Topic de Xtechonin :

Vous aussi plus rien ne vous retient en vie?

Le 09 avril 2021 à 11:18:10 :

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière s​acre bleuente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de s​acre bleuence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir

C'est de qui ?

Le 09 avril 2021 à 11:31:37 :

Le 09 avril 2021 à 11:18:10 :

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière s​acre bleuente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de s​acre bleuence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir

C'est de qui ?

D'un certain Gunther Anders.

http://1libertaire.free.fr/GAnders33.html

Le 09 avril 2021 à 11:34:19 :

Le 09 avril 2021 à 11:31:37 :

Le 09 avril 2021 à 11:18:10 :

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière s​acre bleuente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de s​acre bleuence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir

C'est de qui ?

D'un certain Gunther Anders.

http://1libertaire.free.fr/GAnders33.html

Excellent, merci :ok:

Chaque jour est difficile, j'ai toujours envie de dormir. :(

Le 08 avril 2021 à 19:34:47 :
Un être humain vit 72 ans en moyenne. ( Médiane hommes/femmes, espérance de vie en bonne santé, quand tu es un légume, tu ne vis pas )

Premièrement, on ne peut pas considérer la minorité comme étant une liberté.

Tu es soumis à de multiples obligations, le libre arbitre n'existe pas.

- Tu es irresponsable
- Tu es entièrement dépendant
- Soumis au système scolaire ( devoirs, lavage de cerveau en t'enseignant à devenir un bon esclave via des matières complètement ridicules ) et à l'autorité parentale.

Donc déjà, de ta naissance à ta majorité ( 18 ans ) Tu ne vis pas, tu es un gamin irresponsable qui en plus de ça est entièrement soumis à l'autorité , j'appelle ça la formation d'esclave, ce n'est pas de la liberté et donc ça ne sera pas comptabilisé comme l'étant.

Cependant, je vais prendre 2 mois de " liberté " ( vacances scolaires ) chaque année, de 0 à 20 ans. ( Âge moyen de la durée de scolarisation )

Ce qui nous fait 40 mois ( 3 ans et 4 mois ) de " liberté ". ( À peine 16,67% de ton temps )

Et encore, je ne prend même pas en compte la pression sociale, le stress des étudiants, les dépressions dû aux études, les redoublements scolaires, harcèlement, les étudiants qui change de voie, etc.... Autrement le pourcentage de temps libre serait en fait bien plus bas qu'il ne l'est déjà.

Ensuite, à 20 ans, tu travailles jusqu'à 62 ans. ( Le nombre de personnes qui prennent leurs retraites à 65 ans est grandiose, mais encore une fois, je vais rester respectueux de ta personne )

Journée typique de 7h30 à 17h30 + 1 heure de repas le soir donc 18h30 et bien-sûr l'heure de midi, qui n'est pas comptabilisé comme du temps libre, manger est un besoin physiologique.
Les pauses ne sont pas comptés puisque c'est sur ton lieu de travail, tu ne fais pas ce que tu veux, c'est comme le transport.
En parlant de transport, j'ai mis une demi-heure de transport le matin et le soir, qui bien évidemment n'est pas du temps libre mais est associée au travail.

Je suis gentil, je ne comptabilise même pas le temps passé aux toilettes, à te doucher, à faire le ménage, autrement ta PLS serait encore plus écrasante, je ne le ferai pas jusqu'à la fin de mon analyse, j'ai encore un peu de " respect " pour toi.

Ça nous fait donc 11 heures de travail sur une journée.

Du lundi au vendredi, l'être humain se lève à 7h et se couche à 23h en moyenne, ce qui nous fait un total de 16 heures éveillées. Nous avons donc un total de 11 heures de travail pour le chiffre misérable de 5 heures libres, par jour.

Ce qui nous fait en réalité 55 heures de travail du lundi au vendredi, sur 80 heures éveillées. ( 31,25% de temps libre )

Le week-end, tu te lèves à 8h et tu te couches à 00h en moyenne.
Tu vas passer 4 heures pour manger, 2 heures pour faire les courses.
Nous avons donc 26 heures libres sur 32 heures éveillées. ( 80% de temps libre )

On ajoute également 5 semaines de "vacances " chaque année, pendant 42 ans.
Encore une fois, je suis gentil, je ne compte même pas toutes les personnes qui ne partent jamais en vacances et qui passe simplement leurs 5 semaines à faire la même chose.
Le résultat est de 4 ans de vacances sur 42. ( Incroyable ), si on y ajoute les week-ends, 104 jours par an, 4368 jours sur 42 ans, celà nous rajoute environ 12 ans, nous avons au total 16 ans de " liberté " sur 42 ans. ( Wow, 38,1% de temps libre. )

Je te rappelle encore une fois, car je sais que ton faible esprit à du mal à réfléchir, que je ne compte pas les besoins physiologiques et domestiques, etc... Autrement le pourcentage de temps libre serait encore plus bas. :)

Maintenant, tu as 62 ans.

Tu es de moins en moins autonome, tu as travaillé toute ta vie, tu n'es plus en forme physique ni psychologique, tu gagnes moins d'argent qu'avant, tes besoins physiologiques et domestiques sont de plus en plus compliqués à effectuer. Bref, chaque année qui passe, tu deviens de plus en plus faible, sans compter tous les problèmes de santé physique et psychologique qui font de toi un légume.

Toute ta vie, on t'a exploité comme un mouchoir, qui, une fois usagé, est jetté comme une merde.

Mais je vais être gentil, je vais comptabiliser l'entièreté du restant de ta vie comme un temps libre, sans rien compter dedans, uniquement du temps libre.

Tu as donc 10 ans, de tes 62 ans jusqu'à t'es 72 ans, de temps libre.

Je vais donc résumer.

De 0 à 20 ans = 3 ans, 4 mois de liberté.
De 20 à 62 ans = 16 ans de liberté.
De 62 à 72 ans = 10 ans de liberté.

Au total, 29 ans et 4 mois de liberté sur 72 ans. 352 mois sur 863 mois. ( 40,74% de temps libre )

Mais en réalité, de 62 à 72 ans, tu vis à moitié, donc on enlève 5 ans, et encore je suis gentil puisque c'est beaucoup moins si on prend tous les facteurs en compte.

Ce qui nous fait 24 ans de temps libre.
292 mois sur 864. Soit, 33,8% de temps libre.

33,8% de temps libre sur toute ta vie, et si on prendrai tous les besoins physiologiques et domestiques, le pourcentage baisserait d'avantage et donc nous sommes bien plus proche des 80/20% que j'ai énoncé, que de toute la merde que tu as pu déblatérer.

J'ai été sage avec toi, et pour clore cet analyse, je te laisse avec un lien qui appuie mes propos.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281050#titre-bloc-1

Ça à l'air intéressant, ou tout du moins assez argumenté je lirai et te répondrai tout à l'heure.

Bizarrement un individu s'est égaré de ce topic, serait-ce la réalité qui lui aurait provoquer cet éloignement ? :)

Données du topic

Auteur
Xtechonin
Date de création
4 avril 2021 à 20:35:40
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