60% des impôts sont payés par les 10% plus riches
Le 12 février 2021 à 17:35:12 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:58 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:02 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:16:59 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:15:03 1_red_boule a écrit :
Il faut supprimer l'impôt sur le revenu et le remplacer par un impôt sur le capitalNon, grand imbécile.
Pourquoi il fallait supprimer l'ISF
1 ) La suppression de l'ISF sur le capital, tout comme la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, avait pour objectif de mettre la France au niveau de la concurrence fiscale des autres pays européens. Rendre notre économie compétitive et attractive pour les investisseurs, créateurs de croissance et d'emplois. L'ISF n'existe nulle part dans le monde et dans aucun pays des 27 membres de l'Union européenne, à l'exception de l'Espagne ( où il a déjà été supprimé, puis rétabli ). L'économie française ne pouvait pas rester avec ce handicap majeur par rapport à ses voisins : les grands pays que sont l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre.
En Suède, Ingvar Kamprad, le PDG d'IKEA, s'était expatrié à cause de l'ISF. Quand il a été supprimé, l'économie a décollé et Ingvar Kamprad est rentré dans son pays.2 ) Contrairement aux inexactitudes qui sont fréquemment répétées, la suppression de l'ISF n'a pas profité aux « très riches » et aux « plus riches ». Ils avaient des holdings pour ne jamais payer l'ISF.
Cette suppression a profité aux petits millionnaires ( ceux qui ont de 1,3 million à quelques millions ) et ont pour la plupart d'entre eux un revenu de classe moyenne supérieure. Ils composaient la majorité des contribuables ISF.3 ) L'ISF n'est pas basé sur le revenu mais sur le patrimoine détenu. Il ne tient aucun compte du revenu. On peut gagner le SMIC et devoir payer l'ISF. Quelle conséquence ? Si on a pas d'épargne, pas de capital, on doit vendre son bien ou ses biens immobiliers pour pouvoir payer l'ISF. C'est donc une expropriation.
Un exemple : on hérite d'une maison ou d'un appartement qui a de la valeur, on tombe dans l'ISF, même si on a pas le revenu pour pouvoir le payer. Idem concernant les droits de succession : pour l'héritage d'une maison de 1 million d'euros, les droits à payer sont de 252.000 euros. Si l'héritier ne dispose pas de l'épargne pour pouvoir payer ? Il est contraint de vendre son bien familial, dépossédé, exproprié par l'État, il ne peut pas rester dans la maison familiale dont il a hérité.4 ) J'ai le souvenir de ces pauvres habitants de l'île de Ré, obligés de vendre leur terrain, donc expropriés de fait, dépossédés de leur terre familiale, pour pouvoir payer l'ISF, parce que leur revenu et leur épargne étaient largement insuffisants. Ensuite, le seuil de déclenchement de l'impôt a été relevé de 780.000 à 1,3 million, mais une fois que l'on était dans l'ISF, l'assiette commençait à 780.000. Le calcul de l'impôt commençait à ce montant, et non à partir du seuil d'entrée à 1,3 million.
L'ISF frappait aussi des gens qui gagnaient le SMIC, ou 2000 euros par mois. Leur revenu était confisqué, avec l'addition de l'impôt sur le revenu, des prélèvements sociaux et de l'ISF. Ils devaient puiser dans leur épargne pour payer l'ISF et pour vivre.5 ) L'ISF, impôt socialiste créé par François Mitterrand en 1982, était le plus gros racket de tous les impôts : 340.000 personnes payaient environ 5,5 milliards d'ISF chaque année, ce qui faisait une moyenne de 16.000 euros par assujetti, seulement une moyenne. Un contribuable qui détenait 10 millions d'euros de patrimoine payait 98.000 euros d'ISF par an, même s'il avait essentiellement des biens immobiliers, des résidences secondaires et un revenu insuffisant pour payer l'ISF.
Avant le plafonnement du Conseil constitutionnel à 75 % ( IR + CSG-CRDS + ISF ), certains contribuables ont payé plus de 100 % d'impôts sur leurs revenus, qui étaient donc intégralement confisqués à cause de l'ISF. Ils sont passés de 100 % d'impôts ( et bien plus dans certains cas ) à 75 % de leur revenu confisqué. Il ne leur restait que 25 % de leur revenu. La gauche appelle cette spoliation la « justice sociale », la « réduction des inégalités » et la « redistribution des richesses », mais pour que l'État les « redistribue », il doit d'abord les voler à ceux qui les ont créées et en sont les propriétaires. L'ISF n'est pas un « impôt de solidarité sur la fortune », parce qu'avec 1,3 million, on est très loin de la « fortune », d'autant plus quand ce patrimoine n'est que de l'immobilier et non un capital. Le mot « fortune », terme mensonger et démagogique, a été choisi pour tromper l'opinion publique et lui faire croire que l'ISF ne concernait que les gens « riches », alors qu'il n'en était rien. Le mot « solidarité » est également un mensonge, car la solidarité est un choix, un acte volontaire, pas le paiement d'un racket organisé par un État mafieux. L'ISF est le contraire d'un impôt de « justice sociale » ( formulation utilisée par la gauche dans le but de justifier sa politique de pillage des richesses, au nom de sa fausse morale égalitaire ). La principale motivation de la création de cet impôt est la jalousie sociale. Trouver un bouc émissaire à toutes les crises du pays. Stigmatiser, montrer du doigt, piller, appauvrir ceux qui ont plus que les autres et qui sont déjà les contribuables qui payent le plus d'impôts. La gauche socialiste et communiste qui exige le rétablissement de l'ISF doit savoir que nous n'accepterons jamais de revenir à la case départ, alors que nous nous sommes battus pendant 35 ans pour la suppression de cet impôt.6 ) Les « riches » contribuent déjà plus que n'importe qui avec l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. L'ISF venait s'y ajouter, ce qui entraînait une double imposition, sur un capital qui avait déjà été imposé lors de sa constitution.
Chiffres de la DGFIP :
40 % de l'impôt est payé par 2 % des contribuables.
70 % de l'impôt est payé par 10 % des contribuables.7 ) L'ISF a entraîné une hémorragie de capitaux pendant 35 ans, qui a affaibli et appauvri l'économie française. Mais un contribuable ISF qui s'expatrie ne représente pas seulement une perte en capital pour l'économie française. Il sera aussi une perte en impôt sur le revenu, en prélèvements sociaux, en taxes diverses et en TVA, sans oublier sa consommation de biens et de services. Au final, le coût économique et fiscal de son absence sera infiniment plus lourd que la recette fiscale de son ISF.
« L'ISF rapporte théoriquement 5 milliards d'euros par an. Mais avec tous les capitaux et les chefs d'entreprise qu'il a fait partir, il fait perdre à la France une vingtaine de milliards d'euros de recette. En réalité, l'ISF a un coût de 15 milliards par an ».
Jacqueline Martin de Testa, inspecteur des finances publiques à la Direction générale des finances publiques.8 ) La France a conduit une politique anti-riches pendant 35 ans. L'État français a lutté contre la richesse au lieu de lutter contre la pauvreté. Quel a été le résultat de ce racket fiscal ? La tiers-mondisation de notre économie, et toujours plus de pauvres ( 9 millions en 2020 ).
Il n'y a pas d'économie sans capital. L'ISF s'attaquait au capital et affaiblissait notre économie.
Depuis la suppression de l'ISF et la création de la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, le taux d'investissement ( rapporté au PIB ) est passé à 24 %, en 2019. Meilleur résultat depuis 1972.
Avec ce plafonnement à 30 % ( impôt sur le revenu et prélèvements sociaux ), la France reste au-dessus des taux de l'Allemagne et de l'Italie, qui sont à 26 % de Flat Tax.Ok, tes argument sont bons et je vois pas trop quoi y opposer. Mais le constat et l'écart croissant entre ultra-riche et le reste est problématique, on est d'accord ? Le +300% de pouvoir d'achat des plus riches sur les 20 dernières années, alors que le reste a fait +10% (les chiffres sont peut-être pas exact, mais l'ordre de grandeur est là), c'est quelque chose qui donne à réflechir. Si la taxe sur le capital n'est pas la bonne approche, tu propose quoi ?
NON, on n'est pas d'accord !
En finir avec l'égalitarisme
Ras-le-bol d'entendre dire, matin, midi et soir, de l'extrême gauche au RN, les mêmes inepties sur les « inégalités » : « Les inégalités se sont accentuées, il faut les réduire » etc...etc...
Tout d'abord, il faut souligner ce point fondamental : lorsqu'on commence à parler « d' inégalités », on est déjà soumis au logiciel socialo-marxiste. On est lobotomisé, et c'est un dégât irréversible. Le marxisme socialo-communiste est un virus hautement contagieux qui circule vite et a massivement contaminé le peuple français. C'est un SIDA mental.
Les gauchistes ont réalisé une manipulation sémantique et psychologique dans laquelle tout le monde est tombé : le mot « inégalités » a remplacé le mot « pauvreté », avec l'objectif de lutter contre la richesse, au lieu de lutter contre la pauvreté. C'est la haine de classe et la jalousie sociale qui tiennent lieu de pensée économique.
L'égalitarisme aboutit à justifier le racket fiscal des catégories aisées pour distribuer l'argent aux catégories modestes. L'État vole et appauvrit la catégorie aisée, au nom de la morale égalitaire.La presse vient de nous ressortir pour la énième fois un dossier sur les « inégalités sociales » qui se seraient accentuées dans le monde, entre les plus riches et les plus pauvres. Ce qu'ils ne diront jamais, c'est que l'économie de marché, l'économie capitaliste, a sorti 1 milliard de personnes de la pauvreté. Il faut en finir avec l'idéologie égalitaire du nivellement par le bas et de la médiocrité généralisée. Les égalitaristes nous disent : « les inégalités se creusent, l'écart entre les riches et les pauvres ne cesse d'augmenter, il faut le réduire en surtaxant les riches ». Réponse : le problème n'est pas l'écart entre les riches et les pauvres, mais le niveau de pauvreté en France, qui est inacceptable. Le problème c'est la pauvreté, pas la richesse, qui est un bienfait. Je pose la question aux égalitaristes : vous préférez une société dans laquelle le riche a 2 et le pauvre a 1, ou bien une société dans laquelle le riche a 100 et le pauvre a 10 ? Bien évidemment, ils ne répondent jamais, préférant être des esclaves dans une société égalitaire plutôt qu'être libres dans une société inégalitaire. Les « inégalités » n'existent pas, parce que l'égalité n'existe pas. « L'inégalité » est un concept, une invention marxiste. Elle n'existe pas plus que l'égalité. Le principe de l'égalité consiste à justifier le racket et le pillage de ceux qui ont réussi.
Le Français préfère vivre dans un pays ruiné, mais égalitaire. Au lieu de chercher à s'élever, il préfère jalouser son voisin et rêve de le voir tomber à son niveau.Je termine par une citation de Coluche : « Les riches sont des salauds ? Je me demande pourquoi tout le monde veut devenir un salaud ».
Pas d'accord. L'écart entre riche et pauvre est important, raisonner dans l'absolu est une erreur.
Non. Il faut lutter contre la pauvreté. Pas contre la richesse. A part si tu es jaloux.
Oui, l'égalité n'est pas forcément l'objectif, ça dépend des idéologies. Mais même les plus libéraux reconnaissent le fait qu'il faut maintenir une paix sociale, et que si les écarts sont trop importants, cela met en péril la stabilité de la société, et par conséquent, menace également les plus riches.
Ce sont donc des libéraux cucks qui se soumettent à l'idéologie marxiste. Au lieu de vouloir répandre l'idéal libéral qui ne se soucie pas des "inégalités", eux disent qu'elles empêchent la "paix sociale". Traduction : les jaloux marxistes vont venir pleurer. Cette vision est extrêmement cuck et donne raison à l'ennemi.
Hayek en parlait déjà il y a 60 ans. Ce n'est pas un problème idéologique d'égalité, c'est une constatation très terre-à-terre et rationnel qui consiste à dire que si l'écart se creuse trop, ca met en péril l'ensemble du système car tension sociale.
Non. Mentalité de cuck.
Les 10 % des plus riches détiennent 47 % du patrimoine.
https://www.bfmtv.com/economie/patrimoine/immobilier/les-10-des-menages-francais-les-plus-riches-detiennent-pres-de-la-moitie-du-patrimoine_AN-201611070160.html
Et sont donc, à la louche, 5 fois plus riches que les autres déciles sur l'échelle des revenus, encore heureux donc qu'il payent la moitié des impôts.
Je t'invite également à taper "tranches de l'impôt sur le revenu" dans google pour voir à quel point la progressivité de l'impôt en France est Ultra-cheatée pour les riches.
Topic cloturax.
Le 12 février 2021 à 17:37:25 DracLeRetour a écrit :
Ca me tue les pauvres du fofo qui sont à fond de droite, "oh wi escroquez moi oui"
Les pauvres GAUCHOS.
Le 12 février 2021 à 17:35:11 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:34:45 Arizonaisred a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:29:31 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:45 Arizonaisred a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:11:32 jenetrouvepas9 a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:11:18 MauriceBaveur a écrit :
source?
parce qu'en France, plus tu es Riche moins ton revenus sera ponctionné
https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/media/20111001/A690045E.GIFsource : http://impotsurlerevenu.org/la-fiscalite-francaise/728-qui-paie-l-impot-en-france-.php
Impot sur le revenu
"60% des impots"
J'aimerais bien connaître les mêmes chiffres pour la CSG qui est un impôt proportionnel et qui rapporte plus que l'IRPP
Je ne parle pas non plus de la TVA qui représente 50% des recettes de l'état
Mais voilà c'est 70% quand on regarde bien !
70% des recettes la TVA ?
Non, le pourcentage d'impôts que paient 10% des ménages.
ça me parait beaucoup quand même, t'as la CSG et la TVA qui est supporté par à peu près tout le monde
Le 12 février 2021 à 17:37:17 Snowbunny4BBC a écrit :
Mes parents médecins paient 7k d'IR par MOIS no fake
Ils doivent être autour des 10k/mois ce qui leur laisse 13K/mois pour vivre, cette chance
Le 12 février 2021 à 17:37:46 Pigeonator a écrit :
Les 10 % des plus riches détiennent 47 % du patrimoine.
https://www.bfmtv.com/economie/patrimoine/immobilier/les-10-des-menages-francais-les-plus-riches-detiennent-pres-de-la-moitie-du-patrimoine_AN-201611070160.html
Sérieux ? C'est pas grand chose. J'aurais imaginé bien plus.
Et sont donc, à la louche, 5 fois plus riches que les autres déciles sur l'échelle des revenus, encore heureux donc qu'il payent la moitié des impôts.
Non. Tu confonds capital et revenu. Tu n'as aucune connaissance en économie, ma DDB est partie.
Je t'invite également à taper "tranches de l'impôt sur le revenu" dans google pour voir à quel point la progressivité de l'impôt en France est Ultra-cheatée pour les riches.
NON ! Elle est ultra désavantageuse et CONFISCATOIRE !
Le 12 février 2021 à 17:38:37 Arizonaisred a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:35:11 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:34:45 Arizonaisred a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:29:31 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:45 Arizonaisred a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:11:32 jenetrouvepas9 a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:11:18 MauriceBaveur a écrit :
source?
parce qu'en France, plus tu es Riche moins ton revenus sera ponctionné
https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/media/20111001/A690045E.GIFsource : http://impotsurlerevenu.org/la-fiscalite-francaise/728-qui-paie-l-impot-en-france-.php
Impot sur le revenu
"60% des impots"
J'aimerais bien connaître les mêmes chiffres pour la CSG qui est un impôt proportionnel et qui rapporte plus que l'IRPP
Je ne parle pas non plus de la TVA qui représente 50% des recettes de l'état
Mais voilà c'est 70% quand on regarde bien !
70% des recettes la TVA ?
Non, le pourcentage d'impôts que paient 10% des ménages.
ça me parait beaucoup quand même, t'as la CSG et la TVA qui est supporté par à peu près tout le monde
On est dans un Etat socialo-communiste je te rappelle.
Le 12 février 2021 à 17:38:14 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:37:26 cigarette2153 a écrit :
AYAAA ce topic y'a 0 source putainSi, il a donné une source, mais elle n'est pas en accord avec le titre. Les 10% plus aisés paient plus que 60% de l'impôt. Ils paient 70%.
je parle du mec qui a sorti un énorme pavé page 2 "Dechet_JVC"
Le 12 février 2021 à 17:37:32 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:35:12 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:58 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:02 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:16:59 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:15:03 1_red_boule a écrit :
Il faut supprimer l'impôt sur le revenu et le remplacer par un impôt sur le capitalNon, grand imbécile.
Pourquoi il fallait supprimer l'ISF
1 ) La suppression de l'ISF sur le capital, tout comme la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, avait pour objectif de mettre la France au niveau de la concurrence fiscale des autres pays européens. Rendre notre économie compétitive et attractive pour les investisseurs, créateurs de croissance et d'emplois. L'ISF n'existe nulle part dans le monde et dans aucun pays des 27 membres de l'Union européenne, à l'exception de l'Espagne ( où il a déjà été supprimé, puis rétabli ). L'économie française ne pouvait pas rester avec ce handicap majeur par rapport à ses voisins : les grands pays que sont l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre.
En Suède, Ingvar Kamprad, le PDG d'IKEA, s'était expatrié à cause de l'ISF. Quand il a été supprimé, l'économie a décollé et Ingvar Kamprad est rentré dans son pays.2 ) Contrairement aux inexactitudes qui sont fréquemment répétées, la suppression de l'ISF n'a pas profité aux « très riches » et aux « plus riches ». Ils avaient des holdings pour ne jamais payer l'ISF.
Cette suppression a profité aux petits millionnaires ( ceux qui ont de 1,3 million à quelques millions ) et ont pour la plupart d'entre eux un revenu de classe moyenne supérieure. Ils composaient la majorité des contribuables ISF.3 ) L'ISF n'est pas basé sur le revenu mais sur le patrimoine détenu. Il ne tient aucun compte du revenu. On peut gagner le SMIC et devoir payer l'ISF. Quelle conséquence ? Si on a pas d'épargne, pas de capital, on doit vendre son bien ou ses biens immobiliers pour pouvoir payer l'ISF. C'est donc une expropriation.
Un exemple : on hérite d'une maison ou d'un appartement qui a de la valeur, on tombe dans l'ISF, même si on a pas le revenu pour pouvoir le payer. Idem concernant les droits de succession : pour l'héritage d'une maison de 1 million d'euros, les droits à payer sont de 252.000 euros. Si l'héritier ne dispose pas de l'épargne pour pouvoir payer ? Il est contraint de vendre son bien familial, dépossédé, exproprié par l'État, il ne peut pas rester dans la maison familiale dont il a hérité.4 ) J'ai le souvenir de ces pauvres habitants de l'île de Ré, obligés de vendre leur terrain, donc expropriés de fait, dépossédés de leur terre familiale, pour pouvoir payer l'ISF, parce que leur revenu et leur épargne étaient largement insuffisants. Ensuite, le seuil de déclenchement de l'impôt a été relevé de 780.000 à 1,3 million, mais une fois que l'on était dans l'ISF, l'assiette commençait à 780.000. Le calcul de l'impôt commençait à ce montant, et non à partir du seuil d'entrée à 1,3 million.
L'ISF frappait aussi des gens qui gagnaient le SMIC, ou 2000 euros par mois. Leur revenu était confisqué, avec l'addition de l'impôt sur le revenu, des prélèvements sociaux et de l'ISF. Ils devaient puiser dans leur épargne pour payer l'ISF et pour vivre.5 ) L'ISF, impôt socialiste créé par François Mitterrand en 1982, était le plus gros racket de tous les impôts : 340.000 personnes payaient environ 5,5 milliards d'ISF chaque année, ce qui faisait une moyenne de 16.000 euros par assujetti, seulement une moyenne. Un contribuable qui détenait 10 millions d'euros de patrimoine payait 98.000 euros d'ISF par an, même s'il avait essentiellement des biens immobiliers, des résidences secondaires et un revenu insuffisant pour payer l'ISF.
Avant le plafonnement du Conseil constitutionnel à 75 % ( IR + CSG-CRDS + ISF ), certains contribuables ont payé plus de 100 % d'impôts sur leurs revenus, qui étaient donc intégralement confisqués à cause de l'ISF. Ils sont passés de 100 % d'impôts ( et bien plus dans certains cas ) à 75 % de leur revenu confisqué. Il ne leur restait que 25 % de leur revenu. La gauche appelle cette spoliation la « justice sociale », la « réduction des inégalités » et la « redistribution des richesses », mais pour que l'État les « redistribue », il doit d'abord les voler à ceux qui les ont créées et en sont les propriétaires. L'ISF n'est pas un « impôt de solidarité sur la fortune », parce qu'avec 1,3 million, on est très loin de la « fortune », d'autant plus quand ce patrimoine n'est que de l'immobilier et non un capital. Le mot « fortune », terme mensonger et démagogique, a été choisi pour tromper l'opinion publique et lui faire croire que l'ISF ne concernait que les gens « riches », alors qu'il n'en était rien. Le mot « solidarité » est également un mensonge, car la solidarité est un choix, un acte volontaire, pas le paiement d'un racket organisé par un État mafieux. L'ISF est le contraire d'un impôt de « justice sociale » ( formulation utilisée par la gauche dans le but de justifier sa politique de pillage des richesses, au nom de sa fausse morale égalitaire ). La principale motivation de la création de cet impôt est la jalousie sociale. Trouver un bouc émissaire à toutes les crises du pays. Stigmatiser, montrer du doigt, piller, appauvrir ceux qui ont plus que les autres et qui sont déjà les contribuables qui payent le plus d'impôts. La gauche socialiste et communiste qui exige le rétablissement de l'ISF doit savoir que nous n'accepterons jamais de revenir à la case départ, alors que nous nous sommes battus pendant 35 ans pour la suppression de cet impôt.6 ) Les « riches » contribuent déjà plus que n'importe qui avec l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. L'ISF venait s'y ajouter, ce qui entraînait une double imposition, sur un capital qui avait déjà été imposé lors de sa constitution.
Chiffres de la DGFIP :
40 % de l'impôt est payé par 2 % des contribuables.
70 % de l'impôt est payé par 10 % des contribuables.7 ) L'ISF a entraîné une hémorragie de capitaux pendant 35 ans, qui a affaibli et appauvri l'économie française. Mais un contribuable ISF qui s'expatrie ne représente pas seulement une perte en capital pour l'économie française. Il sera aussi une perte en impôt sur le revenu, en prélèvements sociaux, en taxes diverses et en TVA, sans oublier sa consommation de biens et de services. Au final, le coût économique et fiscal de son absence sera infiniment plus lourd que la recette fiscale de son ISF.
« L'ISF rapporte théoriquement 5 milliards d'euros par an. Mais avec tous les capitaux et les chefs d'entreprise qu'il a fait partir, il fait perdre à la France une vingtaine de milliards d'euros de recette. En réalité, l'ISF a un coût de 15 milliards par an ».
Jacqueline Martin de Testa, inspecteur des finances publiques à la Direction générale des finances publiques.8 ) La France a conduit une politique anti-riches pendant 35 ans. L'État français a lutté contre la richesse au lieu de lutter contre la pauvreté. Quel a été le résultat de ce racket fiscal ? La tiers-mondisation de notre économie, et toujours plus de pauvres ( 9 millions en 2020 ).
Il n'y a pas d'économie sans capital. L'ISF s'attaquait au capital et affaiblissait notre économie.
Depuis la suppression de l'ISF et la création de la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, le taux d'investissement ( rapporté au PIB ) est passé à 24 %, en 2019. Meilleur résultat depuis 1972.
Avec ce plafonnement à 30 % ( impôt sur le revenu et prélèvements sociaux ), la France reste au-dessus des taux de l'Allemagne et de l'Italie, qui sont à 26 % de Flat Tax.Ok, tes argument sont bons et je vois pas trop quoi y opposer. Mais le constat et l'écart croissant entre ultra-riche et le reste est problématique, on est d'accord ? Le +300% de pouvoir d'achat des plus riches sur les 20 dernières années, alors que le reste a fait +10% (les chiffres sont peut-être pas exact, mais l'ordre de grandeur est là), c'est quelque chose qui donne à réflechir. Si la taxe sur le capital n'est pas la bonne approche, tu propose quoi ?
NON, on n'est pas d'accord !
En finir avec l'égalitarisme
Ras-le-bol d'entendre dire, matin, midi et soir, de l'extrême gauche au RN, les mêmes inepties sur les « inégalités » : « Les inégalités se sont accentuées, il faut les réduire » etc...etc...
Tout d'abord, il faut souligner ce point fondamental : lorsqu'on commence à parler « d' inégalités », on est déjà soumis au logiciel socialo-marxiste. On est lobotomisé, et c'est un dégât irréversible. Le marxisme socialo-communiste est un virus hautement contagieux qui circule vite et a massivement contaminé le peuple français. C'est un SIDA mental.
Les gauchistes ont réalisé une manipulation sémantique et psychologique dans laquelle tout le monde est tombé : le mot « inégalités » a remplacé le mot « pauvreté », avec l'objectif de lutter contre la richesse, au lieu de lutter contre la pauvreté. C'est la haine de classe et la jalousie sociale qui tiennent lieu de pensée économique.
L'égalitarisme aboutit à justifier le racket fiscal des catégories aisées pour distribuer l'argent aux catégories modestes. L'État vole et appauvrit la catégorie aisée, au nom de la morale égalitaire.La presse vient de nous ressortir pour la énième fois un dossier sur les « inégalités sociales » qui se seraient accentuées dans le monde, entre les plus riches et les plus pauvres. Ce qu'ils ne diront jamais, c'est que l'économie de marché, l'économie capitaliste, a sorti 1 milliard de personnes de la pauvreté. Il faut en finir avec l'idéologie égalitaire du nivellement par le bas et de la médiocrité généralisée. Les égalitaristes nous disent : « les inégalités se creusent, l'écart entre les riches et les pauvres ne cesse d'augmenter, il faut le réduire en surtaxant les riches ». Réponse : le problème n'est pas l'écart entre les riches et les pauvres, mais le niveau de pauvreté en France, qui est inacceptable. Le problème c'est la pauvreté, pas la richesse, qui est un bienfait. Je pose la question aux égalitaristes : vous préférez une société dans laquelle le riche a 2 et le pauvre a 1, ou bien une société dans laquelle le riche a 100 et le pauvre a 10 ? Bien évidemment, ils ne répondent jamais, préférant être des esclaves dans une société égalitaire plutôt qu'être libres dans une société inégalitaire. Les « inégalités » n'existent pas, parce que l'égalité n'existe pas. « L'inégalité » est un concept, une invention marxiste. Elle n'existe pas plus que l'égalité. Le principe de l'égalité consiste à justifier le racket et le pillage de ceux qui ont réussi.
Le Français préfère vivre dans un pays ruiné, mais égalitaire. Au lieu de chercher à s'élever, il préfère jalouser son voisin et rêve de le voir tomber à son niveau.Je termine par une citation de Coluche : « Les riches sont des salauds ? Je me demande pourquoi tout le monde veut devenir un salaud ».
Pas d'accord. L'écart entre riche et pauvre est important, raisonner dans l'absolu est une erreur.
Non. Il faut lutter contre la pauvreté. Pas contre la richesse. A part si tu es jaloux.
Oui, l'égalité n'est pas forcément l'objectif, ça dépend des idéologies. Mais même les plus libéraux reconnaissent le fait qu'il faut maintenir une paix sociale, et que si les écarts sont trop importants, cela met en péril la stabilité de la société, et par conséquent, menace également les plus riches.
Ce sont donc des libéraux cucks qui se soumettent à l'idéologie marxiste. Au lieu de vouloir répandre l'idéal libéral qui ne se soucie pas des "inégalités", eux disent qu'elles empêchent la "paix sociale". Traduction : les jaloux marxistes vont venir pleurer. Cette vision est extrêmement cuck et donne raison à l'ennemi.
Hayek en parlait déjà il y a 60 ans. Ce n'est pas un problème idéologique d'égalité, c'est une constatation très terre-à-terre et rationnel qui consiste à dire que si l'écart se creuse trop, ca met en péril l'ensemble du système car tension sociale.
Non. Mentalité de cuck.
C'est pas une question d'être cuck ou pas, mais de psychologie humaine de base. Si tu vois ton voisin avec 1000X plus que toi, t'as la haine, ca doit sans doute être hard codé dans nos gènes quelque part. Alors historiquement, ca passait plus ou moins quand on t'expliquait dès la naissance que tel mec était légitiment supérieur car meilleur sang et lignée, etc. Mais une fois que tu mets dans la constitution que tout homme est égaux, tu vas avoir du mal à justifier à l'individu moyen que non, y'a pas à être jaloux de ton voisin qui est très significativement plus riche que toi.
Le 12 février 2021 à 17:38:55 DracLeRetour a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:37:17 Snowbunny4BBC a écrit :
Mes parents médecins paient 7k d'IR par MOIS no fakeIls doivent être autour des 10k/mois ce qui leur laisse 13K/mois pour vivre, cette chance
"Tes parents se font piller la moitié de leur travail mais il leur reste une part non négligeable. La chance."
Mouais.
Le 12 février 2021 à 17:10:00 jenetrouvepas9 a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:09:38 RetourInternet a écrit :
Il faudrait au contraire supprimer les impôtsplus d'impôts = état en déliquescence
tu es anarchiste ?
Il a raison, l'impot sur le revenu , c'est n'importe quoi. Plein n'en paye pas et pour ceux qui en paye, ca devient confiscatoire.
0 impot sur les revenus du travail en dessous de 10000 euros par mois net.
Pour compenser, on augmente la tva de 2 points
Alors on entendra les gauchistes pleurer mais oui, la tva est l'impot le moins injuste. T'achete des trucs cheres et inutile quand t'es riche, tu paie plus.
Le 12 février 2021 à 17:40:27 cigarette2153 a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:38:14 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:37:26 cigarette2153 a écrit :
AYAAA ce topic y'a 0 source putainSi, il a donné une source, mais elle n'est pas en accord avec le titre. Les 10% plus aisés paient plus que 60% de l'impôt. Ils paient 70%.
je parle du mec qui a sorti un énorme pavé page 2 "Dechet_JVC"
Tu n'as pas besoin de moi pour aller sur le site des impôts. Je sais que tu fumes h24 mais quand même.
Le 12 février 2021 à 17:41:25 DracLeRetour a écrit :
Ils paient 70% des impôts sur le revenu, mais détiennent 95% des ressources
Non, même pas la moitié. Mais qu'importe. Si tu es contre t'es juste jaloux en fait.
Le 12 février 2021 à 17:41:25 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:40:27 cigarette2153 a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:38:14 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:37:26 cigarette2153 a écrit :
AYAAA ce topic y'a 0 source putainSi, il a donné une source, mais elle n'est pas en accord avec le titre. Les 10% plus aisés paient plus que 60% de l'impôt. Ils paient 70%.
je parle du mec qui a sorti un énorme pavé page 2 "Dechet_JVC"
Tu n'as pas besoin de moi pour aller sur le site des impôts. Je sais que tu fumes h24 mais quand même.
tu dois donner les sources dans tes posts, c'est une règle implicite de JVC pratiquée depuis des années
Le 12 février 2021 à 17:40:48 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:37:32 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:35:12 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:58 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:25:02 chibbimitia a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:16:59 Dechet_JVC a écrit :
Le 12 février 2021 à 17:15:03 1_red_boule a écrit :
Il faut supprimer l'impôt sur le revenu et le remplacer par un impôt sur le capitalNon, grand imbécile.
Pourquoi il fallait supprimer l'ISF
1 ) La suppression de l'ISF sur le capital, tout comme la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, avait pour objectif de mettre la France au niveau de la concurrence fiscale des autres pays européens. Rendre notre économie compétitive et attractive pour les investisseurs, créateurs de croissance et d'emplois. L'ISF n'existe nulle part dans le monde et dans aucun pays des 27 membres de l'Union européenne, à l'exception de l'Espagne ( où il a déjà été supprimé, puis rétabli ). L'économie française ne pouvait pas rester avec ce handicap majeur par rapport à ses voisins : les grands pays que sont l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre.
En Suède, Ingvar Kamprad, le PDG d'IKEA, s'était expatrié à cause de l'ISF. Quand il a été supprimé, l'économie a décollé et Ingvar Kamprad est rentré dans son pays.2 ) Contrairement aux inexactitudes qui sont fréquemment répétées, la suppression de l'ISF n'a pas profité aux « très riches » et aux « plus riches ». Ils avaient des holdings pour ne jamais payer l'ISF.
Cette suppression a profité aux petits millionnaires ( ceux qui ont de 1,3 million à quelques millions ) et ont pour la plupart d'entre eux un revenu de classe moyenne supérieure. Ils composaient la majorité des contribuables ISF.3 ) L'ISF n'est pas basé sur le revenu mais sur le patrimoine détenu. Il ne tient aucun compte du revenu. On peut gagner le SMIC et devoir payer l'ISF. Quelle conséquence ? Si on a pas d'épargne, pas de capital, on doit vendre son bien ou ses biens immobiliers pour pouvoir payer l'ISF. C'est donc une expropriation.
Un exemple : on hérite d'une maison ou d'un appartement qui a de la valeur, on tombe dans l'ISF, même si on a pas le revenu pour pouvoir le payer. Idem concernant les droits de succession : pour l'héritage d'une maison de 1 million d'euros, les droits à payer sont de 252.000 euros. Si l'héritier ne dispose pas de l'épargne pour pouvoir payer ? Il est contraint de vendre son bien familial, dépossédé, exproprié par l'État, il ne peut pas rester dans la maison familiale dont il a hérité.4 ) J'ai le souvenir de ces pauvres habitants de l'île de Ré, obligés de vendre leur terrain, donc expropriés de fait, dépossédés de leur terre familiale, pour pouvoir payer l'ISF, parce que leur revenu et leur épargne étaient largement insuffisants. Ensuite, le seuil de déclenchement de l'impôt a été relevé de 780.000 à 1,3 million, mais une fois que l'on était dans l'ISF, l'assiette commençait à 780.000. Le calcul de l'impôt commençait à ce montant, et non à partir du seuil d'entrée à 1,3 million.
L'ISF frappait aussi des gens qui gagnaient le SMIC, ou 2000 euros par mois. Leur revenu était confisqué, avec l'addition de l'impôt sur le revenu, des prélèvements sociaux et de l'ISF. Ils devaient puiser dans leur épargne pour payer l'ISF et pour vivre.5 ) L'ISF, impôt socialiste créé par François Mitterrand en 1982, était le plus gros racket de tous les impôts : 340.000 personnes payaient environ 5,5 milliards d'ISF chaque année, ce qui faisait une moyenne de 16.000 euros par assujetti, seulement une moyenne. Un contribuable qui détenait 10 millions d'euros de patrimoine payait 98.000 euros d'ISF par an, même s'il avait essentiellement des biens immobiliers, des résidences secondaires et un revenu insuffisant pour payer l'ISF.
Avant le plafonnement du Conseil constitutionnel à 75 % ( IR + CSG-CRDS + ISF ), certains contribuables ont payé plus de 100 % d'impôts sur leurs revenus, qui étaient donc intégralement confisqués à cause de l'ISF. Ils sont passés de 100 % d'impôts ( et bien plus dans certains cas ) à 75 % de leur revenu confisqué. Il ne leur restait que 25 % de leur revenu. La gauche appelle cette spoliation la « justice sociale », la « réduction des inégalités » et la « redistribution des richesses », mais pour que l'État les « redistribue », il doit d'abord les voler à ceux qui les ont créées et en sont les propriétaires. L'ISF n'est pas un « impôt de solidarité sur la fortune », parce qu'avec 1,3 million, on est très loin de la « fortune », d'autant plus quand ce patrimoine n'est que de l'immobilier et non un capital. Le mot « fortune », terme mensonger et démagogique, a été choisi pour tromper l'opinion publique et lui faire croire que l'ISF ne concernait que les gens « riches », alors qu'il n'en était rien. Le mot « solidarité » est également un mensonge, car la solidarité est un choix, un acte volontaire, pas le paiement d'un racket organisé par un État mafieux. L'ISF est le contraire d'un impôt de « justice sociale » ( formulation utilisée par la gauche dans le but de justifier sa politique de pillage des richesses, au nom de sa fausse morale égalitaire ). La principale motivation de la création de cet impôt est la jalousie sociale. Trouver un bouc émissaire à toutes les crises du pays. Stigmatiser, montrer du doigt, piller, appauvrir ceux qui ont plus que les autres et qui sont déjà les contribuables qui payent le plus d'impôts. La gauche socialiste et communiste qui exige le rétablissement de l'ISF doit savoir que nous n'accepterons jamais de revenir à la case départ, alors que nous nous sommes battus pendant 35 ans pour la suppression de cet impôt.6 ) Les « riches » contribuent déjà plus que n'importe qui avec l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. L'ISF venait s'y ajouter, ce qui entraînait une double imposition, sur un capital qui avait déjà été imposé lors de sa constitution.
Chiffres de la DGFIP :
40 % de l'impôt est payé par 2 % des contribuables.
70 % de l'impôt est payé par 10 % des contribuables.7 ) L'ISF a entraîné une hémorragie de capitaux pendant 35 ans, qui a affaibli et appauvri l'économie française. Mais un contribuable ISF qui s'expatrie ne représente pas seulement une perte en capital pour l'économie française. Il sera aussi une perte en impôt sur le revenu, en prélèvements sociaux, en taxes diverses et en TVA, sans oublier sa consommation de biens et de services. Au final, le coût économique et fiscal de son absence sera infiniment plus lourd que la recette fiscale de son ISF.
« L'ISF rapporte théoriquement 5 milliards d'euros par an. Mais avec tous les capitaux et les chefs d'entreprise qu'il a fait partir, il fait perdre à la France une vingtaine de milliards d'euros de recette. En réalité, l'ISF a un coût de 15 milliards par an ».
Jacqueline Martin de Testa, inspecteur des finances publiques à la Direction générale des finances publiques.8 ) La France a conduit une politique anti-riches pendant 35 ans. L'État français a lutté contre la richesse au lieu de lutter contre la pauvreté. Quel a été le résultat de ce racket fiscal ? La tiers-mondisation de notre économie, et toujours plus de pauvres ( 9 millions en 2020 ).
Il n'y a pas d'économie sans capital. L'ISF s'attaquait au capital et affaiblissait notre économie.
Depuis la suppression de l'ISF et la création de la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, le taux d'investissement ( rapporté au PIB ) est passé à 24 %, en 2019. Meilleur résultat depuis 1972.
Avec ce plafonnement à 30 % ( impôt sur le revenu et prélèvements sociaux ), la France reste au-dessus des taux de l'Allemagne et de l'Italie, qui sont à 26 % de Flat Tax.Ok, tes argument sont bons et je vois pas trop quoi y opposer. Mais le constat et l'écart croissant entre ultra-riche et le reste est problématique, on est d'accord ? Le +300% de pouvoir d'achat des plus riches sur les 20 dernières années, alors que le reste a fait +10% (les chiffres sont peut-être pas exact, mais l'ordre de grandeur est là), c'est quelque chose qui donne à réflechir. Si la taxe sur le capital n'est pas la bonne approche, tu propose quoi ?
NON, on n'est pas d'accord !
En finir avec l'égalitarisme
Ras-le-bol d'entendre dire, matin, midi et soir, de l'extrême gauche au RN, les mêmes inepties sur les « inégalités » : « Les inégalités se sont accentuées, il faut les réduire » etc...etc...
Tout d'abord, il faut souligner ce point fondamental : lorsqu'on commence à parler « d' inégalités », on est déjà soumis au logiciel socialo-marxiste. On est lobotomisé, et c'est un dégât irréversible. Le marxisme socialo-communiste est un virus hautement contagieux qui circule vite et a massivement contaminé le peuple français. C'est un SIDA mental.
Les gauchistes ont réalisé une manipulation sémantique et psychologique dans laquelle tout le monde est tombé : le mot « inégalités » a remplacé le mot « pauvreté », avec l'objectif de lutter contre la richesse, au lieu de lutter contre la pauvreté. C'est la haine de classe et la jalousie sociale qui tiennent lieu de pensée économique.
L'égalitarisme aboutit à justifier le racket fiscal des catégories aisées pour distribuer l'argent aux catégories modestes. L'État vole et appauvrit la catégorie aisée, au nom de la morale égalitaire.La presse vient de nous ressortir pour la énième fois un dossier sur les « inégalités sociales » qui se seraient accentuées dans le monde, entre les plus riches et les plus pauvres. Ce qu'ils ne diront jamais, c'est que l'économie de marché, l'économie capitaliste, a sorti 1 milliard de personnes de la pauvreté. Il faut en finir avec l'idéologie égalitaire du nivellement par le bas et de la médiocrité généralisée. Les égalitaristes nous disent : « les inégalités se creusent, l'écart entre les riches et les pauvres ne cesse d'augmenter, il faut le réduire en surtaxant les riches ». Réponse : le problème n'est pas l'écart entre les riches et les pauvres, mais le niveau de pauvreté en France, qui est inacceptable. Le problème c'est la pauvreté, pas la richesse, qui est un bienfait. Je pose la question aux égalitaristes : vous préférez une société dans laquelle le riche a 2 et le pauvre a 1, ou bien une société dans laquelle le riche a 100 et le pauvre a 10 ? Bien évidemment, ils ne répondent jamais, préférant être des esclaves dans une société égalitaire plutôt qu'être libres dans une société inégalitaire. Les « inégalités » n'existent pas, parce que l'égalité n'existe pas. « L'inégalité » est un concept, une invention marxiste. Elle n'existe pas plus que l'égalité. Le principe de l'égalité consiste à justifier le racket et le pillage de ceux qui ont réussi.
Le Français préfère vivre dans un pays ruiné, mais égalitaire. Au lieu de chercher à s'élever, il préfère jalouser son voisin et rêve de le voir tomber à son niveau.Je termine par une citation de Coluche : « Les riches sont des salauds ? Je me demande pourquoi tout le monde veut devenir un salaud ».
Pas d'accord. L'écart entre riche et pauvre est important, raisonner dans l'absolu est une erreur.
Non. Il faut lutter contre la pauvreté. Pas contre la richesse. A part si tu es jaloux.
Oui, l'égalité n'est pas forcément l'objectif, ça dépend des idéologies. Mais même les plus libéraux reconnaissent le fait qu'il faut maintenir une paix sociale, et que si les écarts sont trop importants, cela met en péril la stabilité de la société, et par conséquent, menace également les plus riches.
Ce sont donc des libéraux cucks qui se soumettent à l'idéologie marxiste. Au lieu de vouloir répandre l'idéal libéral qui ne se soucie pas des "inégalités", eux disent qu'elles empêchent la "paix sociale". Traduction : les jaloux marxistes vont venir pleurer. Cette vision est extrêmement cuck et donne raison à l'ennemi.
Hayek en parlait déjà il y a 60 ans. Ce n'est pas un problème idéologique d'égalité, c'est une constatation très terre-à-terre et rationnel qui consiste à dire que si l'écart se creuse trop, ca met en péril l'ensemble du système car tension sociale.
Non. Mentalité de cuck.
C'est pas une question d'être cuck ou pas, mais de psychologie humaine de base. Si tu vois ton voisin avec 1000X plus que toi, t'as la haine, ca doit sans doute être hard codé dans nos gènes quelque part.
Sûrement pas ! Je n'ai pas de jalousie sociale. Si mon voisin remporte autant je l'invite pour le féliciter !
Alors historiquement, ca passait plus ou moins quand on t'expliquait dès la naissance que tel mec était légitiment supérieur car meilleur sang et lignée, etc.
Nan, nan. Déjà à l'époque ils étaient matrixés et faisaient des révolutions.
Mais une fois que tu mets dans la constitution que tout homme est égaux, tu vas avoir du mal à justifier à l'individu moyen que non, y'a pas à être jaloux de ton voisin qui est très significativement plus riche que toi.
S'il a plus c'est qu'il mérite plus ou que ses ancêtres ont mérité plus. Bravo à leur lignée ! Personnellement je fais de mon mieux pour progresser.
Données du topic
- Auteur
- jenetrouvepas9
- Date de création
- 12 février 2021 à 17:07:54
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