Ce CUL forgé par les dieux amérindiens

17 juillet 2021 à 06:32:31

Le 06 juillet 2021 à 13:49:28 :
On raconte que les chamans des plaines d'Amérique du nord rencontraient quelques difficultés à bander après savoir trop méditer et détruit toute passion terrestre. Les grands chamans désignèrent l'élue, la plus belle femmes de la tribu, et ils l'attachèrent de nombreux mois autour d'une poutre et se mirent à méditer autour. Des milliers d'heures de méditation transcendantale eurent lieu en cercle, les chamans firent tomber la foudre sur le poteau où était attachée la jeune femme, une aura enchanteresse illuminait son corps, le rite avait commencé. À l'aide des esprits d'anciennes femmes fécondes, et d'offrandes constituées de morceau bien gras de bison et de bons laits de bisonne que l'on enfonçait sans vergogne directement dans le sphincter de l'élue, son cul avait été enchanté, il pouvait désormais se nourrir pour lui, et lui seul. La légende raconte qu'on pouvait l'entendre mastiquer. Une fois l'année terminée, une immense quantité de glucides et de protéines avait été glissés dans ce cul, il avait mangé pour toute la tribu, des chamans étaient mort de faim pour mener à bien ce projet sacré. Les efforts finirent par payer, on fit venir le plus vieil homme de la tribu, il avait alors atteint ses 114 ans, et ce qui se passa laissa tout le monde bouche bée. On vit se dresser le sexe du vieillard, et devenir presque aussi long que sa canne, ce Boulard était si gros que pour en pénétrer les deux fesses si charnues et saillantes, il fallait être bien armer, ce divin pétard enchanté avait fait allonger le sexe du vieil homme, il avait redonner la fertilité à ces impuissants qui désormais faisait la queue plusieurs des trentaines de fois par jour chacun pour pouvoir semer leur graine dans ce terreau fertile, il y eut beaucoup de naissance et à la mort de l'élue, on se rendit compte que son gros cul avait conservé tous ses pouvoirs, on découpa alors l'élue, pour n'en garder que ce divin fessier, et on la jeta dans la fosse commune, en la remerciant d'en avoir été l'hôte, puis à travers les siècles, on se servit de ce boulard sacré pour combattre l'impuissance.