins, et non on s'en fou pas tous
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
La conscience ne peut pas définir la validité de la vie, sinon il serait aussi légitime d'assassiner quelqu'un dans le coma ou le sommeil qu'un foetus
Le 12 décembre 2021 à 17:37:17 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 QueSais-Je a écrit :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.La gymnastique mentale des athées c'est formidable
Le 12 décembre 2021 à 17:35:38 :
Parce que dans ton exemple meurtre n'implique pas forcément qu'il faut le bannir puisqu'un meurtre n'est pas forcément mauvais, tuer c'est juste enlever une vie, mais enlever une vie qui n'a pas de valeur ça n'a rien de grave, comme quand j'écrase un moustique j'enlève une vie mais ce n'est pas grave, le débat pose donc la question de savoir qu'est ce qui donne de la valeur à une vie ? Qu'est ce qui différencie de tuer un homme, une vache, un poisson, un insecte, une bactérie, un foetus ectDonc oui c'est un sujet complexe, t'es juste con.
Le 12 décembre 2021 à 17:33:37 M4st3r0fS0ck3tz a écrit :
le simple fait qu'il n'y ait pas de consensus scientifique sur la question est un argument en soit: on laisse le législateur décider de tuer ou non ce qui pourrait être considéré comme un être humain.C'est marrant mais dans ce cas précis il n'y a pas de principe de précaution. Un posture éthique raisonable serait de décider d'interdire complement l'avortement face à l'impossiblité de définir scientifiquement et objectivement à quel moment un embryon/foetus à la légitimité de vivre.
On vit dans une société où la peine de mort est taboue, l'un des arguments premier étant "quid des erreur judiciaire ?". Pourtant on choisi arbitrairement une date à partir de laquelle il est acceptable de tuer un potentiel être humain.
C'est d'autant plus cocasse qu'à côté de ça on commence à donner des droits aux animaux. Les golems en 2021 s'indignent du mauvais traitement des poules dans les abattoirs mais hurleront aux fachisme si on ose ne serait-ce que questionner la légitimiter du droit à l'avortement.
Le CCNE qualifie le fœtus/embryon de personne humaine potentielle ou en devenir. Il est difficile pour le législateur de classer le fœtus dès lors qu'en droit on souffre d'une certaine limite entre les personnes d'un côté, qui ont tous les droits, et les choses, objets sur lesquels s'exercent nos droits. Le fœtus est vraiment dans une catégorie à part, d'où la difficulté en la matière. La même chose se pose pour les animaux, c'est vrai mais il faut aller plus loin. Car on parle toujours des animaux dits domestiques, quid des animaux sauvages ? Quid de la flore ? Certains pays sont en avance là-dessus (Inde, NZ de mémoire ou encore Brésil). De nouveaux problèmes arrivent, comme par exemple les droits que l'on pourrait attribuer à l'IA.
En ce qui concerne l'abolition de la peine de mort, le premier argument ne repose plus sur l'erreur judiciaire mais sur la dignité de la personne humaine.
Le 12 décembre 2021 à 17:37:43 :
Le 12 décembre 2021 à 17:34:31 :
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Le 12 décembre 2021 à 17:27:56 :
Le 12 décembre 2021 à 17:24:24 :
Le 12 décembre 2021 à 17:22:35 :
Yes j'ai fait bannir ce déchet et son pseudo antisémiteEt l'autre aussi tout aussi dérangé qui jubile devant son écran
Personne à gauche n'a jamais prétendu ça
Un vrai gaucho tabasse les fascistes dans ton genre à toute heure
Les hommes soja dans ton genre se cassent le bras lorsqu'ils tentent de porter un coup
Au passage, pour ton exemple très réaliste du migrant attaché à moi, il n'est effectivement pas moins un être vivant, et bien qu'il me pourrisse la vie il ne serait pas légitime de l'assassiner
La position géographique ne définit pas la validité de la vie
Le 12 décembre 2021 à 17:37:48 :
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
La conscience ne peut pas définir la validité de la vie, sinon il serait aussi légitime d'assassiner quelqu'un dans le coma ou le sommeil qu'un foetus
Si j'ai un proche brancher à l'hitpital dans le coma et que l'on sait qu'il se réveillera jamais je le laisserais partir perso
Le 12 décembre 2021 à 17:33:37 :
le simple fait qu'il n'y ait pas de consensus scientifique sur la question est un argument en soit: on laisse le législateur décider de tuer ou non ce qui pourrait être considéré comme un être humain.C'est marrant mais dans ce cas précis il n'y a pas de principe de précaution. Un posture éthique raisonable serait de décider d'interdire complement l'avortement face à l'impossiblité de définir scientifiquement et objectivement à quel moment un embryon/foetus à la légitimité de vivre.
On vit dans une société où la peine de mort est taboue, l'un des arguments premier étant "quid des erreur judiciaire ?". Pourtant on choisi arbitrairement une date à partir de laquelle il est acceptable de tuer un potentiel être humain.
C'est d'autant plus cocasse qu'à côté de ça on commence à donner des droits aux animaux. Les golems en 2021 s'indignent du mauvais traitement des poules dans les abattoirs mais hurleront aux fachisme si on ose ne serait-ce que questionner la légitimiter du droit à l'avortement.
C'est la même contradiction des progressistes avec la PMA.
Lorsqu'il s'agit d'avortement l'un des principaux arguments est de dire qu'on est "trop" sur terre. Mais ce sont les mêmes qui sont prêts à donner le droit a des femmes de faire des gosses tout en sachant sciemment qu'ils naîtront privés de la possibilité d'avoir un paternel. Dans ce cas les préoccupations démographiques et écologiques les intéresse beaucoup moins.
Le 12 décembre 2021 à 17:37:48 :
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
La conscience ne peut pas définir la validité de la vie, sinon il serait aussi légitime d'assassiner quelqu'un dans le coma ou le sommeil qu'un foetus
Assassiner non, débrancher un comateux branché à toi contre ton gré et dont la seule chance de survie est que tu restes comme ça 9 mois oui c'est légitime
Le 12 décembre 2021 à 17:38:53 :
Le 12 décembre 2021 à 17:35:38 :
Parce que dans ton exemple meurtre n'implique pas forcément qu'il faut le bannir puisqu'un meurtre n'est pas forcément mauvais, tuer c'est juste enlever une vie, mais enlever une vie qui n'a pas de valeur ça n'a rien de grave, comme quand j'écrase un moustique j'enlève une vie mais ce n'est pas grave, le débat pose donc la question de savoir qu'est ce qui donne de la valeur à une vie ? Qu'est ce qui différencie de tuer un homme, une vache, un poisson, un insecte, une bactérie, un foetus ectDonc oui c'est un sujet complexe, t'es juste con.
Le 12 décembre 2021 à 17:37:44 :
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
Les arbres communiquent ahurins, et non on s'en fou pas tous
Le 12 décembre 2021 à 17:40:15 :
Le 12 décembre 2021 à 17:37:48 :
Le 12 décembre 2021 à 17:36:44 :
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Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
La question n'est pas de savoir si le foetus es vivant mais de savoir si le foetus est conscient.
Tu en a quelque chose à foutre quand tu coupe un arbre ? Bah non il est pas conscient.
La conscience ne peut pas définir la validité de la vie, sinon il serait aussi légitime d'assassiner quelqu'un dans le coma ou le sommeil qu'un foetus
Assassiner non, débrancher un comateux branché à toi contre ton gré et dont la seule chance de survie est que tu restes comme ça 9 mois oui c'est légitime
Le comateux il s'est pas attaché à moi tout seul
Je te fais pas un dessin mais il s'est passé un truc avant pour que la femme tombe enceinte
Données du topic
- Auteur
- OdeurDuZyklonB
- Date de création
- 12 décembre 2021 à 16:47:20
- Date de suppression
- 12 décembre 2021 à 17:50:48
- Supprimé par
- Modération ou administration
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