[VACCINATION]LE JEU COMMENCE

Le 03 août 2021 à 10:48:57 :
J'etais plutôt pro vaxx en avril-mai quand mes parents se faisaient vacciner.

Mais l'abondance de menaces/culpabilisations/mepris m'a saoulé et je crois que c'est aujourd'hui quasi irreversible

Je termine mon contrat fin fevrier et go expat (même avant si ca devient trop invivable), j'aurais jamais pensé dire ça y'a 1 ou 2 an...

Et est-ce que le discours politique vaut le consensus scientifique?

Le 03 août 2021 à 10:58:04 :

Le 03 août 2021 à 10:52:56 :

Le 03 août 2021 à 10:42:33 :

Le 03 août 2021 à 10:34:43 :

Le 03 août 2021 à 10:30:19 :

Le 03 août 2021 à 09:31:03 :
Que quelqu'un me donne UN argument rationnel contre les vaccins, les enfants. S'il-vous-plait, j'essaie de comprendre la vague de complotisme qui touche 12% de la population selon mes sondages.
Merci.

Plutôt que de t'interesser aux complotistes, interesses toi aux comploteurs le low
https://streamable.com/03ns4r
https://twitter.com/DocteurGonzo4/status/1421769743925751808

OUH du twitter, on est sur de la grosse fiabilité là!
Sarcasme mis à part, tu me donnes le DOI de l'étude?
Et tu peux nous dire à quoi servirait un "complot" du vaccin?
Petit rappel: "complotiste" ne signifie pas "lanceur d'alerte" mais bien "personne qui croit sans preuve en un complot imaginaire"

J'ai trouvé l'étude en question. Sans surprise, les conclusions n'ont rien à voir avec ce qui est avancé par ceux qui la déforment partagent: https://news.mit.edu/2021/when-more-covid-data-doesnt-equal-more-understanding-0304
Le titre reprend la conclusion...
Merci pour cette démonstration en "live" de "Comment une information déformée ou erronée est crue par quelqu'un qui ne la vérifie pas"

Qu'est ce que tu comprends pas là-dedans ?

"Les chercheurs ont constaté que les groupes antimasques créaient et partageaient des visualisations de données autant, sinon plus, que les autres groupes.

Et ces visualisations n'étaient pas bâclées. "Elles sont pratiquement impossibles à distinguer de celles partagées par les sources traditionnelles", explique Satyanarayan. "Ils sont souvent tout aussi soignés que les graphiques que l'on s'attend à rencontrer dans le journalisme de données ou les tableaux de bord de la santé publique."

"C'est une découverte très frappante", déclare Lee. "Il montre que caractériser les groupes antimasque comme étant analphabètes en matière de données ou ne s'engageant pas avec les données, est empiriquement faux."

L'équipe de Lee a suivi et analysé les conversations sur les visualisations de données dans des groupes Facebook antimasques - une pratique qu'ils ont baptisée "deep lurking", une version en ligne de la technique ethnographique appelée "deep hanging out". Selon Lee, "pour comprendre une culture, il faut observer les activités informelles quotidiennes, et pas seulement les grands événements officiels. Le "deep lurking" est un moyen de transposer ces approches ethnographiques traditionnelles à l'ère numérique."

Les résultats qualitatifs de l'observation en profondeur semblent cohérents avec les résultats quantitatifs de Twitter. Les antimasqueurs sur Facebook n'évitent pas les données. Ils ont plutôt discuté de la manière dont les différents types de données ont été collectés et pourquoi. "Leurs arguments sont vraiment très nuancés", déclare Lee. "C'est souvent une question de métrique". Par exemple, les groupes antimasque pourraient faire valoir que la visualisation des chiffres d'infection pourrait être trompeuse, en partie à cause de la large gamme d'incertitudes dans les taux d'infection, par rapport aux mesures comme le nombre de décès. En réponse, les membres du groupe créent souvent leurs propres contre-visualisations, voire s'instruisent mutuellement sur les techniques de visualisation des données.

"J'ai assisté à des livestreams où les gens partageaient l'écran et regardaient le portail de données de l'État de Géorgie", raconte Lee. "Ensuite, ils parlent de la façon de télécharger les données et de les importer dans Excel."

Selon Jones, "l'idée que les groupes antimasques se font de la science n'est pas d'écouter passivement des experts dans un endroit comme le MIT dire à tout le monde ce qu'il faut croire." Il ajoute que ce type de comportement marque un nouveau tournant pour un vieux courant culturel. "L'utilisation de la culture des données par les antimaskers reflète des valeurs américaines profondément ancrées d'autonomie et d'anti-expertise qui remontent à la fondation du pays, mais leurs activités en ligne poussent ces valeurs dans de nouvelles arènes de la vie publique."

Il ajoute que "donner un sens à ces dynamiques complexes aurait été impossible" sans le "leadership visionnaire de Lee, qui a dirigé une collaboration interdisciplinaire entre la SHASS et la CSAIL".

La recherche par méthodes mixtes "fait progresser notre compréhension des visualisations de données dans le façonnement de la perception publique de la science et de la politique", déclare Jevin West, un spécialiste des données de l'université de Washington, qui n'a pas participé à la recherche. Les visualisations de données "portent un vernis d'objectivité et de précision scientifique. Mais comme le montre cet article, les visualisations de données peuvent être utilisées efficacement dans les deux camps opposés d'une question", ajoute-t-il. "Il souligne la complexité du problème : il ne suffit pas d'enseigner l'éducation aux médias. Il faut une compréhension sociopolitique plus nuancée de ceux qui créent et interprètent les graphiques de données."

En combinant les perspectives informatiques et anthropologiques, les chercheurs ont abouti à une compréhension plus nuancée de la culture des données. Selon Lee, leur étude révèle que, par rapport à l'orthodoxie de la santé publique, "les antimasqueurs voient la pandémie différemment, en utilisant des données qui sont assez similaires. Je continue de penser que l'analyse des données est importante. Mais elle n'est certainement pas le baume que je pensais qu'elle était pour convaincre les personnes qui pensent que l'establishment scientifique n'est pas digne de confiance". Selon M. Lee, leurs conclusions mettent en évidence "un fossé plus large dans la façon dont nous pensons à la science et à l'expertise aux États-Unis". Ce même clivage se retrouve dans des questions telles que le changement climatique et la vaccination, où des dynamiques similaires se manifestent souvent dans les discussions sur les médias sociaux.

Pour rendre ces résultats accessibles au public, Mme Lee et son collaborateur, Jonathan Zong, étudiant en doctorat au CSAIL, ont dirigé une équipe de sept chercheurs de premier cycle du MIT pour développer un récit interactif où les lecteurs peuvent explorer les visualisations et les conversations par eux-mêmes.

Mme Lee décrit les recherches de l'équipe comme une première étape dans la compréhension du rôle des données et des visualisations dans ces débats plus larges. "La visualisation des données n'est pas objective. Elle n'est pas absolue. Il s'agit en fait d'une entreprise incroyablement sociale et politique. Nous devons être attentifs à la façon dont les gens les interprètent en dehors de l'establishment scientifique."

Cette recherche a été financée, en partie, par la National Science Foundation et le Social Science Research Council.

Visiblement tu n'as pas compris, TOI.
L'étude dit simplement que les détracteurs des vaccins ne sont pas forcément des incapables illettrés et que certains savent même jouer avec les données pour leur faire dire l'inverse de ce qui fait consensus.
Ce n'est pas surprenant!
Mais ça ne signifie pas qu'ils sont plus instruits comme le sous-entendent ceux qui relaient l'étude. Ce que tu fais là, et que d'autres font aussi à ce sujet, s'appelle un biais d'interprétation.

À quel moment j'ai dis qu'ils étaient plus instruit le low ?

Le 03 août 2021 à 11:04:28 :
Pas un seul test 0 vaccin, je tiens même si c'est dur, pour Dieu

Tu fais pas le vaccin pour motif religieux ? (C'est une vraie question )

Au début je riais de tout ça

Aujourd'hui je perds mon travail, demain peut-être mon logement

J'enculerais la vie avec la haine dans les yeux

Bonne chance à tous

1 test
0 covid
0 vaccin

Toujours vivant en dépit de

Le 03 août 2021 à 11:03:43 :

Le 03 août 2021 à 10:58:04 :

Le 03 août 2021 à 10:52:56 :

Le 03 août 2021 à 10:42:33 :

Le 03 août 2021 à 10:34:43 :

Le 03 août 2021 à 10:30:19 :

Le 03 août 2021 à 09:31:03 :
Que quelqu'un me donne UN argument rationnel contre les vaccins, les enfants. S'il-vous-plait, j'essaie de comprendre la vague de complotisme qui touche 12% de la population selon mes sondages.
Merci.

Plutôt que de t'interesser aux complotistes, interesses toi aux comploteurs le low
https://streamable.com/03ns4r
https://twitter.com/DocteurGonzo4/status/1421769743925751808

OUH du twitter, on est sur de la grosse fiabilité là!
Sarcasme mis à part, tu me donnes le DOI de l'étude?
Et tu peux nous dire à quoi servirait un "complot" du vaccin?
Petit rappel: "complotiste" ne signifie pas "lanceur d'alerte" mais bien "personne qui croit sans preuve en un complot imaginaire"

J'ai trouvé l'étude en question. Sans surprise, les conclusions n'ont rien à voir avec ce qui est avancé par ceux qui la déforment partagent: https://news.mit.edu/2021/when-more-covid-data-doesnt-equal-more-understanding-0304
Le titre reprend la conclusion...
Merci pour cette démonstration en "live" de "Comment une information déformée ou erronée est crue par quelqu'un qui ne la vérifie pas"

Qu'est ce que tu comprends pas là-dedans ?

"Les chercheurs ont constaté que les groupes antimasques créaient et partageaient des visualisations de données autant, sinon plus, que les autres groupes.

Et ces visualisations n'étaient pas bâclées. "Elles sont pratiquement impossibles à distinguer de celles partagées par les sources traditionnelles", explique Satyanarayan. "Ils sont souvent tout aussi soignés que les graphiques que l'on s'attend à rencontrer dans le journalisme de données ou les tableaux de bord de la santé publique."

"C'est une découverte très frappante", déclare Lee. "Il montre que caractériser les groupes antimasque comme étant analphabètes en matière de données ou ne s'engageant pas avec les données, est empiriquement faux."

L'équipe de Lee a suivi et analysé les conversations sur les visualisations de données dans des groupes Facebook antimasques - une pratique qu'ils ont baptisée "deep lurking", une version en ligne de la technique ethnographique appelée "deep hanging out". Selon Lee, "pour comprendre une culture, il faut observer les activités informelles quotidiennes, et pas seulement les grands événements officiels. Le "deep lurking" est un moyen de transposer ces approches ethnographiques traditionnelles à l'ère numérique."

Les résultats qualitatifs de l'observation en profondeur semblent cohérents avec les résultats quantitatifs de Twitter. Les antimasqueurs sur Facebook n'évitent pas les données. Ils ont plutôt discuté de la manière dont les différents types de données ont été collectés et pourquoi. "Leurs arguments sont vraiment très nuancés", déclare Lee. "C'est souvent une question de métrique". Par exemple, les groupes antimasque pourraient faire valoir que la visualisation des chiffres d'infection pourrait être trompeuse, en partie à cause de la large gamme d'incertitudes dans les taux d'infection, par rapport aux mesures comme le nombre de décès. En réponse, les membres du groupe créent souvent leurs propres contre-visualisations, voire s'instruisent mutuellement sur les techniques de visualisation des données.

"J'ai assisté à des livestreams où les gens partageaient l'écran et regardaient le portail de données de l'État de Géorgie", raconte Lee. "Ensuite, ils parlent de la façon de télécharger les données et de les importer dans Excel."

Selon Jones, "l'idée que les groupes antimasques se font de la science n'est pas d'écouter passivement des experts dans un endroit comme le MIT dire à tout le monde ce qu'il faut croire." Il ajoute que ce type de comportement marque un nouveau tournant pour un vieux courant culturel. "L'utilisation de la culture des données par les antimaskers reflète des valeurs américaines profondément ancrées d'autonomie et d'anti-expertise qui remontent à la fondation du pays, mais leurs activités en ligne poussent ces valeurs dans de nouvelles arènes de la vie publique."

Il ajoute que "donner un sens à ces dynamiques complexes aurait été impossible" sans le "leadership visionnaire de Lee, qui a dirigé une collaboration interdisciplinaire entre la SHASS et la CSAIL".

La recherche par méthodes mixtes "fait progresser notre compréhension des visualisations de données dans le façonnement de la perception publique de la science et de la politique", déclare Jevin West, un spécialiste des données de l'université de Washington, qui n'a pas participé à la recherche. Les visualisations de données "portent un vernis d'objectivité et de précision scientifique. Mais comme le montre cet article, les visualisations de données peuvent être utilisées efficacement dans les deux camps opposés d'une question", ajoute-t-il. "Il souligne la complexité du problème : il ne suffit pas d'enseigner l'éducation aux médias. Il faut une compréhension sociopolitique plus nuancée de ceux qui créent et interprètent les graphiques de données."

En combinant les perspectives informatiques et anthropologiques, les chercheurs ont abouti à une compréhension plus nuancée de la culture des données. Selon Lee, leur étude révèle que, par rapport à l'orthodoxie de la santé publique, "les antimasqueurs voient la pandémie différemment, en utilisant des données qui sont assez similaires. Je continue de penser que l'analyse des données est importante. Mais elle n'est certainement pas le baume que je pensais qu'elle était pour convaincre les personnes qui pensent que l'establishment scientifique n'est pas digne de confiance". Selon M. Lee, leurs conclusions mettent en évidence "un fossé plus large dans la façon dont nous pensons à la science et à l'expertise aux États-Unis". Ce même clivage se retrouve dans des questions telles que le changement climatique et la vaccination, où des dynamiques similaires se manifestent souvent dans les discussions sur les médias sociaux.

Pour rendre ces résultats accessibles au public, Mme Lee et son collaborateur, Jonathan Zong, étudiant en doctorat au CSAIL, ont dirigé une équipe de sept chercheurs de premier cycle du MIT pour développer un récit interactif où les lecteurs peuvent explorer les visualisations et les conversations par eux-mêmes.

Mme Lee décrit les recherches de l'équipe comme une première étape dans la compréhension du rôle des données et des visualisations dans ces débats plus larges. "La visualisation des données n'est pas objective. Elle n'est pas absolue. Il s'agit en fait d'une entreprise incroyablement sociale et politique. Nous devons être attentifs à la façon dont les gens les interprètent en dehors de l'establishment scientifique."

Cette recherche a été financée, en partie, par la National Science Foundation et le Social Science Research Council.

Visiblement tu n'as pas compris, TOI.
L'étude dit simplement que les détracteurs des vaccins ne sont pas forcément des incapables illettrés et que certains savent même jouer avec les données pour leur faire dire l'inverse de ce qui fait consensus.
Ce n'est pas surprenant!
Mais ça ne signifie pas qu'ils sont plus instruits comme le sous-entendent ceux qui relaient l'étude. Ce que tu fais là, et que d'autres font aussi à ce sujet, s'appelle un biais d'interprétation.

À quel moment j'ai dis qu'ils étaient plus instruit le low ?

Tu ne le sous-entends pas en disant "le low" à tous bouts de champs, en parlant de complots ("comploteurs") etc??

Le 03 août 2021 à 11:23:36 :
Bon, j'ai des choses à faire...
Si quelqu'un a quelque chose de pertinent à me dire, et par pertinent j'entend "rationnel" et qui respecte la charge de la preuve (Quod gratis assertitur gratis negatur: si vous allez contre le consensus scientifique, il faut prouver), qu'il m'interpelle en MP
Bonne journée, et vive les vaccins

Mais qu'est ce qu'il raconte lui

Tiens ton sondage à 12% https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-67074900-1-0-1-0-sondage-es-tu-vaccine-version-post-obligation-vaccinale.htm

1 Contamination sure (Début 2020)
Excellente santé, Carnet de Santé à jour
0 Vaccins COV19

Je ne me ferais pas vacciner pour le COVID.

Le 03 août 2021 à 11:35:31 :

Le 03 août 2021 à 11:23:36 :
Bon, j'ai des choses à faire...
Si quelqu'un a quelque chose de pertinent à me dire, et par pertinent j'entend "rationnel" et qui respecte la charge de la preuve (Quod gratis assertitur gratis negatur: si vous allez contre le consensus scientifique, il faut prouver), qu'il m'interpelle en MP
Bonne journée, et vive les vaccins

Mais qu'est ce qu'il raconte lui

Tiens ton sondage à 12% https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-67074900-1-0-1-0-sondage-es-tu-vaccine-version-post-obligation-vaccinale.htm

Je repassais par hasard, et, que vois-je? Quelqu'un qui a besoin d'un peu d'instruction. Comme on est sur un forum 12-25 ans, je pars du principe que tu es très jeune et n'as pas encore eu de cours de statistiques...
Alors, voyons...
1)Un sondage doit être fait sur un panel (ou une cohorte) représentatif de la population. Pas sur un panel qui contient uniquement des (plus ou moins) geeks de 12 à 25 ans. Sans quoi il n'est pas représentatif de la population.
Si tu fais le même sondage sur un forum scientifique, du genre Futura-Sciences, tu obtiendras un résultat différent, de même si tu le fais parmi le personnel d'une université ou auprès de personnes agées.
Pour te donner un exemple, si tu fais un sondage "Quelle est votre loisir préféré: pêche et chasse- les soirées quizz entre amis - sortir en boite de nuit" tu n'auras pas les mêmes résultats avec des 12-25 ans qu'avec les 25-35 ans et les 35-45 ans. Tu n'auras pas non plus les mêmes résultats selon le niveau d'éducation, de revenus, la zone géographique des personnes du panel.
C'est pour ça qu'il faut un panel varié.

2) j'ai bien parlé d'un sondage que j'ai fais: auprès de 540 personnes, panel varié (16 à 68 ans, toutes classes sociales, tous niveaux d'éducation du déscolarisé en 3ème au docteur en physique), j'ai 51 personnes qui sont contre le vaccin et 13 plutôt contre.
3) dans la réalité, tout les non-vaccinés ne sont pas complotistes: 50% de la population serait vaccinée, et ceux qui ne le sont pas comptent: ceux qui ne le peuvent pas pour raison médicale (immunodéficients, allergiques...) psychiatrique (phobie des piqûres, agoraphobie...) ou religieuse, ceux qui ne le font pas par insouciance (ceux qui le remettent à plus tard, ou ne s'en préoccupent pas du tout...). Il y a ceux qui ont pris rendez-vous pour dans un mois, ceux qui sont entre deux injections...
Tu comprends maintenant à quel point ton sondage est biaisé et sans valeur statistique?

[11:08:23] <TintinEncaisse>
PCR tous les vendredis perso, y'a bien un moment où il sera positif et j'aurais le certificat de rétablissement

J'ai cru comprendre que le coca rendait le test positif.
Si je fou du coca dans le nez genre 5 mn avant. Ca peux marcher vous pensez ?