REDPILL l'ECOLE vous a DETRUIT DES NEURONNES
Le 21 mai 2021 à 13:41:17 :
Le 21 mai 2021 à 13:38:22 :
Le 21 mai 2021 à 13:35:56 :
+ on en parle des profs qui refusaient que tu ailles au toilette quand tu leur demandais ?A quel putain de moment tu refuses ça à un gosse de 12/13 ans
Si tu autorises un à y aller bizarrement tout le monde se met à avoir envie d'y aller
Non mais laisse, ça part d'un vrai problème de fond puis comme d'hab ça termine en foire à la saucisse où chaque raté de la vie va ajouter sa pierre à l'édifice en évitant les problèmes de fond.
Parce qu'ils se font CHIER
A quoi ça sert un prof qui ne SAIT PAS retenir l'attention et suscité l'intêret des élèves
Autant ouvrir une page wikipedia dans ce cas
Le 21 mai 2021 à 13:43:11 :
Bande de fragile, en France au XIXeme siècle on réveillait les enfants à 4h00 du matin pour allez les faire travailler dans la mine hein ! C’était autres chose
Après la grosse différence, c'est qu'on vivait à cette époque. Vie plus courte mais on s'en cogne. On était aussi "esclaves" que maintenant, pire encore, mais au moins on était pas autant castrés par le tertiaire, y'avait une vraie élite intellectuelle.
Le 21 mai 2021 à 13:43:11 :
Bande de fragile, en France au XIXeme siècle on réveillait les enfants à 4h00 du matin pour allez les faire travailler dans la mine hein ! C’était autres chose
Et ils crevaient tout au plus à 30 ans
ça serait le cas aujourd'hui sans la médecine qui te transforme en Zombie en réussissant l'exploit de te faire survivre aux cancer que ton mode de vie délirax engendre
Le 21 mai 2021 à 13:44:01 :
Le 21 mai 2021 à 13:41:17 :
Le 21 mai 2021 à 13:38:22 :
Le 21 mai 2021 à 13:35:56 :
+ on en parle des profs qui refusaient que tu ailles au toilette quand tu leur demandais ?A quel putain de moment tu refuses ça à un gosse de 12/13 ans
Si tu autorises un à y aller bizarrement tout le monde se met à avoir envie d'y aller
Non mais laisse, ça part d'un vrai problème de fond puis comme d'hab ça termine en foire à la saucisse où chaque raté de la vie va ajouter sa pierre à l'édifice en évitant les problèmes de fond.
Parce qu'ils se font CHIER
A quoi ça sert un prof qui ne SAIT PAS retenir l'attention et suscité l'intêret des élèves
Autant ouvrir une page wikipedia dans ce cas
Oui mais encore une fois, ça c'est vrai, mais c'est un corollaire d'un problème de fond bien plus important sur le délitement des institutions de l'EN d'une part, et de la famille d'autre part. Ajoute cette technologie de merde en prime et c'est terminé.
2h de bus donc levé à 5h30 et rentré le soir vers 19h
Et comme j'avais quand même un besoin de me détendre un peu sur internet en rentrant, je me couchais à 2h
autant vous dire que je rattrapais mon sommeil en cours et que je ne faisais absolument JAMAIS mes devoirs à la maisons (ce qui m'a valu moult 0 et heures de colle)
J'aimerais bien recroiser mes abrutis de profs du collègue un jour, ils me disaient que je ne ferait rien de ma vie, aujourd'hui je gagne plus qu'eux
Le 21 mai 2021 à 13:46:31 :
Le pire pour moi c'était le lycée
2h de bus donc levé à 5h30 et rentré le soir vers 19h
Et comme j'avais quand même un besoin de me détendre un peu sur internet en rentrant, je me couchais à 2h
autant vous dire que je rattrapais mon sommeil en cours et que je ne faisais absolument JAMAIS mes devoirs à la maisons (ce qui m'a valu moult 0 et heures de colle)
Et au final tu as eu ton bac comme n'importe qui car il est strictement impossible de le louper à moins de bouffer les feuilles.
tout mignon que j'était j'ai commencé a me battre mes parents ont hallucinés mais ne me rajouté pas de sanction ils ont étaient obligés de comprendre
L'objectif de l'école c'est de faire de vous des bons esclaves.
D'ailleurs c'est pour ça que Macron a décidé de supprimer l'école à la maison. Empêcher les libre penseurs d'exister.
Le 21 mai 2021 à 13:47:45 :
+1000 ce topic, je n'ai jamais été aussi heureux dans ma vie que quand j'ai commencé à travailler à 18 ans.
J'aimerais bien recroiser mes abrutis de profs du collègue un jour, ils me disaient que je ne ferait rien de ma vie, aujourd'hui je gagne plus qu'eux
Sur le fond ok, après l'argent c'est pas le critère universel du bonheur mon vieux, ça veut pas dire que t'as "réussi" en soi.
Le 21 mai 2021 à 13:48:45 :
C'est sûr, se confronter au monde, apprendre les mathématiques, la grammaire, la géographie, avoir des cammarades de classe c'est sans doute plus nocif que de passer 12h/jour devant un écran à regarder youteub, snapchatte et autres
La géographie qu'il dit
Tous les cours à partir du collège sont juste des chapitres aux problématiques bullshit sur la mondialisation
Oui je feed
L'idéal hédoniste et anti-normatif dissout la loi, discrédite le père, et signera la mort de notre civilisation. Pierre Legendre, professeur émérite à l'Université de Paris I, département de droit, directeur du Laboratoire européen pour l'étude de la filiation, décline cette prédiction depuis des années dans une œuvre abondante1. Il ne s'exprime que très rarement dans la presse, et uniquement en fournissant des réponses écrites à publier sans retouches. Ce sont les conditions dans lesquelles nous avons recueilli ses propos au moment où le débat sur la dépénalisation du cannabis se poursuit en Suisse : la semaine prochaine, le Conseil national doit confirmer ou infirmer son refus d'entrer en matière sur la révision de la loi sur les stupéfiants.
Propos recueillis par Anna Lietti
Mercredi 9 juin 2004
Anna Lietti: Il est actuellement question en Suisse de dépénaliser le cannabis. A l'occasion du débat parlementaire, des convictions se sont exprimées qui traduisent une vision répandue de l'interdit, de la loi, de l'Etat. Notamment celle-ci: les jeunes doivent «développer leurs propres défenses» contre les dangers de la vie et une interdiction pénale, en les déresponsabilisant, les empêcherait de le faire. Un
peu comme si la loi était un corset qui empêche l'individu de se muscler intérieurement. Qu'en pensez-vous?
Pierre Legendre: Nous vivons en Occident une débâcle qui va s'approfondir, pour une raison logique; on ne peut mettre le monde à l'envers, le monde du lien humain, sans que cela porte à conséquence, et sur le très long terme. La consommation en hausse des drogues est l'une des manifestations du désarroi grandissant. Et comme il se doit, dans une atmosphère de décomposition aussi radicale, on invente un
«cache-misère». Alors, il est de bon ton de stigmatiser toutes les formes d'interdit. C'est comme si, après une inondation dévastatrice, était mise en cause l'existence même des barrages, et non pas le manque d'entretien ou de modernisation.
Mais pourquoi la situation présente est-elle si grave?
Nos sociétés ont été submergées par les cataclysmes totalitaires au XXe siècle. Après ce passage effrayant, l'idée d'autorité s'est démonétisée, et la suite vous la connaissez: la notion d'interdit est devenue incompréhensible, les générations adultes se sont effondrées. Mais le prix à payer est là: les jeunes ne sont plus construits. En matière de drogue, on ressasse une recette: la prévention. Une recette de gestion. A condition donc de ne pas affronter l'essentiel. C'est sur cette base, à la fois de confusion et d'hypocrisie politique, que se déroulent en Europe des débats infinis, faussés au départ. Pour moi, ces débats ont quelque chose (pardonnez ce jeu de mots) de stupéfiant!
– Autre sentiment largement partagé: il faut cesser de considérer l'Etat comme un «père protecteur» 3. Or, vous associez le phénomène massif de la drogue à la «débâcle du père». Pour vous, il n'y a pas assez de père et pas assez d'Etat.
- A ceux qui se gargarisent de la critique du «père protecteur» je dis: préférez-vous le père meurtrier, ou pervers? Là encore, c'est une question de logique. Si la culture européenne s'est si souvent référée à la métaphore du père à propos de la fonction étatique, c'est qu'il ne s'agit pas de bla-bla. Nous savons ce qu'a été l'Etat-père meurtrier dans les accès de folie totalitaire. Aujourd'hui, l'Etat est sollicité de se comporter en père pervers.
Ni le père ni l'Etat ne sont des ingrédients qu'il faudrait doser dans la cuisine politique et sociale! Mais nous en sommes là, à discuter de recettes. Le pragmatisme a bon dos, il s'agit en fait de gérer la démission, ce qui signifie légitimer une nouvelle forme de sacrifice humain. On voit bien la difficulté de s'orienter pour les responsables politiques, s'ils refusent d'être les marionnettes des minorités agissantes: ils doivent faire face à l'effondrement de la pensée critique dans l'Occident d'aujourd'hui.
L'Etat est un montage de la culture, incompréhensible tant qu'on raisonne en termes de management ou de simples rapports électoraux. On oscille entre l'idée du tyran et l'idée infantile du papa gentil qui ne dit jamais «non». Alors l'Etat est appelé à devenir l'instrument d'une crétinisation sociale et à éponger la lâcheté de tous. Qu'est-ce que ça donne, concrètement?
Bien qu'objet de haine, l'autorité de l'Etat est sollicitée par les nouveaux idéologues et les lobbies de la casse, qui martèlent à son de médias la fin des tabous, le libre choix du nom du sexe, etc. Anthropologiquement, cela veut dire: la prétention de disposer de la logique, indisponible pourtant, du lien humain. Socialement: la promotion d'un discours qui, comme au bon vieux temps totalitaire, répand la peur de mal penser.
Réfléchissons à ce nouveau conformisme. Qui infantilise les jeunes générations de citoyens? Que peut-on attendre de propagandes scientistes, qui autrefois fondaient le racisme sur la biologie, et aujourd'hui sous le nouvel emballage claironnent que l'humain est une affaire de viande, de gènes, de biochimie, que sais-je, c'est-à-dire que le biologique est le fond de la vérité de la mère, du père et des
enfants? Mais aussi, qu'est-ce que des parents modernes peuvent penser du père, quand on leur prêche que l'autorité est ce qu'il faut combattre, que la limite est contraire à la démocratie, qu'il faut tout négocier avec les enfants? Au bout du compte, qui sont les victimes de ce discours à l'envers? Les faibles évidemment, ces jeunes qu'on n'ose plus éduquer, de peur de passer pour l'ennemi du progrès.
– Une préoccupation importante dans le débat sur la drogue est le manque de crédibilité d'un éventuel interdit. Pourquoi cette décrédibilisation de la loi?
– Je vais répondre par une anecdote. En 1991, j'ai fait une conférence sur la drogue, à partir de mes constats. J'ai posé la question du sujet institué, de la circulation de la créance et de la dette de la limite entre les générations. Que signifie le lien du sujet à ce substitut généalogique qu'est devenue la drogue? Finalement, que paie le drogué et à qui, quand le prix de sa vie est son anéantissement? Je m'attendais à une discussion; au lieu de cela, silence de mort! Au sortir de ce colloque, empli de socio- et de psycho-managers, j'ai fait cette remarque: si j'étais un parrain de la drogue, je financerais de tels colloques! En fait, à leur su ou insu mais efficacement, les gestionnaires font partie du dispositif mondialisé que j'appelle la «débâcle du père»; les mafias et leurs féodalités en sont les profiteurs, et fondamentalement le symptôme culturel.
Alors qu'en est-il de la loi, plus exactement de la crédibilité de la loi, dans nos sociétés travaillées par l'idéal anti-normatif, qui diffuse la panique d'interdire? En Suisse comme ailleurs, on rabâche l'argument: «Les jeunes n'ont aucun sentiment de culpabilité en consommant.» La non-culpabilité devient la preuve de l'inconsistance de l'interdit. J'ai même lu ce propos d'un de vos parlementaires: «La société démissionne parce qu'il y a un interdit pénal.»
Ce propos montre qu'en Occident la Raison a été touchée, et avec elle l'idée de loi. J'ai eu affaire à la question de jeunes meurtriers sans culpabilité précisément. De cette logique tordue il faut alors conclure que, s'il n'y avait pas d'interdit du meurtre, il y aurait moins de meurtriers, voire plus de meurtriers du tout. En posant que les jeunes vont «développer leurs propres défenses», comme les animaux dans la jungle en somme, on bascule dans un monde qui n'est plus humain. Et le mot «démagogie» n'a même plus de sens, nous sortons du politique; l'horizon, c'est la violence.
– Dans ces conditions, comment aborder de nos jours la question de la loi?
– Reprenons la question à la base. On a beau avoir des mécanismes parlementaires très rodés, des experts en tout genre, des mises en scène médiatiques performantes, nous sentons bien que l'idée de loi s'effrite. Cette idée a été peu à peu écrasée par l'engrenage gestionnaire des bons sentiments et des concessions sans fin. Une société entière perd pied, responsables compris. Le dévouement des sauveteurs sur le terrain peut être admirable parfois, mais il faut voir les choses comme elles sont: il ne sert à rien de répéter à tout va que les jeunes, ou leurs parents, sont «en perte de repères», on ne prend pas la mesure de ce que signifient ces mots-là.
L'humour britannique dit très bien ce que sont devenus les repères pour l'humain fabriqué par l'Occident d'aujourd'hui: «I, Me and Myself». Voilà notre intégrisme, le dissolvant de ce que nous appelons loi: l'individu et son bon plaisir. La question de la loi est devenue la question de la dissolution, autrement dit de la décomposition à l'œuvre dans le corps social; ça justifie Huntington (Samuel Huntington, Le choc des civilisations, ndlr) d'évoquer un suicide de civilisation; c'est aussi ma conviction.
Alors il faut aborder l'idée de loi à un autre niveau que juridique. Au niveau où il s'agit de saisir sur quelle base d'humanité, d'éléments propres à l'espèce, la question se pose radicalement. Alors seulement l'horizon s'éclaircit. Toute société repose sur des constructions de parole, sur le normatif qu'impose la parole. Si le normatif, si l'interdit ne vaut plus rien, c'est que la parole elle-même n'est plus crédible, c'est le règne du signal.
Je vais vous l'illustrer. La norme ici, c'est que «non» n'est pas «oui», «oui» n'est pas «non»; un homme n'est pas une femme, une femme n'est pas un homme. La norme, c'est aussi l'interlocution, les places différenciées du discours: la place des enfants n'est pas celle des parents, la place des parents n'est pas celle des enfants, donc pas de confusion incestueuse. Mais il y a l'autre scène, celle du rêve et du fantasme; là tout est possible; le temps, la négation, le principe de réalité n'ont plus cours. Dans la logique de l'espèce, c'est la séparation entre ces deux scènes, entre fantasme et réalité, qui produit la civilisation et permet le lien social; ça suppose une part de renoncement. Les repères ont pour base le renoncement. L'éducation digne de ce nom consiste à civiliser l'humain, de sorte qu'il assume sa propre limitation, par le temps, par les règles de l'interlocution, par la différence des sexes, c'est-à-dire tout ce qui découle de la loi de la parole. Le monde à l'envers, c'est aller contre cette loi.
« – Mais pourquoi la limite est-elle si importante? Et pourquoi son refus, dans la logique hédoniste, mène-il, comme vous dites à «l'obscurantisme»?
Quant à l'hédonisme institué, c'est la promotion de la non-limite. Comme le caméléon, il change de couleur et de conduite. Enrobé de nazisme ou de bla-bla démocratique, c'est le culte du bon plaisir érigé en valeur. J'ai médité Primo Levi et Robert Antelme décrivant leurs geôliers, et je lis Michel Houellebecq, ses récits lucides du plaisir à mort. Partout, qu'il s'agisse des camps ou de la caserne libertaire, je retrouve ce conformisme arrogant de l'hédonisme sous toutes ses formes. Une société en proie au déchaînement des fantasmes, avec à la clé le recul de l'esprit critique et le rétrécissement du champ de la pensée: c'est cela l'obscurantisme. Sans compter sa pente vers la provocation et ses effets, directs ou indirects, de violence. A propos de refus de la limite et d'hédonisme, je conclus sur ceci. Prenons la propagande homosexualiste, évidemment sourde à toute critique argumentée de ses prétentions. Je la considère comme une imposture. A l'échelle de l'Occident, elle vaut aggravation de la «perte de repères» infligée aux jeunes générations, mais aussi provocation politique à l'adresse des autres cultures, non alignées.
– Bien des jeunes se tournent vers l'Islam parce qu'il leur offre un cadre normatif, ces limites et ces interdits qui leur manquent. Votre sentiment sur ce phénomène?
– Je suis d'accord avec vous. J'y vois une réaction de sauvegarde, qui touche la jeunesse d'origine non européenne avant tout mais pas seulement; en somme, un refus de s'intégrer à la désintégration. Je me
suis souvent exprimé sur la débâcle institutionnelle et ses suites, que j'ai d'abord entrevues en Afrique dans mes missions internationales. Je le redis: ça coûtera ce que ça coûtera en drames et en vies sacrifiées, mais l'humanité n'acceptera pas ce que la décomposition subjective promue par l'Occident prétend imposer. Les effets de cette décomposition nous font déjà retour, sourdement. L'islam est sur le devant de la scène, pour l'instant. Ce n'est pas pour autant qu'une réflexion en profondeur s'amorce ni que nos politiques s'infléchissent. Malgré tout, je table encore sur le débat. Et c'est la raison de cette interview."
Le 21 mai 2021 à 13:47:57 :
Le 21 mai 2021 à 13:46:31 :
Le pire pour moi c'était le lycée
2h de bus donc levé à 5h30 et rentré le soir vers 19h
Et comme j'avais quand même un besoin de me détendre un peu sur internet en rentrant, je me couchais à 2h
autant vous dire que je rattrapais mon sommeil en cours et que je ne faisais absolument JAMAIS mes devoirs à la maisons (ce qui m'a valu moult 0 et heures de colle)Et au final tu as eu ton bac comme n'importe qui car il est strictement impossible de le louper à moins de bouffer les feuilles.
Oui je l'ai eu car heureusement y'avait pas de "controle continu" à l'époque
J'avais 5 de moyenne générale en terminale
Le 21 mai 2021 à 13:49:18 :
Le 21 mai 2021 à 13:47:45 :
+1000 ce topic, je n'ai jamais été aussi heureux dans ma vie que quand j'ai commencé à travailler à 18 ans.
J'aimerais bien recroiser mes abrutis de profs du collègue un jour, ils me disaient que je ne ferait rien de ma vie, aujourd'hui je gagne plus qu'euxSur le fond ok, après l'argent c'est pas le critère universel du bonheur mon vieux, ça veut pas dire que t'as "réussi" en soi.
On est d'accord.
Mais je suis plus heureux globalement depuis que je ne vais plus à l'école
J'ai ma liberté.
Mon permis, ma voiture, mon apart...
Données du topic
- Auteur
- Boucleuraguerri
- Date de création
- 21 mai 2021 à 12:01:14
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
- 1121