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Le 21 mars 2021 à 01:51:10 Kasslantien a écrit :
Le soldatesse (1965) de Valerio Zurlini
:cimer:

Je le veux bien aussi celui-ci, en plus Marie Laforêt joue dedans. :bave:

Dogville :d) Représentation des maisons sans murs, décors très épurés, on comprend bien que tout se sait dans cette micro-société par cette image sautant aux yeux, une sorte de pièce de théâtre arrangée, en plus du narrateur extradiégétique qui vient nous apporter une explication détaillée et succincte de tout ce qui se passe en plus des idées de Tom, comme dans un roman, d'ailleurs le film est morcelé en plusieurs chapitre comprenant un prologue ! Détail peut-être insignifiant pour les profanes, mais qui confirme bien le parti pris de l'œuvre, sachant que tout laisse à penser que nous assistons à une pièce de théâtre, nous aurons affaire à un drame, et tout cela, nous pouvons le percevoir dès les premières minutes du film !

  • Possible spoil à partir de là :

Chapitre II : Déjà là, l'on peut apercevoir quelques personnes plus " éclairées " dégageant une critique acerbe à l'encontre de leur environnement direct, à savoir cette petite bourgade plus étroite qu'une mansarde délabrée à Paris. Grace tentera de se faire accepter, pour assurer sa survie étant dans une situation assez délicate, et vers la fin du chapitre, l'on peut voir quelques sous-entendus licencieux de la part de Jason, un des enfants qu’elle éduque en tant que professeur, peut-être que je surinterprète, mais il semble bien avoir compris que Grace est en position de faiblesse absolue. Le chapitre se clôturera sur une seconde critique de la ville de la part d'un des mineurs cette fois-ci, qui exposera le fait d'avoir déjà été en ville et " déniaisé " de cet environnement, tout en prévenant Grace. l'homme est le pire ennemi de son semblable, ou de sa propre espèce pour reprendre Hobbes.

Grace se fait accepter, mais est recherchée par la police, et là on initie la descente aux enfers.

Chapitre V : Grace cette criminelle qui passait son temps à braquer, cocasse sachant qu'elle a un caractère très doux et des manières classieuses. Un peu moins de la moitié du film, la police revient à la charge et énonce que notre bien aimée criminelle est " dangereuse " ce qui titille les habitants qui demandent une contrepartie maintenant ( par contrepartie, comprenez esclavage ). Cet esclavage constitue une marque formelle d'ostracision du groupe, les remarques sont désormais crachées comme du vitriol envers notre Cosette moderne qui subira quelques attouchements de la part de ces messieurs, un d’eux se permettra même de faire du chantage affectif après avoir été rejeté, à raison d’ailleurs.

Chapitre VI : Ouverture du chapitre avec Jason, l’énergumène du second chapitre qui cette fois menace Grace car elle refuse de lui administrer un châtiment corporel, qui finira par s’exécuter, car Jason se mets à molester un enfant dans le berceau tant qu’elle refuse, on voit d’ailleurs Grace lui enlever la poussière plus qu’autre chose se tenant plutôt à ses principes, mais la symbolique est présente ! Elle se fera ensuite violer par Chuck, celui qui lui avait fait du chantage affectif au précédent chapitre.

Chapitre VII : Et maintenant notre Cosette contemporaine se fait invectiver par les femmes pour des prétextes, et elle se fera violer quotidiennement par Chuck, elle ne recevra d’ailleurs plus de salaire pour son travail herculéen, les femelles, oui je dis bien femelles car elles n’ont rien avoir avec l’Humanité viendront attaquer comme des serpents Grace de leurs répliques venimeuses en plus de casser les figurines de porcelaine qu’elle avait mit tout ce temps à acheter avec son maigre pécule. Elle cherchera à s’enfuir cachée dans la cargaison du routier avec son accord, en le payant, et malheureusement, il la violera en route et la ramènera tout droit à Dogville. Après cette misérable tentative de fuite, ils lui attacheront une cloche autour du cou, et une roue rouillée assez lourde, comme les prisonniers d’antan. Et maintenant, elle sera l’esclave sexuelle en plus de la ménagère de tout ce faubourg.

Chapitre VIII : Tom le bon samaritain appelle les gangsters qui recherchaient Grace et fera enfermer cette dernière dans une sorte de cabane poisseuse.

Chapitre IX : Nos chevaliers de l’apocalypse, nos mafiosi arrivent chercher la jeune femme, et ils viennent lourdement armés pour la récupérer, en effet, Grace est la fille biologique du chef ! Mais elle est l’incarnation de l’Humanité, je ne vais pas étayer quant à cette scène et celle qui suit, en particulier car il vaut mieux la voir, et l’apprécier, plutôt que de la disséquer ! Grace ordonnera d’ailleurs la destruction de la ville, en guise de catharsis, rappelez-vous que Grace représente l’Humanité.

Quelques faux raccords visibles mais mineurs.

Le 21 mars 2021 à 01:51:10 Kasslantien a écrit :
Le soldatesse (1965) de Valerio Zurlini
:cimer:

Le 21 mars 2021 à 09:03:47 ArsenicPussy a écrit :

Le 21 mars 2021 à 01:51:10 Kasslantien a écrit :
Le soldatesse (1965) de Valerio Zurlini
:cimer:

Je le veux bien aussi celui-ci, en plus Marie Laforêt joue dedans. :bave:

:ok:

Le 21 mars 2021 à 15:08:00 ArsenicPussy a écrit :
Dogville :d) Représentation des maisons sans murs, décors très épurés, on comprend bien que tout se sait dans cette micro-société par cette image sautant aux yeux, une sorte de pièce de théâtre arrangée, en plus du narrateur extradiégétique qui vient nous apporter une explication détaillée et succincte de tout ce qui se passe en plus des idées de Tom, comme dans un roman, d'ailleurs le film est morcelé en plusieurs chapitre comprenant un prologue ! Détail peut-être insignifiant pour les profanes, mais qui confirme bien le parti pris de l'œuvre, sachant que tout laisse à penser que nous assistons à une pièce de théâtre, nous aurons affaire à un drame, et tout cela, nous pouvons le percevoir dès les premières minutes du film !

  • Possible spoil à partir de là :

Chapitre II : Déjà là, l'on peut apercevoir quelques personnes plus " éclairées " dégageant une critique acerbe à l'encontre de leur environnement direct, à savoir cette petite bourgade plus étroite qu'une mansarde délabrée à Paris. Gc​ommunauté tentera de se faire accepter, pour assurer sa survie étant dans une situation assez délicate, et vers la fin du chapitre, l'on peut voir quelques sous-entendus licencieux de la part de Jason, un des enfants qu’elle éduque en tant que professeur, peut-être que je surinterprète, mais il semble bien avoir compris que Gc​ommunauté est en position de faiblesse absolue. Le chapitre se clôturera sur une seconde critique de la ville de la part d'un des mineurs cette fois-ci, qui exposera le fait d'avoir déjà été en ville et " déniaisé " de cet environnement, tout en prévenant Gc​ommunauté. l'homme est le pire ennemi de son semblable, ou de sa propre espèce pour reprendre Hobbes.

Gc​ommunauté se fait accepter, mais est recherchée par la police, et là on initie la descente aux enfers.

Chapitre V : Gc​ommunauté cette criminelle qui passait son temps à braquer, cocasse sachant qu'elle a un caractère très doux et des manières classieuses. Un peu moins de la moitié du film, la police revient à la charge et énonce que notre bien aimée criminelle est " dangereuse " ce qui titille les habitants qui demandent une contrepartie maintenant ( par contrepartie, comprenez esclavage ). Cet esclavage constitue une marque formelle d'ostracision du groupe, les remarques sont désormais crachées comme du vitriol envers notre Cosette moderne qui subira quelques attouchements de la part de ces messieurs, un d’eux se permettra même de faire du chantage affectif après avoir été rejeté, à raison d’ailleurs.

Chapitre VI : Ouverture du chapitre avec Jason, l’énergumène du second chapitre qui cette fois menace Gc​ommunauté car elle refuse de lui administrer un châtiment corporel, qui finira par s’exécuter, car Jason se mets à molester un enfant dans le berceau tant qu’elle refuse, on voit d’ailleurs Gc​ommunauté lui enlever la poussière plus qu’autre chose se tenant plutôt à ses principes, mais la symbolique est présente ! Elle se fera ensuite s​acre bleuer par Chuck, celui qui lui avait fait du chantage affectif au précédent chapitre.

Chapitre VII : Et maintenant notre Cosette contemporaine se fait invectiver par les femmes pour des prétextes, et elle se fera s​acre bleuer quotidiennement par Chuck, elle ne recevra d’ailleurs plus de salaire pour son travail herculéen, les femelles, oui je dis bien femelles car elles n’ont rien avoir avec l’Humanité viendront attaquer comme des serpents Gc​ommunauté de leurs répliques venimeuses en plus de casser les figurines de porcelaine qu’elle avait mit tout ce temps à acheter avec son maigre pécule. Elle cherchera à s’enfuir cachée dans la cargaison du routier avec son accord, en le payant, et malheureusement, il la s​acre bleuera en route et la ramènera tout droit à Dogville. Après cette misérable tentative de fuite, ils lui attacheront une cloche autour du cou, et une roue rouillée assez lourde, comme les prisonniers d’antan. Et maintenant, elle sera l’esclave sexuelle en plus de la ménagère de tout ce faubourg.

Chapitre VIII : Tom le bon samaritain appelle les gangsters qui recherchaient Gc​ommunauté et fera enfermer cette dernière dans une sorte de cabane poisseuse.

Chapitre IX : Nos chevaliers de l’apocalypse, nos mafiosi arrivent chercher la jeune femme, et ils viennent lourdement armés pour la récupérer, en effet, Gc​ommunauté est la fille biologique du chef ! Mais elle est l’incarnation de l’Humanité, je ne vais pas étayer quant à cette scène et celle qui suit, en particulier car il vaut mieux la voir, et l’apprécier, plutôt que de la disséquer ! Gc​ommunauté ordonnera d’ailleurs la destruction de la ville, en guise de catharsis, rappelez-vous que Gc​ommunauté représente l’Humanité.

Quelques faux raccords visibles mais mineurs.

Magnifique khey, merci de partager ça avec nous, c'est très bien écrit :oui:
Je le précise à chaque fois car je suis pas un grand lecteur mais je lis jusqu'au bout tes critiques à chaque fois malgré tout, preuve qu'elles sont qualitatives :oui:

Sinon la pauvre Gc​ommunauté :peur: elle prend cher la pauvre :peur:

Le 21 mars 2021 à 17:40:59 N000Pantera5 a écrit :

Le 21 mars 2021 à 15:08:00 ArsenicPussy a écrit :
Dogville :d) Représentation des maisons sans murs, décors très épurés, on comprend bien que tout se sait dans cette micro-société par cette image sautant aux yeux, une sorte de pièce de théâtre arrangée, en plus du narrateur extradiégétique qui vient nous apporter une explication détaillée et succincte de tout ce qui se passe en plus des idées de Tom, comme dans un roman, d'ailleurs le film est morcelé en plusieurs chapitre comprenant un prologue ! Détail peut-être insignifiant pour les profanes, mais qui confirme bien le parti pris de l'œuvre, sachant que tout laisse à penser que nous assistons à une pièce de théâtre, nous aurons affaire à un drame, et tout cela, nous pouvons le percevoir dès les premières minutes du film !

  • Possible spoil à partir de là :

Chapitre II : Déjà là, l'on peut apercevoir quelques personnes plus " éclairées " dégageant une critique acerbe à l'encontre de leur environnement direct, à savoir cette petite bourgade plus étroite qu'une mansarde délabrée à Paris. Gc​ommunauté tentera de se faire accepter, pour assurer sa survie étant dans une situation assez délicate, et vers la fin du chapitre, l'on peut voir quelques sous-entendus licencieux de la part de Jason, un des enfants qu’elle éduque en tant que professeur, peut-être que je surinterprète, mais il semble bien avoir compris que Gc​ommunauté est en position de faiblesse absolue. Le chapitre se clôturera sur une seconde critique de la ville de la part d'un des mineurs cette fois-ci, qui exposera le fait d'avoir déjà été en ville et " déniaisé " de cet environnement, tout en prévenant Gc​ommunauté. l'homme est le pire ennemi de son semblable, ou de sa propre espèce pour reprendre Hobbes.

Gc​ommunauté se fait accepter, mais est recherchée par la police, et là on initie la descente aux enfers.

Chapitre V : Gc​ommunauté cette criminelle qui passait son temps à braquer, cocasse sachant qu'elle a un caractère très doux et des manières classieuses. Un peu moins de la moitié du film, la police revient à la charge et énonce que notre bien aimée criminelle est " dangereuse " ce qui titille les habitants qui demandent une contrepartie maintenant ( par contrepartie, comprenez esclavage ). Cet esclavage constitue une marque formelle d'ostracision du groupe, les remarques sont désormais crachées comme du vitriol envers notre Cosette moderne qui subira quelques attouchements de la part de ces messieurs, un d’eux se permettra même de faire du chantage affectif après avoir été rejeté, à raison d’ailleurs.

Chapitre VI : Ouverture du chapitre avec Jason, l’énergumène du second chapitre qui cette fois menace Gc​ommunauté car elle refuse de lui administrer un châtiment corporel, qui finira par s’exécuter, car Jason se mets à molester un enfant dans le berceau tant qu’elle refuse, on voit d’ailleurs Gc​ommunauté lui enlever la poussière plus qu’autre chose se tenant plutôt à ses principes, mais la symbolique est présente ! Elle se fera ensuite s​acre bleuer par Chuck, celui qui lui avait fait du chantage affectif au précédent chapitre.

Chapitre VII : Et maintenant notre Cosette contemporaine se fait invectiver par les femmes pour des prétextes, et elle se fera s​acre bleuer quotidiennement par Chuck, elle ne recevra d’ailleurs plus de salaire pour son travail herculéen, les femelles, oui je dis bien femelles car elles n’ont rien avoir avec l’Humanité viendront attaquer comme des serpents Gc​ommunauté de leurs répliques venimeuses en plus de casser les figurines de porcelaine qu’elle avait mit tout ce temps à acheter avec son maigre pécule. Elle cherchera à s’enfuir cachée dans la cargaison du routier avec son accord, en le payant, et malheureusement, il la s​acre bleuera en route et la ramènera tout droit à Dogville. Après cette misérable tentative de fuite, ils lui attacheront une cloche autour du cou, et une roue rouillée assez lourde, comme les prisonniers d’antan. Et maintenant, elle sera l’esclave sexuelle en plus de la ménagère de tout ce faubourg.

Chapitre VIII : Tom le bon samaritain appelle les gangsters qui recherchaient Gc​ommunauté et fera enfermer cette dernière dans une sorte de cabane poisseuse.

Chapitre IX : Nos chevaliers de l’apocalypse, nos mafiosi arrivent chercher la jeune femme, et ils viennent lourdement armés pour la récupérer, en effet, Gc​ommunauté est la fille biologique du chef ! Mais elle est l’incarnation de l’Humanité, je ne vais pas étayer quant à cette scène et celle qui suit, en particulier car il vaut mieux la voir, et l’apprécier, plutôt que de la disséquer ! Gc​ommunauté ordonnera d’ailleurs la destruction de la ville, en guise de catharsis, rappelez-vous que Gc​ommunauté représente l’Humanité.

Quelques faux raccords visibles mais mineurs.

Magnifique khey, merci de partager ça avec nous, c'est très bien écrit :oui:
Je le précise à chaque fois car je suis pas un grand lecteur mais je lis jusqu'au bout tes critiques à chaque fois malgré tout, preuve qu'elles sont qualitatives :oui:

Sinon la pauvre Gc​ommunauté :peur: elle prend cher la pauvre :peur:

Merci ! C'est plaisant de savoir que quelqu'un les lit, ça m'encourage à en produire d'autres. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/36/1/1598902011-jolyne5.png

Oui, mais ça ne rend que la fin plus jouissive ! https://image.noelshack.com/fichiers/2018/22/5/1527880610-image.png

Manderlay (2005)
L'Exécutrice (1986)
Sorgoï Prakov, My European Dream (2013)

Merci d'avance kheyou ! https://image.noelshack.com/fichiers/2018/19/2/1525773665-peppobeh.png

Le 21 mars 2021 à 19:26:22 ArsenicPussy a écrit :
Manderlay (2005)
L'Exécutrice (1986)
Sorgoï Prakov, My European Dream (2013)

Merci d'avance kheyou ! https://image.noelshack.com/fichiers/2018/19/2/1525773665-peppobeh.png

:ok:

Sorgoï Prakov, My European Dream : On est dans l'ultraviolence gratuite et les affres d'un capharnaüm psychologique assez primitif. Cocasse que le personnage principal n'ait pas été arrêté par la police dans le film. Je ne conseille pas aux personnes sensibles car certaines scènes sont assez dérangeantes. Mais si vous avez l'habitude de lire Chattam, rien de bien licencieux, si je peux me permettre. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/36/1/1598901532-jolyne6.png

Slow Torture Puke Chamber ( 2010 )
L'Immorale (1980)
Nous avons gagné ce soir (1949)

Merci kheyou, demain je vais passer la journée à regarder des films. :oui:

My Moms New Boyfriend (2008) de George Gallo
:cimer:

Le 21 mars 2021 à 23:47:37 Kasslantien a écrit :
My Moms New Boyfriend (2008) de George Gallo
:cimer:

:ok:

Le 21 mars 2021 à 23:35:45 ArsenicPussy a écrit :
Slow Torture Puke Chamber ( 2010 )
L'Immorale (1980)
Nous avons gagné ce soir (1949)

Merci kheyou, demain je vais passer la journée à regarder des films. :oui:

:ok:

Nous avons gagnés ce soir :d) Surcoté comme la majorité des films noirs de cette époque, " apprécié " car c'est une œuvre dans la lignée des choses " hautes ".

Slow Torture Puke Chamber :d) Dernier de la trilogie vomit gore, moins bon que le premier, on perd ce charme esthétique propre à ce dernier, mauvais à mon sens, mais devrait plaire à certains.

Salut khey :ok:

Maintenant je suis à la recherche de Dallas Buyers Club en VOSTFR :ok:

Encore merci pour blackkklansman, ce film était excellent :bave:

Un dramma borghese (1979) de Florestano Vancini
:cimer:

Le 22 mars 2021 à 14:40:38 Listorick a écrit :
Salut khey :ok:

Maintenant je suis à la recherche de Dallas Buyers Club en VOSTFR :ok:

Encore merci pour blackkklansman, ce film était excellent :bave:

:ok: mp

Le 22 mars 2021 à 14:41:18 PirateEauDouce a écrit :
Bac Nord

trop récent kheyou

Le 22 mars 2021 à 14:49:52 Kasslantien a écrit :
Un dramma borghese (1979) de Florestano Vancini
:cimer:

:ok:

Honolulu Lu (1941) de Charles Barton
:cimer:

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N000Pantera2
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28 janvier 2021 à 06:20:58
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