[ALERTE] Je suis dans LA MERDE LES KHEYS !!!

Le 17 mars 2021 à 11:13:17 PotimarronMIAM a écrit :
Le not tu peux me faire un rapport imagé sur l'architecture vernaculaire nanceienne ?

Tu m'oublies pas hein

Le 17 mars 2021 à 11:14:48 JillBiden a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:04:07 debanv24 a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:03:11 JillBiden a écrit :
bordel de bordeaux

La première guerre russo-tchétchène, ses batailles et la stratégie tchétchène
Les Russes ont commencé leur avancée par des vols de reconnaissance, des drones, des patrouilles au sol, des intercepteurs radar et radio, et ont commencé le processus de feu et de destruction à l'avance. Ils ont utilisé des grenades fumigènes, des pots fumigènes et des générateurs de fumée pour éblouir les bâtiments ennemis en approche. Lors de la première bataille à Grozny, les pompiers tchétchènes se sont installés aux étages supérieurs des bâtiments, tirant sur les points vulnérables des chars et des transports de troupes russes.
Les troupes terrestres ont bombardé les villes et les zones peuplées à distance. Les mauvaises tactiques des soldats russes en terrain urbain et la peur des embuscades les ont incités à imiter les impasses occidentales avec une précision occidentale, en utilisant des explosifs puissants et une puissance de feu supérieure pour détruire les paysages urbains à distance. Cela a démontré non seulement l'hypothèse locale selon laquelle les conscrits russes avaient peur des Tchétchènes, mais aussi leur capacité d'innovation et de changement.
Lester Grau et Timothy Thomas écrivent respectivement dans FMSO et Marine Corps Gazette que les commandants militaires russes ont tiré les leçons des deux batailles précédentes à Grozny (janvier 1995 et août 1996) et de la troisième bataille à Grozny en janvier 2000.
La plus grande faiblesse des Tchétchènes était leur incapacité à mener des engagements à grande échelle. La petite taille des unités tchétchènes, associée à leurs stocks de munitions limités, les a amenés à éviter les grandes batailles. Les Russes ont découvert que le fait d'engager les Tchétchènes dans de longs combats leur donnait le temps d'encercler les positions et de déployer un appui-feu écrasant.
La politique contre-productive de la Russie consistant à diviser pour régner a fait que la Tchétchénie a considéré l'agression impérialiste de la Russie dans le contexte d'un génocide vieux de 300 ans, ce qui rendait impossible une approche "du cœur et de l'esprit" dans un laps de temps aussi limité. La Russie considérait les dirigeants tchétchènes, qui n'avaient pas été nommés par l'état-major russe, comme illégitimes, et les Tchétchènes considéraient la Russie comme illégitime, car celle-ci s'était montrée à plusieurs reprises indigne de confiance. L'expérience historique de la Russie avec les Tchétchènes lui a appris une faiblesse, et elle a soutenu l'insurrection qui en a résulté avec l'ours, qui semblait fort et prêt à écraser une meute de loups.
La première guerre tchétchène s'est soldée par un triomphe surprenant des rebelles sur les troupes fédérales, et les autorités tchétchènes ont joui de leur indépendance de fait pendant plusieurs années. Les autorités fédérales n'ont toutefois jamais renoncé à leurs prétentions sur la république rebelle, et un nouveau conflit entre la Tchétchénie et la Russie a commencé à se développer peu après la fin de la guerre.
Les Tchétchènes ont opposé une résistance sporadique pendant le demi-siècle suivant. Après un bref flirt avec les bolcheviks, les Tchétchènes ont tenté de se rebeller contre l'Union soviétique nouvellement fondée en 1920. Ils ont à nouveau essayé en 1929, mais la rébellion a été écrasée par l'Armée rouge.
Lorsque toute la vérité sur la bataille a été révélée, il est apparu clairement que la plupart des civils qui ont péri à la mi-janvier étaient des Russes ethniques. Il est ironique que les rebelles tchétchènes aient combattu les Russes pour protéger une partie de la ville remplie de grands-mères russes. Au début du mois de mars, les Russes avaient réduit leurs bombardements et adopté une stratégie consistant à affamer la population locale. Il n'y avait qu'un petit nombre de combattants tchétchènes et très peu de Tchétchènes ont quitté la ville. Les civils laissés sur place étaient principalement des Russes ethniques, et bon nombre des 30 000 retraités âgés n'ont pas pu s'échapper car la ville était encerclée.
Les troupes russes ont atteint et encerclé Grozny le 26 décembre 1994. La résistance de la population locale a tellement ralenti les troupes russes que les premières troupes russes n'ont atteint la ville que le 20 décembre, soit plus d'une semaine après ce qui était prévu.
La Russie a dû mobiliser ses réserves stratégiques pour soutenir les combats en Tchétchénie. Bien qu'elle ait hérité de plus d'un million de soldats de l'Armée rouge, la Russie n'a déployé que 30 000 soldats dans sa première campagne tchétchène, complétés par des troupes du ministère de l'Intérieur et d'autres agences quasi-militaires.
Six mois après l'accord de Khasavyurt, le 12 mai 1997, le président élu tchétchène Aslan Maskhadov s'est rendu à Moscou, où il a signé avec Eltsine un traité de paix officiel et des principes sur les relations russo-tchétchènes. Il a prédit que les bases détruites provoqueraient de mauvais sentiments entre Moscou et Grozny. Au début de la première guerre de Tchétchénie, les autorités russes ont eu du mal à concilier les nouvelles attentes de la communauté internationale avec les accusations largement répandues sur la gravité de leurs exécutions à la soviétique pendant le conflit. Mais plus de deux ans plus tard, lorsque les anciens camarades d'Aslan, menés par le commandant de campagne Shamil Basayev ibn al-Khattab, ont lancé une invasion du Daghestan à l'été 1999, les troupes russes ont envahi la Tchétchénie, marquant le début de la deuxième guerre de Tchétchénie.
Face aux tentatives russes de tenir la Tchétchénie par la force, les Tchétchènes se sont tournés vers la violence. La présentation du conflit comme du terrorisme ou de la lutte contre le terrorisme occulte la réalité de la guerre en tant que peuple résistant à la domination coloniale. Wood soutient que la première guerre de Tchétchénie était une lutte anti-impériale, comparable à celle qui a eu lieu ailleurs, et que le peuple tchétchène n'accepterait jamais la suprématie russe sans le droit à la liberté. Les Tchétchènes ont réagi à la brutalité généralisée par la seule possession de la fière suprématie de la résistance populaire.
Avant la guerre, la République tchétchène cherchait à obtenir l'indépendance de la Russie - une entreprise géostratégique que la Russie ne pouvait tolérer si elle voulait maintenir la paix et la stabilité dans la région du Caucase du Nord. La Russie craignait le concept de l'époque du Vietnam d'un effet domino qui se produirait si la Tchétchénie devenait indépendante. L'indépendance de la Tchétchénie déclencherait une réaction en chaîne des républiques indépendantistes de la région, favorables à la cause tchétchène.
Le premier type d'opération menée par Basayev contre des civils a été les enlèvements massifs à Moscou en 2002 et à Beslan en septembre 2004. Cette opération était différente du retrait stratégique des troupes russes de Tchétchénie au début des pourparlers de paix. Elle s'inscrivait dans le contexte de son succès antérieur à faire respecter un cessez-le-feu lors des pourparlers de paix pendant la première guerre de Tchétchénie, après un enlèvement massif similaire à Budennovsk en 1995.

Sources :

https://www.warbirdforum.com/chech1.htm 0
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/13518040500355015 1
https://smallwarsjournal.com/jrnl/art/insurgency-north-caucasus-lessons-first-chechen-war 2
https://georgetownsecuritystudiesreview.org/2020/03/06/russian-counterinsurgency-doctrine-during-the-second-chechen-war-1999-2009/ 3
https://jamestown.org/program/chechnya-a-strategy-for-independence-2/ 4
https://www.newworldencyclopedia.org/entry/First_Chechen_War 5
https://geohistory.today/military-learning-chechen-wars/ 6
https://en.wikipedia.org/wiki/First_Chechen_War 7
https://www.pbs.org/wgbh/pages/frontline/shows/cuny/laptop/killingchechnya.html 8

Cette partie est déjà mieux, le bot qui fait un magnifique taf cette fois-ci

Le 17 mars 2021 à 11:11:13 JillBiden a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:05:18 LeChariot a écrit :
Le bot, tu peux en faire un sur "Le rapport du christianisme à l'écologie" stp

Oui

La relation entre le christianisme et l'écologie
Lorsque le gouvernement a interdit la pêche à la dynamite, les pêcheurs ont pris conscience. Les organisations locales de protection de la nature ont tenté de les sensibiliser aux dommages causés par cette pratique, mais elles sont restées sourdes. Les membres de l'ARC ont reconnu que les pêcheurs étaient musulmans et que les cheiks locaux avaient une grande influence sur la communauté. Ils leur ont montré des passages du Coran qui encouragent un comportement respectueux de l'environnement et leur ont expliqué que cette pratique allait à l'encontre de ces enseignements.
En d'autres termes, le lien entre le bouddhisme et les attitudes respectueuses de l'environnement est évident même chez les bouddhistes religieux. Plus un bouddhiste s'engage dans des activités religieuses, plus il est susceptible d'avoir une attitude positive envers les loups, les léopards des neiges, etc.
En revanche, dans les milieux chrétiens, la dominance anthropomorphique et la conservation sont en jeu. C'est cette vision du monde qui semble déterminer le soutien des gens aux politiques environnementales. Des études empiriques ont montré qu'il existe différentes attitudes environnementales chrétiennes [3]. Hand et Van [6] montrent qu'aux Etats-Unis, les membres de dénominations telles que les baptistes et les mormons ont tendance à dominer l'anthropomorphisme, tandis que les évêques et les méthodistes arrivent en deuxième position.
Un résultat constant des études américaines montre, selon la thèse de White, que ceux qui suivent un point de vue biblique littéral sont plus susceptibles de soutenir des mesures respectueuses de l'environnement (3-7). Pris ensemble, ces résultats soutiennent l'affirmation selon laquelle la conclusion appropriée est que les facteurs religieux sont soit causaux, soit fallacieux. Cependant, cette position reste une épine dans le pied.
Nous constatons que les nations dont les habitants sont plus religieux ont tendance à consommer plus de ressources et à produire plus d'émissions, et qu'elles sont moins disposées à affronter les défis environnementaux qui en résultent, même si elles sont prospères. D'autre part, les nations dont les populations sont moins religieuses ont également tendance à consommer moins de ressources, mais dans le même temps, elles ont moins de capacité à relever les défis environnementaux et sont exposées à des résultats moins favorables, en partie en raison de leurs niveaux plus élevés de pauvreté et de leur croissance démographique soutenue.
Cela signifie que, d'un point de vue théologique, la relation entre l'homme et l'environnement naturel est susceptible d'avoir un impact significatif sur la façon dont les gens pensent au changement climatique et à la durabilité. Aux États-Unis, en particulier, d'autres forces sont en jeu et influencent les systèmes de croyance des gens. Environ 30 % de la population nord-américaine se dit chrétienne évangélique, et un grand nombre de personnes suivent ou pratiquent d'autres formes de christianisme.
La relation entre Dieu et l'écologie n'est pas facile, et il n'existe pas de vision chrétienne monolithique du climat. Le défi de la réponse au changement climatique se situe dans le domaine de la moralité, où les systèmes de croyance religieux et autres prévalent. Ce contenu vous est fourni par Guardian Professional. L'influence de l'homme sur le climat est une question de science.
Je pense que de nombreux membres du grand public et de la communauté environnementale laïque sont sensibles à la solennité inhérente au langage et à la position morale qu'il exprime. Au lieu de critiquer ou de fuir la vie réelle, la religion peut servir l'un des problèmes centraux de la communauté humaine : notre tendance à éviter et à nier face aux menaces environnementales imminentes. Si notre société veut opérer les changements nécessaires au-delà de la croyance littérale en Dieu et aux Écritures pour nous empêcher de nous noyer dans notre propre apostasie, nous devons prendre nos relations avec la nature avec le sérieux et la gravité qu'exprime la religion.
La Journée de la Terre n'est célébrée qu'une fois par an, et l'accent mis sur la préservation de la création est rare le reste de l'année. La coutume chrétienne attire l'attention sur la guerre et l'injustice, mais pas sur le déclin écologique. Le problème le plus important est la difficulté de changer les attitudes fondamentales qui doivent être modifiées pour être reconnues.
Lynn White Jr. conclut son article en disant que nous devons trouver de nouvelles religions et repenser les anciennes. Pour ce dernier point, il estime que c'est trop peu, trop tard et que nous n'avons qu'à redécouvrir les anciennes religions. Le travail de transformation de l'imagination est une meilleure ressource que la Bible.
Terence Fretheim et la Communauté de la Création nous offrent une lecture alternative du récit biblique de la création, et c'est un pas significatif vers une version chrétienne viable de l'écologie profonde qui change le sens de ce que nous sommes et de la façon dont nous vivons dans le tissu de la création. En remettant en question la notion selon laquelle Dieu a créé le monde sous un contrôle exclusif, un modèle de souveraineté et de pouvoir absolu sur les autres, Terence Fretheim déboulonne la manière stéréotypée dont nous comprenons la création de Dieu et le processus du monde.
Tous les grands synodes luthériens ont reconnu que la Bible nous appelle à prendre soin de la création de Dieu. Nous sommes appelés à vivre selon la sagesse de Dieu pour sa création et ses autres créatures. La domination que Dieu a donnée à ses créatures humaines a été abusée et exercée au détriment de la création par la perte de la biodiversité, l'épuisement des ressources et la dégradation de l'environnement.
Dans le christianisme, des centaines de versets de la Bible parlent de la protection de l'environnement. Les chrétiens ont la responsabilité écologique de promouvoir un changement de comportement pour le bien de l'avenir (OpenBibleInfo, n.d.). Dans le bouddhisme, l'idée du karma est une partie importante des enseignements du Bouddha, qui transmet la valeur de la préservation et de la responsabilité pour l'avenir. Il est dit que la moralité de nos actions dans le présent façonnera notre caractère dans le futur, et l'idée est de se rapprocher du développement durable.
Bien entendu, ce point de vue suscite des oppositions. Pour les chrétiens conservateurs, l'engagement soi-disant fort envers la terre vivifie le paganisme et équivaut à de l'idolâtrie. Dans le contexte du féminisme, une grande partie du bon travail de la théologie écologique contribue à la résistance à une théologie beaucoup plus féministe, en raison de la prétendue tendance à idolâtrer le monde naturel.

Sources :

http://www.bbc.com/earth/story/20170206-religion-can-make-us-more-environmentally-friendly-or-not 0
https://blogs.ei.columbia.edu/2020/10/15/religion-influences-relationship-environment/ 1
https://www.unep.org/about-un-environment/faith-earth-initiative/religions-and-environmental-protection 2
https://en.wikipedia.org/wiki/Christian_views_on_environmentalism 3
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4527763/ 4
https://www.ctsnet.edu/at-this-point/toward-deep-christian-ecology/ 5
https://www.encyclopedia.com/environment/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/ecology-and-religion-ecology-and-christianity 6
https://www.oxfordhandbooks.com/view/10.1093/oxfordhb/9780195178722.001.0001/oxfordhb-9780195178722-e-1 7
https://www.theguardian.com/sustainable-business/blog/christianity-climate-change-sceptics-god-green 8

Salut clef.

J'ai un oral a faire en droit constitutionnel maiq je galère.

Le sujet est : " les interdictions du burkini à la plage ont-elles un lien avec la laïcité ? "

Merci d'avance

(C'est pas un fake, le prof m'a vraiment donné ce sujet sensible bordel)

Le 17 mars 2021 à 11:21:38 SoldatGaulois55 a écrit :
Salut clef.

J'ai un oral a faire en droit constitutionnel maiq je galère.

Le sujet est : " les interdictions du burkini à la plage ont-elles un lien avec la laïcité ? "

Merci d'avance

(C'est pas un fake, le prof m'a vraiment donné ce sujet sensible bordel)

ça sent le prof gauchiste militant multiculturaliste salé

Le 17 mars 2021 à 11:26:16 Brouwer a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:21:38 SoldatGaulois55 a écrit :
Salut clef.

J'ai un oral a faire en droit constitutionnel maiq je galère.

Le sujet est : " les interdictions du burkini à la plage ont-elles un lien avec la laïcité ? "

Merci d'avance

(C'est pas un fake, le prof m'a vraiment donné ce sujet sensible bordel)

ça sent le prof gauchiste militant multiculturaliste salé

Tu veux la vérité ?
Certifié NO FAKE le prof est un nationaliste traditionnaliste et il a l'air royaliste. C'est le premier prof dans toute ma scolarité qui affiche le fait d'être de droite.

Mais je sais que la liberté de se vêtir est importante selon lui. À mon avis il doit penser que le burkini n'est pas anti laïcité, mais il doit être anti burkini pour une autre raison quenla laïcité

Le 17 mars 2021 à 11:28:40 SoldatGaulois55 a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:26:16 Brouwer a écrit :

Le 17 mars 2021 à 11:21:38 SoldatGaulois55 a écrit :
Salut clef.

J'ai un oral a faire en droit constitutionnel maiq je galère.

Le sujet est : " les interdictions du burkini à la plage ont-elles un lien avec la laïcité ? "

Merci d'avance

(C'est pas un fake, le prof m'a vraiment donné ce sujet sensible bordel)

ça sent le prof gauchiste militant multiculturaliste salé

Tu veux la vérité ?
Certifié NO FAKE le prof est un nationaliste traditionnaliste et il a l'air royaliste. C'est le premier prof dans toute ma scolarité qui affiche le fait d'être de droite.

Mais je sais que la liberté de se vêtir est importante selon lui. À mon avis il doit penser que le burkini n'est pas anti laïcité, mais il doit être anti burkini pour une autre raison quenla laïcité

Ah je m'étais trompé du tou au tout
Dans ce cas oui, il est sûrement exaspéré des discours sur la laïcité parcequ'il privilégie des raisons identitaires de l'interdire, c'est un peut la position de Finkielkraut qui insistait sur le rapport aux femmes dans la civilisation européenne.

Le 17 mars 2021 à 11:43:38 selonvous a écrit :
J'attends toujours mon pavé

Donc y’a bien un humain opérateur derrière,
mais le bot peut parler...

Dis khey t’as mis combien de temps à développer ton IA

Ayaaa

je suis l'auteur du topax

215 messages pour un travail de groupe

Le 18 mars 2021 à 07:57:52 JackDempsey a écrit :
Olalah pauvre petit chat, ta vie est si dure